ACCUEIL > Divers > Récit : Un amour de tante 2

Un amour de tante 2

+71

Lue : 2023 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/04/2020

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Au petit matin du dimanche, j’ai été réveillé par une scène qui se passait dans la cuisine, ma tante et mon oncle se disputaient et le sujet de la discorde, je l’ai compris…Elle lui reprochait qu’il ne s’occupait plus d’elle. Mon oncle est parti bruyamment en disant qu’il partait avec les jeunes du club de foot et qu’il revenait dans l’après midi…puis un grand silence dans l’appartement. Je ne bougeais pas de mon lit, n’osant pas me mêler de ce qui ne me regardait pas, je n’avais aucune idée de ce faisait ma tante qui était silencieuse et cela me chagrinait. De longues minutes ont passé quand la porte de ma chambre s’est ouverte lentement, j’ai vu apparaître le visage boursouflé de ma tante, quand elle a compris que je ne dormais pas, elle s’est approchée de mon lit, s’est assise. Elle était en sanglot, des larmes coulaient sur son visage, je lui ai pris la main,
-Moi « J’ai tout entendu…vous allez divorcer ? »
-L «Je ne sais pas, j’en ai marre »
Elle a soulevé le drap qui me recouvrait
-L « Je peux venir avec toi ?»
-Moi « Oui, bien sûr »
Elle ouvre ma couche pendant que je me pousse dans ce lit de 90, elle y rentre en se glissant contre moi, mais au lieu de se tenir sur le dos, elle se tourne et m’entoure la tête avec son bras alors que sa jambe vient se poser sur les miennes. Elle avait un chagrin énorme, j’en étais gêné de ne pouvoir rien faire pour elle. Des larmes coulaient sur ma chemise de pyjama et elle reniflait tout en se serrant contre moi. J’ai ouvert le bras pour la prendre contre moi, elle paraissait calmée.
-L « Heureusement que tu es là, je ne sais pas ce que j’aurais fait ! Tu es mon petit homme…mais mon neveu aussi ! »
-L « C’était bon hier soir, hein ? »
-Moi « Ah oui ! »
Rien qu’en lui répondant, je sentais ma verge se relever lentement sous le genou de L. De plus, ma cuisse était en contact serré contre sa chatte ouverte et je sentais la chaleur de sa vulve, la douceur de ses petits poils.
-L « Excuse moi, je te fais mal là ? » a-t-elle dit en soulevant sa jambe et en la plaçant plus bas. Mon sexe s’est retrouvé libéré et elle l’a compris.
-L « Oh mais dis donc, tu t’excites là, c’est pas trop sérieux ça ! »
Du coup, elle ne pleurait plus, mais son regard était interrogateur. Elle a allongé son bras sous le drap et sa main a attrapé ma verge, elle m’a caressé lentement tout en gardant sa tête sur mon torse. Nous ne parlions plus, j’entendais seulement sa main qui allait et venait sous le drap.
-L « Et puis merde… » La voilà qui passe sous le drap pour se glisser prés de mon sexe qu’elle a mis dans sa bouche chaude…Je croyais me retrouver dans un bol d’eau chaude ! Les effets de succion, sa langue agile qui entoure mon gland, sa main qui presse ma colonne, je montais vite en pression, L l’a compris et a ralenti en serrant la base de mon champignon
-L « Chuuut…attends, je te réserve une belle surprise ! »
Ah ça m’a calmé tout de suite ! Quelle surprise me réservait-elle ?
-L « Tu me laisses une petite place ? » dit-elle en se plaçant sur le dos
-L « Viens sur moi, ce sera mieux »
Je l’ai laissée s’installer, je n’avais plus beaucoup de place, je suis donc venu entre ses jambes qu’elle m’ouvrait et je me suis installé sur elle entre ses bras qu’elle refermés sur moi, mon visage sur son épaule. Je ne savais plus quoi penser…cherchait elle à se consoler uniquement avec moi ou alors…Je sentais son corps chaud sous le mien, sa poitrine opulente prenait un peu de place et je ne voulais pas la presser pour ne pas lui faire mal. J’avais mon short qui devait servir de dernier rempart, mon bas ventre était à la même hauteur que le sien et nos sexes proches…Nous sommes restés ainsi de longues minutes, j’étais persuadé que rien ne se passerait, ce n’était pas le moment. L parlait de mon oncle et racontait qu’il ne l’aimait plus, qu’il ne faisait plus rien ensemble. J’écoutais en silence
