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Un apéro au bord de la piscine

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Lue : 3958 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/08/2012

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Il est environ vingt heures. Nous sommes, mes amis Didier André et moi, en train de boire un verre tout en écoutant un CD de musique africaine sous le manguier au bord de la piscine. Lors qu’arrive Myrice, ma belle sœur, et deux amies à elle, deux superbes petites bombes aux cheveux longs et aux bien belles formes...
Elle s'approche de moi, m'embrasse et me demande où est sa sœur Prudence. Je lui réponds qu'elle est allée à Yaoundé pour des affaires concernant son activité professionnelle.

Les trois jeunes femmes nous font la bise. Je les invite à s'asseoir près de nous et leur propose de boire avec nous. Si tôt dis, si tôt fait. Elles prennent place à côté de nous. Je leur sers un verre. Après avoir trinqué, ma belle sœur nous présente ses deux copines.

Myrice.
La première, là à gauche, c'est Marie. Elle est de Bertoua et elle est serveuse dans un cabaret. La deuxième, c'est Stéphanie. Elle est aussi de Bertoua et elle est coiffeuse.
Moi.
Et bien, moi, je vous présente mes copains André et Didier, qui sont venus de France pour passer quelques jours de vacances dans notre beau Cameroun.
Myrice.
C'est sympa. J'espère qu'il vont aimer.
André leur répond en premier.
Nous avons fait tous ces kilomètres pour venir découvrir les beautés de votre pays. Mais pas seulement la nature.
Myrice.
Je vois. Il n'y a pas que la forêt et les animaux à découvrir. Il y a bien d'autres choses. Des nanas comme nous, par exemple. Il y en a de tonnes...
Didier.
Merci Myrice. Je vois que tu as compris ce que nous venons chercher. Et, je peux te poser une question. Tes amies, Marie ou Stéphanie, sont libres en ce moment ?
Myrice.
Je te répondrais bien. Mais tu n'as qu'à leur poser la question directement.
Didier.
Je te remercie. Mais je vais le faire aussitôt...

Nous continuons à faire connaissance. Puis l’alcool et la musique aidant, la conversation s'anime et les langues se délient jusqu'à faire comme si nous nous connaissions depuis des lustres.

La nuit était tombée depuis un bon moment déjà. Sur la platine tournait une chanson bien rythmée. D'un coup, les filles se lèvent et se mettent à danser sur le Makossa qui passait. Je ne sais pas si vous connaissez la façon de faire qu'ont les Africaines pour vous inviter et vous chauffer. Elles se mettent devant vous et font tourner leurs fesses. Je vous dis que ça... Ça vous met dans une forme d'enfer.
Donc, voilà Myrice, Marie et Stéphanie, toutes les trois en train de faire tourner leurs postérieurs à trente centimètres de nos yeux. Je ne vous raconte pas comment mes copains avaient les yeux qui sortaient de leurs orbites. Ils étaient subjugués. Ils ne connaissaient pas ça. C'était pour eux une découverte, et quelle découverte.

André me dit.
J'y crois pas... comment on peut résister à ça.
Moi.
Tu vois. On ne peut pas. Et tu va voir comment ça va tourner.
Didier.
Je crois que je vais exploser mon caleçon. Elles m’excitent à un point...

Et la suite se déroule exactement comme je venais de leur dire. Les trois danseuses occasionnelles se trémoussent de plus en plus. Stéphanie commence à défaire le haut de son pagne, suivie par ma belle sœur et Marie quelques secondes après.
Quel beau spectacle. Trois paires de seins magnifiques, bien ronds, bien durs et sautillants au rythme du Makossa. Quelques instants après, cette fois c'est Myrice qui délasse le bas de son pagne suivie de Marie et Stéphanie. Les voilà à présent simplement vêtues d'un petit bout d'étoffe qui cache à peine leurs pubis et dont la ficelle pénètre au plus profond entre leurs fesses. Elles jouent toutes les trois avec nous jusqu'au moment ou elles nous les jettent à la figure. Marie vers André, Stéphanie vers Didier et Myrice vers moi. A mon avis c'était bien fait comme elles avaient choisi. Ce n'était pas le fruit du hasard.

