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Un amour de tante 3

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Lue : 1729 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/04/2020

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Ce premier événement avait été le début de ma vie d’homme. La vie avait repris, mon internat se terminait, mes parents étaient revenus d’Afrique, je n’ai pas repassé de weekend chez mon oncle et ma tante et malgré plusieurs fêtes familiales qui nous réunissaient, aucune allusion sur notre aventure n’a été rappelée. Quelques années plus tard, ma tante divorçait, elle n’en pouvait plus de cette solitude qu’elle avait comblée avec un collègue de bureau. Cependant, tout n’allait pas pour le mieux, cette séparation était mal passée dans la famille qui ne connaissait pas la raison exacte de leur problème…sauf moi. J’avais 25 ans, un métier, une femme, il m’arrivait de venir voir ma famille dans le sud est, seul, mon épouse ne pouvait pas avoir les même disponibilités que moi. Lors d’un premier séjour en août, j’avais eu l’information que ma tante voulait me remettre des documents qui concernaient notre famille. Je m’étais intéressé à la généalogie. J’avais décidé de m’y rendre sur le trajet aller. Ma tante, depuis son divorce, vivait par intermittence avec le même homme, ils comptaient se marier dans l’année pour confirmer leur union. Ses 38 ans lui allaient à merveille, elle symbolisait la femme mûre, parfaite à mes yeux. J’aurai pu affirmer qu’elle était encore plus belle et son accueil était, on ne peut plus chaleureux. Ses cheveux blonds noués avec une queue de cheval, sa tenue sexy, son maquillage léger, m’avaient de suite attiré, je retrouvais certaines sensations de jeunesse, je me rendais compte que cette femme exerçait une inexplicable impression de sensualité que je ne maîtrisais pas. Le plus incroyable, c’est que cette impression…était partagée…nous étions fortement attirés l’un vers l’autre. Durant toutes ces années passées, nous ne cachions pas ce désir de se retrouver, par les gestes, les rires, le regard. Ce jour d’août, nous nous retrouvions seuls et la connexion s’est refaite, sans savoir comment. L parlait, je parlais, nous riions ensemble, nos yeux nous trahissaient, ils ne se quittaient plus. La question fatidique est arrivée :
-Moi « Tu te souviens, en 78, quand j’étais venu chez vous ? »
-L « Je n’ai jamais oublié…on a été fou…j’ai été folle ! »
Sa main était posée sur la table de la cuisine, je la fixais…j’hésitais. Un simple regard, plus appuyé, m’a poussé à l’irréparable, j’ai saisi sa main. J’étais persuadé qu’elle allait la retirer, qu’elle me ferait comprendre que notre relation était du passé, etc.…il n’en a rien été. Au contraire, je l’ai sentie plus proche, ses yeux bleus me transperçaient, ses lèvres se sont entrouvertes, elle ne disait plus rien. Ses doigts ont lentement caressé les miens
-L « Ca va bien avec ta femme ? »
-Moi « Non, nous nous séparons, ça n’allait plus et j’ai rencontré une autre femme »
-L « Décidemment, ça nous poursuit cette guigne ! »
-Moi « Et toi, ça se passe bien avec ton futur ? »
-L « Ah oui, bien mieux, mais ce n’était pas facile, il n’y a que 2 ans que nous sommes revenus ensemble »
-Moi « Et entre les deux ? »
-L « Tu imagines bien ! Il y a eu du passage après toi »
-L « Mais toi…tu m’as marquée…ça a été fort nous deux »
J’étais surpris par sa pensée qui venait réellement du cœur. Nos mains se sont nouées, croisées, elles ne se quittaient plus. J’ai amené sa main à mes lèvres pour y déposer un baiser bien appuyé
-L « Tu es toujours aussi charmant, tu ne changes pas »
-Moi « Et toi, toujours aussi belle. J’ai toujours été amoureux de toi depuis tout jeune »
Je sautais dans le bain, les dés en étaient jetés…elle allait me foutre dehors !
