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Un bon client 2

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Lue : 1953 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/06/2018

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Résumé de l'épisode précédent : Francis, un mari cocu, décide d'aller voir une prostituée : Gina. Incapable d'avoir une érection, il fini par fondre en larmes, révélant à Gina que sa femme le trompe. Bien malgré elle, elle est prise d'un fou-rire. Francis, au trente sixième dessous, s'auto- dénigre, espérant certainement provoquer un peu de compassion. Mais Gina, toujours amusée, se moque de lui. Dans un sursaut d'orgueil, il essaye de la faire taire. Prise d'une impulsion, elle le frappe. Surpris par sa violence Francis montre patte blanche. Devant sa reddition, elle décide de l'humilier et de le faire pleurer à nouveau. A la fin de cette première partie, Francis gît en pleurs sur le sol aux pieds de Gina. Celle-ci n'en a pas encore fini avec lui.


Elle le laissa pleurer une ou deux minutes tout en se caressant et en laissant vagabonder son imagination. Elle envisagea divers scénarios, plus jouissif les uns que les autres. La situation était inédite pour elle. Les masos c'est pas ce qui manquait et elle n'avait aucun scrupule à les faire souffrir. Mais avec un maso, on avait des demandes précises et il fallait toujours respecter le cadre des fantasmes du client. Là c'était différent ! Ce con, elle aurait pu le passer à tabac et à cette simple idée, son excitation montait d'un cran. Évidemment, au regard de la loi, il fallait qu'elle veille à ne pas aller trop loin mais comme c'était bon de se retrouver dans une telle situation de pouvoir ! Elle avait envie d'être garce, d'être salope, d'être vicieuse. Cet abrutit était tellement faible. Elle se souvint qu'il c'était mis à chialer tout en disant qu'il était amoureux de sa femme. Quel abrutit ! Avec ce que cette garce lui faisait subir ! N'empêche, il ne devait pas être tant amoureux que ça sinon, il ne serait pas venu ici. Il avait l'âme romantique ce petit avorton. Du romantisme... songea-telle... Gina eut envie qu'il tombe amoureux d'elle. Comment ça devait être jouissif de le manipuler, de lui faire croire à l'amour et de le voir pleurer pour elle.

Gina sentit son clitoris tressaillir sous son doigt à cette pensée. Un sourire lubrique se dessina sur son visage. Elle se pencha pour saisir un mouchoir en papier, (ce dont elle disposait à profusion tant cet accessoire était indispensable dans sa profession) et vint s'accroupir devant Francis. Elle lui caressa doucement les cheveux, essuyant la cyprine sur ses doigts au passage, en faisant :
_ Chuttt... Tout va bien maintenant... D'une voix douce.

Francis pleurait toujours. Gina lui essuya doucement la joue à l'aide du kleenex. Elle sentit Francis se détendre.
_ Allez c'est fini.... Continua-t-elle. Ça va aller maintenant...

Francis se laissait faire tandis qu'elle essuyait larmes, morves et salive, changeant de mouchoir au passage tant il y avait à nettoyer.
_ Ça va mieux ? Lui demanda-t-elle la voix pleine de sollicitude.

Il hocha de la tête en reniflant. Et fini par murmurer :
_ Je crois oui...
_ C'est bien... C'est fini, maintenant ça va aller beaucoup mieux... Il fallait que je le fasse... J'avais pas le choix.
_ Mais comment ?... Pourquoi ?...
_ Je fais pas ça à n'importe qui tu sais !
_ Mais pourquoi moi ?
_ Tu sais au début quand j'ai eu mon fou rire, c'était nerveux et puis quand j'ai vu que je pouvais pas lutter contre ça je me suis laisser allée. J'aurais dû avoir pitié de toi mais je n'y arrivais pas. Et puis, j'ai compris que t'avais pas besoin de ma pitié. Je t'ai fait mal parce que t'en avais besoin ! Il fallait que je te réveille ! Tu veux rester tel que tu est toute ta vie ? A te lamenter sur toi même ?
_ Non !
_ Et pourtant qu'est-ce que tu a fait pour que ça change ?
_ Je... suis venu ici.
_ Exactement ! Mais si j'avais pas fait ce que je t'ai fait, tu serait reparti avec la honte de n'avoir même pas pu bander alors que là...
_ La ?...
_ Tu a pris conscience de ta nullité ! Et je dit ça sans méchanceté ! Je t'ai aidé à ouvrir les yeux ! Tu ne peux t'en vouloir qu'à toi même ! Tu as laissé ta femme te tromper bordel ! Quel genre de mec tolère ça ? C'est pas pour rien que t'arrive pas à bander. Est-ce que tu pense avoir droit à prendre du plaisir ? Est-ce que tu mérite d'être heureux ? Répond moi sincèrement et ne te remet pas à chialer sinon je recommence à te frapper !
_ Tu... tu as raison. J'ai l'impression de... d'être en faute. De ne pas... être à la hauteur. J'ai toujours peur de décevoir. J'ai toujours eu l'impression de décevoir et ma mère... Ce que tu à dit tout à l'heure... Ma mère ! S'exclama-t-il la voix tremblante, sur le point de craquer.

