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Sexe pour un ramasseur de fraises partie 2

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Lue : 656 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/08/2020

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Le lendemain, on a démarré aux aurores, en commençant par un solide petit déjeuner dans la bonne humeur. Marie-Adélaide m’a dit, alors qu’on débarrassait ensemble:
—Avec la crise, on a perdu pas mal de débouchés…Heureusement, plusieurs supermarchés locaux ont décidé de nous faire travailler. J’ai la chance d’avoir un réseau. Ils nous prenaient déjà des fraises avant, mais là la commande a été triplée. Tu m’accompagneras, j’ai besoin un coup de main.
On s’est mis au travail. J’avais bien le rythme à présent, capable de travailler avec le maximum d’efficacité sans me fatiguer.
Sur le coup de dix heures, elle s’est approchée de moi et elle m’a dit:
—Bon, il est temps d’y aller.
J’ai senti ma queue se durcir. Elle était extrêmement désirable, avec son jean très collant qui mettait en valeur ses charmes et sa chemise ouverte pour laisser voir une poitrine généreuse, enveloppée dans un soutien-gorge de velours noir. Elle avait un corps opulent et désirable. Mais ce qui la rendait plus désirable encore, c’était ce qu’il y avait dans son regard. On la sentait capable de donner à un homme ce qu’il n’avait jamais même imaginé qu’une femme puisse lui donner.
On a chargé ensemble une fourgonnette.
—On va au supermarché I… C’est là que j’écoule le plus gros de ma production… Je connais bien le patron, elle a ajouté en montant au volant.
J’ai eu l’impression bizarre que ce ‘je connais bien le patron’ avait un sens étendu. Mais je n’y ai plus pensé, laissant mon regard glisser sur le paysage. Je découvrais un biotope typique du Sud-Est, aride, avec une végétation drue et des arbres qui supportaient la sécheresse. Il y avait quelque chose d’enchanteur dans de tels paysages. Et quelque chose d’enchanteur aussi à la regarder. Son jean collait à ses cuisses, et dessinait d’une manière quasi obscène sa vulve, son renflement et la fente qui la coupait en deux.
—Tu aimerais me baiser?
Je l’ai regardée, très surpris. Elle était là, à me parler de son exploitation, et ça basculait sur autre chose. Je me suis dit que j’avais mal entendu. Pourtant, j’ai eu confirmation quand elle m’a dit:
—Tu sais je suis en manque de sexe depuis que mon connard de mari est parti avec une plus jeune. Niveau homme à la maison…Tu vas me dire qu’il y a Rénato, mais il a d’autres chats à fouetter… Bref, si ça te dit… Pas aujourd’hui, mais maintenant… Ma fille t’a rendu visite cette nuit, non?
Je me suis senti rougir. Rien ne lui échappait.
—Elle était avec Giulia, non? Elles sont inséparables.
—Je ne dors pas bien, alors j’entends tout. Si je me faisais mettre en début de soirée, je dormirais mieux. Si tu as envie de passer après le dîner… Ou même plus tôt, enfin quand tu veux…Tu repères quand je suis seule et tu me rejoins…
Au moins, c’était une offre sans ambiguité.
Elle a ralenti et on s’est engagés sur le terrain du supermarché. Elle a contourné la grand bâtisse, et est venue se garer derrière. L’accès pour les fournisseurs, j’imaginais, deux portes métalliques closes. Un escalier en fer permettait d’accéder à des bureaux installés à l’étage.
—Attends-moi, je reviens.
Je l’ai regardée monter l’escalier, dans un balancement de hanches. depuis qu’elle m’avait fait cette proposition, si directe, j’avais une semi-érection qui se transformait en érection tout court. Des images crues se dessinaient dans mon esprit, qui, sans doute disparaitraient quand on passerait véritablement à l’acte.
Ce n’est pas ce que j’ai vu par la baie vitrée qui m’a incité à penser à autre chose. Elle est arrivée, et le type derrière le bureau s’est levé. Il semblait ravi de la voir. Un type dans la cinquantaine, grand et musclé, qui devait faire pas mal de sport, souriant. J’ai pourtant compris que leurs relations n’étaient pas uniquement des relations de travail, vu qu’ils se sont embrassés, leurs bouches se joignant, avec une ardeur qui m’a un rien surpris. Au final, elle n’avait pas forcément besoin de moi. Ou alors un seul homme ne lui suffisait pas.
Quand ils se sont détachés, il a marché vers un coin de la pièce où il avait installé un mini-bar. Il s’est retourné pour lui proposer certainement quelque chose à boire. Il a amené deux tasses, avec sans doute du café dedans. Ils ont bu leur café en discutant, ensuite, ça a été très vite. Elle a défait la ceinture puis le bouton qui tenait son jean à sa taille, et elle l’a tiré vers le bas… Dessous, elle avait un slip noir, assorti qu’elle n’a pas baissé tout de suite, allant chercher la queue du type dans son pantalon. Comment expliquer leur liaison? Une attirance mutuelle, un moyen de faire du commerce, de nouer un contrat? Il avait en tout cas une belle verge, qu’elle a fait durcir à force de caresses. Elle a tiré de la poche arrière de son jean un préservatif dont elle a gainé le membre dilaté. Elle a fini par baisser son slip, dévoilant un sexe ouvert, totalement rasé. Elle s’est pliée en deux, s’appuyant sur le bureau. Il s’est approché d’elle et l’a pénétrée.
Si près de la baie, n’importe qui pouvait voir. Ils avaient un côté exhib? J’avais surtout l’impression que c’était elle qui avait envie que je voie, pour m’exciter et m’inciter à lui faire la même chose. Et c’était vrai que la voir se faire prendre ainsi me donner réellement envie d’avoir un rapport sexuel avec elle, qui ne prendrait pas forcément cette forme, d’ailleurs. L’homme l’a besognée, totalement absorbé dans leur rapport, même si au final, ça n’a pas duré très longtemps, parce qu’ils avaient conscience qu’ils ne pouvaient pas s’éterniser. Il a sorti sa queue, qui s’était dilatée au contact de sa muqueuse, et il a ôté le préservatif qui l’enveloppait pour arroser sa croupe de jets de sperme copieux.
Il s’est rengainé, pendant qu’elle attrapait des kleenex dans une boite posée sur la table pour s’essuyer. Elle s’est rajustée elle aussi, puis elle m’a rejoint. Le type était sur ses talons.
—Je te présente Simon, il est là pour nous aider, et on a bien besoin d’aide en ce moment.
A trois, on a déchargé les fraises pour les amener dans les réserves.
—On va en mettre une partie en vente tout de suite. Les clients en sont très friands. Tu m’en ramènes dans deux jours?
On est rentrés à la ferme.
—Le spectacle t’a plu? Tu peux avoir la même chose, ou autre chose, selon tes désirs, si tu le veux. Je vois que tout cela ne te laisse pas indifférent? Si tu veux je te caresse, ce sera un acompte, avant qu’on rentre.
Elle a lu dans mon regard que j’en avais envie. On a trouvé un parking sur le côté, un peu plus loin. Comme elle l’avait fait pour le patron du supermarché, elle a défait mon pantalon. Ce que je n’avais pas perçu, quand je la regardais derrière la baie vitrée, je le voyais maintenant. Une extraordinaire habileté, aussi bien pour me défaire, pour extraire ma queue de mon caleçon que pour me masturber.
—Tu veux que je fasse lentement, ou vite?
—Comme tu le sens… Je te laisse maîtresse du jeu…
—Dans ce cas…
J’étais déjà semi dur, et mon érection se développait très vite, tellement j’étais troublé par la situation, mais aussi par elle. Il y avait en elle un mélange de sensualité et d’habileté redoutables.
Elle a commencé sa caresse en esquissant un mouvement très lent, qu’elle s’efforçait de faire durer aussi longtemps que possible. Je ne m’étais jamais masturbé, et aucune fille ne m’avait caressé comme ça… C’était nouveau et terriblement excitant. Tellement excitant qu’au bout de la troisième fois, j’ai lâché un long trait de sperme qui a atterri sur sa main, sans pour autant débander. Elle a eu un petit rire, a léché sa main pour avaler le trait de sperme, avant de continuer à me masturber. Elle a, très habilement, modifié petit à petit son rythme, accélérant un peu, puis allant beaucoup plus vite. La jouissance est montée en moi, une jouissance qui a explosé dans ma chair, vraiment intense. Jamais en me masturbant, ou en me faisant masturber, je n’avais joui de manière aussi intense. Je n’en finissais pas de me vider, crachant du sperme comme si elle avait su aller puiser dans des réserves secrètes. Assez ironiquement, j’ai englué sa main, sans que beaucoup de sperme parte ailleurs. Elle a eu un petit rire, en venant, une fois que ma queue a cessé de cracher, la lécher soigneusement, pour avaler tout le sperme.
Pourtant, ce soir-là, il ne s’est rien passé entre nous. En effet, en début d’après-midi, elle a eu un appel. On venait de faire une pause, pour boire. On était fin mars, seulement, mais il commençait à faire chaud. Elle a eu un appel sur son portable. Un sourire a éclairé son visage. C’était la première fois que je la voyais vraiment sourire. Il y a eu quelques paroles échangées, qui ne nous ont en rien éclairé. la conversation s’est terminée, et elle s’est tournée vers nous.
—On a un coup de bol extraordinaire. J’ai eu le directeur régional des centres L… Il est prêt à nous prendre tout ce qu’on peut lui livrer. Son producteur habituel vient de le lâcher. On doit amener demain matin à 5 heures, à la plate-forme qui couvre toute la Région. (Elle a regardé sa montre) Il va falloir se pousser au maximum.
Ca a été un moment exceptionnel. On a donné le maximum jusqu’à onze heures du soir, poussés par la nécessité, avec cette énergie dans laquelle on puise quand on est au-delà de ses forces. On a chargé le camion entre 11 heures et minuit. Dans le couloir, alors que je partais me coucher, épuisé, Marie-Adélaide m’a dit:
—Mets le réveil pour 4 heures 30. Tu vas m’accompagner.
Je suis tombé sur le lit, et comme sans doute tout le monde, je me suis endormi. Cette nuit là, il n’y a pas eu de rêves érotiques, pas de visites, non plus.
Quand le réveil a sonné, je me suis glissé sous la douche; J’ai eu du mal à me réveiller, mais dans la cuisine, du café m’attendait, avec du pain grillé que Marie-Adélaide était entrain de toaster.
J’ai senti ma queue se durcir en la regardant. Elle que je n’avais vu jusqu’alors qu’en jean et chemise avait un nouveau look. Nettement plus séducteur. Ma queue, qui n’avait pas encore fait des siennes en ce début de matinée, s’est gorgée de sang et est venue tendre mon pantalon.
Elle s’est approchée avec l’assiette de pain grillé et a rajouté le beurre sur la table.
—Mange, tu vas avoir besoin d’énergie… Il va falloir tout décharger.
Elle s’est versée de nouveau du café puis a reculé sa chaise pour me laisser la mater.
—Je te plais comme ça?
Je la trouvais déjà attirante en temps habituel. Là, elle était… Vraiment très désirable. Elle avait passé une robe noire très courte et très moulante, qui collait à ses formes, tendue par ses seins et ses hanches. Quand elle était debout, la robe s’arrêtait juste sous ses fesses. Ainsi assise, elle s’accrochait à ses hanches et laissait son ventre à nu. Dessous, elle avait mis des bas stay-up noirs qui tenaient à mi-cuisses, accrochés par une épaisse bande élastique faite de dentelle. et un slip blanc qui devait faire cinq tailles de moins que ce qu’elle aurait du porter, et qui marquait d’une manière aussi troublante qu’obscène le relief de son mont de Vénus, on aurait dit qu’il allait faire éclater le tissu, mais aussi la fente qui ouvrait celui-ci en deux, et qui se dessinait nettement. C’était, à bien y réfléchir, plus excitant que si elle avait eu le sexe nu, ça le mettait en valeur. Elle s’était maquillée, ce qui rehaussait son visage, et soulignait une beauté moins marquée au quotidien. La touche érotique, c’étaient des cuissardes couleur fauve, étincelantes d’avoir été cirées qui prenaient sa jambe jusqu’au-delà du genou.
—Je te plais comme ça?
—Tu es très belle.
—C’est la première fois que je rencontre le président régional des centres E… J’ai envie de lui faire bonne impression. J’ai encore pas mal de fraises à écouler, et aussi des asperges après. Tu sais, tous les hommes fonctionnent pareil… Sauf ceux qui préfèrent les hommes… Quoi que…
Je me suis demandé à qui ou plutôt à quoi elle faisait allusion. A Rénato? J’ai eu le sentiment qu’elle parlait de quelque chose de concret.
Elle a descendu sa main entre ses cuisses, et elle est venue écarter le slip, pour le ficher dans son aine, mettant son sexe à nu. Je me suis posé la question de savoir si je préférais le voir mis en relief par le tissu du slip, ou nu, mais il y a eu une évolution radicale, qui a remis en cause cette réflexion. Son sexe n’était pas clos, il était légèrement entrouvert, ses lèvres sorties. Elle a plongé ses deux index en elle, et elle s’est ouverte, s’écartant autant qu’elle le pouvait, pour me présenter son intérieur. J’ai vu ses muqueuses roses, les parois de son sexe, la marque de son urètre, jusqu’au renflement de son utérus, au fond. Du jus s’est mis à couler d’elle, d’excitation, qui a fait briller ses muqueuses.
—Quand on aura fait la livraison, je veux qu’on fête ça. Je veux que tu mettes ta queue dans ma chatte. On s’arrêtera sur un parking et tu la mettras dedans. J’ai besoin de ça… Je suis une nymphomane, si tu veux, mais il me faut ma dose de queue. C’est comme une drogue. Je suis en manque en ce moment. Je veux la sentir glisser en moi centimètre par centimètre, me remplir, je veux que ta queue me caresse à l’intérieur, et après, je veux sentir ton sperme sortir en moi, gicler et venir taper contre les parois internes de mon sexe. C’est comme ça que je jouis, et que je jouis bien. Mais tu mettras une capote. J’ai pas envie d’être enceinte. Mon programme te plait?
Difficile de dire non à une proposition pareille. Elle m’a bien laissé le temps de la regarder, que cette image m’imprègne et reste en moi, avant d’enlever ses deux doigts d’elle, et de ramener le slip devant, comme un rideau. Puis elle a tendu la main, m’offrant ses deux doigts, qui, en quelques secondes avaient largement eu le temps de se couvrir d’un liquide gras. Je les ai pris dans ma bouche et son goût, amer et fort, m’a envahi. J’ai sucé ses doigts, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus la moindre goutte de sécrétions vaginales dessus. Son goût est resté en moi tout le temps du trajet, ainsi que cette image.
On est partis alors que le jour se levait, l’ombre laissant peu à peu sa place à la lumière. On a été silencieux tout le long du trajet.
la plate-forme était en pleine activité. Un ballet incessant de camions et de camionnettes qui venaient charger, pour emmener des marchandises vers les magasins de la marque. Elle s’est garée, puis on est partis vers les bureaux, à gauche de l’entrepôt.
Une jeune femme rousse, moulée dans un jean serré nous a souri et a indiqué un grand bureau, au fond d’un couloir. On s’est engagés dans le couloir, pour arriver à une pièce encombrée. un homme d’une quarantaine d’années, plutôt mince, avec le crâne rasé et une épaisse moustache nous a souri et fait signe d’entrer.
—Les fraises? , il a demandé avant même qu’on ait prononcé le moindre mot. Je vous reconnais madame, j’ai vu des photos de vous dans la presse locale.
Son regard disait clairement qu’il était un homme à femmes, et qu’elle lui plaisait. Et ça a été encore plus vrai quand elle a été assise devant lui, et qu’elle a négligemment offert ses jambes, les croisant, les écartant. Clairement, il aurait bien pris de passer un moment avec elle qui aurait été consacré au sexe.
La discussion a pourtant été très professionnelle. Et en tout cas riche de bonnes nouvelles pour Marie-Adélaide. Il lui prenait tout ce qu’elle pouvait lui vendre. Avec la crise, les gens voulaient du local, et, de toute façon les filières classiques étaient pour le moment brisées.
Quand on est ressortis, il faisait jour, et elle était radieuse.
—Bonne nouvelle, non? Tu vois, tu m’as porté chance.
Le camion avait déjà été vidé par les équipes. J’ai pensé qu’à cet instant, j’étais vraiment très loin de chez moi. Un autre monde. Dans lequel je me plaisais.
On est repartis. Au bout de cinq minutes, elle a tourné sur une départementale plus étroite.
—Heureusement que je connais toutes les routes et tous les chemins par ici.
On a traversé un village, avant qu’elle ne s’engage sur une route qui se dessinait en courbes. Dans l’une d’entre elles, un chemin forestier se dessinait. Elle a avancé un peu, et elle s’est tournée vers moi.
—Viens, on va fêter ça.
Ca s’est enchainé très rapidement. Elle avait envie de sexe, et moi j’avais envie d’elle. J’ai posé mes mains sur elle le premier, venant au niveau de ses chevilles, et remontant le long des cuissardes. J’avais envie d’avoir au bout de mes doigts la sensation du cuir, lisse et cependant moins froid que je ne l’aurais imaginé. Quand elle s’est installée dans le camion, la robe s’était retroussée sur ses hanches. Tournée aux trois-quarts vers moi, elle s’est mise à se caresser à travers sa culotte, dont le tissu a été très rapidement piqueté de tâches d’humidité, qui se sont rejointes pour en former une plus grande.
A la sensation du cuir, en a succédé une autre, celle du nylon de ses bas. J’étais vraiment très dur, plein de désir. Je me suis libéré, parce que mon pantalon me serrait. Elle a eu un petit soupir gourmand quand j’ai mis ma queue à l’air libre.
—Hmmm… C’est exactement ce qu’il me faut. Une bonne queue, bien longue et bien dure. Ca sera une belle récompense après ces efforts…
C’est vraiment excitant de voir une fille se caresser et ça me faisait de l’effet. La mère, la fille, chacune avait ses armes… Elle a fini par écarter son slip. Son sexe était largement dilaté, laissait voir de manière beaucoup plus évidente son intérieur, et ses lèvres s’épanouissaient, gonflant et s’allongeant sous mes yeux de manière spectaculaire. Ma main est arrivée sur la chair nue, le haut de ses cuisses, son aine, puis le relief de son sexe. Mes doigts se sont trempés de ses jus.
—Viens, maintenant.
Elle a récupéré un préservatif dans son sac à main, qu’elle avait posé sur le tableau de bord, et elle m’en a gainé d’un geste habile. Je me suis penché sur elle, me demandant si on allait y arriver. Mais quand on veut vraiment… Mon gland s’est approché de ses lèvres, et j’ai commencé à rentrer en elle. On regardait, tous les deux, mon sexe s’enfoncer, centimètre après centimètre, comme si ç’avait été la chose la plus importante au monde. Pour nous, ça l’était. Je suis arrivé, en m’approchant d’elle, à mettre quasiment toute ma queue en elle. Elle avait vraiment une expression radieuse sur le visage, je ne l’avais pas encore vue comme cela. Le bonheur peut être une chose simple. Mais c’était bien pour moi aussi. Je sentais la chaleur extrême de sa vulve autour de moi, et l’écoulement de ses sécrétions qui arrosaient nos chairs. Je me suis mis à bouger en elle, faisant rentrer et sortir ma queue autant que je le pouvais.
—Ah, tu me fais du bien!
Elle a amené ses doigts sur la zone où se dissimulait son clitoris, et elle s’est mise à se caresser, frottant sur la chair qui couvrait son clitoris jusqu’à ce que celui-ci , se gorgeant de sang, s’allongeant et s’épaississant, se décapuchonne et jaillisse à l’air libre. Elle a continué de se frotter, pendant que j’allais et que je venais dans la muqueuse qu’elle m’avait offert. C’était ce qu’il y avait de plus simple, sans doute, mais c’était vraiment très bon. Je sentais son sexe s’ouvrir plus, et ses jus couler avec plus d’abondance, trempant la serviette qu’elle avait mise sous son siège en partant, je comprenais maintenant pourquoi.
—Je crois que je vais…
Elle n’a jamais fini sa phrase, son corps agité de soubresauts, puis se tendant, alors qu’elle crachait plusieurs jets de liquide qui ont arrosé les alentours. Elle a joui plusieurs fois, je l’ai bien compris, jusqu’à retomber sur le siège, vidée de son énergie et sans doute aussi, pour un moment, de ses liquides intimes.
Mais moi, je n’avais pas encore joui. Reprenant ses esprits, elle l’a évidemment remarqué. Elle a eu un sourire, celui qui voulait dire ‘J’ai encore pas mal de tours dans mon sac.’
Je n’ai pas compris sur le champ. J’ai senti quelque chose contre ma queue. J’ai repensé à la main d’Amélie autour de ma queue, dans l’anus de Giulia, mais ça n’était pas ça. Elle a répété son action, et j’ai compris qu’elle comprimait ma queue avec ses muscles vaginaux. Aucune femme ne m’avait jamais fait ça, et ne me ferait sans doute ça… C’était terriblement troublant, une caresse intime et exquise, et ma jouissance qui ne venait pas, a explosé en moi, me faisant libérer des traits de sperme dans le préservatif. J’ai crié, en me vidant comme si cela ne devait jamais finir, et sentir mon sperme taper contre ses parois internes l’a faite jouir à nouveau.
La journée commençait vraiment bien.
Petit à petit, je m’installais dans cette nouvelle vie, si différente de celle que je menais avant, au point d’en arriver à me demander si je ne devais pas m’installer ici. J’appelais ma chérie tous les jours, en m’efforçant de donner le change, mais je me sentais vraiment loin d’elle. D’autant qu’on m’a fait des propositions très concrètes. Tout le monde m’a proposé de rester, en utilisant des arguments très divers, tous, je le comprenais bien, supposés me convaincre. Et qui d’ailleurs touchaient leur cible.
Marie Adélaide: ‘Tu es un travailleur exceptionnel. Dur à la tache, rapide, efficace. Pourquoi tu ne viens pas t’installer ici? Tu aurais du travail toute l’année. Et un salaire fixe, avec éventuellement des primes. Et puis on pourrait passer pas mal de bons moments ensemble.
Giulia: Tu me fouilles bien le cul. J’aimerais que tu restes.
Amélie: Tu as beaucoup d’imagination. Nous aussi. On pourrait avoir de très bons moments ensemble. Il faut que tu restes.
Renato: On a besoin de toi. On n’a personne pour travailler, et à mon avis, la situation ne va pas changer de sitôt.
J’étais bien intégré, choyé, et j’avais appris à apprécier un travail qu’au départ, j’avais trouvé plutôt ingrat.
Et puis il y avait le sexe bien sûr.
Giulia et Amélie me rejoignaient quasiment toutes les nuits. Je dormais, et elles venaient me réveiller.

C’est la deuxième semaine qu’on a vraiment profité des tétons de Giulia. Elles sont arrivées dans ma chambre, et je suis sorti de mon sommeil. C’était drôle parce que leur venue était toujours précédé par un rêve érotique qui les mettait en scène, mais pas forcément dans une situation qui prenait forme dans les minutes qui suivaient.
—Je vais te montrer tout ce qu’on peut faire avec les tétons de Giulia. Déjà, tu vas voir comment ils peuvent se métamorphoser…
On avait évolué, connaissant mieux le corps de l’autre, l’ayant apprivoisé. Sans tout savoir, pourtant. Giulia était sur le lit, entre nous deux, avec juste un string sur elle, Amélie avait une nuisette, et moi rien. Amélie et moi, on a pris chacun un téton et on s’est mis à le travailler, de la langue et de la bouche. Si, en les tripotant elle était arrivé à les faire durcir, le même phénomène se produisait quand on jouait avec buccalement. Ca m’a fait un drôle d’effet de les sentir s’allonger au bout de ma langue et dans ma bouche. Ma première impression n’était pas erronée. le téton s’est allongé de manière imposante, mais épaissi aussi. J’ai pensé que certains micro-pénis n’avaient pas autant de volume.