-L « Tu es fou…je vais me remarier, on ne devrait pas ! »
Nos mains se sont encore plus resserrées, il y avait beaucoup de tension à cet instant, tout allait basculer, nous devinions que nous étions sur un fil prêt à se rompre. Je me suis levé de ma chaise pour passer derrière elle, j’ai mis mes mains sur ses épaules nues, je lui ai caressé la nuque, elle a frémi en inclinant sa tête pour câliner ma main, elle répétait :
-L « On ne devrait pas…on ne devrait pas…ce n’est pas possible »
Je me suis baissé, j’ai déposé des petites bises sur son cou délicat, son parfum fleuri a accéléré les choses. Elle a baissé sa tête pour que je continue à lui donner de bons frissons, ma bouche glissait lentement de son cou, ses oreilles que j’ai légèrement mordillées, ses joues en feu…son visage s’est tourné vers le mien, nos lèvres se trouvaient, ma bouche a saisi la sienne, ma langue l’a taquinée et elle a répondu à mes avances, sa langue s’est frottée contre la mienne, nous nous sommes collés comme des aimants. Notre baiser électrique, s’est éternisé comme si nous voulions rattraper le temps perdu, L a passé sa main derrière ma tête pour la maintenir contre elle, c’était acté. Mes mains se sont appliquées sur son pull léger, elles remontaient sur sa poitrine toujours aussi volumineuse, se sont plaquées sur ses seins que je caressais fortement. L a gémi, elle s’abandonnait à mon initiative. Ma position n’était pas très confortable, L l’a ressenti, elle s’est relevée pour me faire face et nous avons repris notre étreinte, plus fougueuse, plus langoureuse. Nos langues ne cessaient de s’enrouler, de se frotter, elles fatiguaient. Ma tante a interrompu ce baiser et a mis son visage en face du mien
-L « Tu sais qu’on ne devrait pas ? Mais tu me fais perdre la tête, toi ! »
Son corps s’est collé contre le mien et à nouveau, sa poitrine adhérait à mon buste, nos bouches s’unissaient. J’ai un peu perdu l’équilibre, ce qui nous a poussés contre la table de cuisine, L s’est hissée légèrement pour s’asseoir dessus. Elle n’a pas pu résister à ma poussée pour l’installer dessus, elle s’est allongée, abandonnée à mes baisers qui se faisaient pressants sur sa poitrine et son ventre plat. Mes mains ont remonté le pull d’été, j’ai dégagé ses seins protégés par un joli soutien gorge noir que j’ai relevé pour libérer ses lobes blancs, sur lesquels je me suis jeté comme un affamé. Le soupir que L a émis était un signe de libération, je comprenais qu’elle avait autant envie que moi, de cette étreinte. Ses mains guidaient mon visage à permuter d’un sein à l’autre, en fonction de son envie, je me régalais de cette chair lisse, ferme, ainsi que de ses bourgeons drus que je taquinais délicatement. L était sensible des seins, je me souvenais, j’ai donc continué à téter chacun d’eux jusqu’à la faire gémir, elle montait doucement pendant que je m’appuyais contre son bas ventre et comme ses jambes s’ouvraient, je me pressais dessus pour lui offrir d’autres sensations. L’accélérateur était enfoncé, je devinais qu’elle atteindrait un premier orgasme et ça m’excitait davantage de l’entendre suffoquer jusqu’à la libération finale…Elle a bloqué ma tête sur sa poitrine pour m’empêcher de continuer, j’ai attendu la fin de sa jouissance pour me déplacer. L gisait sur la table, les yeux clos, bouche ouverte, elle cherchait de l’air. Quel tableau magnifique elle m’offrait ! Ca aurait pu s’identifier à une certaine indécence en l’observant ainsi, seins à l’air, pull relevé jusqu’au cou, jambes écartées laissant deviner la forme de son sexe, mais il n’en était rien, pas avec elle. J’ai voulu profiter de son abandon pour mette mes mains sur la ceinture de son pantalon, j’ai commencé à la déboucler, elle ne réagissait pas ? La ceinture défaite, j’ai attaqué le premier bouton de son jean, j’ai saisi la boucle de fermeture éclair que j’ai baissé lentement…j’ai vu apparaître une culotte très légère de la même couleur que le soutien gorge, noire, je devinais le renflement de ses grandes lèvres sous le fin tissu…A cet instant, L a mis sa main sur la mienne pour l’empêcher de continuer.
-L « Non, arrête…il ne faut pas…je ne dois pas et toi aussi »
Ma main s’est arrêtée, j’ai déposé un baiser appuyé sur la sienne qui bloquait toute manœuvre, j’ai soulevé ma main pour repousser la sienne, j’ai repris mon geste en tirant les deux côtés de son pantalon, elle a, de nouveau, tenté de m’en empêcher mais elle a cédé sans que je la force. Elle m’a aidé à faire descendre son jean que j’ai fait glisser le long de ses jambes.