Gina lui colla une paire de gifle, ordonnant :
_ Arrête ça !
_ Oui, pardon. Se reprit-il. C'est l'émotion. Mais elle... J'ai toujours su qu'elle qu'elle ne... m'aimait pas !

Francis serrait les lèvres et fermait les yeux, essayant de contenir sa tristesse de toutes ses forces. Gina souriait, narquoise. Elle ne pensait pas avoir touché si juste tout à l'heure et fugacement, elle se dit que peut-être qu'elle avait capté instinctivement qu'il avait un problème avec sa mère. En tout cas, à présent son sentiment de supériorité était total. Cet abruti acceptait les coups sans broncher. Elle était prête à le gifler au cas où il craque encore. Mais finalement celui-ci parvint à retenir ses larmes. Il ré-ouvrit les yeux et la regarda avec une nouvelle détermination dans le regard.

_ Ma mère... Poursuivit-il. Elle n'en avait que pour ma sœur. Moi, je me suis toujours senti comme le vilain petit canard. Pourtant, dieu sait que toute mon enfance et encore aujourd'hui, je fais tout ce que je peux pour qu'elle soit fière de moi. Mais j'avais beau ramener les meilleurs notes possibles quand j'étais à l'école, ça ne suffisait jamais. Alors que ma sœur, elle... Elle avait droit à tout ! Combien de fois j'ai été puni alors que c'est elle qui me provoquait ! Je peux pas dire non plus que j'ai eu une enfance malheureuse. J'ai pas été battu non plus. Et puis avec mon père ça allait bien même si on parlait pas beaucoup. Mais à la maison c'était ma mère qui dirigeait tout.

Gina l'écoutait, hochant la tête, feintant l'intérêt pour sa minable histoire. Pensant en son fort intérieur qu'avec un fils pareil, sa mère avait forcément dû avoir les boules. Quel minable ! Se rendait-il compte de la nullité qu'il dégageait. Pauvre idiot geignard. Néanmoins, elle sentait qu'il commençait à lui faire confiance. Elle enchaîna sur sa femme.
_ Et avec ta femme, c'est un peu la même chose finalement ?
_ Oui, c'est carrément ça ! Je sais pas comment j'en suis arrivé là ! Au début c'était pas comme ça. Je croyais qu'elle m'aimait, elle ! Et puis un jour, j'ai trouvé une capote usagée dans la douche. Putain quand j'y pense ! Des fois je me demande même si mes filles sont bien de moi. Mais plus j'y pense plus je crois qu'elle m'a épousé pour mon fric.
_ Tu fais quoi ? Demanda-t-elle, afin de vérifier son intuition quant à sa situation financière.
_ Déjà, au départ, ma famille est assez aisée. On a pas mal d'immobilier. D'ailleurs c'est ma sœur qui gère le patrimoine. Pour te dire à quel point mes parents me font confiance... Mais bon, elle s'en tire très bien. Elle me verse ma part tous les mois. Moi, comme j'étais un acharné à l'école, j'ai beaucoup étudié, les sciences, les math... Aujourd'hui, je suis ingénieur en systèmes d'exploitation robotique intégrée. Je travaille sur des systèmes qui permettent aux robots de communiquer entre eux, c'est comme si je faisait de la traduction de langage informatique entre les machines. Quelque part c'est génial parce que...
_ Oui bon on s'en fout ! Le coupa-t-elle. Tu gagne bien ta vie quoi !
_ Oui, désolé, quand je démarre sur le boulot... Mais oui ! Je gagne pas mal.
_ Et ta femme ? Qu'est-ce qui te fais croire qu'elle t'a épousé pour ton argent ?
_ Ben au départ, quand j'étais étudiant, je suis sorti avec une fille assez gentille et du même milieu que moi. Ma femme était sa meilleure copine. Elle étaient étudiantes ensemble et ma copine de l'époque l'hébergeait parce qu'elle avait pas les moyens de payer un loyer. Et puis un soir, ma copine était en stage et ma future femme m'a demandé de passer chez elles parce qu'elle voulait me parler d'un truc important. A l'époque, elle me plaisait déjà beaucoup mais je pensais pas qu'elle l'avait remarquée. Mais quand j'y ai été elle m'a dit que ma copine s'en foutait de moi et qu'elle était dégoûtée pour moi, que je valais mieux que ça... Ce genre de truc. Et puis, elle m'a fait du rentre dedans. Je veux pas être méchant pour Marie, mon ex, mais y avait pas photo entre elle et Sonia. Au début, je pensais vraiment qu'elle était autant attiré par moi que moi par elle. Mais après notre mariage, on a beaucoup moins fait l'amour. Coté finance, c'est elle qui gère et elle est sans arrêt en train de me reprocher que je me fait avoir par ma sœur, qu'elle a eu plus que moi. Elle a raison mais on est pas à plaindre !
_ Tu gagne combien ?
_ Environ 5000, plus les loyers, plus ce que gagne ma femme.
_ Elle fait quoi ?
_ Elle est gérante de la grande parfumerie, celle de l'avenue Kennedy.
_ La grande ?
_ Ouais.
_ Ouais je connais ! Ta femme c'est la patronne, une blonde super classe, toujours en talon avec des ongles super long.
_ Ouais c'est ça !
_ D'accord... Le monde est petit ! Et bien, je veux pas être méchante mais comparé à toi, elle en jette. Mais pour moi c'est clair qu'elle t'a épousé pour ton fric.
_ Oui je dois admettre que j'en suis sûr maintenant. Mais qu'est-ce que je peux faire ?
_ Ben divorcer !
_ Je sais pas... Il y a les filles et puis malgré tout, j'ai des sentiments pour elle.
_ Moi, je crois que t'est pas tombé sur la bonne. Il aurait mieux valu que tu reste avec ton ex mais aujourd'hui tu est sûrement prêt à trouver quelqu'un d'autre.
_ Oui, sûrement... En tout cas ça me fait du bien de vider mon sac. J'avais jamais parlé de tout ça à quelqu'un. Je sais pas... Ce que vous m'avez fait... C'était violent mais... J'en avais sûrement besoin.
_ Je viens de te faire économiser dix ans de psychanalyse on dirait ! S'exclama-t-elle avec un grand sourire
_ Ouais. Je crois bien ! Lui répondit-il, visiblement reconnaissant.

