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Tomber dans les pommes

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Lue : 10197 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/05/2012

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Par une fin de matinée plutôt chaude et ensoleillée, puisque nous sommes à Douala au Cameroun, nous sommes réunis, mes deux belles sœurs, Stéphanie, Myrice, Prudence ma femme et moi pour passer une bonne journée ensemble. Tout d’abord, nous commençons par prendre l’apéritif et cela dure assez longtemps pour dire qu’à plus le quatorze heures, nous passons à table. Prudence nous avait préparé un superbe menu à la Camerounaise que j’avais accompagnée d’un bon vin Français.

Peu avant de sortir de table, Myrice se lève précipitamment en nous disant. Ho lala, je ne sais pas si c’est le vin qui m’a tourné la tête, mais je me sens un peu fatigué, je vais m’allonger un peu sur le lit.

La voilà parti dans la chambre, qui se trouve juste à côté, et quelques secondes après, nous entendons un bruit, comme si quelque chose ou quelqu’un était tombée à terre. Stéphanie, qui était la plus proche, se lève et se dirige vers la chambre. D’un cri, elle nous appelle en disant Mimi est à terre. Régis vient vite, je crois qu’elle est tombée dans les pommes.

Bien sûr, à ces mots, nous voilà tous les trois en moins de deux secondes dans la chambre. Nous la prenons délicatement et l’installons sur le lit. Je commence par lui défaire la ceinture de son pantalon qui lui serait la taille, puis je déboutonne son chemisier et lui hôte et pour lui permettre de respirer puis facilement, je lui dégrafe son soutien-gorge. Et là, quelle surprise. Se présente à mes yeux, une superbe paire de seins, bien ronds, ce qui m’a fait battre le cœur à cent à l’heure. Mais pour l’instant, la première chose à faire était de la faire revenir à elle. Dans un premier temps, je posais délicatement mon oreille sur sa poitrine pour vérifier que son cœur battait normalement. Une fois cela constaté, je m’inquiétais car son rythme cardiaque était un peu irrégulier. Mais au bout de quelques minutes, il est redevenu normal. Mais Mimi était toujours dans les pommes. Alors j’ai décidé de lui faire du bouche à bouche. Peut-être que ça pourrait la faire revenir. Ce petit manège dura plusieurs minutes. De temps en temps je reposais mon oreille sur son sein pour écouter son cœur, ensuite je reprenais mon bouche à bouche, jusqu’au moment où la belle Mimi commença à retrouver ses esprits. Une dernière fois, je m’approchais pour écouter son cœur battre. Mais cette fois, avant d’appliquer mon oreille, je posais ma main sur son sein et l’enfermais au creux de ma main, et je me mis à le caresser délicatement. Puis, j’appliquais une fois encore mon oreille et cette fois, le cœur de Mimi se mit à s’accélérer. Alors, je posais encore une fois mes lèvres sur sa bouche. Mais cette fois ci, je sentis sa langue rejoindre la mienne pour un baiser chaud comme la braise. Heureusement que nous étions restés seul dans la chambre. Car je me sentais un peu coupable, bien que cela soit bon. Puis Myrice, me dit à l’oreille.

- Qu’est-ce qu’il m’est arrivé.
- Tu t’es évanoui, et je viens de te réanimer.
- Mais pourquoi tu m’as embrassé ?
- Je ne sais pas. Mais je viens de te faire du bouche à bouche pendant plus de quinze minutes, et tu sais, tes lèvres sont tellement tendres et désirables que je n’ai pas pu résister à la tentation, tu vois… !
- En tout cas, c’est bien bon.

Mais, ayant peur de nous faire découvrir par Prudence et sa sœur Stéphanie, qui étaient juste dans la pièce à côté, nous en sommes restés à ce baiser en attendant de pouvoir se retrouver à nouveau seul un peu plus tard. Car Prudence devait accompagner Stéphanie qui allait prendre un bus pour rentrer chez elle dans l’Est du pays. Cela devait nous laisser au moins une heure voire même deux au mieux.

Donc vers dix-sept heures, Stéphanie et Prudence quittent la maison. Nous voilà maintenant tous les deux seuls à la maison. Et pas plus tôt le dos tourné, nous nous retrouvons dans la chambre en ayant bien pris soin de fermer la porte à clefs. Nous pouvons donc nous laisser aller à tout un tas de petites coquineries. La mise en bouche ne s’est pas fait attendre. Les vêtements de l’un comme de l’autre se retrouvent un peu partout sur le sol. Et voilà ma petite belle-sœur dénudée comme un vers. Quant à moi, ça ne prit que quelques secondes supplémentaires. Je la rejoins sur le lit. Nous voilà repartis dans une joute de baisers et de caresses qui m’emmènent très rapidement à une érection monstrueuse. Alors, Mimi prend en main la chose et l’engloutit dans sa bouche comme une morte de faim. Elle commença à la sucer avec envie. Quelques instants après, elle s’arrête de me sucer, et là, elle me dit.

- Ca fait tellement de temps que je n’ai pas eu l’occasion, que je suis un peu gourmande.
- Mais, ce n’est pas grave. Fais comme tu le sens. Pour moi c’est bon. Continu comme ça.

A mon tour, je commence à lui caresser ses superbes seins, ses hanches, et peu à peu ma main se dirige vers sa petite fente. Un doigt vient trouver l’entrée de sa grotte qui dégageait déjà uns chaleur et une odeur enivrante. Dans un premier temps, je lui caresse délicatement son clitoris et quelques secondes plus tard, les prémices d’un premier orgasme se firent sentir.

Entre deux soupirs, elle me chuchota.

- Régis, qu’est-ce que tu me fais. Mon dieu que c’est bon. Continu comme ça. Tu me fais déjà jouir.
- Attend, c’est que le début. Je vais te faire grimper aux rideaux tout à l’heure, si tu le veux.
- Oui, si tu veux. J’ai tellement envie de faire l’amour. Et en plus, avec un homme blanc, ça ne m’est jamais arrivé.
A ce moment-là, Myrice m’enjamba de façon à me coller sa chatte sur la figure, ce qui ne fut pas pour me déplaire, et elle ressaisit mon sexe en main et recommença de plus belle à le sucer.

Quant à moi, dans cette position, j’avais désormais accès non seulement à cette superbe fente brulante, mais aussi à son divin petit trou que je m’empressais à déguster tout autant et tour à tour avec application. Dans les secondes qui suivirent ma belle-sœur poussa un grand soupir et commença à gémir pour ce premier grand moment de plaisir.

Passé ce temps, elle s’assied sur le bas de mon ventre, ma verge bien raide entre ses cuisses, et tout continuant à me masturber elle me dit.

- Prend moi maintenant, fais-moi l’amour. J’en peux plus d’attendre ton gros bâtons. Il est énorme. Je n’en ai jamais connu d’aussi gros.
- A bon, tu crois… Je ne savais pas. Ta sœur m’a bien déjà dit ça. Mais, je ne le croyais pas. Pour moi, il est normal.
- Non, tous les hommes que j’ai connus n’avaient pas un sexe aussi gros et aussi long que le tien.
- Mimi, là tu exagères. Il ne fait que 17 centimètres.
- Peut être. Mais moi, je le trouve bien gros. Tout à l’heure, quand je te suçais, j’en avais la bouche et la main bien pleine.
- Oui, je reconnais qu’il est un peu gros. Il ressemble à une grosse banane Plantin.
- Combien elle mesure ta banane, 4 centimètres au moins ???
- Bon oui, je te l’accorde. Mais ce n’est pas très gros. Il y en a de bien plus grosse que ça.
- Je sens que tu vas me faire bien jouir comme une folle. Allez viens vite me la faire goûter.

Elle se leva, s’allongea sur le dos, écartant tout grand ses jolies jambes. A ce moment-là, ses désirs sonnant comme un ordre, je viens me positionner face à elle, et lentement je commence à pénétrer cette fente étroite et brulante déjà passablement humide. Dès le premier va-et-vient, Mimi se mit à gémir de plaisir. Là, elle me dit.

- Mon Dieu, que ta queue est bonne. Fais-moi monter au ciel.
- Ne t’inquiète pas ma belle. On est là pour ça, et on va y monter même tous les deux.

Après ces quelques mots, je recommence mes va et vient en accélérant peu à peu. Mais que cette petite chatte était étroite. Il me semblait faire l’amour avec une jeune fille encore vierge. Pourtant ce n’était plus le cas.
Que cette position du missionnaire est plaisante. Elle nous permet de nous observer, de nous câliner, nous embrasser comme bon nous semble.

Passé une bonne dizaine de minutes à limer cette belle chatte accompagné par les gémissements incessants de ma douce et tendre belle-sœur, je lui propose de passer à d’autres positions un peu plus coquines, une petite levrette pour commencer.

Ma savoureuse partenaire se met à genoux sur le bord du lit. Et là, quelle délicieuse image. Cette belle chatte à demie ouverte et surtout cette minuscule rondelle étoilée entre ses fesses. Je ne perds pas une seconde. Je prends mon sexe dans ma main droite, le dirige vers l’entrée du volcan de la Fournaise de ma belle-sœur Mimi.

Et hop là, voilà ma grosse banane au fond de son intimité. Dans le temps qui suivit. Ma belle Myrice reprend à fredonner sa chansonnette. Bon, les paroles sont pas très recherchées et se limitent à des ah, des oh et des que c’est bon ou bien encore, vas-y, vous voyez. Mais qu’est-ce que c’est excitant.

C’est vrai que ça donne du cœur à l’ouvrage. Bref si ma tendre amie se régale, elle n’est pas toute seule. Je l’accompagne avec beaucoup d’entrain.

Après cet épisode, nous essayons avec plus ou moins de facilité des positions encore un peu plus technique. Et nous ne relâchons à aucun moment notre étreinte. Ça fait un bien énorme. Elle voulait monter dans les nuages. Bien qu’il n’y en ait aucun aujourd’hui dans le ciel de Douala. Pour ça, c’était bien parti.

Car orgasme après orgasme, Myrice devait se trouver au moins à sept ou huit mille mètres d’altitude.
Nous faisons l’amour depuis plus d’une heure. Maintenant, nous sommes bien à point autant l’un que l’autre. Après tous ces différents exercices, pour ma part, je commençais à avoir une sérieuse envie d’éjaculer.
Je demande à Myrice de se remettre sur le dos et lui dis.

- Si tu es d’accord, on terminera comme on a commencé. Je commence à plus trop contrôler. J’ai envie d’éjaculer.
- Ok, moi aussi, je commence à être un peu épuisée.
- Mais avant ; tu vas venir t’allonger sur moi. On va essayer une autre position. Mais, excuse moi, j’en connais le nom.

A ces mots, Mimi vient s’allonger sur moi et se laissa glisser jusqu’à la pénétration totale de ma verge. Elle resta un long moment immobile. Dieu que c’est bon. J’ai la chaleur de ses seins et de sa chatte qui me redonne encore envie de lui faire l’amour et de la faire jouir encore et encore. Puis, ma douce partenaire se met à onduler de façon à nous faire repartir dans un nouveau tour de manège.

Dans l’instant qui suit, ma douce Myrice connut un nouvel orgasme. Entre deux gémissements, elle trouva la force pour me dire.

- J’en peux plus. Mais c’est tellement bon que je ne peux pas arrêter là.
- Alors, allonge-toi sur le dos. On va finir par une missionnaire. Ca va te reposer un peu.

Elle s’allongea sur le dos les cuisses largement ouvertes. Sa belle minette abondamment mouillée n’opposa aucune résistance à la pénétration de ma grosse banane Plantin toujours aussi raide. Les va et vient s’intensifient très vite et Myrice reprends à chanter de plus belle. Dans les deux minutes qui suivirent, nous revoilà partis dans un concert mutuel jusqu’au point de non-retour.

Brusquement, je sentis ma verge s’envahir de la sensation de la délivrance. Je demandais à Myrice si je pouvais décharger ma livraison de liquide blanc dans son vagin.
Ce à quoi, elle me répondit.

- Oui, il n’y a pas de soucis. Ca ne risque pas, et en plus j’ai envie de sentir ton sperme chaud couler au fond de mon jardin d’amour.
- Alors cette fois on va jusqu’au bout, d’accord !!!
- Oui, alors vas-y.

Je repris mes mouvements de plus en plus rapidement et une poignée de secondes plus tard et dans un ultime soupir, je lui inonde le vagin de ma semence brulante.
Nos esprits retrouvés, elle vient à nouveau se coucher sur moi. Me serrant très fort contre elle. Myrice me dit avec beaucoup de tendresse.

- Tu sais, mon beau (beau-frère), tu m’as fait découvrir quelque chose de toi que je ne connaissais pas.
Et je crois que je vais m’en souvenir longtemps. Quel dommage que tu sois marié avec ma petite sœur…
- Et oui, je sais. Mais bon, on ne peut pas revenir en arrière. Maintenant, si nous pouvons en avoir encore l’occasion, nous pourrons à nouveau nous donner le même plaisir. Qui sait…
- Bien sûr. Mais il y a un petit problème.
- Lequel ?
- Lorsque vous partirez en France, ce ne sera plus possible.
- Et oui, je sais. Mais qui sait. Nous reviendrons bien pour passer les vacances et voir la famille. Alors, on trouvera bien un moment pour refaire l’amour ensemble. Et, en plus, j’ai d’autres petites choses à te faire découvrir.
- Oui, mais quoi ?
- Si ça t’intéresse, je te ferai connaitre un truc qu’on appelle sodomie. Est-ce que tu as déjà pratiqué ?
- Non jamais. Mais tu sais chez nous au Cameroun, on ne fait pas ça. Mais je ne te dis pas non. Ça peut être aussi bon, non !!!
- Ah bon. Je ne savais pas. Mais bien sûr que c’est aussi bon. Mais c’est différent. Moi, j’aime bien.

Enfin, nous discutons, un peu de tout et de rien, le temps de retrouver nos esprits. Puis nous filons vers la douche. Nous en avons bien besoin. Ensuite, après nous être habillés, nous sommes revenus nous asseoir au salon pour attendre le retour de Prudence.

Voilà, une belle histoire qui se termine beaucoup mieux qu’elle n’avait commencée.

Zizoulabellequeue.
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