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Sexe pour une ATSEM

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Lue : 1495 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/05/2020

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Partie 1
Je me suis réveillée très tôt. Pas naturellement, j’avais mis le réveil. Je devais prendre le bus pour aller passer l’écrit de mon concours d’ATSEM. J’avais révisé jusqu’à tard le soir. Il y a deux parties à ce concours qui semble tout simple, mais qui est, quand on creuse, plus compliqué qu’il n’y parait. Une partie écrite, un QCM, de la culture générale, et ensuite un entretien oral. J’ai toujours adoré les enfants, même si ironiquement, mon principal souci, c’est de ne pas en avoir et si je multiplie les protections, capote plus pilule, avec tous les hommes qui m’attirent et que je fais venir entre mes cuisses. Je pourrais, et c’est ce que je fais souvent, les faire jouir dans ma main, dans ma bouche, mais le va-et-vient de leur queue dans ma chatte est quelque chose dont je ne peux pas me passer, tout comme de sentir leur sperme jaillir et venir taper contre mes parois vaginales.
Mon problème c’était que je détestais les études. Assez ironiquement, j’avais toujours eu de bonnes notes, mais j’avais manifesté très vite la volonté de faire une formation courte. C’était comme ça que je m’étais retrouvée à faire un CAP Accompagnant Educatif à la petite enfance. C’était quelque chose qui me convenait parfaitement. Je savais que je n’aurais pas un gros salaire, mais ça ne me gênait pas.
Et donc, j’avais en tête l’idée de passer le concours d’ATSEM. C’était un concours de la fonction publique territoriale, qui était organisé tous les deux ans. Une épreuve écrite, une épreuve orale. L’écrit c’était un QCM qui portait sur le métier. Des questions auxquelles il fallait répondre rapidement. 45 minutes pour 7 pages de 20 questions. Il fallait travailler vite, et ne pas se tromper. Et je voulais absolument réussir cette épreuve. L’oral aussi, bien sûr, mais pour l’instant, je me focalisais sur l’écrit.
Je devais prendre le bus à 7 heures 30 pour arriver au centre de gestion vers 8 heures 15. Le concours débutait à 9 heures, et on aurait fini à 9 heures 45. Mais on avait accès à la salle dès 8 heures 30. Il y avait le traditionnel… Vérification des convocations et des papiers d’identité.
Je me suis levée sur le coup de six heures. Quelques exercices de gym, ensuite sous la douche, et un solide petit déjeuner. J’ai vérifié mon sac. Un paquet de stylos, des mouchoirs, une bouteille d’eau et quelques barres de céréales. De toute façon ce serait vite passé. En mangeant, j’ai repassé toutes mes fiches. L’organisme de formation qui nous avait préparé durant trois mois nous avait, j’en étais convaincue, préparés efficacement. Ca ne signifiait pas qu’il ne fallait pas travailler de par soi-même, et j’avais fait le maximum.
Ensuite, j’ai été m’habiller. On était en février, il faisait déjà beau, des journées chaudes et douces, et j’avais opté pour une robe en laine pourpre que je n’avais porté qu’une fois, achetée début janvier, et qui m’allait bien, souple et fluide, collante sans l’être trop. Je l’ai passée par-dessus un collant et un soutien-gorge. J’aimais ne pas porter de culotte, en partie par ce que j’étais, je l’admettais sans mal, exhib, mais aussi parce que j’aimais la sensation d’avoir le sexe nu, et de l’avoir nu sous un collant, ce qui était autre chose. J’aimais sentir le contact du lycra contre ma chatte. Plaisir pervers parmi d’autres, j’aimais jouer avec moi-même sans me toucher, ouvrir et fermer mes cuisses, et sentir le lycra me frotter. Généralement je jouissais très vite.
Je me suis maquillée en me regardant dans la glace. Je ne savais pas si j’étais jolie, je trouvais mon visage assez fade, mais je savais bien par contre que la Nature avait parfaitement réussi mon corps, le faisant plutôt grand, et m’attribuant des formes que j’aurais été bien en peine de dissimuler. Et qui en tout cas ne laissaient pas les hommes indifférents. Sans doute tout comme le fait d’aimer le sexe, et que ça se voie. J’ai fini en gainant mes jambes de cuissardes en velours que j’avais achetées l’hiver dernier et que j’appréciais tout particulièrement. Elles me dessinaient bien, je me sentais bien dedans, c’était une sensation érotique quand elles m’enveloppaient, et j’avais remarqué qu’elles attiraient irrésistiblement le regard des hommes sur moi.
7 heures. J’étais prête, et j’avais une vingtaine de minutes devant moi.
Je suis sortie de mon appartement, et je me suis glissée dans celui d’en face, dont la porte n’était jamais close. C’était là qu’habitait Jérémy, mon voisin, déjà là à mon arrivée. Il avait 26 ans, et il était artisan-peintre. Il était plutôt beau gosse, et on avait été attirés l’un par l’autre très rapidement. C’était une relation tranquille, le genre de relation que j’appréciais. Aucun engagement entre lui et moi, juste du sexe, un bon moment ensemble…Des bons moments, on en avait déjà eu pas mal, d’ailleurs, et c était vrai que j’appréciais quand on se voyait.
Je lui rendais visite parce que j’avais envie de sexe, mais aussi pour me décontracter avant d’aller passer l’examen.
Il n’y avait aucune gêne entre nous, aussi je me suis glissé sans problème en direction de sa chambre. Il était déjà réveillé et il se masturbait, sa queue déjà bien longue et bien dure. La voir m’a fait frémir. Si un jour j’étais blasée, pour le moment ce n’était pas le cas.
—Tu penses à moi ?
Il s’est tourné vers moi et m’a souri.
—Tu sais quand on se branle, on pense à pas mal de choses. En partie à toi, c’est vrai. Ce matin j’ai particulièrement envie de sexe… Tu tombes bien…
—Moi aussi, j’ai envie…Tiens, regarde.
J’ai soulevé ma robe et je lui ai montré mes reliefs magnifiés par mon collant, mon pubis et mon mont de Vénus imberbe, et, en tournant sur moi-même, mes fesses, rondes et charnues, coupées en deux par un sillon profond.
—Je suis belle comme ça ?
—Tu es irrésistible. Tout à fait ce dont ma queue avait besoin.
—On va voir ce qu’on peut faire. Ca me détendra avant de partir passer l’examen.
—Avec tout ce que tu as révisé, si tu ne l’as pas…
—On ne sait jamais. Bon, on verra bien…
J’ai glissé sur le lit, et je suis venue porter ma bouche sur sa queue. J’avais l’œil sur ma montre. Vingt minutes devant moi. Mais en vingt minutes, on pouvait faire pas mal de choses. De la langue, je suis venue effleurer sa queue gorgée de sang, me baladant dessus. Ca a déclenché ce qui ne s’était pas encore mis en marche jusqu’à présent, un liquide pré-sécrétif visqueux et parfumé s’est mis à couler de lui, que je me suis mise à laper, tout en caressant doucement ses testicules frémissantes. Il m’a pour ainsi dire rendu la pareille, et a amené sa main, désormais inutile sur ma chair, pour me caresser. Il était bon pour caresser, je l’avais déjà remarqué. Il est venu à l’intérieur de mes cuisses, pour remonter doucement jusqu’à mon aine avant de glisser sur mon sexe. Si lui coulait abondamment, moi je mouillais aussi pas mal. Je me sentais couler et inonder le collant. J’en avais pris un de rechange au cas où… Il est finalement venu sur mon sexe et m’a caressée doucement. Je n’ai pas pu m’empêcher de gémir. C’était bon, et ça l’était encore plus avec le lycra qui frottait mes lèvres et s’enfonçait entre.