Les trois demoiselles accentuent encore un peu plus leur danse exotique, ou érotique et nous invitent à les rejoindre pour le final. Comme nous ne sommes pas des gougeas, nous les rejoignons et rentrons dans leur jeu. Après quelques minutes de frottement effrénés, nos shorts respectifs se trouvèrent déformés sur le devant.
Je ne sais pas laquelle des trois s'en est aperçue la première. Mais ce qui est sûr, c'est qu'elles se sont mises à regarder avec de gros yeux d'envies en direction de nos énormes bosses et à rire de bon cœur.

Moi.
C'est quoi, les filles, qui vous fait rire comme ça.
Marie.
C'est de voir les bosses que vous avez dans vos shorts. Il me semble que vous êtes plutôt bien équipés tous les trois... !
Myrice.
De ce côté là, Régis a ce qu'il faut. Tu peux me croire... !, j'en ai fait expérience plusieurs fois déjà.
Stéphanie.
Moi, j'ai une petite préférence pour Didier, si ça ne vous dérange pas !!!
Marie.
Pas de problème, ma grande, j'espère qu'André n'y voit pas d’inconvénient.
André.
Non pas du tout. Et même je t'avoue que j'avais jeté les yeux sur toi en premier, Marie.
Marie.
Donc tout est bien comme ça.
Didier.
Puisque tout le monde est d'accord. Alors allons y... !
Myrice.
Dis moi Régis. Et toi, qui préfères tu ?
Moi.
Pourquoi cette question. Toi bien entendu. Je ne t'échangerai avec personne tu le sais bien.
Myrice.
Merci bien. Je le savais. C'était juste pour rire... Bon les amis(es), pour bien commencer la soirée, si on se jeter dans la piscine. Vous croyez pas que ce serait un bonne idée... !
Et tout le monde de lui répondre.
Allons y... ! on te suit.

Nous, les garçons, qui étions encore habillés, ôtons nos shorts, nos tee-shirts et nos caleçons. Quand aux filles, elles étaient déjà à poils suite à leurs danses érotiques. Nous nous approchons du bassin et un grand plouf s'en suivi. La fête pouvait commencer vraiment. Nos érections encore bien présentes à la rentrée dans l'eau, ce ne sont pas les divers chahuts qui suivirent qui nous ont fait débander. En tout cas pour ma part...

Voyant ça, Myrice me dit.
Tu veux qu'on sorte de l'eau, ou tu me fais l'amour dans l'eau ?
Moi.
Tu veux qu'on essaye dans l'eau ?
Myrice.
Pourquoi pas. Je ne l'ai jamais fait. Et toi ?
Moi.
Moi non plus. Tu veux, on essaye...

Nous nous calons vers le bord du mur, là où le niveau est peu profond. Mimi s'accrocha à mon cou. Puis elle m'entoura la taille avec ses jambes de façon à ouvrir au maximum sa petite chatte pour que je puisse la pénétrer. Elle se laissa glisser lentement le long de mon pénis pour s'y empaler totalement. Et là, il ne lui reste plus qu'à monter et redescendre pour se donner du plaisir. Et le plaisir ne tarda pas à venir. Après quelques va-et-vient, Mimi commença à soupirer puis à gémir tellement c'était bon. C'est une sensation formidable que nous rencontrons, pour la première fois, l'un et l'autre. C'était en quelque sorte un dépucelage. Puisque, ni elle ni moi, n'avions jamais fait l'amour dans l'eau d'une piscine.

Au bout d'un moment, nous regardons autour de nous. Surprise, il n'y avait plus personne dans l'eau. André et Marie étaient dans un coin du jardin, un peu à l'écart et Stéphanie et Didier sous le grand manguier. Si la musique du CD s'était tue, il y avait d'autres chansons qui se diffusaient ça et là sur la pelouse du jardin. Il faut dire que les soirées au Cameroun, même à une heure tardive, sont chaudes au sens propre comme au figuré.