-Moi « Vous ne faites plus rien au lit ? »
-L « Plus rien…et ça dure »
J’ai levé mon visage pour la regarder, son regard me fixait…elle a attiré ma tête vers elle, nos lèvres se sont touchées, elle venait de me faire une bise. Elle a repoussé ma tête pendant quelques instants et me regardait intensément…
-L « Je suis folle…qu’est que je fais là ! »
Mon visage a été appliqué contre le sien, nos bouches se collaient. J’avais déjà embrassé des filles, je savais comment m’y prendre, mais à cet instant et en sa présence, ce baiser a eu une autre approche. Ses lèvres étaient douces et agréables à effleurer. Puis sa bouche s’est ouverte sur la mienne, j’ai senti sa langue qui sortait de sa bouche, j’ai sorti la mienne aussitôt et elles se sont mêlées en se frottant longuement. La pression de ses mains qui maintenaient ma tête sur elle, était forte et ce premier baiser a duré un long moment torride. J’entendais un grognement de plaisir qui venait de son gosier. Je sentais mon sexe se dresser entre ses jambes, j’étais gêné. Pendant ce baiser, L bougeait son bassin pour le plaquer davantage contre le mien. Nos lèvres se sont décollées, elle m’a dit :
-L « Dis donc, tu sais embrasser toi ! »
Et la voila qui s’amuse avec le bout de sa langue qui vient taquiner mes lèvres jusqu’à ce que je daigne faire la même chose, c’est un ballet de langues qui s’effleurent, se frôlent, se collent sans entrer dans notre bouche, un jeu qui a fait oublier à ma tante, la douleur de la dispute avec mon oncle. Je me souviens qu’elle a voulu bouger sur elle et il y a eu un bruit de déchirement de vêtement…elle venait de déchirer sa nuisette !
-L « Attends, reste là »
En deux ou trois mouvements, elle a dégagé sa chemise de nuit qu’elle a passée par la tête et elle l’a jetée au sol. J’avais ma tante toute nue dans mes bras ! J’étais abasourdi par tout ce qui m’arrivait, la chaleur de son corps, son odeur fleurie et son beau visage de blonde qui m’excitait, je me sentais petit, tout petit. Sous mes yeux, en me relevant légèrement, j’avais ses seins blancs, deux lobes magnifiques qui m’impressionnaient.
-L « Vas y, mon cœur, tête les, c’est pour toi. Ton oncle ne s’en occupe plus depuis longtemps…mais doucement, c’est sensible »
J’ai collé ma bouche sur le premier téton, je l’ai sucé, mordillé entre mes lèvres, aspiré comme un élastique, ma tante réagissait en sifflant, elle se tordait de plaisir, elle râlait, j’avais touché un des ses points les plus sensibles. Je passais d’un sein à l’autre, sans laisser retomber le désir
-L « Tu sais y faire toi…continue, tu me fais perdre la tête… »
L se contorsionnait sous mon corps, son bassin oscillait contre le mien, appuyant mon sexe bandé sur le sien. Ses seins devenaient durs, ses pointes s’allongeaient dans ma bouche, je suçais ses mamelons comme un fou et ça plaisait fort bien. Ses mains sont parties sous le drap qui nous couvrait encore un peu, elle a tenté de les immiscer entre nos deux corps, je me suis soulevé discrètement, elles sont entrées dans mon short de nuit pour s’emparer de ma verge tendue à l’extrême. Une de ses mains a masturbé mon sexe, j’ai deviné que l’autre tentait de baisser ce short, mais notre position ne permettait que de le repousser qu’en dessous de mes fesses. Dans cette étape, le short baissé a laissé mon sexe à découvert, libre d’être empoigné par une main chaude. Je me suis laissé reposer contre son ventre chaud et L a abandonné ma queue qui se plaçait dans une zone extrêmement humide. Je devinais que j’étais