10 minutes déjà. Il était temps de passer à autre chose. Je me suis faite glisser sur le lit, et je me suis mise à quatre pattes.
—Je veux que tu viennes dans mon anus. Comme ça je garderai ton sperme et je le sentirai couler pendant que je ferai l’épreuve. Ca me portera chance.
Il s’est sans doute dit qu’il avait tiré le gros lot. Il avait déjà voulu me sodomiser, mais j’avais ramené sa queue en dessous, dans ma chatte.
—Attends, je vais lubrifier ma queue avant de venir plus haut…
Il s’est glissé dans ma chatte... J’ai eu envie de lui dire que ça n’était pas la peine, que ça n’était pas la première fois que je me faisais sodomiser, mais c’était trop tard… Et je n’ai rien dit parce que sentir sa queue glisser dans ma vulve et aller dedans m’a procuré du plaisir. Je me suis frottée le clitoris pendant qu’il bougeait en moi. Il n’a effectivement fait que quelques aller-retour avant de venir poser son gland dilaté contre ma muqueuse anale. Il a poussé et sans doute été surpris de pouvoir rentrer aussi facilement. Il est rentré en moi précautionneusement, avançant jusqu’à ce que je sois bien remplie, sa queue quasi entièrement fichée en moi. Il s’est mis à aller et venir. J’avais l’œil sur mon téléphone. Il nous restait sept minutes. Mais ça n’a pas été un problème. Les doigts sur le clitoris, je me suis frottée alors qu’il bougeait dans l’étroitesse de mon conduit anal. Sans doute troublé par le fait de me sodomiser pour la première fois, et d’être pris par cette sensation nouvelle, il a joui très rapidement. A un autre moment, j’aurais même pensé trop rapidement, mais là le timing était parfait. Ma jouissance a été le croisement de deux feux, celui qui partait de mon clitoris, à vif, et celui qui a pris naissance quand le premier jet de sperme est venu taper contre la sensibilité de mes muqueuses, les suivants démultipliant mon plaisir. Il y a dix mille types d’orgasmes, celui-là a été très bon, long et intense. J’ai craché des jets de liquide dans le collant, le souillant, tout comme dans les heures qui viendraient, il serait souillé alors que la semence sortirait lentement de mon anus clos. Je pourrais lui donner le collant quand on se reverrait le soir. Il pourrait se branler cent fois en le reniflant.
Je me suis redressée, rajustant mon collant. Je me sentais pleine de sperme, et c’était très excitant. La simple idée qu’il allait sourdre de moi dans la journée me faisait envie de remettre le couvert. Mais malheureusement je devais partir. Je me suis éloignée, me retournant pour lui faire un sourire et un petit signe de la main. Il m’a dit :
—Tu vas réussir, j’en suis sûr. Ce soir, on va fêter ça ensemble. J’ai déjà acheté une bouteille de champagne, elle est au frigo. 19 heures, ça te va ?
J’ai levé le pouce, et je suis partie dans le couloir. En avançant, j’avais encore l’impression d’avoir sa queue entre les fesses. Ca aurait été bien que je puisse l’emporter avec moi. Mais j’avais déjà son sperme, encore logé en moi, et qui, dans les minutes qui suivaient allait commencer à suppurer et à tâcher ma chair et le nylon de mon collant.
L’arrêt de bus était un peu plus loin. Je m’y suis rendue. J’étais dans les temps, et je me suis calée pour attendre, encore deux minutes normalement, l’arrivée du bus, aux côtés d’une dizaine de personnes de profils et d’âges différents. Il a enfin été là, et je suis montée à l’intérieur. Le CDG était à l’autre bout de la ville. Il fallait traverser le centre ville, et ensuite basculer sur le Sud. Je me suis calée sur un siège, il y avait des places assises. J’avais l’impression que mon anus était resté ouvert, ce qui n’était sans doute pas le cas. Le sperme a commencé à couler, venant tâcher le collant.
