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Son retour, sa surprise

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Lue : 9298 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/03/2009

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Assise à l’aéroport, je l’attendais. Un long voyage d’affaire l’avait retenu pendant plusieurs semaines à New-York. Je m’ennuyais tant de mon amour, et en plus j’avais une grande faim de l’avoir en moi. J’avais refusé de me masturber en attendant son retour. Nous nous étions promis de ne pas se laisser aller à nos instincts primaires pour jouir dans nos mains. Cela n’avait pas été facile! Je le voulais. Je mouillais déjà à l’idée de la surprise que je lui avait préparé pour son retour. Je savais qu’il m’aimait éperdument, je ne m’inquiétais pas du fait qu’il ai pus choisir de se laisser tenté pour briser le jeûne.

Le voilà! Mon cœur criais à son amour et je mouillais encore plus. Heureusement, j’avais une jupe ample noir… avec des bas filet noir expressément acheter pour nos jeux… Ses cheveux bruns cour, toujours en bataille, son torse puissant, il était grand, plus que moi, mince et musclé comme un coureur de vitesse. Je rêvais, depuis son départ, à ses grandes mains puissante qui se glissaient entre mes cuisses. Son visage inquiet regardait de tout les côtés. Il me cherche, je le sentais dans mon cœur, dans mon âme. Nos regards se rencontrèrent. Je vis son soulagement et son regard brun me déshabiller. Un éclair vicieux se glissa dans ses yeux. Il me prit dans ses bras et m’embrassa tendrement. Ses lèvres douces posées doucement sur les miennes, sa langue fouilla délicatement ma bouche. Ses mains sur mes hanches. Doucement, à l’abri de son long manteau, il effleura mon intimité. Il se rendit compte de mon humidité, il vit aussi l’éclair de plaisir et de désir dans mes yeux qui trouva un écho dans les siens.

Nous allâmes chercher son sac et nous partîmes, une main sur mes fesses, vers l’auto parquer dans l’allée. Nous fîmes un détour par le parc pour faire du «parking». Incapable d’attendre, nous nous jetâmes l’un contre l’autre. Presque un mois d’abstinence, c’est long! Sans même se soucier s’il y avait des voyeurs, il m’enleva mon chandail et mon soutien gorge. Il lécha mes seins, les mordilla, les pinça doucement. Il me regarda dans les yeux, une lueur d’amour et de passion. Ses mains trouvèrent aisément le chemin de ma jupe. Mes mains trouvèrent sans problème comment détacher son pantalon et essayait de le lui enlever en même temps qu’il essayait de faire la même chose avec ma jupe. Sans avoir eu le temps de réfléchir, nos deux vêtements se retrouvèrent de côté. J’étais sexy, en culotte de dentelle rouge avec mes bas filet et lui avait encore son chandail. J’entrepri de le lui retirer. J’admirais son torse puissant, ses muscles saillaient. J’effleurais du bout des ongles ses abdominaux. Mes mains montèrent jusqu’au cou pour descendre sur ses bras. Ses biceps se contractaient à mon contact, impossible de retenir le frisson qui le parcourait. Il se mordait la lèvre inférieure, ses mains se promenaient sur mon corps, s’attardent sur le haut de mes cuisses, là où mes bas prenaient fin et s’attachaient avec ma culotte de dentelle rouge. Son pénis en érection me faisait envisager certaines possibilités amusantes mais qui nuiraient à la surprise que j’avais prévu pour lui.

Néanmoins, je lui fit une fellation comme j’en avis. Mes lèvres se promenaient autour de son pénis. Je mis une testicule dans ma bouche en le regardant droit dans les yeux. Mon visage expressif ainsi que les gémissement que je produisais lui faisait envisager que j’aimais ce début de fellation presque autant que lui. Je mis l’autre testicule dans ma bouche et je la suça, doucement en la tournant dans ma bouche. Je lécha derrière ses testicules en les gardant dans ma bouche, je les collaient ensemble avec ma langue et ensuite je les séparais en passant ma langue entre les deux et je recommençais, toujours délicatement, amoureusement. Parce que je l’aime. Il me regardait faire, une main poser sur mon épaule, l’autre près de son pénis. Je pris son pénis dans une main, de l’autre je me massais doucement le sexe par-dessus ma culotte qui devenait rapidement humide. Je me masturbais doucement pendant que j’embrassais son pénis. Je mouilla mes lèvres de salive et ensuite je mis ma bouche sur son pénis très dur. Je serrais mes lèvres en un O parfait et j’entourais son gland de mes lèvres en m’assurant de toujours le regarder dans les yeux.