à proximité de son vagin que j’avais déniché la veille au soir, mais, malgré mon envie, je ne savais pas si ma tante voulait que nous allions jusque là. J’avais énormément de respect pour elle, je la traitais comme une déesse d’amour, je la trouvais belle, mais aussi inaccessible car elle appartenait à mon oncle, c’était sa femme et je m’étais résigné à me branler en cachette en pensant à elle et les quelques aperçus de ses culottes surprises lors de ses croisements de jambes, sans oublier les observations de son sexe avec un maillot de bain…j’en étais fou ! Mais ce matin, tout avait basculé, la femme qui me hantait était dans mes bras, nue, prête me semblait-il, à faire l’amour avec moi, inimaginable ! Je savais que la dispute sévère avec mon oncle avait été le déclencheur de tout ça, j’étais là au bon moment, c’était tout. Ma tante a senti ma verge sur son sexe, elle a accentué la pression de son bassin contre moi, elle glissait parfaitement sur sa chatte, je percevais une fraîcheur importante entre ses lèvres, je devinais qu’elle mouillait abondamment. Je continuais à me frotter sur elle, quelques fois, mon sexe partait plus bas, entre ses fesses, je reculais un peu pour le replacer sur sa chatte. Je devinais L en attente d’autre chose, nos effleurements l’excitaient beaucoup, certes, mais elle attendait autre chose. Pendant un frottement plus prononcé, elle a saisi mon gland pour le placer plus bas…je comprenais sa démarche, elle était décidée à tout braver. Je savais ce que cela allait induire, rien ne serait plus jamais comme avant, je ne la regarderai plus comme ma tante, des souvenirs éternels persisteront, des sous entendus glauques, des signes de complicité, des gaffes involontaires, cela briderait toute notre vie ensuite. Nous étions, à cet instant, décidés à le franchir malgré tout, c’est L qui le désirait le plus, je ne faisais qu’assouvir son envie de sexe, moi, d’apprendre. C’est elle qui prenait les commandes, je la sentais décideuse, quand ma queue s’est mal positionnée, elle l’a attrapée pour chercher son entrée. J’ai senti une ouverture qui m’a aspiré, son bassin s’est avancé et ses mains ont attiré mes hanches, poussé mes fesses vers elle…je plongeais dans son océan, irrémédiablement, je m’enfonçais dans ce couloir nerveux, étroit. Je bandais comme un fou en ressentant cette chaleur intérieure. Mon regard s’était posé sur elle, elle avait dans les yeux, une couleur bleue intense, elle ne fixait rien, elle prenait du plaisir à se faire pénétrer et qu’importe si j’étais son neveu. Mon entrée s’effectuait lentement jusqu’au fond, mes boules touchaient ses fesses, je la possède, mon rêve est exaucé, je suis bien en elle, formidablement bien. Ma tante gémit fort, nos corps tremblent, l’instant est intense. Parvenu au bout, personne ne bougeait, ni ne parlait, nous profitions de l’effet énorme qui nous unissait. Elle a été la première à briser le silence qui régnait :
-L « Tu es bien là ? Moi…oui. Tu es en moi, tu te rends compte ? Tu me baises là…Je suis baisée…enfin…que ça fait du bien »
Elle parlait sincèrement, son manque de sexe lui faisait défaut et cela la détruisait. J’avais toujours été étonné par la différence d’âge entre ma tante et mon oncle et à cet instant là, cela pesait. Cette année là, elle avait 30 ans, mon oncle 45 et je savais qu’il avait de sérieux problèmes d’érection, leur couple allait se fracturer quelques années plus tard. En attendant, elle avait décidé que ce serait moi qui aurais droit à ses faveurs, pour enfin se faire du bien et renouer avec le plaisir trop longtemps refoulé. Ce matin, elle était mienne et elle a commencé à divaguer
-L « Oh…ta queue, elle est bonne…c’est bon de te sentir en moi…j’en avais tellement envie depuis longtemps…reste en moi »