-L « Qu’est ce qu’on fait là ? Il ne faut pas…non »
J’entendais ses paroles, mais elles disaient le contraire de ce qu’elle pensait. J’ai posé mon visage sur son pubis, son odeur épicée me montait au nez, elle devenait un accélérateur d’excitation, je ne pouvais plus m’arrêter, je devais aller jusqu’au bout. L a eu un sursaut quand j’ai insinué mon nez entre ses lèvres, j’ai lancé ma langue sur le renflement de son clitoris. J’ai pris ses jambes pour les installer sur la table, me permettant de mieux apprécier sa chatte qui s’échauffait lentement. D’un doigt habile, j’ai repoussé sur le côté le bandeau de sa culotte, je découvrais sa vulve avec cette belle toison fine et blonde, ses grandes lèvres fines qui s’ouvraient, son petit bouton rose qui émergeait de son étui…J’ai appliqué ma bouche dessus, ce qui a fait sursauter L qui lâchait des soupirs de plus en plus sonores. Je dégustais sa moule odorante, certes, mais l’envie effaçait toute rétention, je me devais d’honorer comme un amant serviable, les parties intimes de cette femme qui s’offrait à moi. Ma langue s’est immiscée dans son vagin qui, une fois ouvert, a libéré un flot important de cyprine visqueuse que j’ai goûté, avalé. L se tordait de plaisir sur la table en maintenant ma tête entre ses cuisses, elle râlait comme une lionne, son corps était comme sous tension électrique, j’en profitais pour faire descendre délicatement sa culotte sous ses fesses, puis, le long de ses cuisses et de chaque jambe. L a aussitôt ouvert le compas de ses cuisses, j’avais gagné, elle abandonnait la lutte, si lutte était…Je scrutais cette chatte magnifique, c’était la première fois que je la découvrais au grand jour, la dernière fois, il y avait 8 ans, c’était la nuit et au petit matin, je ne l’avais jamais aperçue. Son entrejambe était un véritable écrin d’or, ses poils fins taillés pour s’adapter à la forme du maillot de bain, luisaient comme ses cheveux, ils étaient très clairsemés, la peau blanche et charnue apparaissait, mais c’était surtout son clitoris rose et la couleur des petites nymphes qui protègent l’entrée du vagin qui m’attiraient. Ma bouche s’est appliquée à nouveau sur son clitoris, je l’ai aspiré fortement, ce qui provoquait une longue complainte qui émanait de la gorge de L, secouée par le plaisir qui remontait. Sa cyprine avait un goût enivrant, son sexe était parfumé mais cette odeur caractéristique m’affolait plus que me reboutait. Je continuais à lécher ce sexe que je retrouvais avec beaucoup de plaisir, je glissais ma langue longue dans son vagin qui était très remuant, je mimais une pénétration ce qui a provoqué de puissants hoquets sonores de la bouche de ma tante chérie…
-L « Prends moi, chéri, prends moi tout de suite, viens ! »
Je n’ai pas voulu la faire attendre de peur qu’elle se refuse plus tard…J’ai ouvert mon bermuda qui est tombé au sol, repoussé mon slip, je bandais comme un âne, j’ai fait glisser vers moi son corps en l’attrapant sous les genoux, puis saisi mon sexe pour le présenter entre ses lèvres, j’ai cherché quelques secondes, son orifice et une fois détecté, je m’y suis enfoncé en tremblant. Cette sensation de posséder à nouveau ma tante, était terrible, depuis cette expérience unique il y avait plus de 8 ans, j’avais toujours en souvenir cette émotion quand je me glissais en elle, le tabou que nous bravions renforçait le sentiment que nous avons développé depuis. Son couloir était en ébullition, comme une main qui serrait toute la longueur de ma colonne qui était introduite en elle. Plusieurs spasmes puissants se conjuguaient aux cris de féline que L lâchait en se tordant sur la table, sa chevelure blonde recouvrait son visage déformé par le plaisir, je la trouvais, à cet instant, très belle. Une fois encore, mon fantasme si longtemps refoulé, se réalisait. Comme la fois dernière, une fois que j’avais pénétré son sexe, je me suis affalé entre ses bras, sans bouger, je voulais que nous communiions tous les deux, uniquement reliés par nos sexes emboîtés. L a vite compris cela et accepté de ma serrer très fort, pendant qu’elle tremblait de tout son être, elle cherchait à se calmer, à reprendre son souffle.
-L « Mon chéri…tu me rends folle…pourquoi c’est si bon avec toi ? »
Je n’osais pas lui demander si, avec son compagnon et futur mari, elle était heureuse, de peur de rompre le charme de notre accouplement, je me concentrais sur mon sexe qui était soumis à multiples compressions vaginales qui pourraient, à la longue, me pousser dans mes derniers retranchements et éjaculer…ce que je ne voulais pas…tout de suite. Il s’est passé plusieurs minutes durant lesquelles nous ne disions plus un mot, nous ne bougiions pas d’un centimètre, mais ce qui ne se voyait pas se sentait, une forte intensité s’établissait entre nos deux sexes et irradiait l’intérieur de nos corps. Comme la dernière fois, j’ai perçu une onde de plaisir étreindre le corps entier de L, ça s’est amplifié, elle bougeait son bassin en sursautant, une longue plante s’est faite entendre, s’accentuant avec le temps, son vagin s’est fortement resserré sur ma verge, son corps s’est tendu, soulevé, ses yeux se sont révulsés, sa bouche s’est ouverte…plus de son, plus de respiration…puis un cri puissant, rauque et un relâchement de son corps qui a bondi sur la table en ondulant…elle jouissait ! Je sentais mon sexe soumis à de telles pressions qui s’est échauffé et je n’ai pu retenir mon éjaculation.
-L « Viens mon chéri…jouis toi aussi…jouis en moi…dans le ventre de ta tante chérie »
Je ne pouvais plus répondre à ses paroles, je me déversais en longues giclées dans son vagin qui se remplissait du sperme qui n’était pas celui de son futur mari…C’est cette pensée qui a intensifié mon orgasme, je baisais ma tante, certes, mais elle lui était infidèle en recevant mon offrande liquide…terrible effet !
Je me suis affalé sur elle, elle m’a entourée la tête de ses bras en attendant que je finisse de me vider en elle. Quand je reprenais mes esprits, je sentais que j’avais éjaculé une énorme quantité de sperme, ça coulait sur mes bourses et le long de ses fesses. L avait le regard mouillé, je ne savais pas si c’était des larmes de joie ou de douleur.
-L « Qu’est ce qu’on a fait là ? Te rends-tu compte ? On n’aurait jamais dû faire ça. On dit toujours ça après…pourquoi ? Dis-moi quelque chose chéri »
Je réfléchissais pour lui apporter une réponse qui la satisfasse, mais je n’en trouvais pas.
-Moi « Il y a beaucoup d’amour entre nous et nous nous plaisons ensemble »
-L « Je vais te dire quelque chose que je ne devrais jamais dire…je crois que…je t’aime »
L’effet a été comme si je recevais un camion rempli de béton sur la tête. Mais, en réalité, elle m’ouvrait une porte…Je me devais de la rassurer pour confirmer ses pensées et enfin, me confier à elle…enfin.
-L « Je t’ai toujours aimée, moi. Cet amour a évolué avec le temps. Je ne pourrai pas te faire l’amour si je ne t’aimais pas aussi…et là, je t’aime, oui, c’est vrai »
Voilà, c’était dit, je dévoilais mon amour si longtemps secret, je savais que je risquais gros. La question qui me venait en tête c’était…et maintenant, comment allons nous faire pour vivre en secret, cette passion qui nous emportait ? Avec nos conjoints futurs et à venir, pourrons-nous passer outre cette belle histoire? L m’a fixée dans les yeux en me tenant la tête entre ses mains :
-L « Ca va être difficile d’oublier tout ça, il restera des traces de notre histoire. Jean Paul (son mari futur) ne doit jamais savoir, sinon, nous sommes perdus, toi comme moi »
Nous parlions de notre avenir incertain, tout en étant toujours imbriqués l’un dans l’autre puisque nous étions très serrés, mon sexe n’avait pas quitté son vagin. Je sentais sa chaleur intérieure, c’est comme si j’étais totalement immergé en elle et…je ne voulais pas quitter ce nid douillet. Ma verge, quelque peu débandée, a glissé légèrement dans son couloir visqueux, ce qui a tout de suite, déclenché un effet électrique dans son corps, elle a lâché un souffle court. Ses bras continuaient à me presser contre elle, je comprenais qu’elle était encore réceptive, qu’il était possible qu’elle accepte que je puisse l’honorer une nouvelle fois, si je reprenais forme. Je poussais lentement mon bassin contre elle, ma queue s’allongeait et se rétrécissait au risque de perdre tout contact et abréger notre rapport, cela, il était hors de question. J’ai repris vie quand j’ai à nouveau sucé ses seins et embrassé sa bouche sèche qu’elle ne m’a pas refusée. Bien au contraire, elle a donné du sien en s’appliquant de toutes ses forces, à me rendre ce baiser qui a eu l’effet désiré…je rebandais ! A partir de cet instant, je me suis mis en action, allant lentement au début, puis plus vite ensuite, j’alternais pénétration, baisers pour son plus grand plaisir, elle roucoulait sous mon corps arque bouté sur elle et criait des phrases incontrôlées
-L « Oh que c’est bon…oh que c’est bon…Baise moi, chéri…qu’est ce que je t’aime toi ! »
J’ai compris que depuis ses derniers aveux, L ne cachait désormais plus ses sentiments, elle m’offrait cela en plus de son corps et de son âme, je ne pouvais pas être plus heureux ! J’ai senti aussi que L s’était encore plus lâchée, elle ondulait contre moi, me disait des mots encore tus malgré nos liens qui avaient perduré
-L « Je t’aime…Je t’aime…oh que je t’aime…prends moi, je suis à toi mon amour »
Je l’entendais et la sentais sous un nouveau jour, jamais elle ne m’avait dit ces mots.
-Moi « Oh je te sens bien là…tu es mon amour…j’aime te sentir…je te fais l’amour, ma chérie »
Je ne voulais pas être en reste ni l’abandonner dans des pensées qu’elle pourrait regretter, je devais être son égal, ne pas lâcher. Ses râles s’intensifiaient au fur et à mesure que je la pénétrais
-L « Oh c’est pas vrai…c’est pas vrai…oh laaaa »
Son corps s’est à nouveau tendu comme un arc, son ventre allait au devant de mon bassin, sa petite voix d’enfant se changeait en gémissement de lionne, son vagin se resserrait, elle basculait dans un nouvel orgasme que je n’ai pas senti arriver et comme la fois précédente, un liquide chaud a inondé nos sexes réunis, qui s’était répandu sous ses fesses. Mais que le tableau était beau ! Le fait de savoir que c’était ma tante à qui je donnais du plaisir ne faisait pas tout, il y avait aussi la fierté de voir cette femme blonde, superbe, au corps de rêve, se tordre de jouissance sous mon glaive, une femme que beaucoup d’hommes auraient aimé accrocher à leur tableau de chasse. Je ne pouvais pas continuer plus longtemps à faire des plans sur la comète, après L qui venait de jouir, je la suivais presque dans le même temps, j’éjaculais une seconde fois dans son tunnel vaginal qui, cette fois, affichait un trop plein séminal. La table de la cuisine était, je m’en souviens très bien, tapissée de nos secrétions communes. L semblait anéantie par les deux orgasmes successifs, elle paraissait inanimée sur la table, par respect envers elle, je me suis dégagé de son ventre à regrets. Un flot blanc a surgi de son orifice béant, il inondait ses fesses comme un ruisseau continu. Elle remuait très lentement, comme si elle était endormie, je me suis inquiété, je me suis penché pour lui parler, la rassurer, elle a eu beaucoup de mal pour revenir à elle. Je l’ai embrassée en lui demandant
-Moi « Ca va ? »
-L « J’en peux plus…je suis fatiguée… »
Je faisais le tour de la table pour aller chercher un verre d’eau, quand je suis revenu, j’admirais la scène. Le corps de ma tante gisait sur le dos, la jupe relevée, les jambes repliées laissaient apparaître son abricot rose d’où perlait ma semence, sa poitrine généreuse, dénudée, dardait vers le plafond, son visage incliné sur le côté recouvert par ses longs cheveux blonds, c’était digne d’un tableau de maître. J’ai approché le verre d’eau prés de ses lèvres, cela l’a faite réagir, elle ouvrait enfin les yeux, a tenté de se relever, en vain. J’ai dû l’aider par les mains pour la placer en position assise sur le bord de la table. Elle restait ainsi prostrée un long moment, tête baissée, ses cheveux ébouriffés cachaient son visage rougi, elle reprenait son souffle. Elle a aperçu les traces de nos secrétions partout sur la table et sous ses fesses, elle a glissé lentement dans mes bras, je l’ai maintenue quelques minutes
-L « Qu’est ce qui m’arrive ? Je plane là »
J’ai pris ses pulsations cardiaques avec mes doigts sur son poignet, il battait fort.
-Moi « Je t’amène sur ton lit pour que tu te reposes »
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Histoire de alma

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Commentaires du récit : Un amour de tante 3

Le 28/08/2022 - 10:59 par Rackham
De magnifique retrouvaient.

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