Doucement, ma langue lécha le gland. Je suçais doucement son gland en même temps que mes lèvres se resserraient un peu et que ma langue léchait tout le gland. Je fis un anneau avec mon indexe et mon pouce juste devant mes lèvres. Je fis plusieurs aller retour, très rapide puis je ralentis la cadence, en le regardant toujours. Je mouillais à l’avoir dans ma bouche. Doucement, je changea de position, je voulais me mettre à ses pieds. Sans le lâcher, je bougeais doucement vers la gauche. Voyant mon bassin venir près de lui, il y glissa deux doigts. Je m’éloigna de lui rapidement en me plaça à ses pied, sous le volant de l’auto. Il retira ses doigts et les lécha en me regardant droit dans les yeux, Ses yeux étaient maintenant que des lanternes où jouissait le plaisir.

-Conduis-nous à la maison, lui demandais-je.

Il me regarda, souri, et obtempéra. Il conduisit jusqu'à notre maison et moi je continuais à lui faire une pipe qu’il se souviendrait. Quand il devait arrêter à une lumière, ou à un stop, je suçais plus vite et plus fort. Quand il roulait sur l’autoroute en essayant de se dépêcher pour arriver chez nous, je ralentissais. Notre maison de campagne apparus ainsi que deux de mes amies qui nous attendaient à l’entrée. Il grogna de rage et de dépit. Je souris devant son regard. Il resta étonné de me voir sortir de l’auto simplement habiller de mes bas filet et de ma culotte de dentelle rouge. Mes deux amies, malgré la chaleur ambiante, portait un long manteau et étaient nue pied. Je ne pensais pas qu’il avait compris. J’allais au devant de lui.

-Vous avez tout arrangé?
Elles me firent signe que oui puis entrèrent dans la maison sans se préoccuper de mon compagnon.

Je me tournais vers lui au moment où il sortait de la voiture son bagage.

-Laisse, on s’en occupera plus tard. Viens.

Je le pris par la main et l’emmena dans les sous bois, à la clairière près du ruisseau. Je le sentais fâché à cause de mes amies. Je m’en réjouissais d’une certaine manière. Arrivés à la clairière, les mains de mon amour trouvèrent le chemin de mes hanches. Il se mit à genoux devant moi et fit glisser sa langue dans l’espace entre la culotte de dentelle rouge et mon chandail pendant que ses doigts descendaient lentement le long de mes bas et de ma culotte. Il m’embrassa les cuisses et ma culotte, puis l’enleva. Ma chatte complètement rasé, sauf pour un petit chemin velus, le fit sourire, comme toujours. Il commença par m’embrasser tendrement ma chatte. Puis, il m’embrassa le clitoris en passant délicatement sa langue dessus. Doucement, il y mit un peu plus de pression en roulant sa langue autour de mon clitoris. Ma respiration s’accélérait, mes mains étaient posé sur sa tête et ma tête était rejeté par en arrière. Mes jambes écartées démontraient l’avidité que j’avais à le sentir continuer. Il se releva et me pris dans ses bras. Doucement, il me couchait dans l’herbe. Il se remit entre mes jambes et sa langue repris sa douce besogne. Puis, son doigt remplaça sa langue. Son doigt faisait des rond sur mon clitoris et l’agitait en tout sens.

Puis, soudainement, il me pénétra avec son doigt, juste pour dire qu’il était entré. Je bougea le bassin afin de le faire entré plus profond, mais il retira son doigt en souriant et recommença à jouer avec mon clitoris. Mon plaisir monta en flèche. Il continua comme cela jusqu’à ce que je lui hurle de me pénétré. Il s’en donna à cœur joie. Il commença doucement, en me pénétrant lentement en me regardant droit dans les yeux. Puis, il fini par accepté ce que je lui demandais, ce que mon corps hurlait. Le bruit que faisait sa main en heurtant ma chair me faisait gémir. Je gémissais, je criais au plaisir et à la jouissance. Pendant environ une dizaine de minutes, il fit tout ce qu’il pouvait avec ses doigts pour me faire venir, pour que je hurle, pour que j’ai un orgasme. Il sentait mon corps se durcir et demander plus, plus de force, plus de vitesse. Il alla de plus en plus rapidement, de plus en plus fort jusqu’à ce que j’ai l’orgasme à l’intensité qu’il souhaitai me faire avoir. Je hurlais, je criais son nom aussi for que me le permettais ma voix. Je savais qu’il allait bientôt me pénétré avec son pénis et venir en moi bientôt, mais je ne le laissa pas faire. Je lui pris la main et couru jusqu’à la maison.