Trois quarts d’heure plus tard, j’arrivais au siège du conseil départemental. C’était, sur plusieurs étages, une magnifique bâtisse toute blanche, construite trente ans plus tôt, et qui commençait à vieillir, ne répondant sans doute pas aux critères de HSE qui prévalaient aujourd’hui pour la construction de nombreux immeubles. Le CDG se trouvait au deuxième sous-sol, avec plusieurs salles de classe autour.
Je suis descendue du bus. Il fallait marcher, le bâtiment avait été construit au milieu d’une zone qui était restée naturelle. Et pour accéder au bâtiment, qui était dans un creux, descendre une série de marches, en se tenant à une rampe.
Naima était déjà là quand je suis arrivée. Elle tirait sur un joint, dont l’odeur forte m’est parvenue.
On avait un passé commun elle et moi. Naima était une ravissante jeune Tunisienne, avec un visage aussi somptueux que son corps était sensuel. On s’était connues le premier jour. Elle avait un tout autre profil que le mien. Elle était ATSEM depuis trois ans, mais recrutée par une mairie, sans diplôme. Le maire lui avait donc proposé de passer le concours. Ainsi qu’elle me l’avait expliqué, les concours internes étaient réservés à des gens comme elle, mais les collectivités territoriales bloquaient aussi une partie des concours externes… Pas simple… Si elle échouait au concours, elle n’aurait pas le poste, mais resterait en fonction.
Elle m’a tendu le joint.
—Je veux avoir l’esprit clair.
—Moi je l’ai avec ça.
Elle fumait énormément d’herbe. Naima avait toujours l’air ailleurs, de planer. Pourtant, voir ses résultats, quand on faisait des contrôles, montrait que non seulement elle suivait, mais qu’en plus elle était brillante. C’était elle qui dans le groupe, faisait des sans-faute.
Je crois bien que dès la première seconde, le premier jour, quand elle était venue s’asseoir près de moi, il y avait eu une tension sexuelle entre nous, et que je l’avais trouvée infiniment attirante. On avait un peu le même corps, avec des seins, des fesses, des hanches et des cuisses qui débordaient.
Si j’avais été un homme, ce jour-là, j’aurais eu la queue toute dure. Je m’étais contentée de mouiller, en la regardant approcher, avec un jean très collant et un haut dont ses seins semblaient devoir sortir.
C’avait été à la fin de la session de trois heures de cours, à midi, qu’on s’était retrouvées dans les toilettes filles au bout du couloir. J’avais envie de faire pipi, un café avant de partir, un café à l’arrivée, pour le pot d’accueil, un café à dix heures à la pause… Je n’aurais pas pu tenir dix minutes de plus. J’ai foncé dans une des trois cabines, consciente que si je me retenais plus longtemps, je souillais ma culotte. J’avais une jupette plissée à motifs écossais, avec dessous une culotte noire et des bas stay-up. J’ai descendu mon slip à toute vitesse… L’urine a commencé à sortir alors que je me calais sur la lunette… J’ai poussé un soupir de soulagement, alors que je me vidais…
Dans ma hâte, je n’avais pas fermé la porte. Je me croyais seule. J’avais la tête ailleurs. Quand j’ai levé la tête, je me suis rendue compte que Naima était face à moi et qu’elle me regardait.
—Dis donc tu as une belle chatte et tu pisses bien… Quand tu auras fini, je vais t’essuyer…
Si elle me disait cela, c’était sans aucun doute parce qu’elle sentait bien qu’il n’y aurait aucune opposition de ma part. Dans une relation sexuelle, il y a toujours une part d’intuition, de non-formulé, et là, elle avait bien compris que je ne m’opposerais pas à ce qu’on aille plus loin. C’était vrai que j’étais ouvertement bisexuelle, et aussi tout simplement, qu’elle me plaisait.