Gina le sentait parfaitement en confiance maintenant. Elle pensait l'avoir assez bien cerné. Elle décida de la jouer confidence pour confidence. Lui faisant croire qu'elle se confiait à lui, qu'il était digne de confiance, créant un rapport de complicité qui l’amènerait à croire qu'il avait de l'importance à ses yeux. Pour elle, il était hors de question de ne pas tenter sa chance. Ce benêt plein aux as, elle avait la certitude de pouvoir le manœuvrer à sa guise. Qu'il croit donc qu'il avait une chance avec elle de trouver l'amour et elle pourrait le plumer jusqu'à l'os.
_ En tout cas t'est bien mieux quand tu chiales pas comme une merde même si t'est rigolo quand ça t'arrive. T'est même assez mignon en fait ! Bon t'est pas un canon bien sûr ! Mais si tu savait tous les boudins que je voix passer ici. T'est loin d'être le pire. Et puis, pour moi le physique c'est pas ce qui compte le plus. Si seulement j'avais la chance d'avoir un mec comme toi ! Les gars gentils ça court pas les rues. Tous les salopards que j'ai pu croiser ! Si tu savais... Les mecs, ici, ils n'ont plus de limite à leur bestialité. A force j'ai appris à vous détester. C'est sûrement ça qui m'a autant endurcie. Pourtant j'ai toujours l'espoir de tomber sur un mec qui ne serait pas un salop. Un mec... comme toi en fait... Qu'est-ce que je donnerais pour un peu de tendresse ! Avoir un homme qui ai sincèrement envie de prendre soin de moi. De m'accepter telle que je suis. Avec ce que je t'ai fait c'est pas tout le monde qui l'aurais aussi bien pris. Des fois la vie c'est bizarre, j'avais jamais traité un client comme ça avant toi. C'est comme si avec toi j'avais su que je devais le faire, que c'est ça qui te ferais du bien. C'était plus fort que moi, il fallait que je me défoule sur toi et ça m'a fait du bien à moi aussi. Mais peut-être que ce qui m'a conduite à être aussi dure c'est aussi parce que finalement t'est pas tant à plaindre que ça ! T'imagine pas la vie que j'ai ! J'ai que mon corps pour me faire vivre moi ! Je vis en permanence avec la peur de tomber sur un tordu... Alors c'est vrai que j'ai du mal à avoir pitié d'un, excuse-moi mais, « un petit bourgeois cocu ». Quand je pense à tout ces trucs dégueulasses que j'ai du faire pour survivre. Ma vie à moi c'est un combat du quotidien. Je donnerais n'importe quoi pour me sortir de là et trouver un gentil mari comme toi. Ta femme elle sait pas la chance qu'elle à. Elle te mérite pas. Moi j'aurais un mec comme toi, je serais la plus heureuse des femmes.
_ Ouais ? Lui fit-il incrédule.
_ Oui vraiment. Répondit-elle en lui caressant la joue pleine de tendresse.

Francis senti son cœur faire un bon dans sa poitrine. Il bafouilla :
_ Je sais que je suis pas un étalon mais si vous voulez je peux...
_ Tu perd pas le nord hein ! Moi qui te prenait pour quelqu'un de différent. Putain, tu peux comprendre que j'ai pas envie là maintenant !
_ Oui pardon ! Mais je voulais juste vous proposer de... vous faire un...
_ Un quoi ?
_ Un cunni, si vous voulez. Lui avoua-t-il en rougissant.
_ C'est gentil. Pourquoi pas ? Tu lèche bien ? Lui fit-elle taquine.
_ Ben avec ma femme, je fais que comme ça alors...
_ Elle a vraiment du bol ! Putain elle te mérite vraiment pas. C'est vraiment pas juste. Si j'avais un mec comme toi qu'est-ce que je serais heureuse ! Lui dit-elle avec un sourire triste en se rapprochant contre lui, lui posant la main sur la nuque.

Francis s'enflamma :
_ Gina je.. ! Je voudrais vraiment.. ! Vous donner de la tendresse ! Moi je pourrait m'occuper de vous !
_ T'est adorable. Mais... tu sais pas ce que tu me demande. Tu veux vraiment me faire plaisir ?
_ Oui, oui ! Je sais que je le mérite peut-être pas, que je suis pas un mannequin mais si je peux vous faire plaisir. Vous m'avez tellement aidé, alors si je peux...
_ Bon alors, je veux bien mais je laisse pas faire ça à n'importe qui parce que c'est vraiment le truc qui me donne vraiment du plaisir. C'est vachement intime tu comprend ?
_ Oui. Ok ! Ok ! Répondit-il précipitamment.
_ Si je te laisse faire ça, c'est comme si t'étais plus un client mais plutôt un amant, tu vois ? Avec les clients, il y a toujours une certaine distance. J'ai pas de sentiment pour eux. Je peux pas me permettre de faire avec eux ce qui me plaît vraiment. Je baise et je suce tous les jour mais je prend pas de plaisir et je jouis jamais. Et toi tu vas pouvoir me faire jouir. Mais il faut vraiment que tu soit prêt à tout pour ça !
_ Oui, oui. Je ferais tout ce que vous voulez ! S'exclama Francis avec un immense sentiment de reconnaissance, faisant ainsi complètement abstraction du fait qu'il se livrait sans restriction au désir de cette femme.

Encore une fois, il se mettait au service de l'être aimé, retombant dans ce fonctionnement si naturel pour lui. Mais, il se sentait tellement fier. Lui, l'impuissant, le cocu, allait avoir le privilège de faire grimper au rideau cette superbe créature. Elle, que tout ces hommes ne savaient pas combler, lui il y arriverait ! Gina jubila intérieurement. Il avait l'air tellement enthousiaste qu'elle ne pu se retenir de pouffer de rire, détournant rapidement la tête en s'exclamant :
_ C'est l'émotion.

Putain, quel abruti ! Pensa-t-elle. Elle lui avait joué le « rêve bleu » et il y avait cru ce con ! Elle songea à ce qu'elle allait lui faire subir et son excitation, qui monta d'un cran, calma son rire. Elle lui fit de nouveau face. Elle le regarda d'un air coquin en mordillant sa lèvre inférieure.
_ Tu veux me lécher la chatte alors ?
_ Ou.. oui. Si vous voulez... Balbutia Francis.
_ C'est mon trou du cul que tu vas lécher connard !

Francis écarquilla les yeux et sa mâchoire s'ouvrit toute seule. Gina éclata de rire et se mit à quatre pattes sur le matelas, lui présentant ses fesses cambrées. Francis resta interdit, observant son divin postérieur se tortillant d'impatience alors qu'elle s'exclamait :
_ Alors ! J'attends !

Elle savait qu'elle jouait quitte ou double. A ce moment là il pouvait très bien récupérer ses affaires et foutre le camp. Mais Gina était assez confiante. Le peu de doutes qu'elle aurait pu avoir s’envolèrent définitivement quand elle sentit Francis qui bougeait derrière elle suivi de la sensation de son souffle contre son anus.
_ C'est bien connard. Allez lèche !

