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Sexe sur un palier

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/01/2024

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SEXE SUR UN PALIER



C'est sur le journal que j'ai lu la proposition faite par Martial Tabouleau et ça a orienté mes choix pour mes deux soirées, celle de Noël, et celle du 31 décembre.
J'habitais dans cette petite ville de province depuis peu, mais je le connaissais bien. Ancien footballeur professionnel, il avait ouvert plusieurs magasins dans la ville, un de sport et un autre de décoration, mais aussi une agence de voyages.
L'article annonçait sa volonté d'ouvrir une table dans un local prêté par la mairie, pour ceux qui passaient les fêtes seuls. Il suffisait d'amener un plat, une boisson et on pouvait s'installer.
Les années passent et ne se ressemblent pas. L'année précédente, je vivais encore avec Sophie. Une ravissante blonde que j'avais rencontrée au début de l'année, et avec laquelle il m'apparaissait évident que si j'arrivais à passer le cap du premier anniversaire de notre relation, les choses n'iraient pas plus loin. Difficile d'expliquer ce qui n'allait pas entre nous, et surtout COMMENT on en était arrivés là. D'abord chaleureuse, elle était devenue, au bout de quelques mois, capricieuse, irritable, se plaignant de tout, et surtout de moi. Nos relations étaient de plus en plus tendues. Le seul point positif, c'était que quand on se réconciliait, c'était dans le sexe, et la tension qui se libérait donnait lieu à des moments très forts. Mais ce n'était pas suffisant, et j'avais fini par partir.
Cette année, donc, j'étais seul. Sans amertume, ni nostalgie. Je n'avais plus de famille, j'avais été adopté, et mes parents étaient morts. Et je n'étais pas tant préoccupé que ça par le fait de passer les fêtes seul. Mais cette occasion de convivialité me plaisait. J'aimais l'idée que ceux qui restaient sur le carreau puissent se retrouver le temps d'une soirée. J'étais représentant, je gagnais plutôt bien ma vie, mais j'avais toujours été du côté des sans-espoirs, de ceux que le destin ne gâte pas, qui sont différents.
Quand je suis arrivé, sur le coup de 19 heures, il y avait déjà du monde, une vingtaine de personnes dans la grande salle. L'organisateur avait prévu large, et il avait eu raison, Très rapidement ça s'est rempli. L'installation était simple, des tréteaux, des chaises. Tout le monde avait fait un effort vestimentaire, fut-ce une veste. Moi j'avais opté pour un smoking, acheté deux ans plus tôt pour une occasion exceptionnelle.
Le couple d'hôtes, Tabouleau et sa femme, accueillaient. Eux aussi s'étaient mis sur leur 31. Costume pour lui, une jolie robe pour elle. Sa femme était ravissante. Pourtant, ce n'est pas elle qui a vraiment attiré mon attention. Et ça s'est fait un peu plus tard.
Les personnes qui arrivaient avaient toutes amené un ou deux plats, disposés le long d'une table qui s'est très vite garnie. Il y avait de quoi nourrir un régiment, et tout était très appétissant.
La salle s'est remplie. Contrairement à ce que j'avais pu imaginer, il n'y a eu aucune tension, et les gens dont la plupart, je l'imaginais, ne se connaissaient pas, ont commencé à parler entre eux. Très naturellement. Alors que sans doute, dans un autre cas, une autre assemblée, ça n'aurait pas été le cas.
C'est un peu plus tard que je l'ai remarquée. Et si je l'ai remarquée, c'est parce qu'elle me regardait. Elle était blonde, un visage plutôt rond, avec des pommettes très hautes et très marquées, maquillée, avec une robe de soirée rouge qui soulignait un corps tout en courbes, très grande, et encore grandie par les talons, ils devaient faire neuf centimètres, de cuissardes d'un cuir noir et luisant qui prenaient ses jambes jusqu'à ses cuisses, visibles parce que la robe était courte. Elle avait énormément de charme. Et je semblais lui plaire.
