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Tempête en mer

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Lue : 1400 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/05/2021

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Flore, ma ravissante épouse, et moi, décidons pour nos cinq ans de mariage, de nous offrir une croisière en mer le temps d’un week-end. Mais pas la croisière sur un géant des mers, mais un bateau, que pour nous deux.
Un matin, je me rends donc au port, pour me renseigner sur les locations.
Je trouve un bateau qui correspond tout à fait à nôtre budget. Vingt mètre de longs, une grande cabine, avec un grand lit, une seconde un peu plus exiguë, salon, coin repas. Bref, ce que nous recherchions.
Un hic cependant, il faut le permis bateau, ce que nous n’avons pas.
Le gérant me propose alors, les services de Fred, ancien capitaine de ferry. Du reste, il se fait toujours appeler capitaine.
Je décide donc, de rencontrer ce fameux...capitaine.
Je dois avouer que Fred n’a pas été aidé par dame nature. Il n’a pas un physique de jeune premier hollywoodien, loin s’en faut. Pas en tous cas, un de ce qui peut attire une femme, et encore moins Flore, qui, par ailleurs, est d’une fidélité à toute épreuve et en qui j’ai toute confiance.
Fred est un homme d’une quarantaine d’années, célibataire. Et pour cause. D’après es échos, il n’a jamais, de près ou de loin, touché une femme, encore moins baisée. Il est encore puceau.
J’ai du mal à le croire, car de nôtre époque, le physique n’est un critère de rejet. Mais bon, c’est un autre sujet.
Je le présente tout de même à mon épouse.

-Flore, tu es là chérie...
-Dan...je suis en haut mon amour, je descends..
-Je viens te présenter nôtre conducteur.
-Bonjour monsieur, dit mon épouse.
-Heu...bonjour madame, répond Fred, certainement éblouis par la beauté de Flore.
-Nous pourrions partir quand, demandais-je.
-Le temps de remplir les formalités...disons demain matin, quand les pêcheurs seront rentrer. La navigation sera plus fluide.
-Parfait, ajoute Flore, ça me laisse le temps de préparer les affaires.

Une fois que Fred est parti, mon épouse me fait gentiment remarqué, que j’aurai pu choisir un homme plus jeune, mais surtout, plus beau.
Avant de signer le contrat, je tiens à préciser à Fred, que c’est une croisière pour fêter nos cinq ans de mariage, et de ne pas être surpris s’il assiste à des scènes habituellement réservés en privé. D’autant que mon épouse est assez pudique.
Il comprend très bien, et me fais les gestes de ses mains.
« Rien voir, rien entendre »
J’en fais part à Flore pour la rassurer.

A neuf heures pétantes, nous voila sur le port, en train d’embarquer. Il fait une journée magnifique. Du reste, mon épouse s’est habillée dans le ton des vacances d’été. Un petit short moulant, et un petit haut à bretelles, laissant apparaître ses seins, par l’échancrure des manches. Le tout monter sur des chaussures compensées.
Quand à moi, un bermuda et un sweater.
Fred, lui, a prévu des vêtements sobres également, mais aussi des habits de plongés, des cirés au cas ou il pleuvrait. Le baroudeur prévenant.
La mer, est une mer d’huile.
Une fois au large, on se met à l’aise. Flore adopte un maillot deux pièces, mettant en valeur son superbe corps. Des seins haut perchés, bien durs, bien droits, à peine couvert par le haut du maillot. De quoi remplir la main d’un homme...ou d’une femme.
Elle s’allonge à l’avant du bateau pour bronzer.
Je m’approche d’elle, et lui recommande de mettre des lunettes de soleil, et pourquoi pas ôter le haut de son maillot, pour faire seins nus. Après tout, nous somme en croisière, et seul…
Elle me dit qu’elle ne voudrait pas offusquer Fred. D’autant que celui-ci, de par la grandeur du pare brise de la salle des commandes, a une vue imprenable sur la plage de bateau. Mais, je sens que quelque chose traquasse ma femme.

-Qui y a-t-il ma chérie, je te sens inquiète...
-Tu crois qu’on pourra faire le câlin ce soir.
-Mais bien sur mon amour, Fred doit dormir la nuit.
-Oui, mais tu sais qu’il m’arrive de hurler quand je jouis…
-Tu m’embrasseras, ça atténuera tes cris.