Quand Gina sentit le contact de cette langue servile contre son trou du cul, des frissons de plaisir irradièrent de son bas ventre et descendirent le long de ses jambes jusque dans ses orteils qui s'étirèrent tout seuls. Elle souffla :
_ Ah ouais ! Putain comme c'est bon !

Francis, ragaillardi par ses paroles fit aller et venir sa langue sur le petit orifice. Après la surprise du changement d'attitude de Gina, il avait préféré s'exécuter sachant que ça devait être ça qui la ferait jouir. Ses cris de plaisir lui en donnait la confirmation. L'anus de Gina, large et brun, était luisant de sueur et dégageait une très forte odeur animale. Passé le premier mouvement de répulsion, Francis imprégnait désormais ses papilles de ce puissant fumet. Il s'habituait rapidement à ce goût suave et poivré. Gina gémissait de plaisir :
_ Ah Salope ! Ah salope ! T'aimes ça hein ?

Entre deux coups de langue, il répondit :
_ Oui oui. J'adore !
_ Lèche moi bien sale pute ! Tu mérite que ça ! Salope va ! Il est bon mon cul hein ?
_ Oui ! Oui !
_ Tu l'aimes hein ?
_ Oui ! Oui !
_ Dis le salope !
_ Je... je l'aime... Je l'aime...
_ Embrasse le ! Embrasse mon cul !

Francis s'exécuta, déposant de tendres baiser sur le fondement de Gina. Celle-ci soupira de plaisir :
_ Hummm... Comme c'est bon ! Putain tu sais que t'est une vrai salope toi ! T'aimes ça hein ? De baiser mon cul pendant que je t'insulte.
_ Oui ! Oui !
_ Elle te le fait pas ça, ta femme, hein connard ? Ça c'est réservé à ta Maîtresse pas vrai ?
_ Si si ! Répondit Francis entre deux baisers.
_ Appelle moi Maîtresse sinon je te tape encore.
_ Oui Maîtresse !
_ Oui ! Comme j'aime ça ! Dis moi à quel point tu m'aimes pauvre larve !
_ Je.. je vous aime. Je vous adore ! Vous êtes ma Maîtresse.
_ Oui ! Et toi tu n'est qu'un minable. Tu aimes tellement donner du plaisir à ta Maîtresse, pauvre idiot. Tu ne vit que pour ça ! Embrasse mon petit trou maintenant ! Je veux sentir tout ton amour dans tes baisers.

Francis concentra ses baisers sur l'anus de Gina. Et plus il l'embrassait plus il fondait de tendresse pour cette fille. Bien qu'elle le traita de la manière la plus humiliante qui soit. Il était persuadé de lui donner tout ce dont elle rêvait. Si il avait pu voir son sourire narquois au même instant, il aurait peut-être compris à quel point elle se jouait de lui. Gina sentait avec délectation, les lèvres de Francis appliquer avec dévotion de doux baisers sur son trou du cul. Elle se laissa aller vers l'avant et glissa sa main droite entre ses jambes pour se caresser l'entrejambe en disant :
_ Allez lèche maintenant salope !

Son ventre se mis a gargouiller tandis qu'elle se donnait du plaisir, Francis lapant servilement son anus. Sentant ses intestins se contracter, elle sourit à pleine dents.
_ Je veux sentir ta langue dans mon cul connard !

Francis, plus que jamais servile, obéit immédiatement, dardant sa langue entre les fesses tendues de Gina. Celle-ci fit doucement basculer son bassin d'avant en arrière. Francis accompagna son mouvement de sa tête tandis qu'elle ordonnait :
_ Allez, enfonce ! Enfonce encore !

Quand soudain elle s'écria :
_ Prend ça ! Sale pute ! Tout en relâchant ses intestins.

Le bruit du pet, sur l'anus et la langue baveuse de Francis fut des plus comiques et Gina éclata de rire tandis que Francis se redressait sur les genoux en s'écriant :
_ Putain !
_ Je t'ai pas dit d'arrêter connard !
_ Non mais là !
_ Quoi ? Fit-elle en regardant par dessus son épaule.
_ Je peux pas ! C'est trop là !
_ Qu'est-ce que t'as dit là ! Le menaça-t-elle tout en se mettant debout et se retournant.
_ Désolé mais... Commença Francis à genoux devant elle.

Elle ne le laissa pas finir et lui retourna une paire de gifle à toute volée.
_ Déjà, tu m'appelle Maîtresse ! Pauvre merde ! Tu veux me casser mon délire c'est ça !
_ Non, non...

Mais déjà, il se remettait à pleurer. Gina impitoyable s'écria :
_ T'en a pas eu assez après connard. Il t'en faut encore ! Je vais te dresser moi !

Elle recommença alors à le frapper sans retenue, Francis levant les mains pour se protéger le visage. Elle recula légèrement et lui envoya un méchant coup de pied dans les couilles. Francis fut submergé par la douleur et s'effondra au sol tandis qu'elle ricanait :
_ De toute façon elle sert à rien ta bite.

Elle s'assit alors a califourchon sur lui et le saisit par la chevelure.
_ Explique-moi un truc connard ! T'avais pas dit que tu voulais me donner du plaisir ? Alors pourquoi tu me laisse tomber au meilleur moment ?
_ Pa.. Pa.. Pardon Maîtresse. Je savais pas ! Ça m'a surpris c'est tout. Geignit-il.
_ Pauvre con va ! Et moi qui te faisait confiance !
_ Désolé...
_ Si tu veux avoir une chance avec moi, il faut que tu accepte TOUT de moi ! TOUT ! Tu comprend ?
_ Oui. Pardon ! Pardon Maîtresse ! Je savais pas mais j'ai compris. Je vous jure !
_ A ouais ? Regarde moi !

Francis, retira ses mains de devant son visage et se tourna craintivement vers elle. Elle poursuivi :
_ Est-ce que tu sait ce que c'est de tout accepter par amour ?
_ Mais oui ! J'ai bien accepté que ma femme...
_ C'est bon, c'est bon ! Mais moi ! Tu m'avais promis ! C'est rien ce que je t'ai fait. Rien ! Bordel ! T'as pas idée des saloperies que j'ai du endurer moi ! Est-ce que j'ai refusé, reculé ? Non moi j'ai tout accepté. Alors que je n'était même pas amoureuse. Tu dis que tu m'aimes, et, pour un petit truc de rien du tout, tu t'échappe ! T'as pas honte ?
_ Si, si ! Pardon !
_ Pardon qui ?
_ Maîtresse.
_ Tu pense encore que t'est capable de me donner du plaisir ?
_ Heu, oui... Je crois.
_ Maîtresse ! S'écria-t-elle en le giflant.
_ Oui Maîtresse ! Répondit-il en gémissant.
_ On va voir ça ! Ouvre la bouche salope !

Francis, totalement soumis à Gina, ouvrit grand la bouche. Elle avait tout à fait conscience d'être en plein dressage. Elle comptait lui faire repousser les limites de tout ce qu'il croyait être capable de supporter. Elle lui avait pété à la gueule ! Quel pied de lui infliger cette petite saloperie ! Cet abrutit devait intégrer que c'était tout à fait légitime qu'elle lui fasse ça. En plus c'était tellement agréable ! Elle était contente qu'il ai tenté de résister. Ça lui avait permis à nouveau de raffermir son emprise sur lui. Et de le faire culpabiliser en prime n'était pas le moindre de ses plaisirs. Elle se racla la gorge et lui crachat dans la bouche avant d'ordonner :
_ N'avale pas encore !

Elle pris le temps de renifler, de racler encore et encore sa gorge. De tousser pour faire remonter ses glaires. Et elle crachat ainsi une dizaine de fois dans la bouche de ce pauvre Francis qui attendait larmoyant, la bouche ouverte, l'autorisation d'avaler. Enfin elle lui dit :
_ Allez avale abruti !

Il ferma la bouche et avala le contenu de celle-ci, il sentit le liquide visqueux lui descendre dans la gorge. Elle lui fit :
_ Qu'est-ce qu'on dit connard ?
_ Merci. Merci Maîtresse !
_ Bon ! On avance ! T'est peut-être pas si con en fait ! Tu vas être un gentil garçon maintenant hein ?
_ Ou.. Oui Maîtresse.
_ Met toi sur le dos ! Ordonna-t-elle en le libérant.

Il s'allongea et elle s'assit sur son torse son sexe juste devant le visage de Francis. Les jambes largement écartées, elle se caressa devant lui en poursuivant :
_Ouais, j'en suis sûre ! T'as tout ce qui faut pour ça. J'ai envie que tu soit à moi. Rien qu'a moi ! Toi t'est capable de me rendre heureuse. D'accepter tout mes fantasmes. Tu m'excite ! Regarde mon clito, il est tout dur pour toi. Ça te plaît ça hein ?
_ Oui Maîtresse.
_ Avec moi tu va découvrir tout ce qu'on peux faire... T'as pas idée... Je veux que tu m'appartiennes. Je veux pouvoir te faire découvrir tout mes fantasmes. Regarde comme ça m'excite rien que d'y penser !