Je me suis dit que ça serait bien une étreinte d'un moment. Quelque chose sans conséquence. Le plaisir d'avoir un corps de femme dans les bras. On ne se reverrait pas, la relation n'aurait pas le temps de se dégrader comme celle que j'avais cru construire avec Sophie.
Et puis elle s'est tournée vers son voisin, un homme, et ça n'a plus été d'actualité.
On s'est croisés et recroisés dans la soirée. Avec regard ou absence de regard.
Je ne m'attendais certainement pas à ce qui s'est produit au moment où on finissait le dessert. Il y avait suffisamment de bûches qui avaient été faites pour que chacun en ait une part.
J'ai senti une présence derrière moi et je me suis retourné. J'étais posé à une table, elle debout derrière moi.
La voir de loin, puis de près, c'était un monde de différence. J'ai pris l'épaisseur de son corps, la chaleur de son corps, l'odeur de son parfum, quelque chose comme de la violette, de plein fouet. La robe était collante, plus qu'on ne pouvait s'en rendre compte de loin, soulignant des formes pleines, qui contrastaient avec une taille fine. Surtout, elle avait un très joli visage, dont la dissymétrie faisait tout le charme, et de magnifiques yeux bleus. J'avais toujours adoré les yeux bleus.
--Viens j'ai envie de sexe avec toi. Je connais bien les lieux. Je sais où on sera tranquilles.
J'ai été surpris. Pas tant qu'elle me propose qu'on ait du sexe ensemble, mais plutôt de ce basculement. Elle ne m'avait pas semblé spécialement intéressée par moi, même si nos regards s'étaient croisés plusieurs fois.
Peut-être parce qu'elle percevait quelques réticences chez moi, elle a eu un geste dont je devais comprendre qu'il la caractérisait bien. Un geste audacieux. Je m'étais retourné vers elle. Elle a attrapé ma main et elle a glissé sous la robe pour venir la plaquer contre son mont de Vénus. Ca m'a fait tout drôle. Depuis un an, je n'avais plus touché un corps de femme. Très déçu, et parce que Sophie, qui avait été si infecte, représentait pour moi un apex, elle avait un corps de rêve, hyper sexy, hyper désirable, je n'avais pas eu envie de toucher une autre fille. Pour moi, il y avait d'autres plaisirs, et je préférais me masturber en repensant à elle, à ce qui s'était passé entre nous...Difficile d'oublier son corps, le plaisir que j'avais eu avec une fille imaginative, à qui rien ne faisait peur...
Le contact de ce mont de Vénus me ramenait à la réalité. Des sensations très fortes qui m'ont fait penser que j'aurais peut-être du ne pas m'enfermer dans ma bulle et aller vers une femme. Un regret soudain alors que je sentais contre ma paume le renflement de son sexe, ses lèvres qui appuyaient contre moi, le poids d'un clitoris lourd, mais aussi sa mouille, qui, au contact de ma main, est devenue plus abondante, la saturant. Par réflexe, j'ai frotté. Elle a fermé les yeux et gémi.
--Je suis en feu ce soir. J'ai envie de sexe. Viens.
Cette caresse avait un effet magique. Elle me ramenait à la vie. Aux femmes. A un sexe qui ne soit pas purement onanisme.
J'ai remonté ma main de sous sa robe, et je suis venu laper ma paume. Une pellicule luisante dont j'ai aimé le goût.
Puis je me suis levé, et on est partis ensemble. Pour où? Je n'ai eu qu'à la suivre. Elle connaissait parfaitement les lieux.
Au fond de la salle, juste en face, j'avais bien remarqué des portes à double battant, ouvertes, et quelques marches. Il y avait un escalier, disgracieux comme le reste de cette bâtisse impersonnelle, construite pour l'usage avant tout. Il y avait quelque chose dans le bâtiment qui me rappelait plus ou moins l'architecture uniforme et grise de l'Allemagne de l'Est des années 40 et 50.
C'est peut-être pour tenter d’égayer un peu les choses que je me suis arrêté sur le deuxième palier. Les bruits, les discussions, les murmures étaient loin. Je l'ai attrapée par les hanches et je me suis laissé tomber à genoux devant elle. Comprenant sans doute où je voulais en venir, elle a relevé sa robe. Dessous, je l'avais bien senti, elle n'avait pas de slip. Juste une paire de bas stay-up accrochés à mi-cuisse. J'avais sous les yeux son sexe, dilaté d'excitation. Ses lèvres sorties, toutes gonflées, et un gland clitoridien étonnant, gros, long et épais. Ses chairs étaient luisantes de sa mouille. Je suis venu donner un coup de langue en travers de ses lèvres. Elle a poussé un gémissement de plaisir, pendant que je me remplissais la bouche du goût de sa mouille. Elle a gémi alors que ma caresse se faisait plus précise, que je glissais le long et entre ses lèvres, inondé par ses jus intimes.
--Tu lèches bien, elle m'a dit. Les hommes ne savent pas lécher. Toi si. C'est tellement rare.
Sous l'effet de ma caresse, son sexe s'ouvrait, laissant voir ses muqueuses internes, roses. La bouche pleine de son foutre, je suis remonté sur son gland clitoridien. Je n'en avais jamais vu un comme le sien, et j'ai compris qu'au lieu de le caresser de la pointe de la langue, ou de la pulpe des doigts, je pouvais le sucer. Je l'ai pris dans ma bouche, sensation étrange. C'était la première fois que je bouffais un gland clitoridien comme ça. C'était un peu comme si j'avais sucé une bite. A ceci près que je n'avais jamais sucé une queue.
Le gland clitoridien remplissait une bonne partie de ma bouche et j'ai exercé un mouvement de va-et-vient dont je n'imaginais pas qu'il puisse avoir un tel effet sur elle, même si j'étais bien conscient que le gland clitoridien était une des parties les plus sensibles d'un corps de fille, et des plus susceptibles de lui donner du plaisir. Elle s'est mise à gémir, puis à crier, quand, très vite, les orgasmes sont arrivés, qui l'ont secouée. Heiureusement, le brouhaha en bas était si fort, des gens s'étaient mis à chanter, que ça couvrait ses cris. Elle éjaculait des jets de mouille copieux, qui sont venus arroser mon vissage et mes vêtements.
--Arrête, j'en peux plus, je vais perdre la raison si tu continues de me faire jouir.
On était sans doute partis pour monter ailleurs, dans des toilettes par exemple, mais on est restés là sur ce palier. Certains auraient trouvé sans doute la situation inconfortable, mais ca nous convenait à l'un comme à l'autre. C'est souvent dans les lieux incongrus, inconfortables, qu'ont lieu les plus beaux moments. On savait qu'on allait rester là.
--Tu as un gland clitoridien toi aussi, elle m'a dit, et je suis sûre qu'il est très gros.
Elle voulait vérifier, évidemment, et elle est venue poser ses mains sur mon pantalon pour me défaire. Elle a trouvé ma queue, très raide, gorgée de sang et de désir. J'étais très dur, autant parce qu'elle me plaisait énormément que parce que, j'en étais bien conscient, je n'avais pas eu de rapport avec une femme depuis longtemps, et retrouver un corps féminin me mettait dans tous mes états. J'avais cru qu'on pouvait vivre sans un corps de femme. Je me rendais compte que c'était au final bien difficile, pour ne pas dire impossible. Même si le plaisir tout seul ça pouvait être très fort.
J'ai frémi quand elle est venue envelopper ma queue de la main. Sensation chaude et douce. Elle m'a caressé très doucement, Je n'ai pas pu m'empêcher de gémir, alors que je sentais mon liquide pré-sementiel couler avec autant d'abondance que ses jus à elle.
--Toi, ça fait longtemps que tu n'as pas eu une femme, elle m'a dit. Mais tu sais, ça fait longtemps que je n'ai pas eu d'homme non plus.
--On s 'est bien trouvés, finalement.
