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Tel père, tel fils

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Lue : 13383 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/10/2016

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Les enfants sont grands maintenant et cet été nous nous retrouvions sans eux pour partir en vacances. C'était la première fois en presque 20 ans et j'avoue que cette idée m'angoissait. Pierre, mon mari, proposa d'aller dans le sud de la France et de louer une maison non loin d'amis de longue date qui y avait déménagé. Carole et Thierry arrivaient comme nous sur la cinquantaine et comme nous avaient désormais de grands enfants. Dès notre arrivée, nous passâmes les saluer. Cela faisait 4 ans que nous ne nous étions pas vus mais nos retrouvailles furent celles de bons amis s'étant quittés la veille. Luc leur fils était présent. Il venait d'avoir 20 ans et j'eus du mal à le reconnaître. Grand brun au physique très avantageux, il me déshabilla du regard une bonne partie de la soirée et cette nuit là, j'eus le sommeil agité en pensant à lui. Cela me troubla énormément et je me sentais honteuse d'avoir été troublé par un garçon qui aurait pu être le mien.

Heureusement, il n'était pas souvent chez ses parents et je ne le recroisais pas durant la première semaine de nos vacances. Nous partagions nos journées entre bronzage sur la plage avec Carole, tandis que nos maris profitaient des greens des golfs voisins, et bons repas tous ensemble.

Le week-end arriva et alors que Carole et moi étions installées sur la plage en mode topless, Luc vint nous rejoindre. Il avait trouvé un job d'été et était de ce fait absent la semaine. Quand venait le week-end, il rentrait chez papa et maman. Il fit la bise à sa mère et m'embrassa également. Je trouvais sa bise appuyée. Il s'installa à nos côtés et je décidais rapidement de me coucher sur le ventre après avoir vu son regard dévorer mes seins.

J'étais très troublée et tentais de ne rien laisser transparaître devant lui et surtout devant sa mère.

L'après-midi se passa tranquillement. Le soir, de retour à la maison, j'étais toujours aussi troublée par le jeune homme et sa façon de me regarder. Mon mari en fit les frais pour son plus grand plaisir, puisque je lui sautais dessus et après l'avoir gratifié d'une bonne fellation, je me plantais son sexe entre les cuisses. Excité par mon comportement inhabituel, Pierre me baisa littéralement comme une traînée sur le rebord du canapé.
Essoufflés, dans les bras l'un de l'autre, il me questionna pour savoir si j'allais bien... ce à quoi je ne répondis qu'avec un large sourire!!!

Le lendemain, Carole et Thierry nous avaient invité pour le déjeuner. A la fin du repas, Thierry proposa un tour en bateau. Carole n'avait pas trop envie et c'est donc sans elle que nous accompagnâmes son mari. Luc se joint immédiatement à nous. Pierre n'a pas trop le pied marin et cela se vérifia rapidement... après 5 minutes en mer, il rendit son repas par dessus le garde-corps. Le tain verdâtre, Thierry insista pour revenir vers la marina. Il était un peu déçu de ne pas avoir pu nous faire profiter d'un endroit idyllique accessible uniquement en bateau mais l'état de santé de son ami le préoccupait. On accosta de nouveau. Pierre n'était pas bien mais insista pour que cela ne nous gâche pas l'après-midi et demanda à Thierry de m'emmener voir ce fameux coin. Il insista tellement que quelques minutes plus tard, il nous regarda nous éloigner du port. Je l'observais de loin reprendre la voiture. Il allait se reposer et c'est Thierry qui me raccompagnerait ce soir.

Je m'installais à côté de notre ami qui pilotait le bateau. Luc m'observait toujours en coin, zieutant sur mes cuisses, dévoilées par un petit short et sur mes seins cachés par un débardeur.
Après 45 bonnes minutes de balade le long des côtes, on arriva à proximité d'une petite crique très sauvage dont l'accès ne pouvait se faire que par la mer. On voyait au loin le sable fin et blanc d'une petite plage. L'endroit était superbe. Thierry retira son tee-shirt et son bermuda sous lequel il portait son maillot de bain et me proposa de le suivre.
- je n'avais pas prévu qu'on se baigne... j'ai rien pris??!! lui dis je embêtée.
- ah mince... bah c'est pas grave... à part Luc et moi, y'a personne ici.. tu peux te baigner en culotte!
Je vis alors le regard excité de Luc qui venait de se mettre lui aussi en caleçon de bain. Les deux hommes plongèrent dans l'eau cristalline. Sur le pont et sous le regard du père et du fils, je quittais mon short, dévoilant un string blanc. J'hésitais un court instant et quittais mon débardeur et mon soutien gorge, faisant apparaître ma poitrine aux deux hommes qui n'en loupaient pas une miette.

Je plongeais à leurs côtés. Le bateau était à une centaine de mètres de la plage et après quelques brasses, j'avais pied. Thierry sortit de l'eau et s'allongea sur le sable, rejoint par Luc. Les deux hommes me regardèrent sortir de l'eau. Je sentais leur regard sur toute les parties de mon corps, c'était très troublant et très intimidant. En plus je savais que le fin tissu blanc de mon string trempé ne devait rien caché de mes petites lèvres...

- Alors Estelle? c'est pas beau comme endroit!!
- Si magnifique. ça valait vraiment le coup!!
- Luc me disait que de te voir sortir de l'eau valait vraiment le coup aussi!!! dit il en riant aux éclats, faisant rougir d'un coup son fils qui lui jeta un regard noir.
Je souris avec tendresse et un peu de gêne également.
Je m'assis dans le sable à leur côté. Thierry s'était allongé, la nuque posée sur ses mains. Dans un moment furtif, mes yeux passèrent sur son maillot de bain qu'une bosse volumineuse déformait. Je détournais immédiatement le regard, de plus en plus troublée par la situation.
Luc me regarda à ce moment là et eut un large sourire, les yeux brillants d'excitation.
Je regardais alors vers l'horizon, essayant de calmer mon coeur qui s'affolait.

Après une dizaine de minutes en plein soleil. Thierry se releva et proposa qu'on regagne le bateau. Je me levais à mon tour et Luc me suivit. Je sentais son regard dans mon dos, je le devinais posé sur mes fesses ou la cambrure de mes reins. De retour sur le bateau, Thierry me proposa de m'installer à l'avant pour sécher au soleil.
- si ta culotte a du mal à sécher, retires là... dit-il sur le ton de la plaisanterie.

Je décidais de leur jouer un tour et debout devant le poste de pilotage et sous leurs regards médusés, je fis glisser le fin tissu jusqu'à mes pieds, découvrant mon sexe tout lisse. Je me penchais vers la vitre derrière laquelle Thierry n'avait rien raté et posais mon string dessus avec un grand sourire.

Thierry me sourit en retour et je me couchais sur une serviette, intégralement nue.

Après quelques minutes, une ombre me cacha soudain le soleil. J'ouvris les yeux derrière mes lunettes de soleil et vis à contre-jour la silhouette de Thierry qui me regardait sans aucune pudeur.
- tu veux que je te mette de la crème ? me demanda-t-il

Sourire au coin des lèvres, je lui répondis qu'il pouvait si cela lui faisait plaisir.

Il se frotta les mains et prit le tube de crème. A genoux à côté de moi, il étala consciencieusement la crème sur mon ventre, remontant sur mes seins, les malaxant ce qui eut pour effet immédiat de les faire durcir. Il descendit ensuite vers mon entrejambe, effleurant mon sexe plusieurs fois. Je dois avouer que je commençais à être sérieusement excitée et mon sexe se lubrifiait dangereusement... le point de non retour était proche...
- tu permets que Luc vienne parfaire son éducation me souffla Thierry à l'oreille.
Un sourire de ma part lui donna le feu vert.
- Luc vient voir de plus près les charmes d'Estelle...

Je sentis alors de l'autre côté la présence du jeune homme. Thierry continuait de me malaxer l'intérieur des cuisses, chauffant de plus en plus la zone. Je me tournais sur le côté et ses mains continuèrent leur balade sur mes fesses. J'étais désormais face à Luc qui regardait timidement la scène. J'approchais ma main de son caleçon et la glissais à l'intérieur. Il eut un petit mouvement de surprise mais laissa échapper un grand soupir quand je me saisis de son sexe. Je n'en revenais pas de la taille de son engin. Ma main peinait à en faire le tour. Je l'extirpais du vêtement et découvris presque avec effroi un sexe énorme de plus de vingt centimètres au gland gonflé de désir.
- ahah!!! tel père tel fils lança Thierry.

Je me tournais alors vers lui et découvris qu'il avait baissé son maillot de bain et arborait également un sexe long et gros. Je n'en revenais pas de voir de tels spécimens. Je n'ai pas eu une foule d'homme dans mon lit mais là je tenais le pompon. Jamais je n'avais vu des sexes aussi gros.
- occupes toi d'abord de Luc... depuis le temps qu'il en a envie!!
Je sentis son sexe tout près de mon visage, j'ouvris la bouche et il l'enfourna entre mes lèvres. Je me mis à le sucer comme si j'étais possédé, gobant le gland lisse et volumineux du jeune homme. Je malaxais en même temps les bourses lourdes qui pendaient. Je sentis alors le souffle chaud puis la bouche humide de son père sur mon sexe. J'écartais largement les cuisses et le laissais fouiller mon intimité. Il me lécha, me suça, m'embrassa le sexe avec expérience et je ne pus retenir un orgasme bruyant, à peine étouffé par le sexe qui déformait mes joues.
- viens là Luc, elle est prête à te recevoir.