Francis était fasciné par ce mouvement circulaire, Gina, le majeur sur le clitoris faisant des cercles. La bouche entrouverte et les yeux mi-clos, elle semblait entrer en transe. Il sentait son sexe durcir a son tour. Il bafouilla :
_ Maî.. Maîtresse, je... je crois que je bande !

Elle se jeta un coup d’œil derrière elle.
_ Mais c'est vrai ! La petite salope ! Ça l'excite hein. Elle aimerais bien que je la suce hein ?
_ Oui ! Oui Maîtresse !
_ Il va falloir être très gentil alors. Je vais te faire ce que ta femme t'as jamais fait et toi tu vas faire ce qu'aucun homme ne m'a jamais fait. Haleta-t-elle au dessus de lui, en se branlant encore plus vigoureusement.
_ Oui ! Tout ce que vous voulez Maîtresse !
_ Attend ! Dit-elle en se relevant rapidement et faisant volte face pour revenir s’asseoir sur son visage.

Francis se retrouva alors le nez contre l'anus de Gina. Elle remua un petit peu ses fesses en gloussant de plaisir avant de se pencher en avant, prenant le sexe de Francis dans sa bouche. Elle serra ses lèvres autour et fit un rapide va et viens avant de dire :
_ T'aimes ça hein salope !
_ Oui ! Oui !
_ T'en veux encore ?
_ Oui ! Oh oui Maîtresse !
_ Ouvre la bouche salope ! Montre-moi à quel point tu as envie de me faire plaisir !

Francis ouvrit grand la bouche tandis que Gina plaquait son sexe sur celle-ci.
_ Colle bien ta bouche contre ma chatte ! Tu vas être un gentil garçon maintenant ! Me déçoit pas maintenant, putain, sinon je te jure que tu vas le regretter !

Ils restèrent immobiles quelques secondes puis Francis sentit un jet tiède remplir sa bouche. Ses yeux s’écarquillèrent de surprise quand il compris que Gina venait de lui uriner dans la bouche, celle-ci s'écriant :
_ Oui ! Putain !

Francis restait interdit, la bouche remplie de pisse, il sentait toute l'intensité de ce goût puissant et animal imprégner ses papilles. Même si sa raison lui dictait de tout recracher, sa crainte et son excitation le paralysaient jusqu'à ce que Gina s'écrie :
_ Et bien ! Qu'est-ce que tu attend salope ? Avale !

Francis déglutit, il sentit le liquide infect descendre le long de sa gorge, développant tous ses arômes tandis que Gina se penchait en avant et aspirait avec détermination son sexe toujours tendu de désir. Il était incapable de comprendre ce qui lui arrivait tant son cerveau était saturé d'informations. Cet alliage de dégoût et de plaisir avait quelque chose d'incompréhensible et l'impression d'irréalité se fit plus forte que jamais. Une partie de lui se demandait ce qu'il foutait là, si c'était bien à lui qu'il arrivait un truc pareil pourtant c'était bien son sexe qui palpitait de plaisir dans la bouche de cette superbe fille qui le suçait voracement. Elle s'arrêta encore, frotta son sexe humide contre sa bouche, s'écriant :
_ Allez salope !

Francis, comme un automate ouvrit la bouche et sentit immédiatement le jet lui remplir la bouche à raz bord. Il avala et Gina s'écria :
_ Encore !