Effectivement, nôtre première nuit est torride. Oublier la présence de Fred, Flore se donne à fond. Après des préliminaire sulfureux, elle s’est laissé baiser, m’a tailler une pipe d’enfer. Il ne manquait que la sodomie, qu’elle refuse systématiquement, pour clôturer une nuit de folie.
Etant assurés de la discrétion de Fred, nous prenons nos aises. Nous plongeons, entièrement nus, dans l’eau bleue turquoise. Nous nageons une bonne demi-heure, puis ressortons, aidé en cela, par Fred.
Je le sens gêné, de voir la corps magnifique de mon épouse, même s’il fait tout pour détourner les yeux. Toujours nus, nous nous allongeons sur l’avant du bateau. Au bout d’une dizaine de minutes, je décide d’aller chercher un short.
Quand je reviens, je remarque, à travers une vitre latérale, que Fred, dévore Flore des yeux. A tel point, qu’il a sorti sa queue de son caleçon.
Elle est colossale, et je pèse mes mots. Elle est en érection, totalement décalottée. La paire de couilles qui l’accompagne, est assortie au reste. Je comprends mieux pourquoi il souriait de me voir nu.
Je rejoint mon épouse,en me gardant bien de lui dire ce que j’avais vu.
Mais tout arrive à se savoir...et à se voir allongés .
Un soir ou on prenais le frais sur nos transats, quand Fred sortit de l’eau, nu comme un ver.
En voyant les attributs du capitaine, Flore me prit le bras.

-Mon dieu...tu as vu ce qu’il pend entre ses jambes.
-Oui, reconnais-je, il a de quoi satisfaire une femme.
-Tu l’as dit...quel dommage.
-Eh...tu ne voudrais pas l’essayer.
-Rentrons, poursuit Flore.

Une fois dans la cabine, Flore me tire sur le lit, arrache mon caleçon, et me saute littéralement dessus. La vision de cette énorme queue, l’aurait-elle excitée..
Je l’ai pénétrée de suite, sans difficulté, tant sa chatte était mouillée. Les gémissements résonnaient dans la cabine. Un, puis deux orgasmes parviennent à la calmer, mais un instant seulement. Elle se rut sur moi, s’empale sur ma bite. Elle s’écroule sur mon torse, quand elle jouit pour la troisième fois. La relation a été très intense. J’ai juste le temps de tirer le drap sur nous, que Fred rentre pour aller se coucher.
Je devine à son sourire, qu’il a tout compris. Je lui réponds par un rictus.
Flore et moi, passons une partie de la nuit à discuter à voix basse. Je la fait mousser un peu, lui fait dire n’importe quoi.
« Tu as vu la queue qu’il a. Tu aimerais pas qu’il la mette dans ta petite chatte.»
« Ca va pas...la tienne me suffit amplement.»
« Non...juste pour essayer. Imagine la, frotter contre ton clitoris.»
« Arrêtes avec ça...c’est toi que j’aime. Je ne veux personne d’autre.»
« Dommage, j’aurai bien vu sa queue glisser dans ta chatte.»
« Tu veux savoir, ben oui, j’aimerai sentir sa grosse queue dans ma chatte...ça te va comme ça. Tu veux m’allumer, éteins moi maintenant.»

Elle me demande de la prendre en levrette, sa position préféré. Elle se lâche totalement, comme si elle voulait que Fred l’entende jouir. C’est sur qu’avec les cris de plaisir qu’elle envoie, il doit entendre.
Cette nuit m’a beaucoup éprouvé. Aussi, je profite d’une grasse matinée.
Quand je me réveille, vers neuf heures du matin, je m’aperçois que Flore n’est pas à mes côtés. Je n’entends aucun bruit, preuve que nous sommes toujours encrés. Je me lève, pars à la recherche de ma femme.
Je prends un terrible coup de massue, en voyant la scène qui de déroule devant moi. Flore et Fred, entièrement nus, sortent de l’eau. Mieux, mon épouse tient le capitaine par sa queue, et l’entraîne dans la cabine.

Je veux en savoir d’avantage. Sans bruit, je me déplace vers une vitre latérale, légèrement entre ouverte. Ce que je vois alors, me stupéfait.
Ma femme se place derrière Fred, a passe un bras autour de sa taille. Lentement, elle saisit le mandrin, le décalotte et le branle.

-Apprends moi à naviguer, lui dit-elle.
-OK...mais lâche ma queue, ce n’est pas un gouvernail
-Dommage, dit Flore, tu veux pas que je la suce avant la première leçon.
-Arrêtes, ton mari peut nous surprendre.
-Après la nuit que je lui ai fait subir, il doit dormir encore.
-D’accord, accepte Fred...passes devant.

Je vois mon épouse s’agenouiller, et prendre la queue en bouche. Fred se tend en avant, entame de lents va et vient. Sa respiration s’accélère, il ordonne à Flore de se retirer, qu’il va venir. Elle n’en a que faire, le sperme gicle dans sa bouche. Elle avale tout avant qu’il ne se retire.
Flore s’essuie d’un revers de main, et l’embrasse fougueusement.
Elle lui tourne le dos. C’est maintenant lui qui est derrière elle.
Fred prend Flore par les hanches, remonte sur les seins, caresse les bouts saillant. J’entends mon épouse lâcher un léger soupir. Puis, une main glisse plus bas, entre les cuisses, caresse les lèvres intimes, excite le clitoris. Flore gémit de plus en plus fort, lance un bras en arrière, qui s’enroule autour du coup du capitaine.

-Vas-y, rentres tes doigts...grattes mon bouton...fais moi jouir…
-Tes une petite salope toi...t’aime ça, hein...
-Oh oui j’aime ça...j’espère que tu vas me mettre un bon coup de queue...de ta grosse queue J’ai hâte de la sentir dans ma petit chatte.

La légère brise ne parvient pas à calmer les ardeurs de ma femme. Appuyée au gouvernail, elle se cambre en arrière, pour bien se faire prendre. Malgré la grosseur, la bite n’a aucune peine à pénétrer la chatte déjà mouillée. Fred envoie de violents coups reins, qui perfore les entrailles de Flore. Elle atteint l’orgasme, dans un cri de plaisir.
Et je n suis pas au bout de mes surprise. Lentement, Fred se retire, et présente sa queue à l’entrée du petit trou.
« Non...elle va pas faire ça...elle n’a jamais voulu le faire avec moi.»
Je vois le gland dilater l’œillet serré de mon épouse. Ce côté pile n’a jamais été utilisé, et c’est une queue étrangère qui en a la faveur, et qui va faire sauter le verrou. Le pire, c’est que mon épouse accepte la pénétration de cette énorme queue, sans broncher.
Je rejoins ma cabine, juste au moment ou Flore hurle de plaisir.
Je m’aperçois que la réputation de Fred était infondée, et qu’il n’est pas puceau. C’est même un baiseur chevronné.
Mais comment leur relation a-t-elle commencée.
J’attends, de la part de Flore, une explication. La voici.

« Le matin de nôtre nuit torride, tu dormais à poings fermés. Je me suis levée, et suis allé me baigner. Je plonge, et une fois sous l’eau, j’aperçois son énorme queue. Sous l’eau, elle paraissait encore plus grosse. Machinalement, je l’ai prise en main. J’ai du me rendu compte, qu’il est mieux monté que toi. Aussi, j’ai tenu à profité son calibre . Le plus dur à été de lui tailler une pipe sous l’eau. Il m’a fallu remonter à la surface pour tout avaler. Puis il m’a soulevée par les hanches, et m’a empalé sur sa grosse queue. J’ai immédiatement joui.
Puis, on s’est laissé entraîner au fil de l’eau, dans cette position, sa queue toujours encrée dans ma chatte. Il riait quand j’atteignais l’orgasme. Ce salaud n’arrêtait pas de me faire jouir. C’est juste avant de remonter sur le pont, qu’il m’a fait jouir une dernière fois. Si tu savais le plaisir qu’il m’a donné...tu m’en veux mon chéri. Je suis désolé mon chéri. Je sais pas ce qu’il ma pris. Quand j’ai vu cette énorme queue sous l’eau, j’ai subitement eu envie de la sentir dans ma petite chatte. A oui, j’ai une faveur à te demander. C’est nôtre dernière nuit de croisière, et j’aimerai que tu nous laisses le grand lit cette cette nuit…j’ai énormément envie de sa queue...aller...dis oui. Tu pourras écouter si tu veux.»

Si elle a réellement envie de coucher avec lui, que se soit ici ou ailleurs, ça revient au même. Au moins là, je sais ou elle est. J’accepte.
Effectivement, toute la nuit, j’entends Flore crier de plaisir quand elle atteint l’orgasme, et ils sont nombreux. Lui aussi je l’entends gémir se plaisir, surtout quand elle lui doit lui tailler une pipe.
Huit heures du matin, je découvre Flore blottit dans mes bras.
Soudain, les turbines entrent en action. C’est l’heure de rentrer.
Finalement, on se réjouissait de cette croisière.
On l’avait appelée «La croisière de l’amour». Elle s’est transformée en
«Croisière de l’infidélité.»
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Histoire de Aurore34

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