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Sexe avec Annabelle partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 07/06/2023

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SEXE AVEC ANNABELLE

partie 1
J'avais la chance de finir tôt trois jours par semaine, parce qu'avec mon associé on s'était rendus compte qu'on approchait du burn-out, alors on s'accordait mutuellement trois matinées ou trois après-midis de liberté, l'un remplaçant l'autre. 13 heures, c'était plié, et hop, je prenais la voiture et je rentrais chez moi. La possibilité d'avoir une après-midi de détente pour faire autre chose, me détendre, faire du sport.
Et ce jeudi-là, en rentrant, j'ai eu une surprise, à laquelle je ne m'attendais vraiment pas.
Devant chez moi, appuyée contre un mur, il y avait Annabelle, qui tirait sur une cigarette.
Je l'ai prise de plein fouet, comme chaque fois que je la voyais.
Annabelle, c'était quelqu'un d'unique. Chacun d'entre nous est unique, mais elle, elle l'était encore plus.
Je pouvais la décrire, mais sans doute sans totalement toucher la réalité de ce qu'elle était.
Elle avait 13 ans de plus que moi. Moi 37 ans, elle 50, et sans aucun doute, elle m'attirait cent fois plus que les filles de mon âge ou plus jeunes. Etait-ce à cause de son âge, qui représentait un aboutissement ? Sans doute que oui, mais ce n'était pas le facteur principal, loin de là. Bien de femmes de son âge n'avaient rien à offrir. Elle, elle avait tout.
La première fois où j'avais posé mon regard sur elle, j'avais tout compris. Son extraordinaire potentiel, cette sensualité qu'elle dégageait, vraiment puissante. C'était vraiment très rare.
Et pourtant, elle n'était pas d'une beauté exceptionnelle. Très grande, avec des talons, elle me dépassait. Elle avait d'ailleurs un visage plutôt masculin, même si paradoxalement, cette masculinité partielle lui donnait un charme fou. Et un corps qui massif, sans la moindre trace de graisse superflue, pourtant, irrésistiblement féminin. A force de regarder des corps de femme, de chercher à les admirer sans doute, j'avais déjà remarqué que rares étaient les corps véritablement harmonieux, dans un équilibre, et qui, en conséquence, suscitaient le désir. C'était pourtant bien son cas. Des formes voluptueuses, que, sans doute aussi plus que d'autres, elle savait mettre en valeur, par des tenues toutes sexy, mais qui restaient dans les limites du bon goût. A l'époque où je l'avais connue, elle avait une série de tailleurs, tous de la même coupe, mais de coloris différents, gris, noir, bordeaux, plus une deuxième série avec des couleurs acidulées. J'avais été particulièrement séduit par deux détails, le fait que ses jupes n'étaient pas spécialement courtes, mais fendues très haut, c'était aussi discret que sexy, parce que ça laissait voir ses jambes, avec la surprise de découvrir un bout de culotte, la partie supérieure, plus sombre d'un collant, ou la jarretière d'un bas stay-up. L'autre détail qui m'avait séduit tenait au fait qu'elle portait les vestes de ses tailleurs à même la peau, avec juste un soutien-gorge dessous. Laissant voir sa peau, et des seins pleins enveloppés dans de beaux soutien-gorge souvent colorés.
J'étais très souvent au bureau de poste. En effet, entrepreneur, j'expédiais des colis matin et soir à des clients. J'avais fondé une petite entreprise, je fabriquais des produits de beauté bio. Ca marchait plutôt bien, terllement d'ailleurs qu'il nous avait fallu à mon partenaire et à moi faire le grand saut, changer d'envergure, de locaux, embaucher des employés.
Je l'avais remarquée, bien sûr, car elle était au guichet, c'était elle qui prenait en charge la partie pro, et je la voyais régulièrement. Du sourire, de l'humour, et puis une silhouette que je n'avais pas pu ne pas remarquer. Elle était toujours accueillante, et j'avais eu le sentiment que le courant était passé entre nous. Même si je ne me faisais aucune illusion sur une possible relation. Il n'y avait rien à ses mains, mais je l'imaginais, sinon mariée, du moins en concubinage. Je me disais que, vu ses qualités, elle était forcément prise.
Il s'était passé une année avant qu'elle ne me dise, au détour d'une phrase :
--Et si vous m'offriez un café, je finis à trois heures cet après-midi. Tous les après-midis d'ailleurs, on pourra en prendre un deuxième, et un troisième.
Au final, sa proposition ne m'avait pas tellement surpris. Je la sentais bien à l'aise avec
elle-même, avec les autres, et pas gênée de faire une proposition à quelqu'un, s'il lui plaisait.
Le bureau de poste se trouvait dans une ville moyenne, assez étendue, avec plusieurs zones commerciales, et elle m'avait proposé qu'on se retrouve à la sortie sud de la ville.
Il y a des moments où on a le sentiment qu'on vient de décrocher le jackpot, et c'était bien ce que j'avais ressenti quand elle m'avait fait cette proposition. Je ne m'attendais à rien de précis, mais le simple fait de pouvoir passer un moment avec elle, c'était déjà beaucoup. Elle représentait pour moi une sorte de perfection, même si personne n'est parfait, et je n'avais pas changé d'avis depuis.
Je l'avais vue le matin même. On avait pris l'habitude ces derniers temps, mon affaire marchant de mieux en mieux, et j'envoyais de plus en plus de colis, qu'elle me fasse entrer dans un local adjacent, où elle gérait les colis, les pesait et les affranchissait, et les rajoutait sur mon compte. Je payais à la fin du mois.
--On se voit toujours cet après-midi ?, je lui avais demandé, alors qu'elle s'affairait autour des paquets posés sur une table ronde, au milieu de la pièce.
Elle m'avait souri, un de ses sourires auxquels il était difficile de résister, et, en guise de réponse, une réponse à laquelle je ne m'attendais pas, elle avait attrapé l'ourlet de sa robe, une simple robe noire, qui collait bien à son corps et la dessinait de manière précise, soulignant tout ce qui faisait ses charmes, et elle l'avait fait remonter le long de son corps. Un coup d'adrénaline pour moi.
Très lentement, elle avait remonté sa robe. On était isolés dans la pièce, et on avait quelques secondes. Il y avait deux entrées, elle venait de bloquer les deux.
J'avais bien sûr déjà aperçu et généreusement même, des parties de son corps. Mais elle ne m'avait jamais ainsi jeté sa nudité au visage, nudité que j'ai prise de plein fouet.
Si j'avais jamais pu en douter, son corps se dessinait parfaitement. Pour une femme qui approchait de la cinquantaine, c'était du moins mon estimation, elle était magnifique. Elle m'avait révélé par la suite faire énormément de sport, et manger plutôt sainement, ceci expliquait sans doute cela.
Ses jambes étaient gainées de nylon. Collant, bas ? J'ai eu la réponse lorsqu'elle est arrivée à ses cuisses pleines, et parfaitement fuselées. J'ai aperçu les jarretières noires, en dentelle, de ses bas stay-up, qui tenaient le nylon à sa cuisse. Elle a continué à faire remonter sa robe, entre fascination et suspense.
J'ai été surpris de découvrir qu'elle ne portait pas de slip, le ventre nu. Avait elle renoncé à une culotte parce qu'on se voyait, pour me séduire ? Ou lui arrivait-il de se passer de slips ? Je n'avais jamais remarqué son ventre nu avant, au contraire, j'apercevais souvent la couleur d'un slip grace à ses jupes et robes courtes et fendues.
Ca m'avait permis de constater qu'elle était vraiment blonde, et qu'elle avait choisi, contrairement à la mode ambiante, de garder sa toison. Une belle toison qui s'étalait sur son pubis, en dessus de la fente d'un sexe dont émergeaient deux lèvres aux contours différents.
Elle est montée encore plus haut. Ses seins lourds étaient eux enveloppés par un soutien-gorge rouge-vif. Elle l'a dégrafé, et l'a fait glisser, pour me présenter deux nibards généreux,ronds, qui, malgré son âge, restaient encore parfaitement fermes, marqués par des tétons qui, excitation ou fraicheur de la pièce, se sont durcis sous mes yeux.
Elle a rajusté le soutien-gorge et fait glisser la robe le long de son corps.
--C'est un avant-goût. Un teaser, on dirait au cinéma. Ca te plait ?
--Totalement, j'ai répondu.
--Tu te poses peut-être la question. Alors je vais tout te dire. A toi de voir si tu veux encore me voir après. Je vis avec un homme qui m'a beaucoup aidée après un moment de vie difficile. Il m'a donné et il me donne encore de l'argent. Je ne l'aime pas mais il m'apporte la sécurité. Surtout, il ne me baise pas, alors que j'aime le sexe. Je ne cherche pas spécialement de partenaires. Je me donne du plaisir seule, c'est bien aussi. Et puis...Il s'est passé quelque chose entre nous, alors j'ai envie qu'on passe un moment, voire plusieurs ensemble. Si ça te convient comme ça...
Qu'on se soit vus l'après-midi disait clairement que oui, ça me convenait. Le Vertigo était un grand bar sur deux étages, vide à l'heure où nous l'avions rejoint. Elle m'a entrainé vers le haut, parce qu'il y avait une vue sur les environs magnifique. J'allais me poser quand elle est venue contre moi, me faisant sentir la pression de son corps, ses seins, son ventre appuyés contre moi, sa chaleur. Sa bouche est venue chercher la mienne, et on est partis sur un baiser profond, lèvres contre lèvres, puis langue contre langue.
--Tu peux mettre tes mains sous ma robe. Ca sera bien.
Il ne fallait pas me le dire deux fois. Mes mains ont glissé sous le tissu, serré mais suffisamment souple pour me permettre d'accéder à sa chair, pour une première découverte de son corps qui m'a remué. Elle avait une peau douce et chaude, et ses formes comme ses fentes sont venues au bout de mes doigts.
--Si seulement mon compagnon pouvait faire comme toi, elle a soupiré, quand nos bouches se sont détachées. Je vais nous chercher les commandes, ici il faut y aller soi-même. J'adore le Peppermint. Ca te dit ?
--J'aime la menthe.
Je l'ai regardée s'éloigner. J'aimais le mouvement de son corps, cette manière d'onduler sans obstentation. Elle est revenue très vite avec deux verres remplis d'un liquide vert. Elle s'est recalée face à moi, et sa jambe est venue caresser la mienne.
--J'ai rêvé assez longtemps de ce moment. Tu sais que tu m'as plu tout de suite quand je t'ai vu...Le soir même je me suis caressée en pensant à toi. Si tu savais...Il me baise juste une fois par trimestre, et encore. Le sexe ne l'intéresse absolument pas. Alors que moi j'ai un besoin vital de ça. Je me suis mise à fantasmer à ce qui pouvait se passer entre nous. Une idée que je n'arrivais pas à chasser. C'est pour ça que je me suis enfin décidée...Il y a des moments où il faut agir...J'espérais que toi tu fasses quelque chose...Mais comme tu ne bougeais pas...
--Pourquoi tu restes avec lui ?
--Il est très gentil, et il a toujours été très gentil. J'aurais le sentiment de le trahir. Il m'a aidée quand j'en avais besoin.
J'ai baissé les yeux sur mon verre. Quand je les ai relevés...Elle avait disparu. Un tour de magie ? J'ai compris que non, quand j'ai senti qu'on me défaisait. Elle avait glissé sous la table.
--Tu es folle, j'ai dit, en parlant au vide.
--Il n'y a personne dans la salle, et de toute façon, s'il y avait quelqu'un, elle est dans la pénombre.
Et puis je n'ai plus rien dit, parce que j'ai senti sa langue sur moi. Ca m'a fait tout drôle, qu'elle me caresse ainsi, sans que je la voie. C'était bien la première fois que je me trouvais dans une telle situation. La première fois aussi sans doute que j'avais à faire à une fellatrice aussi experte. Je sentais sa langue tourner sur moi, vive et rapide. En elle, un mélange sans doute d'expérience et de frustration, et le résultat était explosif, annonçant des moments d'exception –ce qui a bien été le cas. Elle courait sur moi, s'arrêtant par moments, par endroits, avant de reprendre sa course. J'ai vu le moment où j'allais jouir. Elle l'a sans doute senti, car elle a interrompu sa caresse et elle est revenue à l'air libre, le bas du visage mouillé de salive et de liquide pré-sécrétif.
--Je crois que je pourrai pas attendre une prochaine fois. J'ai envie d'un sexe dans le ventre, bien dur, qui me remplisse et me caresse. Ca te dit, ou tu préfères attendre ?
--Non, ça me va.
--Viens on va aller dans les toilettes. J'ai des préservatifs. Mon Dieu, avoir une queue à disposition alors que je me suis pas faite pénétrer depuis deux mois...Les godes c'est bien mais ça remplace pas.
Je crois bien qu'on était aussi excités l'un que l'autre. Il y avait des toilettes à l'étage. On s'est efforcés de ne pas s'y précipiter. Le rythme est devenu plus rapide une fois qu'on a été à l'intérieur. Elle était en manque de sexe, Elle avait envie de moi. Moi, je me sentais moins en manque, mais j'avais envie d'elle depuis très longtemps.
Les lieux étaient vastes et impeccables. L'une des deux toilettes ferait parfaitement l'affaire.
Elle m'a poussé sur un siège, après avoir baissé le couvercle. Je m'étais couvert, fébrile, elle m'a défait à nouveau, retrouvant une érection qui n'avait pas réduit. Elle a fouillé dans son sac, en a sorti une boite de préservatifs. Pendant qu'elle attrapait l'un d'entre eux, déchirait l'emballage, j'ai relevé sa robe pour voir son sexe. Si, quand elle s'était exhibée le matin, il était au repos, ce n'était pas le cas à ce moment. Il disait bien en tout cas son excitation, largement ouvert sur un intérieur rose, avec des lèvres dilatées comme j'en avais rarement vues, longues et gonflées, un clitoris qui ne l'était pas moins, qui pointait, comme une petite bite, et des écoulements impressionnants, qui trempaient le pourtour de son sexe, et dégoulinaient à l'intérieur de ses cuisses, en un flot continu et luisant.
sJ'avais rarement vu un sexe de fille dans un tel état. Ca disait à la fois son manque et son excitation.
Pendant qu'elle déchirait l'emballage, je suis venu frotter ses lèvres de la pulpe de mon majeur et de mon index. Je les ai senties épaisses et gonflées. Elle a gémi de plaisir en se cambrant. J'ai continué de la caresser comme ça un moment, restant simplement sur ses lèvres. Le flot de mouille qui sortait d'elle était impressionnant, ma caresse le rendant encore plus abondant. On aurait presque dit qu'elle se faisait pipi dessus. C'était un liquide odorant, dont l'odeur m'a envouté.
J'ai fini par la lâcher. Elle avait envie d'autre chose, et moi aussi. Elle a légèrement étiré le préservatif, et elle l'a fait glisser le long de ma queue, jusqu'à la racine, me couvrant intégralement de latex. Elle a dégagé un peu plus le réservoir. Ma queue était parée.
Elle est venue se caler au-dessus de moi, se faisant descendre, attrapant ma queue quand ses lèvres ont été proches de mon gland pour la guider ver elle.Ironiquement, bien que guidée, ma queue a ripé, partant dans son aine. Elle l'a ramenée au centre, et cette fois, ses lèvres ont avalé le gland. Il ne lui restait plus qu'à partir sur la suite logique, et se laisser glisser pour absorber totalement ma verge. Elle s'est retrouvée assise sur moi. Son sexe totalement en elle, et je dois bien dire que j'avais rarement lu une félicité pareille sur un visage de femme. Un soulagement énorme. Comme si avoir une queue dans le ventre était pour elle une question de vie ou de mort. Et c'était peut-être le cas.
--Ah mon Dieu, j'arrive pas y croire...Une queue dans mon ventre. Par un gode, mais une vraie queue, bien chaude et bien dure. Je veux que tu me caresses longtemps.
En fait de la caresser longtemps avec, c'est elle qui a fait le travail. Utilisant ma queue comme un instrument, elle s'est faite bouger dessus, calant ses mouvements, ses rythmes. J'étais l'instrument de son plaisir, mais un instrument totalement consentant, et si je n'avais pas forcément vécu la même frustration qui était la sienne, j'éprouvais un plaisir intense, à la sentir me caresser, d'une manière aussi subtile, en me donnant un plaisir varié. J'avais rarement vu une fille avec qui j'avais fait l'amour, éprouver autant de bonheur, et surtout le manifester de manière aussi intense. Elle était toute entière dans le plaisir, cambrée, tordue sur moi, yeux clos, souffle court. Je me suis dit, et la suite l'a confirmé, qu'elle était une partenaire précieuse, non seulement parce qu'elle savait bien faire l'amour, ce qui est plutôt rare au final, qu'elle n'avait aucun tabou, je l'ai vu quelques secondes plus tard, mais surtout qu'elle était toute entière dans le moment de sexe qu'elle partageait avec quelqu'un.
Elle s'est soulevée, arrachant ma queue de son sexe dans un bruit de succion. Elle est réapparue, enveloppée de latex, et je dois bien dire que je l'avais jamais vue aussi longue ni grosse. A force d'avoir été caressée d'évidence.
Elle l'a attrapée et l'a faite glisser de quelques centimètres, pour poser mon gland contre sa muqueuse anale, dont j'ai senti les nervures. Il y avait bien des filles qui refusaient la sodomie, ce n'était pas son cas, et c'était un signe de plus, confirmé par la suite, qu'elle n'avait pas vraiment de limites, quand il s'agissait de prendre du plaisir.
Elle s'est faite descendre sur moi. La facilité avec laquelle je suis rentré en elle m'a laissé penser que ce n'était pas la première fois qu'elle se faisait sodomiser. En même temps, c'était logique. Sa quête du plaisir passait forcément par le plaisir anal, si intense...
En tout cas cela faisait longtemps qu'une fille ne m'avait pas accueilli dans la partie la plus intime qui soit, et j'ai eu du plaisir quasi immédiatement, un plaisir fort, même si c'était aussi intense pour moi d'être dans le vagin d'une fille.
Elle avait repris sa course effrenée vers le plaisir. J'avais bien compris que me faire rentrer par là, c'était pour elle basculer sur une étape supérieure, et monter jusqu'à l'orgasme. Je n'ai pas été surpris non plus de la manière dont elle s'est donnée du plaisir en plus, frottant fébrilement le gros bout de chair qu'était devenu son clitoris, épais et long. Son sexe dégoulinait copieusement de ses jus intimes, qui coulaient sur ses chairs, mais aussi sur les miennes. La voir aussi béante, voir son intérieur loin,voir aussi son deux doigts frotter son clitoris, ça m'a poussé vers une jouissance que je ne suis pas arrivée à retenir. Sentir mon sperme taper contre les parois internes de son vagin a déclenché sa jouissance. Une vraie jouissance, qui l'a secouée, tordue, faite crier, dans une absence de retenue totale.
Et depuis...Ce qui aurait pu être un one shot avait duré. Difficile de savoir comment on avait pu ainsi se prolonger je ne le savais pas moi-même. J'avais quand même deux certitudes, la première c'était qu'il y avait entre nous une entente qui avait toujours exclu la moindre crise, la seconde c'était que le sexe jouait un rôle essentiel dans notre relation, et permettait sans doute cette bonne entente.
Il y avait eu malheureusement un tournant dans notre relation un an plus tôt. On m'avait fait une offre que je ne pouvais refuser. En effet, j'avais besoin de locaux plus grands que je ne pouvais trouver sur zone. Et j'avais une possibilité intéressante à 80 kilomètres. Que j'avais fini par accepter.
Ca signifiait qu'on ne se voyait plus tous les jours, que ce soit pour les colis ou pour être amants.
Il nous restait les week-ends. L'homme avec qui elle vivait, haut responsable territorial, avait souvent des séminaires le week-end. Ca tombait bien.
Et donc, elle m'avait dit : 'Ca me manque trop qu'on se ne voie pas en semaine. Je finis tous les jours à trois heures. Ca te dirait que je vienne te voir, sur le coup de quatre heures ?'
J'avais dit oui, bien sûr.
Et elle était là, une semaine et demi après sa proposition. Avec ce charme qui n'appartenait qu'à elle, mélange de maturité et de sensualité.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Sexe avec Annabelle partie 1

Le 07/06/2023 - 22:28 par JamesB
Merci pour ces commentaires toujours chaleureux!
Le 07/06/2023 - 18:07 par OlgaT
Un bel éloge des femmes mûres, avec Annabelle la coquine!

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