On les a travaillés longtemps, autant parce que cela nous excitait de jouer avec, de les sentir se dilater, d’ailleurs Amélie me masturbait, et moi j’avais les doigts sur le pourtour de son sexe, que parce qu’on voulait voir ce qu’on pouvait en faire. Quand on les a lâchés, ils étaient vraiment impressionnants. Une arme de destruction massive, comme a dit Amélie.
J’en ai eu la preuve dans les minutes qui ont suivi. Elle s’est penchée sur moi, et, tenant son sein dans sa main, elle est venue balader son téton sur moi. C’était clair qu’elle avait l’habitude de se servir de son sein pour caresser… Et même plus, je l’ai vu dans les minutes qui ont suivi.
Elle s’est baladée le long de ma queue, elle est venue sur mes couilles, pour une caresse inédite et délicate, qui me mettait dans tous mes états. Je devais me retenir de ne pas jouir. Et puis je n’ai plus pu me retenir, et des traits de sperme sont partis sur ses seins. Sans que je débande pour autant. C’était curieux, depuis que j’étais ici, ma sexualité fonctionnait autrement. Métamorphosée et renforcée.
C’est quand Amélie a glissé à quatre pattes sur le lit que j’ai compris comment elle pouvait utiliser son téton avec sa copine. Il était suffisamment long et épais pour permettre une pénétration, sans aucun doute, et elle est venue sur les lèvres de sa copine pour la caresser, comme elle l’aurait fait des doigts ou de la langue. Ce n’était sans doute pas la première fois, ça ne serait pas la dernière. En tout cas, ce devait être une caresse efficace, parce qu’elle s’est mise à gémir, son sexe s’est dilaté, et du liquide s’est mis à couler, tâchant les draps, à une vitesse surprenante. Giulia la caressait sans relâcher la pression, et Amélie perdait le contrôle. Elle tendait son cul vers elle, la tête et les épaules appuyées sur le lit.
—C’est trop bon… Continue…
Elle a délaissé le sexe, dans lequel j’étais convaincu qu’elle allait rentrer, pour s’attaquer à sa zone anale, totalement offerte. Elle est remontée en appuyant sur sa chair, dans le sillon, avant de venir travailler la muqueuse, suivant les plissements anaux l’un après l’autre. Alicia gémissait, et j’ai pensé à sa mère, insomniaque, qui entendait tout…On n’avait pas eu de rapport depuis le moment dans le camion. Elle ne m’avait d’ailleurs pas relancé. J’attendais le bon moment. J’étais de toute façon convaincu qu’elle voyait des hommes, en dehors du domaine.
Elle est redescendue sur son sexe, et elle a poussé son sein en avant. Le téton et le bout du sein sont rentrés en elle. Je pensais qu’elle allait exercer un mouvement de va-et-vient, mais ça n’a pas été le cas. Elle est partie pour une caresse plus subtile mais que je n’ai pas comprise immédiatement, venant peser de son téton sur les parois internes du vagin de sa camarade pour les caresser. Ce devait être vraiment bon, car son amie criait à présent avec un manque de discrétion total. Cris qui se sont poursuivis quand elle a dégagé son sein, luisant des sécrétions de sa bonne copine, des filets pendant du téton, qui, comme une bite qui fouille une chatte, s’était encore dilaté, et qu’elle l’a remonté sur les plissements anaux. J’ai d’abord pensé que ça n’allait pas être possible, puis je me suis dit qu’avec ces filles, il suffisait que je me souvienne de la main caressant ma queue dans un anus dilaté, tout était possible. Et effectivement, elle a appuyé son téton sur l’anus de sa copine, et le téton est rentré… Ca ne remplaçait sans doute pas une bite, mais les quelques centimètres étaient quand même suffisants pour éprouver du plaisir, et ça a semblé combler Anais, qui s’est mise à jouir. Elle a semblé avoir plusieurs orgasmes, au dernier elle s’est mise à uriner. J’ai eu un doute un instant, vu ses éjaculations, mais ça a bien été de son urètre qu’un flux ininterrompu d’un liquide clair est sorti. J’étais bon pour changer les draps.
Giulia n’en avait pas fini avec moi. Elle est revenue sur ma queue, distendue, et qui n’avait pas beaucoup servi jusqu’à présent. Je pensais qu’elle allait de nouveau me caresser avec son téton qui avait pris une forme exponentielle, totalement dilaté là, un peu comme une bite dans son état extrême. Elle devait me confier un peu plus tard que sa première source de plaisir et de jouissance, avant même de toucher son sexe, ç’avait été de toucher ses tétons, elle avait fait ça un peu par hasard, en explorant son corps, comme on le peut le faire quand celui-ci change, et elle s’était rendu compte que ces deux petits bouts d’anatomie recelaient un potentiel assez intéressant. Suffisamment en tout cas pour qu’elle puisse éprouver du plaisir très facilement en les touchant, et jouir si elle insistait un peu plus.
Surtout, elle avait remarqué leurs capacités érectiles et elle s’était très vite rendu compte qu’elle pouvait en tirer parti.
Elle avait d’ailleurs du pas mal expérimenter, car ce qu’elle m’a fait ne lui était sans doute pas venu comme ça. Elle est venue poser son téton pile contre son méat, et elle a appuyé dessus, en donnant de petits coups. Elle a commencé par frotter, des mouvements de va-et-vient. Ca pouvait sembler banal, mais ça a allumé le feu dans mon ventre, un peu particulier lié à cette pratique, qui m’a embrasé…J ’ai sans doute été plus surpris quand elle a appuyé son téton contre la fente du méat et qu’elle a appuyé. Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir… Jusqu’à ce que je me rende compte qu’elle voulait pousser son téton dans mon méat…
—Ca va pas…
J’allais ajouter ‘rentrer’, mais j’ai senti que quelque chose cédait dans ma chair, et je n’ai plus rien dit. Elle a poussé encore, et son clitoris est rentré aux trois-quarts en moi. J’ai pensé qu’elle venait de me pénétrer, dans une inversion. Mais c’était bien comme ça. Ca serait difficile pour moi, quand je rentrerais à la maison, de retrouver des pratiques plus classiques, alors que j’aurais vécu des moments si singuliers.
Elle a fait comme un homme qui enfonce son sexe dans le vagin d’une fille, de petits mouvements de va-et-vient qui m’ont donné un plaisir singulier, unique, qui s’est concentré sur une zone plus limitée de mon anatomie, cette partie qu’elle fouillait de son téton. C’est de là qu’est parti quelque chose, comme une lame de feu dont la puissance et l’intensité se sont aggravées alors qu’elles traversaient ma chair et montaient dans mon corps…. J’ai eu un orgasme intense, qui m’a rempli, j’ai lâché un cri, me maudissant aussitôt de l’avoir fait. Elle a retiré son gland de mon méat, et mon sperme est parti sur ses seins. Elle les a tenus alors que je les arrosais de semence bien blanche et bien grasse en riant.
Comme chaque soir, après qu’elles aient eu leur plaisir, et moi le mien, les deux filles retournaient dormir ensemble. Elles m’avaient raconté qu’elles s’endormaient dans les bras l’une de l’autre après mais qu’elles se réveillaient tôt et qu’elles trouvaient la voie du sexe de l’autre, pour lui donner du plaisir de la bouche et des doigts.
Je venais de changer les draps et l’alèse et je m’étais remis dans le lit. Le sommeil commençait à fondre sur moi quand la porte s’est ouverte à nouveau. Marie-Adélaide a fait irruption. Aussi nue qu’au jour de sa naissance. Quand on faisait l’amour à l’extérieur, elle était toujours partiellement vêtue. La voir ainsi, intégralement nue m’a remué. Il y avait quelque chose de profondément troublant dans ce corps, sorte de quintessence d’une féminité à son apogée.
—Ta bite fonctionne encore? Comme tu me négliges, je suis venue chercher ce que tu ne me donnes pas. Moi, tu sais, je n’ai pas besoin de fioritures comme elle… Le plus simple et le plus efficace.
Je me suis demandé comment elle connaissait si bien la sexualité des deux filles. Mais il était vrai que la discrétion n’était pas leur fort, et qu’elles parlaient sans se cacher de ce qu’elles faisaient et de ce qu’elles aimaient faire…
Elle a écarté le drap pour jeter un coup d’oeil à ma queue. Elle n’avait pas vraiment dégonflé. C’était curieux, mais depuis que j’étais ici, je vivais dans un état d’excitation constante, toujours la queue à moitié gonflée. Ce qui m’excitait n’était d’ailleurs pas tant qu’elles soient appétissantes, qu’elles se baladent à poil ou aux trois quarts à poil dans la maison, mais plutôt le potentiel qu’elles avaient, ce qu’elles pouvaient me donner, ce qui pouvait se passer entre nous. Que je pouvais certes imaginer, mais ce serait toujours en deçà de la réalité.
Mais là, ça a été très classique. Ce qui ne signifiait pas que ce n’était pas bien, au contraire. Elle a attrapé ma queue, et l’a branlée doucement, pour parachever une érection qui ne s’était pas vraiment éteinte. Le sentir contre moi, sa chaleur, l’odeur de vanille qui émanait d’elle, une crème dont elle s’était sans doute enduite, l’épaisseur de son corps, son dessin, avec ses seins pleins et fermes malgré son milieu de quarantaine, et ce désir, qui émanait d’elle…
Entre ses deux seins, parce ce qu’il y avait de l’espace, et qu’ils étaient serrés l’un contre l’autre, elle avait fiché un préservatif emballé. Elle l’a défait et a eu un mouvement qui m’a surpris. Elle a collé la rondelle de latex, elle aussi parfumée à la vanille, contre ses dents. Je me suis demandé pourquoi, mais j’ai compris quand elle s’est penchée sur ma queue. Elle a fait descendre sa bouche le long dans une caresse ultra-rapide, un effleurement qui m’a sans doute fait plus d’effet que si elle ne m’avait frôlé plus longtemps. Un aller-retour de quelques secondes au terme duquel, quand elle s’est dégagée, j’étais enveloppé de latex.
Ca a été très vite. Elle s’est glissée sur le lit, et elle est venue se poser sur mes cuisses, de telle sorte que sa vulve soit à quelques millimètres de ma queue. Elle ne voulait pas la rentrer en elle tout de suite, et, le regard collé à nos parties intimes, mais c’était vrai aussi pour moi, elle a attrapé ma queue, et elle a promené le gland, un peu comme elle l’aurait fait avec un stylo, un objet, un gode, sur ses lèvres, remontant même à l’endroit où son clitoris était encapuchonné, et frottant, là, jusqu’à ce qu’il sorte de sous sa cachette… C’était une caresse excitante, et le latex ne m’empêchait absolument pas de sentir ses chairs, leur relief, leur chaleur. J’ai d’ailleurs eu un mini-orgasme, balançant du sperme dans le réservoir de latex. Sans débander pour autant. Elle a fini par faire rentrer mon gland dans son sexe, puis, dans un mouvement de hanches, elle est venue s’empaler dessus…Elle s’est retenue, pour descendre doucement sur moi, jusqu’à finir par avaler totalement ma queue. et reposer sur moi. Elle a semblé éprouver une sorte de bonheur simple mais intense à ainsi être remplie.
—Je voudrais avoir une queue dans le ventre en permanence.
Elle s’est mise à se faire bouger sur moi, en plein trip, se tordant, gémissant, prononçant des paroles dont je n’étais pas sûr qu’elles aient un sens, bavant. Elle se massait les seins et se tordait les tétons. Elle a joui en poussant un rugissement et j’ai senti qu’elle se vidait de ses liquides intimes sur moi, m’inondant. Je me suis demandé si c’étaient des sécrétions vaginales ou du pipi… Ca a débordé de moi, trempant les draps..J’étais bon pour les changer une deuxième fois.
En s’arrachant de moi, elle a constaté que je n’avais pas joui. Elle s’est penchée sur ma queue, a enlevé le préservatif, et m’a masturbé d’un geste très lent. Sa caresse m’a fait exploser très rapidement.
Elle allait partir, mon regard posé sur sa croupe pleine. Je lui ai dit:
—Tu n’as pas des draps en réserve? J’ai tendance à les changer pas mal en ce moment.
C’est la quatrième semaine qu’il y a vraiment eu un tournant. En quelques heures, tout s’en est mêlé. Marie-Adélaide a renouvelé son offre. Mon ancien employeur m’a envoyé un SMS pour me faire savoir qu’il n’aurait plus besoin de mes services à l’avenir. Et ma chérie m’a appelé pour m’annoncer de mauvaises nouvelles.
—Ecoute, j’ai des choses à te dire.
Son ton n’annonçait rien de bon.
—Tu sais… Pendant ton absence, j’ai rencontré quelqu’un… En fait, on se connaissait depuis pas mal de temps, mais on était juste amis. Mais notre relation a nettement évoqué. Je… J’ai compris que j’étais mieux avec lui qu’avec toi. Voilà. Je suis partie. J’ai laissé les clefs de l’appartement au concierge. Tu n’auras aucun mal à les récupérer. Je suis désolée, mais c’est mieux comme ça.
Dire que j’étais effondré… Ca faisait cinq ans qu’on était ensemble, et sa voix me disait clairement qu’elle ne tenait absolument plus à moi. Elle m’appelait plus parce qu’elle estimait avoir une sorte de devoir moral de me dire adieu qu’autre chose.
J’ai coupé la communication.
—Ca va? Tu n’as pas l’air d’aller bien.
J’ai relevé la tête. Marie-Adélaide se tenait près de moi, c’était le début de l’après-midi. On avait un jour de break, avant d’attaquer les asperges.
—Je crois que je vais accepter ton offre.
C’est comme ça que je ne suis jamais reparti. Elle m’a proposé un petit appartement au dessus du garage. Je l’ai visité. Il y avait déjà un certain confort. Elle m’a fait un prix mini, qu’elle déduirait de mon salaire.
J’ai pris une journée pour revenir chez moi, arranger le déménagement. Cette vie-là ne m’intéressait plus. J’étais mieux dans cette ferme qui m’avait accueilli. Le provisoire se transformait en définitif.
C’est pourtant quelques semaines plus tard, en pleine cueillette d’asperges, que s’est joué le dernier acte.
Je m’étais calé sur le rythme de Marie-Adélaide, et j’allais la rejoindre quand j’avais un moment, et que je sentais qu’il y avait la possibilité d’un rapport sexuel entre nous. C’était toujours très classique, contrairement aux fantaisies débridées d’Amélie et de Giulia, mais également très varié.
Pourtant, les choses ont pris un tour nouveau un mardi soir. Je ne risque pas d’oublier ce moment, autant parce qu’on venait de finir la cueillette des asperges qu’à cause de ce qui s’est passé.
Marie-Adélaide venait de rejoindre sa chambre. Elle m’avait fait un petit signe, me faisant comprendre que je pouvais la rejoindre. Allongé sur le lit, elle avait retroussé la robe qu’elle avait passée pour aller livrer les asperges, et baissé son slip pour se masturber avec ardeur. En quelques secondes seulement, son sexe s’était ouvert, et il coulait déjà.
Ca faisait plusieurs jours qu’elle évoquait quelque chose dont je craignais de comprendre les contours. ‘J’ai envie de sexe à plusieurs…Ca te dirait?’ ‘Avec une autre fille, j’avais demandé?’ ‘Non, un autre homme…’ J’avais failli objecter qu’il n’y avait qu’un autre homme dans la maison, et qu’il ne me semblait pas spécialement intéressé par les femmes…A moins que…
Je l’avais déjà surpris plusieurs fois, sans l’avoir cherché d’ailleurs avec ses gitons, jamais les mêmes, qu’il faisait venir sur la ferme. Une fois, il faisait une fellation avec ardeur à un minet blond dont il caressait le sexe de la langue et de la bouche. Il avait fini par prendre le membre dilaté dans sa bouche pour recueillir son éjaculation. Un moment qui m’avait troublé. Il avait gardé la queue dans sa bouche, et celle-ci bien close, pour que le sperme ne sorte pas. Pourtant, un filet blond avait coulé à la commissure de ses lèvres.
Je m’étais éloigné. Un rien troublé de me rendre compte que j’avais le sexe tout dur, et aussi troublé par cette pensée qui m’avait traversé. Je m’étais dit que moi aussi j’aurais aimé qu’il me prenne dans sa bouche, et me suce jusqu’à me faire jouir. Après tout, une bouche, c’est une bouche…Qu’elle soit féminine ou masculine…
Une autre fois, j’avais surpris un moment plus corsé. Dans un appentis, Rénato était avec un autre homme, un peu plus âgé. Ils étaient aux trois quarts nus tous les deux. Rénato était assis sur lui, et le sexe de l’homme était fiché dans son anus… Il soulevait Rénato, et le membre, vraiment bien long et bien épais apparaissait et disparaissait. L’excitation de Rénato se manifestait de bien des façons, mais la meilleure possible, c’était son sexe, qui, lui aussi très long et très dur, était collé contre son ventre.
J’étais arrivé sur les derniers moments. Rénato avait explosé de jouissance, projetant de multiples jets de semence sur lui, sur son partenaire, et dans les airs, avant que celui-ci n’arrache sa queue de son ventre, ne fasse glisser la capote souillée, et n’éjacule, sans se toucher, de multiples jets de semence dont certains s’étaient mêlés à celle de son amant.
Je m’étais éloigné, avec la même envie, trouble, de les rejoindre. Je me serais bien vu présentant ma queue à l’un des deux hommes par exemple.
Signe sans doute de mon penchant, à peine arrivé dans ma chambre, je m’étais masturbé, le sexe en pleine érection, et j’avais joui en deux secondes. Je n’étais d’ailleurs pas dans la chambre, mais avec eux, dans l’appentis.
Je n’ai pas vraiment été surpris, alors qu’elle me défaisait, et suçait ma verge de voir Rénato arriver. C’était une sorte d’aboutissement logique.
Il s’est approché et a mis sa bite, cette bite que je connaissais bien, à nu. Me délaissant, Marie-Adélaide s’est penché sur lui et l’a caressé de la langue. Il avait vraiment une belle queue, épaisse et longue dans sa plénitude.
Marie-Adélaide s’est détachée du membre, elle l’a tourné légèrement vers moi en me regardant. Elle avait sans doute compris depuis longtemps ce sur quoi j’avais du mal à mettre des mots, mais aussi que j’avais du mal à accepter. J’ai plongé sur le sexe, et je l’ai pris dans la bouche. Il m’a rempli, et ça a été tellement fort que j’ai senti que je balançais des traits de sperme. J’ai avalé la queue aussi loin que je le pouvais, avant de faire aller et venir ma bouche dessus. Son liquide pré-sécrétif dégoulinait dans ma bouche, la remplissant d’un goût amer. J’ai glissé un oeil sur le côté, et j’ai vu que Marie-Adélaide s’était basculée en arrière, et qu’elle se caressait, le sexe largement ouvert, et nous regardant.
—Donnez-moi vos queues, je vais m’en occuper…Ensuite vous me pénétrerez… J’ai envie de deux queues dans mon ventre. C’est trop bon de se sentir remplie, et de les sentir frotter l’une contre l’autre…
Je me suis demandé à quoi elle faisait référence. Je ne l’ai compris que plus tard.
Rénato est venu se caler près de moi sur le lit, de telle manière que nos ventre soient proches et nos queues quasiment à se toucher. Marie-Adélaide a attrapé nos queues, les masturbant l’une et l’autre, avant de les faire frotter l’une contre l’autre. C’était tellement agréable que j’ai cru que j’allais me jouir dessus. Ca avait l’air de plaire aussi à Rénato car sa queue, agitée de spasmes, grossissait encore. Elle a finalement collé nos queues l’une à l’autre, les masturbant doucement, pour éviter de nous faire jouir. Ca a été encore meilleur quand elle s’est penchée sur nous, et qu’elle a parcouru nos chairs d’une largue habile…Tous les deux on ruisselait de liquide pré-sécrétif, et elle nous a pris dans sa bouche quelques instants, celle-ci déformée dans la largeur par l’épaisseur des deux queues réunies…
—J’ai envie que vous me pénétriez.
Elle nous a guidés après avoir gainé nos queues de préservatifs. Elle a fait s’allonger Renato et elle est venue se caler au-dessus de lui, attrapant sa queue pour la poser entre les lèvres de son sexe. Ils ont chacun fait un mouvement vers l’autre, lui donnant un petit coup de reins, elle se laissant aller en arrière, et la queue a glissé entre les muqueuses lubrifiées. C’était une vision terriblement excitante, et jouer les voyeurs m’aurait suffi, mais elle m’a proposé:
—Viens me sodomiser. Une seule queue, ça ne me suffit pas.
Ce soir-là, tout était nouveau. On avait déjà eu énormément de moments de sexe ensemble, mais jamais elle n’avait envisagé que je puisse la sodomiser. Ce n’était d’ailleurs pas un désir de ma part, ni une obsession. Je prenais ce qu’elle me donnait, j’étais déjà très heureux des rapports qu’on avait.
—N’aie pas peur, tu ne me feras pas mal, tu ne seras pas le premier à rentrer par là.
Sa croupe charnue était ouverte par sa position, et les plissements de son anus étaient bien visibles. J’ai su à cet instant que rien ne s’opposerait à ce que je la pénètre. C’était ce dont j’avais le plus envie à cet instant. Je suis venu poser mon gland encapoté contre les plissements anaux, et j’ai appuyé. Je désirais ardemment la pénétrer, et en même temps, j’avais peur de lui faire mal. J’ai été rassuré en voyant la facilité avec laquelle j’ai pu pénétrer en elle. Ma queue a glissé facilement jusqu’à que mon ventre vienne buter contre ses fesses, mon sexe totalement enfoncé dans le conduit serré.
Ca a été un moment intense. Un de ces moments qui restent, dont on se souvient des années après avec bonheur. C’était une multitude de détails, réunis, qui contribuaient à faire que ce moment était intense. L’originalité de la situation, alors que je m’attendais à quelque chose de plus classique. Voir Marie-Adélaide prise ainsi, par deux hommes, avec un sexe dans le vagin, et un autre dans l’anus, qui allaient et venaient en elle, et lui faisaient éprouver du plaisir, était tellement excitant. Je sentais son corps frémir, elle arrosait la queue de Rénato de ses jus qui coulaient d’abondance, et elle parlait, alternant commentaires et gémissements. Elle prenait du plaisir, c’était évident.
Pourtant, au-delà, ce qui m’a excité le plus, je devais vraiment me contrôler pour ne pas jouir, c’était le contact avec la queue de Rénato. J’avais déjà vu des pornos, ou deux hommes se partageaient une fille, mais je n’avais jamais compris, en tout cas rien n’allait dans ce sens, qu’une grande partie du plaisir éprouvé venait du faire que la membrane qui séparait la zone anale de la zone vaginale d’une fille étaient extrêmement fine, et on sentait parfaitement le sexe de l’autre à travers, sa forme, sa dureté, sa chaleur. C’était une source de plaisir immense, qui se rajoutait au reste. Je voulais tenir plus longtemps, mais je n’ai pas pu retenir mon plaisir, et j’ai éclaté dans un orgasme, qui a déclenché celui de mes partenaires.
On a repris nos esprits, en sachant qu’il y aurait d’autres moments, encore plus intenses.
Avoir découvert ma bisexualité ne me faisait pas vraiment peur. C’était un nouveau chemin que j’avais envie d’explorer.
Je suis parti me coucher, en me disant que ce qui ne devait être que provisoire était devenu plus durable, et qu’indéniablement, j’étais bien ici.
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