À l’intérieur, mes amies se préparaient dans la chambre d’ami. Il ne savait pas que mes amies étaient à l’intérieur alors je l’entraînais vers la chambre d’ami. Lorsqu’il y pénétrait, il vit mes deux amies en longs manteaux et en talons hauts d’une dizaine de centimètres. Partout dans la chambre il y avait de petites chandelles parfumer qui dégageaient un savant parfum. Mes deux amies s’approchaient de lui et le prirent par la main. Il s’installait sur le lit pendant que mes deux amies se déshabillaient devant lui. Je m’assis à côté de lui et le regardait. Son visage exprimai le bonheur. J’étais contente que ma surprise lui faisait plaisir. Doucement, je me penchais sur son bas-ventre et je suçais juste le gland, juste le bout de son pénis. Il gémissait à mesure que les filles finissaient par se déshabiller l’une l’autre et que je le suçais à peine. Je savais qu’après qu’il soit venu une fois, sa prendrait beaucoup plus de temps avant qu’il ne vienne une seconde fois. Il vient enfin en moi quand les deux filles commencèrent à se masturber l’une et l’autre, ensemble. Il poussa un gémissement de plaisir intense et de désir.

Quand il est venu dans ma bouche, il me regardait dans les yeux, une main sur mes cheveux. J’avalais avec un gémissement de délice. Je me relevais doucement et il se jeta sur moi en m’embrassant et en me masturbant. Je le repoussais en riant et je me leva pour aller voir mes deux amies, assise par terre. Je me joignis à elles. Ma langue traçais des cercles de feu autour de la poitrine parfaite de Suzie et mes doigts pénétraient Annie. Elle était couchée sur moi et me mangeait pendant que je la pénétrais. Suzie s’approchait de mon chum. Il souriait et lui toucha d’abord le ventre ensuite ses mains montèrent plus haut. Je les ai perdu de vue quand Annie se retourna pour me faire face et m’embrassa avec fougue. La douceur du sexe avec une femme est impressionnante mais ce qui m’impressionne le plus, est avec qu’elle dureté elle était douce. Elle me pénétrait avec force avec ses doigts alors qu’elle m’embrassait doucement mais avec passion. Nous nous levâmes pour rejoindre Suzie qui le suçait. Annie se plaça sur son visage affin de se faire manger et moi je plaça ses doigts dans mon vagin. J’entendais les autres filles gémirent et crier, j’entendais les bruits de succions. Les doigts de mon chum qui faisaient exactement ce qu’il fallait, rapide et fort. J’aimais entendre le bruit que cela faisait lorsque sa peau se cognait sur la mienne. J’entendais Annie venir et se lever. Elle se leva et alla dans la pièce d’à côté.

Elle revint après quelque temps remplacer mon chum. Elle mit sa bouche sur ma chatte et suça le jus. Sa langue passait autour de mon clitoris gonflé, ses doigts se promenaient sur mon corps. Suzie faisait l’amour à mon chum et je les entendais, j’entendais leurs peaux se cogner l’une à l’autre et je senti mon plaisir augmenter.

Un autre homme fit son entré dans la pièce. Adam, un ami de la fac. Annie m’avouait qu’elle l’avait appelé en se souvenant qu’il avait été mon premier. Elle se leva et le pris par le bras et le présenta à tous. Adam se jeta dans la mêler. Déjà en érection, il vient me voir et m’embrassa, un peu maladroit et gêné. Je le fit asseoir sur la chaise et je lui enlevai son pantalon et sa chemise d’un coup de rage. J’embarquai sur lui et le chevauchais doucement jusqu’à ce qu’il ferme les yeux de bonheur et de plaisir. Ensuite, je le chevauchais sauvagement. Je le grafignais, le mordais, je m’empalais sur lui le plus rapidement possible et plus fort possible. Il criai en même temps que moi. J’éprouvais le besoin ardent de le mordre, de sentir ses doigts me grafigner le dos, le besoin de sentir ses dents sur mon cou, sa langue autour de mes seins.
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Histoire de hathor1990

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