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Sexe et prospectus partie 3

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Lue : 839 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/12/2020

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Ca a vraiment démarré le jeudi suivant. Je venais de poser des prospectus dans un lot de six boites à lettres quand une femme est sortie de chez elle. Elle habitait la maison juste à côté, une grande demeure ocre avec un jardin. Elle s’est avancée vers moi, me fixant. Elle avait une quarantaine d’années, et j’ai senti mon sexe se durcir. Il y avait chez elle une séduction soigneusement étudiée, travaillée, année après année, mais elle atteignait largement son but. C’était une femme plutôt grande, qui n’avait pas vraiment un joli visage,un rien trop masculin, même si sa bouche était parfaitement dessinée, charnue et pulpeuse, rehaussée par son rouge.

Son corps, lui, par contre, était parfaitement dessiné. Elle portait une simple robe noire, plutôt moulante, dans un tissu souple, mais collant, qui lui rendait hommage en mettant en valeur ses courbes.
Elle avait un corps bien découpé, avec des formes pleines, et l’ensemble était aussi harmonieux que troublant.
Elle s’est approchée, a attrapé le paquet de prospectus que je lui tendais.
—Vous avez deux minutes ?, elle m’a demandé avec un sourire enjoleur. Je vous offre le café. Je sais que vous faites un travail pénible. C’est bien de faire une pause.
Je l’ai suivie jusque chez elle. Quelques mètres à faire. Ses fesses, en liberté, ondulaient sous le tissu. Je me suis demandé si elle était nue dessous, ou si elle aurait porté un string, qui auraient libéré ses deux fesses charnues.
On a traversé un jardinet parfaitement entretenu pour glisser dans une cuisine qui l’était tout autant. Tout y était nickel.
Est=ce qu’elle m’attendait ?Sur la table, il y avait un quatre-quarts, apparemment tout chaud, il sortait certainement du four, et une cafetière. Les bonnes odeurs du café et du gâteau me sont montées aux narines, et j’ai su que j’avais bien envie d’une part de gâteau, tout autant que d’un bout de pâtisserie. Le petit déjeuner était loin, d’autant plus que j’avais l’habitude de le prendre très tôt.
—Ne me dites pas que c’est pour moi.
—J’avais l’habitude de préparer quelque chose pour Daniel. Il est parti il y a un mois. C’était lui qui faisait la distribution des prospectus avant vous. On se connaissait bien.
La manière qu’elle a eu de dire ‘On se connaissait bien’ m’a laissé pensé qu’ils étaient effectivement très proches. Se dessinaient, encore floues, les images de scènes qui se sont précisées par la suite, devenant plus nettes, plus troublantes. Dans ses charmes de femme d’âge mûr, elle était extrêmement troublante, et plus je l’ai vue et revue, plus j’ai eu conscience de ça.
—Et puis je vous ai vu la semaine dernière, après qu’il y ait eu trois semaines d’interruption, et je me suis dit que, même si Daniel me manquait beaucoup, je pouvais avoir l’occasion de connaître de nouvelles personnes, et de nouer des relations fructueuses.
C’était curieux, je me suis dit, en mordant dans la part du 4/4 qu’elle m’avait coupé et déposé dans une assiette, comme on pouvait donner un deuxième sens à ses paroles. Mais je me trompais sans doute.
En tout cas elle était très chaleureuse.
—Il est vraiment excellent ce gâteau. Et le café aussi. C’est pas du jus de chaussettes comme on en boit si souvent. Ca me donner envie de m’arrêter chaque fois que je passerai.
A son expression, j’ai eu le sentiment que cette promesse la ravissait.
—Ca me ferait…Vraiment très plaisir.
—Vous vous entendiez bien avec Daniel ?
Son regard est parti vers le passé.
—On a eu…De très très bons moments ensemble. Enfin..Il faut savoir évoluer.
En m’asseyant, j’avais décalé la chaise loin de la table, une habitude. Elle n’était pas encore assise. Elle est venue prendre une autre chaise, et s’asseoir face à moi.
Je n’étais pas expert en analyse comportementaliste, mais il me semblait qu’il y avait dans son regard un mélange de désir et d’espoir. Désir d’un corps d’homme ; et espoir que j’aille dans son sens.
Elle avait en tout cas tous les arguments pour convaincre un homme d’aller vers elle. Le tissu de la robe, très souple, collait étroitement à ses formes généreuses, il soulignant ses épaules bien dessinées, ses seins lourds…Elle n’avait certainement pas de soutien-gorge en dessous. On voyait bien qu’entre sa peau et le tissu, il n’y avait pas de barrière. Le tissu valorisait le sein, en dessinant nettement le contour, un sein allongé, plein, et dont le téton était bien marqué, que ce soit son état naturel,ou une semi-érection due à l’excitation.
Si on pouvait raisonnablement penser, sans preuve, qu’elle n’avait pas de soutien-gorge, c’était par contre sûr qu’elle ne portait pas de culotte.
Quand elle s’était assise, la robe avait naturellement remonté. J’avais même eu le sentiment, en l’observant du coin de l’œil, pendant que je me recoupais une part de gâteau, qu’elle l’avait un peu aidée, et, comme elle avait les jambes ouvertes, je voyais nettement son sexe. Le bord de la robe s’était calée sur une ligne juste au dessus.
Son sexe, c’était une nette protubérance, entourée de poils, elle avait fait le choix de ne pas se raser, poils dont certains venaient passer, entremêlés, devant sa fente. Ses lèvres sortaient généreusement de son sexe, plutôt longues et épaisses, mais aussi semblant en pleine évolution, la marque, sans nul doute, de son excitation. Tout comme le fait que ses chairs, la proéminence de son sexe, ses lèvres, jusqu’à ses aines, étaient luisantes d’une pellicule qui sourdait d’elle.
Voir un sexe de fille, qu’il l’admette ou pas, il n’y a rien de plus excitant pour un homme et j’ai senti le feu courir dans mes veines, en même temps que ma queue se gorgeait de sang. Pour donner envie de soi à un homme, il faut sans doute faire simple et efficace. Elle y parvenait sans mal. Elle a d’ailleurs certainement bien lu en moi mon évolution.
Au cas où je n’aurais pas vraiment bien compris les choses, elle a précisé sa position :
—J’ai besoin des caresses et de la queue d’un homme. Mon mari gagne beaucoup d’argent, mais je ne l’intéresse plus beaucoup. Je pensais qu’il avait une maitresse. Même pas. Il se partage entre son boulot et le golf. S’il me baise une fois tous les deux mois, c’est le grand maximum. J’ai besoin de sexe pour me sentir bien dans ma peau. Ton collègue, elle a ajouté, en passant au tutoiement, me comblait parfaitement sur ce plan là.
On est passé aux choses sérieuses quand elle a attrapé ma main, qui venait juste de poser la tasse de café, et qu’elle l’a amenée sur elle, ou plutôt sur son sexe. Elle m’a guidé, sur le relief de sa vulve, sans pousser plus loin, pour me faire percevoir son dessin, et en même temps se donner un minimum de plaisir. Au bout de mes doigts, j’ai perçu toute la variété de son intimité. J’ai senti ses lèvres contre la pulpe de mes doigts, leur longueur, leur épaisseur, leur dessin irrégulier, mais aussi, plus haut, la bosse de son clitoris sous son capuchon, et l’humidité qui coulait d’elle, et que le simple contact de ma main semblait avoir rendue plus abondante.
Dans un mouvement qui supposait une réciprocité, elle a tendu la main vers moi, et elle m’a massé doucement à travers mon pantalon. Sa main était douce, chaude, et habile, et sa caresse m’a fait un effet fou, transformant ma semi-érection en une véritable érection, qu’elle a arraché de mon pantalon à mon soulagement.
—Tu as vraiment une belle queue, elle a soupiré. Je suis sûre qu’on peut faire plein de choses avec.
Daniel était déjà oublié. Une queue chassait l’autre. Elle m’a masturbé avec cette même efficacité dont elle a fait preuve dans les mois qui ont suivi,. Beaucoup de savoir-faire, et d’imagination. Ca a d’ailleurs été curieux, car toutes les femmes qui sont venues vers moi, et ont cherché à me séduire, réussissant sans grande difficulté, ont eu ça en commun. Des MILFS comme on dit, la quarantaine, la cinquantaine, souvent délaissées par l’homme dont elles partageaient la vie, ou seules, qui avaient le besoin pressant, obsédant d’un homme, avec une grande expérience, proposant non seulement leurs charmes,bien réels,qu’elles savaient mettre en valeur mais également ce que d’autres filles plus jeunes ne pouvaient pas donner. Le sexe dans toute son originalité, son habileté. Ce à quoi, même dans ses fantasmes les plus originaux, on n’avait pas pensé.
Elle m’a finalement lâché. Mais ça ne signifiait pas qu’on en restait là.
—Tu as bien quelques minutes à me consacrer ?
—Je suis en avance sur la tournée. Maintenant que j’ai mes repères, je vais de plus en plus vite.
—C’est bien, comme ça tu pourras me consacrer un moment, chaque fois que tu passeras.
Elle est revenue avec une boite de préservatifs. J’ai eu envie de lui demander si elle l’avait entamée avec Daniel, mais elle n’aurait sans doute pas apprécié mon ironie. Elle a sorti une préservatif emballé de la boite, et est revenue se caler face à moi.
—Je vais te faire quelque chose qu’aucune fille ne t’a certainement fait avant.
Dit, pensé, ou sous-entendu, ça a sans doute été la phrase clef, celle qui définissait au mieux mes relations avec toutes ces MILFs. Elles étaient capables ; à force d’imagination, une imagination aiguillonnée par la frustration, de me proposer ce que d’autres filles ne m’avaient jamais fait avant, et n’avaient même jamais pensé me faire. A l’âge que j’avais, et alors que, sans être blasé, je croyais avoir tout vu, je découvrais des pratiques sexuelles excitantes, comme je n’en avais jamais imaginé.
Au lieu de prendre la capote dans ma main, et de la faire descendre le long de ma queue, elle est partie sur quelque chose de tout à fait différent. Elle a posé la capote contre ses dents de devant. Je me suis demandé où elle voulait en venir. Je l’ai compris quand elle s’est penchée sur moi, et, dans un mouvement d’une telle fluidité que je n’ai rien senti, elle est descendue sur ma queue, puis remontée. Hop, un mouvement fluide, mais qui lui avait permis de me couvrir de la capote. Et celle-ci était parfaitement bien posée, descendue jusqu’à la racine de ma queue. Il n’y avait que le réservoir qui n’était pas bien dégagé, mais ça, elle ne pouvait pas le faire avec les dents, au risque de déchirer le préservatif. Un petit pincement des doigts et ça y était.
—Tu as vu comme je me débrouille bien ?
J’ai cru qu’elle allait rajouter ‘Comme avec Daniel !’ mais à ce moment précis, c’était déjà de l’histoire ancienne. Ce qui comptait c’était ma queue.
Elle s’est penchée sur moi et sa langue, une langue habile, a glissé le long du latex pour me caresser. Malgré la capote, je sentais vraiment tout et c’était vraiment très bon. Ca l’a été encore plus quand elle est venue tourner sur mes couilles. J’ai cru que j’allais jouir. Aucune fille ne m’avait fait ça avant, et je n’avais jamais imaginé que c’était une zone aussi sensible.
Quand elle a fini par me lâcher, ma queue avait gonflé d’un tiers à la fois plus longue, et plus épaisse. Je ne l’avais jamais vue comme ça. Décidément, j’avais bien fait d’accepter de prendre le café chez elle. Elle a plongé deux doigts dans son sexe, et elle s’est ouverte, autant qu’elle le pouvait, pour me donner à voir son intérieur rose et luisant.
—J’ai envie que tu viennes là-dedans.
Elle est venue se positionner au-dessus de moi, une main sur mon épaule, attrapant de l’autre ma queue en pleine érection pour la guider vers son sexe. Ma bite a glissé le long de ses lèvres, partant vers le haut. Elle était pourtant bien ouverte. Elle m’a ramené vers sa fente, et cette fois ma queue est rentrée de quelques centimètres. Elle s’est laissée descendre, en a avalé quelques centimètres. On regardait tous les deux, fascinés par cette pénétration. Elle a fait morceau par morceau, jusqu’à m’avaler totalement, en venant se poser sur moi. Son visage face au mien, il y avait une expression dé félicité sur ses traits, comme si prendre un sexe dans son ventre était ce qui lui procurait le plus de bonheur, et c’était certainement le cas. J’aurais d’ailleurs été mal placé pour la condamner, parce que la sensation de son sexe autour de ma queue, chaud et doux, me procurait énormément de plaisir. C’était une pause bienvenue dans mes pérégrinations matinales. Et le plaisir a été encore plus fort quand, s’appuyant sur les bords de la chaise, elle s’est mise à se faire monter et descendre dessus, me frottant de ses muqueuses.Mais l’inverse était aussi vrai, et la caresse de ma queue contre ses parois internes semblait la combler totalement. Cambrée, elle m’a laissé l’attraper par les hanches, et prolonger son mouvement, pendant qu’elle faisait remonter la robe le long de son corps. Ses seins ont jailli à l’air libre, charnus et fermes, dodelinant sous mes yeux.
—Prends mes tétons entre les lèvres et passe la langue dessus. Ca me donne énormément de plaisir.
Elle s’est penchée en avant pour m’offrir sa poitrine. J’ai posé ma bouche dessus, et je les ai enveloppés de la langue. J’ai été un peu surpris de constater qu’effectivement, ses tétons s’épaississaient, mais aussi qu’elle gémissait, et qu’elle coulait avec nettement plus d’abondance, comme si ç’avait été là la source de son plaisir. J’ai été d’un téton à l’autre, tout en continuant de la faire aller et venir sur ma queue. Elle a joui en retenant ses cris, ce qui valait mieux, vu que la fenêtre était ouverte, avant que je n’explose en elle, crachant des jets de sperme à n’en pas finir.
Après on s’est nettoyés, rajustés. Elle semblait comblée par ce moment.
—Je t’attends après-demain ? Le mercredi matin, je travaille.
Je me suis éclipsé avec une dernier regard à sa silhouette. Elle avait redescendu la robe, pour masquer ses charmes, ou peut-être la mettre en valeur. Elle m’a souri, et j’ai gardé cette image en m’éloignant.
Tous ces moments, avec ces femmes aussi attirantes qu’imaginatives ont donné de la légèreté à ce travail que je faisais certes avec plaisir, mais qui était fatigant, surtout quand on redémarrait sur une deuxième journée de travail après.
Mais j’ai découvert aussi d’autres plaisirs, très différents.
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Histoire de JamesB

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