A cet instant, je dis à ma belle complice.
Et si nous allions nous installer un peu plus confortablement ?
Myrice.
Oui, c'est une bonne idée. On va s'installer sur la terrasse, nous serons mieux sur le canapé.

Nous sortons de la piscine sans trop faire de bruit, et nous nous dirigeons vers la terrasse. Mimi s'allongea sur le canapé les jambes ouvertes pour m'offrir sa délicieuse fente humide que je m'empresse de déguster une fois encore. Trois coups de langue suffirent pour lui faire gonfler son clitoris et lui déclencher un nouvel orgasme. Et quand ma tendre belle sœur a un orgasme, il ne faut pas relâcher l'action en cours. Alors, je redouble d'attention et d'efficacité. C'est vrai que c'est un tel bonheur de lui faire l'amour... Elle me comble à chaque fois que nous faisons l'amour.
Bref, j'avais une verge dans une érection monumentale et ma douce partenaire s'en rendant compte.

Elle me demanda avec empressement.
Reprends-moi maintenant. Je veux jouir encore et encore.
Moi.
Bien ma chérie. On est là pour se faire du bien. Par quoi commence t'on ?
Myrice.
Par une levrette. Tu sais que j'aime la levrette.
Moi.
Et après ?
Myrice.
Par ce que tu veux. Je veux que tu me fasses jouir. Et on finira par mon petit trou que tu aimes par dessus tout.

Comme on dit. Ce que femme veut... donc, j'abandonne ma minette préférée. Le demoiselle se met en position, à quatre pattes, les cuisses largement ouvertes offrant à ma vue la scène où allait se jouer les prochains actes de notre pièce de théâtre.

Un dernier coup de langue sur cette fente déjà bien détrempée, et j'approche ma grosse banane plantain à l'entrée. Une seule pression suffira, je me retrouve tout au fond de son volcan. Et en même temps, un petit cri d'extase qui me donna encore plus envie de bien faire.

Myrice.
Vas-y, baise moi fort. Fais-moi jouir comme une folle. J'ai envie de te banane.

Le marteau piqueur se remit en action, et les coups de boutoirs deviennent de plus en plus forts. Ma petite belle sœur, elle, chanta de plus en plus fort. Les soupirs se transforment en gémissements, puis les gémissements en petits cris.
Après avoir bien limé comme un forcené, pendant plus d'un quart d'heure, sa chatte dégoulinante, elle me supplia de lui prendre sa rondelle plissée.

Je m'exécutais aussitôt. Je ressortais ma verge encore raide comme un bâton de ce cratère en ébullition. Je lui léchais abondamment son tout petit orifice avant de présenter à l'entrée l'embout du marteau piqueur qui allait se mettre à nouveau en action. Ceci dit, la pénétration se fit en douceur. Mais aussitôt à l'intérieur, la demoiselle demanda avec insistance de l'action. Ce que je ne pouvais lui refuser. C'était tellement bon. Donc, les petits sons des paroles de sa chanson préférée se firent à nouveau entendre. Ma belle sœur était dans un état de jouissance que je ne peux pas décrire, tellement elle était excitée. Plus mes va et vient étaient intenses et profonds, plus Myrice gémissait en me demandant d'une voix chevrotante de la faire jouir encore plus fort.
Bref, notre pièce de théâtre dura plus de trois actes, et certainement bien plus d'une heure. Et c'est au bord de l'épuisement que je lui déchargeais, entre ses fesses, le flot de ma jouissance. En tout cas, nous avons passés une superbe soirée d'amour et de complicité, tout comme nos amis (es) qui sont venus nous rejoindre quelques instants plus tard sur la terrasse. Tout ce petit monde bien fatigué s'est dirigé vers les douches avant de rejoindre les chambres où cela a certainement dû recommencer... Mais ça, vous le saurez une prochaine fois.

Zizoulabellequeue.
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