Elle s'est laissée glisser à genoux, et elle est venue me caresser de la langue. Une langue souple et habile qui a tourné sur mon gland, est descendue le long de ma tige, jusqu'à venir sur mes couilles. Elle caressait vraiment bien, et j'appréciais énormément qu'elle promène sa langue sur moi ainsi plutôt de me faire aller et venir dans sa bouche.
Elle s'est interrompue un instant pour me proposer :
--Je te sens tout palpitant...Si tu veux jouir...Je te prends dans ma bouche...J'ai envie de boire ton sperme. Après tu viendras dans ma chatte. J'ai envie de me sentir remplie, t'as pas idée.
Des envies précises. Qu'elle m'a communiqué. Elle m'a pris dans sa bouche, me faisant glisser dans sa cavité buccale. J'ai été entouré par sa chair, sa chaleur, son humidité. Sensation très forte...Elle m'a décalé un peu, après m'avoir pris jusqu'à sa gorge, et elle est venue pousser la pointe de sa langue dans mon méat. Peut-être parce qu'elle avait un doute, elle est venue en plus caresser mes couilles, les comprimant doucement. Une caresse à laquelle je ne m'attendais pas, et qui m'a donné un plaisir fou...Je n'ai pas tenu très longtemps, et j'ai poussé un cri. Un orgasme puissant m'a déchiré en deux, et j'ai senti mon sperme sortir, jet après jet, qu'elle a laissé couler dans sa gorge. Elle m'a gardé en elle, lapant les restes de semence qui coulaient de mon méat,
Quand elle m'a libéré de sa bouche, j'étais toujours aussi dur. Aurait-ce été le cas si je n'avais pas été sevré du contact avec une femme pendant un an ? Difficile à savoir. Elle me troublait terriblement, alors peut-être que si j'avais fait l'amour de manière plus régulière, les choses auraient été identiques.
On savait où on allait tous les deux. Elle a tiré du réticule qui pendait à ses côtés une boite de préservatifs. Avait-elle espéré un rapport sexuel ce soir même? Après tout, elle avait provoqué ce qui s'était passé entre nous...Elle a attrapé l'un des emballages d'argent, l'a déchiré pour faire apparaître une rondelle de latex huileuse. C'est d'une seule main qu'après l'avoir posé sur mon gland, elle l'a faite glisser le long de ma verge quasiment jusqu'à la racine de ma queue.
Elle était debout devant moi, je me suis approché, et je suis rentré en elle, la surprenant parce qu'elle envisageait sans doute une autre position. Ma queue ne pouvait rentrer en elle que pour un tiers, et certainement pas en entier, mais c'était suffisant pour qu'on ait tous les deux du plaisir. Elle a fermé les yeux et s'est mise à gémir, alors que je faisais bouger le tiers de queue fiché en elle, et qu'elle m'arrosait de ses jus intimes qui dégoulinaient sur le latex, le long de ma queue, jusqu'à la racine de celle-ci. Elle gémissait, et sans doute que j'aurais gémi aussi si une sorte de pudeur ne m'en avait empêché. C'était bon, sacrément bon d'être dans son sexe, de sentir sa chaleur et son humidité autour de moi. Et le fait de n'être que d'un tiers en elle faisait paradoxalement partie de mon excitation.
Mais ce qui était bon aussi c'était de changer de position.
On était totalement coupés du monde, de ce qui se passait en bas. Dans notre plaisir. Si d'autres avaient la même idée que nous....Je crois bien qu'on aurait continué quand même...
Elle s'est penchée en avant sur la rampe d'escalier et je suis venu me glisser en elle différemment. Sa croupe sous ls yeux, pleine, charnue, coupée en deux par un sillon profond. Ma queue est rentrée plus loin, plus profond, et le long soupir qu'elle a poussé disait sans aucun doute sa satisfaction. La mienne aussi, celle d'aller plus profond, plus loin en elle. Sentir la vulve d'une femme autour de moi, c'était un plaisir immense que je retrouvais avec joie.
--Je suis entrain de jouir, elle m'a dit.