Un flot de mots significatifs de son état présent. Entendre ces paroles de la bouche même de cette femme que je désirais tant, ça paraissait utopique. Je voyais ce beau visage déformé par le plaisir, sa bouche si attirante, d’où sortaient des sons rauques, je sentais ses mains qui me pressaient contre elle pour accentuer la perforation de mon sexe dans le sien, ses jambes repliées dans mon dos pour m’immobiliser et m’empêcher tout recul.
-Moi « Je suis bien en toi…c’est chaud et ça bouge ! »
Je ne croyais pas si bien dire…une onde énorme a saisi ma tante, j’ai senti des spasmes tout autour de mon sexe, sa bouche s’est ouverte, son corps s’est tendu, son bassin a sursauté malgré mon étreinte, j’ai senti une vague liquide et chaude se répandre sur mon sexe et ruisseler sous ses fesses et surtout, ce cri…puissant, soudain, sec. Ses yeux se sont révulsés pendant un moment, puis…tout est revenu calme, son corps s’est détendu, ses jambes, ses mains, ses bras se relâchaient, elle avait joui.
-L « Tu me rends folle toi…il y avait trop longtemps »
Et elle a appliqué sa bouche sur la mienne, nous repartons pour un baiser profond qui était le reflet de notre plaisir commun. Mon sexe était toujours immobile en elle, j’ai même cru que j’étais collé dans son ventre, mais quand elle a repris quelques mouvements avec son bassin, il coulissait bien.
-L «Vas y mon petit chéri…je suis à toi…profite bien…je te sens bien »
Je ne me rendais plus compte de la portée de ses mots, la sensation était telle que j’avais perdu tous mes sens, seul mon bien être comptait. Je pénétrais ma tante plus rapidement, j’ai encore en tête ces sensations charnelles qui nous entouraient, je sentais le plaisir arriver…
-L « Continue, mon chéri…reste en moi jusqu’au bout… jouis »
Ma tante accompagnait mes élans quelques fois maladroits, mais elle n’en faisait cas, j’ai senti que j’allais éjaculer…je crois que j’ai crié quand je me suis épanché au fond de son ventre, presque au même moment où j’ai vu son visage se déformer à nouveau, sa bouche s’ouvrir, un long gémissement surgir de son gosier, son ventre se resserrer une nouvelle fois…elle avait eu un second orgasme. Nous nous sommes affalés dans les bras l’un de l’autre, nous étions éreintés. Mon dépucelage a été une réussite totale. Nous n’avons pas bougé, le temps de reprendre nos esprits. Ma tante était belle, malgré ses cheveux blonds en bataille, ses cernes sous les yeux ne faisaient qu’amplifier sa beauté, je la sentais heureuse.
-L « Il faut qu’on y aille, tonton va arriver »
Il était presque 14h, je m’en souviens encore, nous avions passé 4 heures couchés et enlacés, à nous aimer. Nous extirper n’a pas été chose facile, d’une part parce que nos corps étaient engourdis et d’autre part, nous n’avions nulle envie de nous séparer, je crois que nous nous sentions bien, branchés l’un dans l’autre. J’ai en mémoire la réaction de ma tante qui découvrait les dégâts commis dans les draps ! Elle avait dû changer les draps et sécher le matelas avec un séchoir à cheveux…nous en avions encore rigolé plusieurs années plus tard. Plus tard, mon oncle est arrivé, un bouquet de fleurs à la main, je l’ai entendu dire que ma tante était belle… Ils m’ont raccompagné le soir au lycée. Ma tante m’a embrassé discrètement sur la bouche, à l’insu de mon oncle et m’a caressé la joue, j’avais aperçu des larmes dans ses yeux. J’ai masqué ma jalousie quand ils sont repartis vers la voiture, mon oncle touchait les fesses de ma tante…j’aurais tellement espéré être à sa place ! La nuit, j’ai ressassé tous ces événements qui ont été gravés à vie.
71 vote(s)


Histoire de alma

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Un amour de tante 2

Le 28/08/2022 - 10:42 par Rackham
Très belle et tendre suite.

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :