ACCUEIL > Divers > Récit : Tôt le matin

Tôt le matin

+15

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/11/2022

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

TOT LE MATIN

Il fait encore nuit quand je pénètre dans le petit village. J'embauche à 8 heures 30, elle à 9 heures. On a peu de temps pour nous, et donc on doit aller relativement vite. Tout est minuté.
Il me faut entre 8 et 10 minutes pour me rendre à la plate-forme qui est en bas. Ici, on est dans un petit village qui est en proéminence par rapport à la plaine, sur une colline.
Je fais en sorte, tous les matins, d'arriver à 7 heures 45. Ca nous fait une demi-heure. Peu et beaucoup à la fois. 8 heures 15, quel que soit le moment, le degré d'avancement de nos ébats, je pars. Il faut parfois finir très rapidement. Et parfois, ne pas aller jusqu'au bout.
Je sais qu'elle m'attend.
C'est devenu un rituel entre nous. On se voit en soirée, bien sûr, mais pas tous les jours. En fait la valeur de ce qui est devenu un rituel va au-delà du moment proprement dit et du plaisir qu'on peut avoir. C'est un moyen de s'accrocher à la vie, en la prenant forcément du bon côté, même si on doit faire face au pire. Avec une demi-heure ensemble, on peut tout affronter.
On s'est connus d'une manière particulière, et qui ne correspond sans doute pas à nos profils. Elle fait la comptabilité dans un supermarché, et moi je suis livreur pour une plate-forme de magasins. Je couvre tout le département. Nous sommes des gens de peu, et pourtant nous aimons l'art. Peintures, photos, sculptures.
On s'est rencontrés un samedi après-midi. Il y avait un petit village qui abritait sept galeries d'art, un choix pour rester attractif. Je suis arrivé dans la première, et j'ai vu cette grande silhouette, seule autre présence dans la galerie en dehors de la personne pour surveiller. Une jolie silhouette, grande, fine, une robe bleue, tendue par un derrière rebondi, fendue très haut sur le côté, pour révéler une jambe ornée d'un bas stay-up clairement visible, jusqu'à l'accroche élastiquée.
Je suis parti dans la salle sur la gauche. Une série de photos d'urbex, en N/B magnifiques.
Je suis revenu dans la salle du milieu. Elle avait disparu, et elle n'était pas non plus dans la salle de droite.
J'ai continué mon parcours. De très belles photos.
Et je suis parti pour la galerie suivante, qui elle abritait des sculptures animalières.
On est tombés nez à nez. L'occasion de la voir de face et d'admirer un très joli visage. D'immenses yeux bleus, une bouche pulpeuse.
--Vous me suivez !, elle s'est exclamée.
Dit sans agressivité, mais avec une pointe d'ironie.
--Ou alors c'est vous qui me précédez.
--Et si on continuait ensemble?
C'est comme ça qu'on a passé l'après-midi ensemble à aller de galerie en galerie, et à partager nos avis sur les œuvres exposées. L'après-midi touchait à sa fin quand on s'est retrouvés sur la place du village.
--J'ai pas envie qu'on se sépare, elle m'a dit avec franchise. Si on allait chez moi? Je nous ferai à manger.
C'est comme ça qu'on a découvert qu'on n'habitait pas si loin l'un de l'autre.
Je me suis garé pour la première fois un peu plus haut que chez elle, le long d'une autre maison. La route traversait le village. Elle était installée dans une maison avec plusieurs étages, avec un jardin sympathique derrière.
Le diner, ça n'a pas été pour tout de suite. Je suis rentré, apercevant son living, quelque chose de chaud et de chaleureux, et je me suis retourné pour fermer la porte. Quand je me suis tourné à nouveau, vers elle, elle faisait passer sa robe par dessus ses épaules. Dessous, elle avait un soutien-gorge, qui enveloppait ses seins, mais pas de culotte, ce que je n'avais pas su remarquer sous sa robe. Elle s'était avancée jusqu'à moi, venant se coller à moi, m'offrant sa chair, son corps s'écrasant contre moi, et sa bouche.
Une soirée que je ne risquais pas d'oublier, et la possibilité d'une entente qui s'était prolongée.
Le secret de notre relation, c'était, je le pensais du moins qu'on la vivait au jour le jour. C'était peut-être mieux d'avancer ainsi, par tronçon...
Je me suis glissé chez elle. Une bonne odeur de café flottait dans l'air. Elle avait l'habitude de se lever tôt le matin, et quand j'arrivais elle était souvent déjà prête. Toujours en beauté. Elle parcourait le journal, étalé sur la table, debout, en buvant une tasse.
Toujours semblable, même silhouette fine, mais charnue là où il le fallait. Ce matin, elle portait un simple tailleur noir qui lui allait à merveille avec des cuissardes de velours rouge. Elle a tourné la tête vers moi et elle m'a souri. Je me suis approché et on a échangé un baiser profond au goût de café. En même temps, j'ai senti qu'elle venait caresser ma queue à travers mon pantalon. J'étais déjà à moitié raide en la rejoignant. Elle m'inspirait un réel désir. Certaines filles étaient belles, mais pas désirables. Ce n'était pas son cas. Et puis elle aimait avoir du plaisir, mais aussi en donner, ce qui est assez rare au final. Il aurait été possible qu'il y ait des matins où on ne bascule pas sur du sexe. Je n'en avais pas encore connu.
Incapable de résister à mes envies, après tout, elle ne résistait pas aux siennes, j'ai avancé la main pour la poser sur sa jambe, là où elle était encore enveloppée de la cuissarde.
--Tu peux monter plus haut sans problème, elle m'a proposé.
Elle savait bien que je le ferais, mais ce type d'incitation faisait partie du jeu. Je me suis donc aventuré au-delà de la cuissarde. Expérimentant le toucher particulier du lycra, doux et électrique, du collant qu'elle portait. La chaleur de son corps m'est montée dans les mains et s'est répandue en moi.Elle m'a mis à nu et a trouvé une verge congestionnée de désir qu'elle s'est mise à caresser.
--Ces moments le matin sont irremplacables, elle a dit, alors que je remontais le long de sa cuisse, arrivant sur l'arrondi d'une fesse pleine, nue sous le collant. Ses parements intimes étaient à tendance variable. Une culotte, un slip, un collant, un collant et une culotte, simplement des bas, rien du tout. Et là, j'avais l'intuition que sous le collant, il n'y avait rien d'autre. Elle m'avait dit un jour une phrase qui sans doute résumait la situation :
--J'aime avoir des sensations. Il y a dix mille façons d'en avoir. Etre le ventre nu, c'en est une.
Elle s'est mise à masser ma queue.
--Mmmm, tu es bien gros et bien dur, exactement comme j'aime.
Je suis venu caresser ses fesses pleines.
--Touche-moi bien le cul. C'est bon, et ça me fera des souvenirs pour la journée.
C'était sans doute ça qu'on recherchait en premier. Des images, des sensations qui nous accompagnaient toute la journée, avant qu'on ne se retrouve.
J'ai amené mon index à l'endroit précis où son sillon naissait dans sa chair et je suis descendu le long de sa raie. Elle a eu un long frisson alors que je touchais les chairs délicates et ultra-sensibles.
--Tes caresses...Elles sont efficaces et je crois que je ne m'en lasserai pas.
--Je peux en dire autant, je lui ai répondu, alors que sa main se concentrait sur mon gland dilaté, une partie évidemment sensible, qu'elle frottait de la pulpe de son doigt, caresse lubrifiée par les jaillissements de liquide pré-sécrétif de mon méat.
J'ai fait plusieurs aller-retours dans son sillon avant de descendre plus bas. Sans surprise, j'ai trouvé un sexe ouvert et bien mouillé, lèvres épanouies et gonflées. J'imaginais bien que le matin, elle s'excitait toute seule en m'attendant. Etait-ce vraiment différent pour moi ?
Sur le buffet, il y avait un radio-réveil dont les lettres vertes, qui disaient l'heure, nous donnaient l'amplitude du temps qui était disponible. Nous gérions en fonction.
J'ai senti qu'elle faisait glisser un préservatif le long de ma queue. Il y avait toujours un côté un rien magique quand elle agissait ainsi. Il semblait toujours sorti de je ne savais où, et elle le posait sur moi avec habileté.
Elle s'est pliée en deux sur la table. J'ai soulevé sa jupe, dévoilant ses fesses pleines. Non, elle n'avait que le colant qui sublimait ses formes. Je l'ai descendu, pour avoir accès à ses chairs.
--J'ai envie que tu me fouilles bien...On est dans les temps, on peut en profiter un peu.
8 heures. Encore 15 minutes.
J'ai glissé mon sexe dur entre ses cuisses, jusqu'à ce que la tête touche mes lèvres dilatées, dont pendaient des filaments de sécrétions. J'ai appuyé mon gland congestionné contre l'ouverture de son sexe, sans aller plus loin, la frottant. La réponse, ça a été des coulées de liquide qui ont arrosé ma queue, descendant en filets le long de ma verge.
--Tu veux me rendre folle !
--Sans doute que oui, j'ai répondu, en commençant à glisser en elle. Tu crois que j'y arrive ?
--Ah ça oui, sans aucun doute.
Dans cette position, je ne pouvais pas totalement rentrer en elle. Mais je me suis bien enfoncé jusqu'aux trois-quarts. Sensation délicieuse et jamais épuisée de la gaine de sa vulve autour de moi, soyeuse et délicate, me caressant. Elle a poussé un long soupir, s'appuyant un peu plus sur la table, pendant que mon membre viril allait et venait en elle. Elle est restée en appui sur une main, pendant que de l'autre, je le savais pas la force de l'habitude, elle venait chercher son gland clitoridien pour le caresser et démultiplier son plaisir.
Le temps glisse toujours plus vite quand on est dans de bons moments. Elle a fait sortir ma verge d'elle d'une contraction, et elle s'est retournée. Elle a glissé sur une chaise, ouvrant la veste de son tailleur. Dessous, elle avait un corset violet, qui collait à ses formes...Elle en a déboutonné les premiers boutons pour mettre ses seins lourds à nu.
--Je ne me suis pas encore maquillée, on va en profiter.
Je croyais voir à peu près où elle voulait en venir. Je me suis approché et elle m'a enveloppé de ses seins. Elle m'avait déjà fait plusieurs fois ce qu'on appelle vulgairement des cravates de notaire. Aucune fille ne m'avait fait ça avant. Caresse surprenante, excitante parce qu'inédite, de sentir une peau douce contre soi, le poids de sa poitrine, sa chaleur...La première fois, j'avais éjaculé tout de suite. Aujourd'hui, je me contrôlais mieux.
Elle m'a caressé en souriant. Mon gland dépassait entre ses seins, Il y a eu un mouvement irrésistible, et j'ai senti que j'allais jouir. Elle l'avait bien compris. Elle a ri quand le premier jet de sperme a atterri en travers de sa joue, suivi par d'autres. Maculée, elle a baissé le visage vers ma queue pour laper mon gland, avalant le liquide post éjac qui sortait, comme si ç'avait été une gourmandise, et c'était bien le cas. Puis elle m'a dit :
--Je veux que tu me regardes me branler et jouir.
Aucune fille ne m'avait suggéré ça avant elle. Elle me l'avait déjà proposé avant, et rien ne m'excitait plus, je devais bien le reconnaître, que de la voir accomplir devant moi un acte intime. Elle a bien ouvert les jambes, et amené deux doigts sur son gland clitoridien qui saillait, tout gonflé. Elle s'est mise à se frotter, en gémissant. Son sexe était aussi ouvert que ses jambes, sur ses intérieurs.
--Je vais jouir...
Elle a glissé ces même deux doigts en elle et les a fait aller et venir avant de se tendre. Elle les a arrachés d'elle, et elle a craché plusieurs jets de liquide. Son corps de relachant finalement.
Je n'avais pas débandé, et, d'excitation, j'ai craché un jet de sperme dans les airs.
--Oh mon pauvre chéri tu as encore besoin de jouir. On va arranger ça, tu vas voir.
Elle a attrapé ma queue et elle m'a masturbé vivement. L'orgasme est venu immédiatement, et les jets de sperme avec.
La parenthe était close, il fallait maintenant reprendre le cours de nos vies quotidiennes. Je me suis rajusté. Elle aussi.
Elle s'est essuyée le visage. En disant:
--J'ai tort de me nettoyer, ça ferait sans doute une excellente crème de beauté. Bon, allez je vais me maquiller.
On s'est embrassés. Un œil sur la pendule. 8 heures 15. On avait été bons une fois de plus.
--Tu passes ce soir ?
--Bien sûr.
La journée démarrait bien.






15 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Tôt le matin

Le 11/11/2022 - 22:02 par OlgaT
C'est rapide, mais torride!

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :