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Six ans d'attente

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Lue : 25005 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 25/10/2007

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Six, depuis qu’un couple s’est installé dans la villa d’à côté. Il a fallu au moins six mois pour qu’une relation de voisins s’installe. Marie (nom fictif), la voisine est mon type de femme: 1m70, brune, avec des hanches juste comme il faut. Dès le début, une relation de bonne qualité s’est installée entre elle et moi.

Entre voisins, nous organisions des repas ou des pique-niques en commun. Au fur et à mesure, je sentais bien que j’étais attiré par elle. Nous nous arrangions pour nous retrouver à côté ou en face, et pouvoir discuter.

Il me semble qu’elle n’était pas insensible au pouvoir qu’elle avait sur moi. Malgré tout, loin de moi de tenter quoi que ce soit, étant donné les bonnes relations que j’entretenais avec son mari.

Je n’étais pas avare de service quand son mari n’était pas là. Et je pensais qu’elle aussi n’était pas indifférente à mon « charme ». Pourtant, il n’y avait rien entre nous. D’année en année, je me sentais attiré par elle et la réciproque me semblait vraie.

J’avais remarqué qu’elle avait la fâcheuse habitude de se baisser pour me montrer ses fesses, pour ramasser une clé, prendre son fils dans ses bras. D’autant que ces gestes elle ne les faisait pas en mon absence, ou plutôt quand elle croyait que je ne la voyais pas.

De repas en rencontres, je m’étais résigné à ne rien tenter pour ne pas gâcher notre amitié. Je me décidai à ne rien provoquer et à ne plus faire du charme à Marie.

C’est ainsi que depuis plusieurs mois, je ne l’interpellais plus pour un bonjour ou une discussion. C’est elle qui venait me parler et, en l’absence de nos conjoints, elle faisait durer la conversation plus que de raison.

Cela faisait bien trois mois que je la fuyais, ignorant ses courbettes quand elle rentrait le midi pour remettre en place le tapis d’entrée quand j’étais dans le jardin et qu’elle savait que je la regardais.

Puis, un jour pluvieux, mes enfants étant allés chez elle pour jouer avec ses deux enfants, je me retrouvai seul quand le téléphone sonna.

- Bonjour, c’est Marie, je n’ai plus de sucre…

- J’en ai si tu veux, mais tu viens chercher…

- Donnes-moi cinq minutes, je prends une douche et j’arrive.

- Tu veux un thé ?

- Oui. À tout de suite…

Je faisais couler le café pour moi et infuser le thé en attendant qu’elle arrive.

Elle cogne à la porte, je lui dis d’entrer et remarque tout de suite qu’elle a mis une robe qui laisse apparaître, en partie, ses cuisses.

- Tiens t’es en robe, c’est assez rare.

- Tu aimes ?

- Oui, ça te va bien…

- Tu veux du sucre dans ton thé ?

- Oui, mais pas trop.

- Je t’ai mis du sucre de côté…

On était débout dans la cuisine, moi contre l’évier, elle en face contre le lave-vaisselle. Nous avons, en buvant, parlé du temps et de ce que faisaient nos enfants chez elle. Ayant bu son thé et moi mon café, je pensais qu’elle allait repartir. Mais en s’approchant de l’évier, donc de moi, elle me dit :

- Tu es fâché après moi ?

- Non, pourquoi ?

- J’ai l’impression que tu me fuis…

- Qu’est-ce qui te fait dire ça ?

- Plein de choses. Mais j’aimerais te poser une question. Je suis quoi pour toi ?

- Hou là, difficile de répondre…

- N’hésite pas…

- Très sincèrement, on se connaît depuis pas mal de temps et je ne veux pas qu’on ne se parle plus…

- De quoi tu as peur ?

- Qu’on ne se cause plus…

- Dis-le et on verra bien.

- Ecoute, tu es jolie et sexy, tu me plais, je n’arrête pas de penser à toi, mais je ne veux pas que ces pensées…

- Si cela peut te rassurer, tu me plais beaucoup, je dirais même que je fantasme sur toi…

- Ah bon.

- Oui, après chaque moment passé ensemble, je suis toute chose. Et j’ai toujours attendu un geste, un pas de ta part…

- Ce n’est pourtant pas le discours que tu tiens.

- Je ne veux pas éveiller le moindre soupçon de nos conjoints…

J’étais à ce moment à trente centimètres d’elle, j’osai mettre ma main sur sa taille. Elle se retourna et m’embrassa à pleine bouche. Je resserrai l’étreinte et sentis mon membre grossir contre son ventre.

Alors que je l'embrassais dans le cou, elle passait la main sur mon torse et descendait tout droit vers la braguette de mon pantalon, en prenant bien soin d’appuyer sur ma bite.

Très vite mon dard était entre ses mains, et elle entamait un va-et-vient très lent. Je continuais à lui embrasser le cou et nos bouches se sont rejointes pour un baiser intense. Je posai une main sur ses fesses et très vite je lui ai remonté la petite robe pour chercher le contact. À ma grande surprise, elle était en string, et ce contact chair contre chair me fit bander au point de croire que mon membre allait exploser entre ses mains.

- J’aime toucher tes fesses.

- Je sens ça…

Très lentement, sans cesser le va-et-vient de sa main gauche sur mon chibre, elle m’embrassait la poitrine à travers ma chemise et descendait jusqu’à arriver à hauteur de mon membre qui ne demandait qu’à s’enfoncer dans sa bouche.

C’est d’abord la tête de mon pénis qui a eu droit à sa bouche. Très lentement elle m’aspirait le gland, jouant au passage de quelques coups de langue. De sa main droite elle fit tomber mon pantalon et baissa mon slip pour laisser apparaître mes couilles.

Je pensais qu’elle allait gober mon membre dans sa bouche, je n’attendais que ça, mais elle a commencé à lécher mes couilles puis la hampe de ma queue en prenant soin d'en faire tout le tour. Puis elle me prit dans sa bouche en mettant ses mains sur mes fesses. Millimètre par millimètre, jusqu’à ce qu’elle se retire pour me dire qu’elle aimait aussi le contact de ses mains sur mes fesses.

Elle se remit à l’ouvrage en me demandant de lui tenir la tête pour donner le rythme. Je ne voulais qu’une seule chose, que cela dure. Je prenais soin de ralentir ses va-et-vient en essayant d’aller le plus loin possible au fond de sa bouche.

Cela faisait bien deux minutes qu’elle était là à me sucer le sexe quand je lui pris la tête entre les mains pour lui dire que je voulais la prendre :

- Je ne peux pas, je suis en règle…

Déception pour moi, qui avais toujours rêvé de sa chatte. Sentant ma déception, elle reprit mon membre en bouche, et en aspirant de plus en plus fort. J’étais au bord de l’explosion de sperme, quand le téléphone sonna. Je décrochai; c’était son mari qui effectuait un passage chez elle.

- Salut. Marie est chez toi ?

Pendant ce temps, elle continuait à me pomper, accroupie.

- Oui, on boit un thé, tu veux venir boire un café ?

- Oui j’arrive…

Que faire ? Elle continuait sa fellation, et je lui annonçai que son mari allait arriver.

- Il te reste une minute pour jouir dans ma bouche, vas-y lâche-toi.

A ces mots je lui tins la tête pour imprimer un rythme plus soutenu. Pendant ce temps, elle me tenait les couilles d’une main et de l’autre contrôlait la profondeur de l’entrée de mon membre dans sa bouche.

J’ai explosé en elle. Trois grosses giclées en m’enfonçant au plus loin dans sa bouche. Pas une goutte n’a été perdue, elle a tout avalé, m’a aidé à remettre mon slip et mon pantalon, m’a embrassé sur la bouche et nous avons entendu Michel (nom fictif de son mari) cogner à la porte.

- Entre, ton café est presque prêt.

- Je ne fais que passer, je suis venu chercher des outils. Juste le temps d’un café et je repars…

Marie en profita pour se resservir un thé et moi un café. Après son café, Michel est reparti en nous souhaitant une bonne journée. « Fautifs », nous nous sommes regardés, avons souri et je ne pus m’empêcher de lui demander :

- Tu ne crois pas qu’il va se douter de quelque chose ?

- Non, parce que je lui ai toujours dit du mal de toi, ne voulant pas faire face à des questions à notre sujet.

- Du mal ?

- Oui des bêtises; que je te trouvais macho, égoïste.

Nous nous sommes enlacés, embrassés, j’en ai profité pour lui caresser à nouveau les fesses.

- Tu bandes toujours !

- C’est que tu me fais beaucoup d’effet. Je voulais te faire l’amour et je le veux encore.

- Ce n’est pas possible, je suis en règle.

- Et alors ?

- Si tu penses à la sodomie, jusqu’à maintenant cela s’est très mal passé avec Michel. Même si des fois j’en ai envie… Je voudrais bien essayer avec toi, mais pas aujourd’hui. Ta femme m’a dit qu’elle le pratiquait souvent avec toi…

- Parce que... vous parlez de ça ?

- Oui une fois, quand je lui ai parlé de la routine qui s’installait entre Michel et moi…

- Comment ça routine ?

- On ne le fait plus que dans le lit et en position de vieux couple.

- C’est ce qui explique aujourd’hui ?

- Non, j’ai toujours eu envie de toi. Et je regrette vraiment de ne pouvoir aller plus loin aujourd’hui. Je te promets de me donner à toi à 100%.

- Quand ?

- A chaque fois que tu en auras envie.

- J’en ai encore envie…

S’approchant de moi, elle a défait mon pantalon, a commencé à me masturber en me promettant de me satisfaire quand bon me semblera. Elle m’embrassa et me demanda de jouir sur son visage.

Sentant l’orgasme arriver, je l’ai fait descendre à la bonne hauteur et j’ai joui sur son visage avant de m’enfoncer à nouveau dans sa bouche.

- Bon, il faut que je parte. À très bientôt…

Elle m’embrassa une nouvelle fois, je lui pelotai les fesses et je me suis collé à elle avec mon membre contre la raie de ses fesses.

- Il faut qu’on se trouve une après-midi tranquille, Marie…

- Vendredi si tu es libre; tu me dois deux orgasmes…
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