Il se retira de ma bouche et vint se positionner à genoux entre mes cuisses. Je sentis le gland s'enfoncer en moi, écartant tout sur son passage. Il me remplissait merveilleusement bien. Son père ne resta pas à l'observer, il vint m'enfiler son sexe jusqu'à la gorge et se mit à me baiser la bouche en lents vas et viens.

Luc ne résista pas longtemps et jouit en longues saccades au fond de mon vagin. Je voyais son visage épanoui et heureux. Il débanda très vite et se retira.

Thierry s'assit et je vins à quatre pattes continuer de le sucer avec plaisir et envie. Luc derrière moi me flatta les fesses, il avait vite repris de la vigueur car je le sentis me reprendre en levrette. Quelle jeunesse et quelle fougue, il me baisa sauvagement et me procura un nouvel orgasme. Cette fois-ci, je ne retenais pas mes cris de plaisir. Il ne s'arrêta pas pour autant et continua d'aller en moi avec vigueur. Thierry se caressait devant mon visage et je sentis bientôt les jets de sperme s'écraser sur mes joues et mes lèvres, il jouissait abondamment, aspergeant mon visage.
- c'est bon hein salope, t'aime ça les grosses queues... vas y Luc, défonce là, elle adore ça...

Ses paroles finirent d'exciter son fils qui hurla en se vidant pour la deuxième fois au fond de moi.
Il s'écroula sur la banquette derrière lui. Je sentais le sperme du jeune homme couler le long de mes cuisses.
Je m'assis à mon tour pour reprendre mes esprits.

- Luc je te laisse prendre la barre... je vais profiter encore un peu de notre amie... dit-il en me prenant par la main.
Il m'entraîna à l'intérieur du bateau dans la cabine où un matelas accueillit nos corps enlacés. Contre mon ventre son sexe redevenait dur...
- Estelle, depuis des années que l'on se connaît, je rêve de tes fesses... ton mari a sûrement déjà dû te prendre par derrière...
Je fis oui de la tête... c'est une pratique courante que j'apprécie beaucoup mais vu le calibre de Thierry, j'étais un peu inquiète...
Je me tournais et plaquais mes fesses contre son bas ventre. Il frotta son sexe au mien et se servant de ma mouille mais également du sperme qui s'écoulait, il me lubrifia le petit trou. Il commença alors à pousser lentement sur ma rosette. Le gland se fraya un chemin et ce fut une libération quand il passa complètement. J'avais l'impression qu'ils étaient deux derrière moi tellement la sensation était nouvelle.
- quel cul... mais quel cul grognait-il derrière moi. Il me saisit les seins et se mit à m'enculer à grands coups de reins. C'était bon de sentir sa queue dans mon fondement. Je me caressais pour jouir en même temps que lui.
Il me saisit par la gorge et me fit tourner la tête, nos lèvres se soudèrent et nos langues s'emmêlèrent. Il continuait de me prendre en rythme. J'étouffais mais cris. Il me fit légèrement basculer et je me retrouvais à plat ventre. Tout son corps était sur moi et il continuait d'aller et venir en moi, me faisant ressentir chaque centimètre de son sexe. Je le sentais prêt à jouir, il semblait encore grossir!!
- viens là m'ordonna-t-il... viens me sucer!!
Il se laissa tomber à côté de moi, le sexe en érection qui pointait vers le plafond de la cabine. Je le repris en bouche et m'appliquais sur ce morceau de choix. Il murmurait des mots crus comme "salope tu suces bien... t'as une bouche à pipe... quel con j'ai été de ne pas te baiser plus tôt... tu l'aimes ma grosse queue... " Tout cela m'excitait au plus haut point et j'avais de nouveau glissé une main entre mes cuisses et me doigtais comme une folle.
- je veux jouir dans ta bouche et je veux que tu me pompes jusqu'au bout!!
Il me tenait par les cheveux et me regardait droit dans les yeux.
Je continuais mes succions et je sentis son foutre monter le long de la hampe. Il explosa littéralement sur ma langue. Je ne quittais pas son regard, accueillant avec plaisir son sperme. Je vis son air satisfait.
J'avalais tout pour son plus grand plaisir. Alors que cela m'avait toujours rebuté, je trouvais le goût agréable et je pris plaisir à le nettoyer complètement...
Il me prit dans ses bras et nous échangeâmes un long baiser. J'étais morte et je m'assoupis dans cette position.

De retour à la marina, ils me réveillèrent et me raccompagnèrent à notre maison. Pierre allait mieux et accueillit son ami les bras ouverts et le remercia de s'être occupée de moi... s'il savait...!!!??
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