Elle s’est accroupie pour me regarder finir de faire pipi, caressant du regard mon sexe. Ca devait être une vision excitante, parce que j’ai remarqué qu’elle défaisait le bouton qui tenait son jean à sa taille, descendait la fermeture-éclair pour se donner de l’aisance. Dessous, elle avait un slip pourpre, dont le tissu a gonflé quand elle a glissé sa main dessous pour se caresser. En même temps, de sa main libre, elle a attrapé un bout de papier, et elle est venue m’essuyer, une fois que ma vessie a été vidée. Deux secondes plus tard, elle plongeait sur moi de sa langue.
C’était certain, ce n’était pas la première chatte qu’elle léchait. Si on n’avait pas été dans un lieu public, et alors que, je le savais, les autres membres du groupe partaient, j’aurais crié… Elle a tourné sur mes lèvres, vive et habile. A son mouvement sur ma vulve, correspondait celui qui agitait sa main sous les tissus. J’ai très vite eu un orgasme, puis encore un autre, me cambrant et me tendant, un rien incrédule, parce que je n’imaginais pas honnêtement jouir en ces lieux. J’ai perdu le contrôle, prenant sans doute les marques, alors que je jouissais en crachant mes liquides intimes, de ce que devait être ma relation passionnée avec Naima… Quelque chose d’intense, de passionné et d’avide, quasi totalement orienté sur le sexe. Elle avait un corps de rêve, fait pour être désiré, et une obsession pour le sexe mêlées à une habileté qui faisait que s’il y avait bien une personne avec qui ça valait le coup d’aller, c’était elle.
En se redressant, elle est venue tirer bas son jean et sa culotte pour se mettre à nu… Elle avait un sexe fascinant, une moule très gonflée avec un énorme paquet de lèvres et un clitoris qui ne l’était pas moins, qui sortaient d’elles, inondés par l’huile de ses sécrétions intimes. Elle est venue me coller sa chatte à deux centimètres du visage, comme une incitation à laquelle je ne devais pas résister. Je n’ai d’ailleurs pas résisté, glissant mes mains autour de ses hanches pleines, et venant prendre ses fesses, charnues et rebondies, au cœur de mes mains, dont elles débordaient. J’ai plongé sur son sexe, la parcourant de ma langue et de ma bouche, essayant, avec sans doute moins d’habileté qu’elle de lui donner du plaisir. Elle a pourtant eu du plaisir, et a pourtant joui, éjaculant sur mon visage et dans ma bouche, m’inondant de ses sucs parfumés.
Trois mois étaient passés, et, en me tenant près d’elle, je pouvais me souvenir de chacun de ces moments qu’on avait passés ensemble, que ce soit ici, dans ce bâtiment, de toilettes en coins perdus, chez elle, chez moi, mues par une envie du corps de l’autre, et le désir d’un sexe qui soit intense et original. Je connaissais son corps par cœur.
On s’est regardées. Dans un réflexe mutuel, au même moment, on a tendu la main vers le ventre de l’autre. Un territoire connu qu’on avait envie de retrouver. Elle a glissé la main sous ma robe et dans mon collant, pour venir me toucher, alors que je restais sur la surface du pantalon de vinyle qui dessinait sa moule d’une manière tout à fait obscène. On s’est caressées comme les deux obsédées sexuelles que nous étions, en se laissant aller à gémir. Le pantalon et le slip qu’elle avait dessous frottaient contre ses chairs, et c’était aussi bien que si elle avait été nue.
—Ah arrête elle a dit, je veux pas jouir devant tout le monde. Tout à l’heure quand on aura fini l’épreuve, on ira dans les chiottes. Mais dis donc, elle a dit, en enlevant ses doigts, tu as du sperme au fond de ton collant ! Tu t’es faite baiser avant de venir ! T’es vraiment une chienne… Pire que moi…
—Je voulais avoir un orgasme avant l’épreuve, pour me sentir mieux, et en garder une trace qui me porterait chance.
On a descendu ensemble les marches qui conduisaient au bâtiment. Et dans le bâtiment lui-même, nous avons pris l’escalier jusqu’à l’étage de l’examen. On s’est retrouvés, embrassés, unis, malgré nos origines différentes dans cette épreuve, comme nous l’avions été dans la préparation. Une unité qui n’était qu’artificielle et serait fissurée lorsque les résultats tomberaient. Nous étions vingt-cinq dont trois hommes.
Le CDG était géré par un homme politique et employait cinq personnes. C’est l’une d’entre elles, une petite blonde avec des kilos en trop mais toujours chaleureuse qui est venue nous ouvrir et nous installer dans la salle, bientôt rejointe par une autre de ses collègues, qui était son total contraire, une grande brune fine qui elle ne souriait pas souvent. Il restait dix minutes avant l’épreuve, et on a fait ce qu’on fait toujours dans ces cas-là. Les consignes qui ne servent pas à grand-chose, les vérifications d’identité, les paroles supposées nous rassurer mais qui avaient l’effet contraire.
Naima s’était positionnée juste devant moi. J’espérais faire aussi bien qu’elle. Assise, je sentais le sperme sortir de mon anus venant maculer mes chairs et le collant, et en attendant, comme un réconfort, je repensais à la queue bougeant en moi et à l’orgasme que j’avais eu.
A neuf heures pile, les femmes ont ouvert l’enveloppe, ont pris chacune la moitié des sujets pour les distribuer. C’était parti pour 45 minutes.
J’ai pris mon stylo et j’ai commencé à parcourir le QCM. Me rendant compte, au fur et à mesure que je CONNAISSAIS les réponses. Précautionneusement, mais en m’efforçant de ne pas perdre de temps, j’ai glissé de page en page. A la demi, j’avais fini. J’ai relu. Je n’aurais pas mis autre chose.
J’ai vu, à son attitude, que Naima avait également bouclé.
On s’est levées, de concert, sans l’avoir calculé, et on a été rendre nos copies.
—Vous ne voulez pas profiter du quart d’heure de plus pour relire ?
—Ca devrait aller, a dit Naima.
On avait de toute façon autre chose en tête.
On avait dérobé un matin l’un des passes de la femme de ménage. Sans scrupules mais aussi sans regret. Elle avait un trousseau avec une demi-douzaine de passes identiques. Pendant que je faisais le guet, elle était dans une salle avec son chariot, mais elle avait malencontreusement laissé la clef dans la serrure, porte ouverte, le genre d’erreur qui aurait pardonné si on n’était pas passées par là. Dans ce grand local, sans fenêtre, elle y avait son chariot, un petit évier, et une armoire pour ses produits, ainsi qu’une petite table. Elle finissait, on s’était renseignées, son service à neuf heures. On pouvait donc profiter sans souci du local. C’était bien ce qu’on avait fait.
Le couloir était désert. A partir du hall central, il y avait cinq couloirs, comme les cinq branches d’une étoile. On s’est engagées dans la deuxième. Vision rassurante, la pièce de la femme de ménage était là. J’ai fait le guet, pendant que Naima débloquait la porte. On s’est glissées à l’intérieur, en refermant.
J’ai attaqué la première, passant les mains autour de sa taille pour venir défaire le bouton qui fermait son pantalon de vinyle, et tirer la fermeture éclair. Elle est restée immobile, frémissant en me laissant faire. J’ai descendu le pantalon, faisant jaillir ses fesses à l’air libre, après qu’elles étaient été comprimées par le vinyle. Sous le pantalon, elle n’avait pas de culotte, contrairement à ce que je pensais, mais un string rose pale, qui s’enfonçait dans le sillon profond qui se dessinait entre ses deux fesses rebondies que je retrouvais avec plaisir. J’ai tiré le cordon sur le côté et, appuyant sur sa croupe sur l’ouvrir, une main sur chaque volume, j’ai plongé sur sa muqueuse anale, la langue la première. Au bout de ma langue, j’ai senti le renflement de sa muqueuse, et le goût de sa merde. Elle avait du chier avant de partir de chez elle, et elle n’avait pas pris le temps de se laver. Elle a gémi, alors que ma langue tournait sur l’une de ses parties les plus intimes, appuyant sur ses plissements avant de venir me planter au cœur de la muqueuse, et de faire aller et venir ma langue pour qu’elle se dilate. Ce qui a été le cas, me permettant de remonter plus loin dans son conduit anal. J’ai glissé ma main entre ses cuisses, pour venir rejoindre ses doigts à elle, qui frottaient d’une manière frénétique ses lèvres et son clitoris. J’ai collé ma main sur la sienne, pour suivre son mouvement. A travers ses doigts, je sentais son clitoris, et le dessin irrégulier de ses lèvres.
—J’ai eu envie toute l’heure que tu me baises… Il y a des matins, je me réveille, j’ai la chatte en feu, mais ce matin, je me suis pas branlée… Je savais qu’on allait se voir…
J’ai poussé ma langue en elle, avec l’idée d’aller de plus en plus profond, Elle s’est mise à râler, et a fini par jouir, secouée par une série de spasmes, crachant ses liquides intimes qui sont venus détremper sa main comme la mienne.
Je l’avais à peine laissée, qu’elle s’est retournée, et m’a contournée, retroussant ma robe et baissant mon collant.
—Je vais te lécher l’anus moi aussi. J’ai envie de goûter au sperme qui sort de toi. Il n’en sera que meilleur après avoir séjourné dans tes boyaux.
—Tu es dégoûtante !
—Et toi, tu ne l’es pas…Tu es cent fois pire que moi… Je n’ai jamais eu l’idée de me faire remplir le rectum de sperme pour éprouver du plaisir après en le sentant couler hors de moi.
Dégoûtantes on l’était toutes les deux, à se délecter des goûts intimes de l’autre. Elle a accroché mes hanches, et elle est venue dans ma raie, donnant un coup de langue, avant de me faire un point de vue de la situation, car je n’étais évidemment pas assez souple pour apprécier de visu.
—Tu as du sperme qui te coule dans la raie, un filet, ton anus est resté à peine entrouvert, et il y a un deuxième filet de semence qui commence à sortir… Hé bé, il ne t’a pas loupée, dis donc…
Elle a commencé à me donner un coup de langue de bas en haut pour laper le filet dont elle avait parlé. C’était une zone ultra-sensible, et je ressentais un plaisir intense, qui m’a fait lâcher un gémissement. Plaisir qui est monté à nouveau à un point haut quand elle est venue juste en dessous de mes plis anaux et qu’elle a lapé l’autre filet, celui qui commençait à sortir. Elle a tourné sur moi, allant et venant dans ma raie, même si elle avait bu tout le sperme sorti, puis venant tourner sur ma muqueuse anale.
Quand elle s’arrêtée, elle m’a dit :
—Tu as envie de quelque chose d’autre ?
—Tu penses à quoi ?
—Comme je savais qu’on se verrait ce matin, je t’ai préparée une surprise… Attends, ne regarde pas !
J’ai senti du vent derrière moi, et qu’elle bougeait. J’aurais pu risquer un œil en arrière, d’autant que le miroir, dans l’axe, m’aurait donné une image d’elle… J’ai préféré garder la surprise.
J’ai compris quand j’ai senti quelque chose de dur contre ma cuisse. A ce moment-là, j’ai jeté un coup d’œil, et j’ai vu qu’elle s’était métamorphosée. Le pantalon et le string aux genoux, sa chair était tout sauf nue, et elle s’ornait d’un magnifique gode, noir, long et épais, dans un plastique brillant qui capturait la lumière. Le gode était attaché à sa taille par une série de lanières qui le maintenaient en place. L’ensemble masquait son sexe. Dans son regard brillait une envie, sombre et sauvage. Elle ne le savait pas, mais c’était la première fois qu’une fille allait me prendre avec un postiche, et je trouvais l’idée irrésistible. Sans vraiment me demander mon avis, considérant que le silence avait valeur d’accord, elle a amené la tête de plastique contre les lèvres de mon sexe. Elle les a frottées, pour lubrifier la tête du membre artificiel avant de me pénétrer lentement. Que Naima puisse ainsi me pénétrer, quelque chose que je n’avais jamais envisagé avant… Oui, elle m’avait bien pénétré avec ses doigts, sa langue, mais c’était différent, une sorte d’accomplissement, un point d’orgue dans une relation dont je ne savais pas si elle aurait une suite, même si je l’aurais d’évidence souhaité. Elle m’a remplie, et ça a été… Plus que bon… L’idée que Naima puisse ainsi me pénétrer, comme s’il lui était poussé une queue, et c’était vrai dans un sens, me mettait dans tous mes états. C’était un peu un rêve, et une manière de concrétiser le lien qui pouvait exister entre nous. C’était vrai qu’une pénétration, c’était une des manières les plus marquées de marquer un rapprochement, et que malheureusement c’était difficile d’envisager entre deux filles… Sauf par ce biais…
Elle m’a besognée, alternant les rythmes… Elle se donnait à fond, ce n’était pas une demi-mesure, et dans un rêve éveillé, aux contours de fantasme, elle avait une véritable queue, qui lui était poussée, et pas un postiche, pour me prendre. J’ai très vite joui, traversée par un orgasme, puis d’autres sont venus, alors qu’elle escrimait pour me donner du plaisir mais aussi qu’en même temps, elle atteignait également le plaisir, le souffle court.
J’ai regardé ma montre.
—Il faut qu’on parte. On ne peut pas rester là indéfiniment.
On s’est rajustées, heureuses de ce moment partagé. Je suis sortie la première, après avoir très délicatement entrouvert la porte, pour examiner la situation. Le couloir était vide. Elle est sortie à ma suite et on a quitté les lieux ensemble.
J’ai eu la réponse à la question à laquelle je me posais alors qu’on finissait d’escalader les marches…
--Il y a quelque chose que je dois te dire…
Je me suis retournée vers Naima avec un mauvais pressentiment. J’ai été surprise par son visage. C’était la première fois que je la voyais ainsi. Totalement différente. Il y avait quelque chose de dur et de totalement changé dans son expression.
—Ecoute… Je voulais un final flamboyant pour notre relation, mais aujourd’hui c’est fini entre nous. J’ai pris du plaisir avec toi pendant trois mois, ça a été très bien, mais il est hors de question d’aller au-delà. On a été attirées l’une par l’autre, on a eu du sexe ensemble, c’était ce que j’attendais de toi, et sans doute ce que tu attendais de moi, mais nous n’appartenons pas au même monde.
Je l’ai regardée, interloquée. Moi qui avais rêvé de prolongements.
—Je ne vois pas très bien pourquoi…
—Moi, je suis déjà en poste… Et j’ai des protections… Mon concours je l’aurai, même si j’ai zéro là… Toi, tu es une pauvre fille, tu auras peut-être le concours, mais pour le poste…
—Ca n’est pas très important, tu ne crois pas ?
Je lisais pourtant dans ses yeux le mépris qu’elle avait pour moi…Nous avions fait cours commun, il y avait eu d’innombrables moments de sexe entre nous, mais nous n’appartenions pas au même monde…Et c’était certainement vrai. Il y avait dans son expression une telle dureté et un tel mépris que j’ai compris que ça ne servait à rien d’insister. Pour mieux encore me faire comprendre que c’était fini, elle a pris la clef du cagibi dans son sac, et elle l’a jetée sur le sol. Elle s’est éloignée, alors que je jetais un ultime coup d’œil sur ce qui m’avait attiré vers elle, ses hanches et ses cuisses pleines, sa croupe charnue, qui tendaient le pantalon en vinyle.
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Histoire de JamesB

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