Si j'avais pu en douter, son corps a été secoué de spasmes, elle a crié et éjaculé, des jets de liquide qui nous ont éclaboussés...J'ai continué à la fouiller, mais la jouissance est aussi arrivée pour moi...
La suite a été particulière. Un autre couple s'était calé à l'étage du dessous, Assez ironiquement, ils ne nous avaient pas perçus, autant parce qu'on était dans l'ombre que parce que notre recherche du plaisir avait été silencieuse. Les voir arriver nous avait aiguillonné à jouer les voyeurs, et à rester silencieux alors même que nous jouissions. La fille était brune et fine, très grande, encore grandie par ses talons. Elle était avec un gars qui n'était pas aussi grand qu'elle, mais c'était tout sauf un problème. Pour se donner du plaisir, gardant leurs bouches collées, ils se sont masturbés mutuellement. Elle l'a défait, faisant jaillir un sexe congestionné, avant de soulever sa robe, sous laquelle elle n'avait pas de slip. Décidément c'était une contagion...Elle avait une toison brune, taillée en ticket de métro, mais un ticket de métro qui montait haut, et large, bien que rasé sur les côtés. Ils se sont caressés mutuellement, elle faisant aller et venir sa main sur son membre, alors que lui effleurait cette toison qui le fascinait, elle me fascinait aussi, avant de descendre vers ses lèvres, et le clitoris fin et décalotté. On venait de jouir, ma partenaire et moi, mais ce spectacle nous a donné un regain d'envie, et nous nous sommes trouvés à quatre à chercher du plaisir, dans une communauté dont deux membres ne savaient même pas qu'ils étaient associés à nous. Je me suis remis à bouger dans la vulve de ma partenaire et j'ai compris qu'elle se caressait le gland clitoridien en sentant le mouvement de sa main sur elle, en même temps que le jeune couple se masturbait mutuellement. On a joui quasiment en même temps. La fille a éjaculé avec puissance, tandis que l'homme crachait son sperme dans les airs et sur la chair de la fille. Plusieurs traits de semence ont atterri en travers de sa chatte.
Ils sont redescendus. Nous on est restés là encore un moment.
--On n'est pas obligés de redescendre à travers la grande salle. On peut passer par l'arrière.
Je sentais se dissoudre l'accord qui avait pu exister entre nous, basé sur le sexe. Un moment bref, trop bref, mais qui avait été très fort. Qui m'avait convaincu en tout cas de revenir vers des femmes.
Elle m'a accompagné alors que je traversais, à l'étage où nous nous étions calés, un long couloir sombre et silencieux, pour arriver à un autre escalier. On est descendus pour nous trouver devant une double porte vitrée.
--Espérons qu'ils ont désactivé l'ensemble des alarmes.
C'était bien le cas.
On est sortis à l'extérieur. La nuit était fraîche. On s'est regardés. J'ai failli lui dire que j'avais envie de la revoir, mais quelque chose m'en a empêché. Plus tard je me suis rendu compte que je m'étais dit 'Ce qui a été un moment doit rester un moment' et que j'avais été bien con. J'aurais du me rendre compte qu'elle aussi avait envie qu'on se revoie. Parce que ce moment avait été délicieux, et qu'on pouvait en espérer d'autres.
On est partis chacun de notre côté.
C'est le lendemain que j'ai commencé à avoir des regrets. Avec du recul, je me suis rendu compte qu'elle me plaisait, et que j'aurais pu lui demander son numéro de téléphone ou lui donner le mien, pour qu'on se revoie. Mieux vaut le remords que le regret...Si elle avait dit non, sur le moment ou plus tard...Et là...Je ne voyais pas vraiment de solution. Personne ne se connaissait avant. Je me suis décidé à appeler les organisateurs, je suis tombé sur l'épouse à qui ma description ne disait rien.
C'est sans doute en grande partie parce que j'espérais la revoir, mais aussi parce que j'étais toujours seul, et que j'avais énormément apprécié la première soirée que je suis arrivé à la soirée du 31. Le même couple pour nous accueillir, et toujours autant de monde. Mais pas les mêmes personnes. Il était vrai que la soirée de Noël et celle du Nouvel An étaient deux univers différents.
J'ai espéré un long moment qu'elle arrive avant de me rendre compte que ce n'était pas le cas. La soirée n'avait pas la même teinte. Et le spleen qui s'est abattu sur moi, mes espoirs se désintégrant, m'a fait comprendre que j'avais vraiment envie de la revoir.
On était pas loin de minuit, et on venait de finir le dessert quand quelqu'un m'a tapé sur l'épaule.
Je me suis retourné.
C'était elle.
Ne pas l'avoir vue pendant une semaine m'a conforté dans ce que je pouvais ressentir. Oui, elle était magnifique, et elle me plaisait. Elle avait choisi, pour la soirée du 31, une robe en cuir qui la moulait, et des bottines lacées avec des talons aussi hauts que fins.
--Je n'espérais pas te revoir, je lui ai dit.
--Moi non plus. On a été idiots l'un comme l'autre. On aurait du échanger nos numéros de téléphone.
--Sur le moment, j'ai pensé que ce rapprochement imposait une relation sans lendemain. Et que de plus tu n'avais pas forcément envie de me revoir.
--Et j'ai pensé la même chose.
--Viens, je suis garée plus loin sur l'avenue.
Il y avait un petit parking devant la salle, mais il était déjà plein, donc elle s'était mise ailleurs. Elle a attrapé ma main alors qu'on marchait de concert, les talons de ses bottines claquant sur l'asphalte. Elle s'est arrêtée quand on a été sur l'avenue, on n'était pas loin de minuit, et des clameurs montaient des maisons. Elle est venue chercher ma bouche et on s'est embrassés longtemps. Elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon et elle m'a masturbé doucement.
--J'ai envie de sexe. Là, maintenant. Viens, regarde, on va partir dans cette petite rue. Il y a des zones d'ombre partout.
On s'est glissés dans une ruelle pavillonnaire. Un devant de pavillon fermé, un arbre comme paravent. Le lampadaire plus loin. Elle a été récupérer un autre préservatif dans un autre sac, et elle l'a posé sur moi. Puis elle s'est laissée aller contre le pin, soulevant sa robe jusqu'à son nombril, et mettant une jambe à l'équerre pour que je puisse la pénétrer. Je suis rentré en elle, excité par la situation, peu orthodoxe. Rien à voir avec ce qui pouvait se passer dans un lit, mais c'était ça qui était bien. J'aimais les situations décalées, et je soupçonnais qu'elle aussi. On allait se retrouver à faire l'amour à travers la ville plutôt que chez elle ou chez moi.
Je ne rentrais pas totalement en elle, mais ça ne nous à pas empêché d'avoir du plaisir, et surtout de sentir le plaisir monter entre nous. Ma queue allait et venait dans ses chairs et j'avais l'impression d'être plus gros à chaque fois. Je la sentais couler autour de moi, arrosant ma queue, mon pubis, mais aussi ses jambes. Incapable de tenir plus longtemps, j'ai joui le premier, crachant mon sperme dans le préservatif, qui est venu taper contre les parois internes de son vagin et a déclenché sa jouissance. Il m'a semblé que chaque nouveau jet de sperme provoquait un nouvel orgasme, mais ça aurait été bien présomptueux de le penser. On a fini par se bouffer la bouche, collés l'un à l'autre.
Il était pas loin de minuit. Des cris venant des maisons, des feux d'artifice. Elle a fait glisser le préservatif le long de ma queue, en bloquant le réservoir, et elle est venue verser la semence sur la surface de sa langue, l'avalant rasade par rasade.
--Démarrer ensemble l'année, c'est bien, non?
Elle m'a attrapé par le coude.
--Viens finir la nuit chez moi.
On s'est éloignés. Elle était garée un peu plus loin. Je suis monté à ses côtés. Elle m'a ramené chez elle.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Sexe sur un palier

Le 05/02/2024 - 15:17 par OlgaT
Une soirée mémorable!

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