Francis s'attendait à ce qu'elle se remette à le sucer. Il eu a peine le temps de déglutir et d'ouvrir la bouche qu'elle lui envoya une puissante giclée dans le gosier en soupirant d'aise. Elle minauda :
_ C'est bon hein ? J'en ai encore beaucoup pour toi ! Tu m'appartiens maintenant. Je marque mon territoire. T'est ma chienne, ma salope à moi. Allez lèche-moi maintenant salope !
Francis, fort de son expérience en la matière, commença par activer sa langue sur son clitoris, petit bouton, gorgé de désir. Sa bouche était en feu. Le goût puissant de la pisse de Gina saturait ses sens, il s'évertuait néanmoins à la lécher avec application, alternant coup de langues sur son clitoris et entre ses petites lèvres. Gina mouillait abondamment et sa cyprine, plus douce que son urine, apaisait légèrement son écœurement. Il désespérait qu'elle le suce à nouveau. Il bandait encore. Gina gémissait de plaisir et remuait son sexe en cadence sur la bouche de Francis. Puis, comme mû par quelque signal secret, elle se pencha en avant. Francis sentit sa bouche happer son sexe. Il gémit de plaisir sous les fesses de Gina et darda sa langue sur son clitoris. Il reçu alors une nouvelle giclée de pipi dans la bouche, Gina gémissant de plaisir à son tour. Il avala goulûment avant de recommencer à la lécher avec ferveur. Elle avait saisit le sexe de Francis à la base, le branlant avec détermination et lui aspirant le bout du gland. La langue de Gina s'activant à la base du gland, rendait fou d’excitation ce pauvre Francis. Jamais, il n'aurais cru possible de ressentir un tel plaisir. Sa bite était tellement dure ! Il était sur une autre planète, partagé entre l'envie que ça dure une éternité et la peur d'éjaculer trop vite. Mais rapidement, il sentit son sexe irradier de plaisir, signe que sa jouissance était maintenant irrémédiable. Sa bite, était comme un animal animée de sa volonté propre et ne lui appartenait plus. Gina, maline et expérimentée reconnu les signes avant-coureur de son éjaculation. Elle savait qu'il lui fallait agir rapidement Elle lui lâchât le sexe. Le privant du plaisir de lui éjaculer dans la bouche, ce dont elle n'avait pas du tout envie, mais aussi prolongeant de quelques instant le moment son éjaculation. Elle en profita pour se redresser et, relâchant sa vessie, forçant sur son périnée, lui pisser de toutes ses forces dans le bec en s'écriant :
_ Oui salope ! Vas-y ! Avale ! Avale tout maintenant ! Je vais jouir !

Francis, submergé par le plaisir, déglutit en hâte le nectar de sa Maîtresse. Il était alors persuadé de vivre une expérience jusqu'alors inédite pour lui. Faire jouir cette superbe créature, l'emmener au septième ciel en sa compagnie ! Il avalait goulûment, se gorgeant de cette liqueur puissante tandis que Gina, les mains fermement appuyées sur ses côtes, les lèvres retroussées dans un rictus mêlant l'effort et le plaisir, contractait ses abdos. Elle voulait lui en mettre plein la gueule à cet abruti. Qu'il boive sa pisse ce con ! Pensait-elle. Qu'il jouisse pendant qu'elle le gavait comme une oie de son urine! Après ça, il serait incapable de dissocier sa jouissance de cette infâme humiliation ! Et c'est elle qui l'avait maté, qui l'avait dressé comme une bonne chienne obéissante. Elle força de plus belle en voyant la semence de Francis gicler de son sexe et se répandre sur son bas ventre.

Au moment de jouir, Francis eu la vision de l'anus de Gina se dilatant devant ses yeux. Il reçu un nouveau pet en plein visage entendant Gina s'écrier en rigolant :
_ Oui putain ! Ah ah ah ! Comme c'est bon !!!!!

Elle continua de se soulager encore quelques instants, déclarant :
_ Je fini. Ça t'embête pas ?

Question de pure rhétorique. Francis, incapable de lui résister s'appliqua tant bien que mal à continuer d'avaler le contenue de la vessie de Gina tandis que sa bite dégonflait rapidement. Elle pris un malin plaisir à lui délivrer deux autres pets sur le nez en ricanant :
_ Oups, désolé !

Elle se vida jusqu'à la dernière goûte et ordonna à Francis de la nettoyer avant de se relever enfin. Recomposant son attitude, elle se retourna vers lui avec un grand sourire :
_ Putain comme c'était bon !
_ Ouais ! Fit Francis encore abasourdi par ce qu'il venait de vivre.
_ T'as assuré grave là ! Sérieux c'était super !
_ Ouais c'était... puissant !
_ Tiens ! Lui dit elle en lui tendant la boite de mouchoirs en papier afin qu'il s'essuie

Francis se remit sur pied et se nettoya. Une fois essuyé, elle se colla à lui, câline, et lui fit d'une petite voix :
_ Tu reviendra me voir ?
_ Je.. je crois oui. Fit Francis, ému par cet élan de tendresse.

Il la serra maladroitement dans ses bras. Puis Gina se recula et le regarda dans les yeux d'un aire grave :
_ Depuis le temps que j'espérais tomber sur quelqu'un comme toi ! Il faut vraiment qu'on recommence !
_ Tu crois ? Demanda-t-il, incrédule.
_ Attend ! J'avais jamais pris un pied pareil ! Il n'y a que toi qui pouvais me faire autant d'effet. T'as senti ça toi aussi ! Non ?
_ Si, si, a fond ! C'était pas exactement ce a quoi je m'attendais en venant ici mais c'était vraiment fort et puis quand tu m'a... sucé... c'était !!!
_ Ça change de ta femme hein ?
_ Ouais, ça c'est clair !
_ Écoute heu... Comment tu t’appelles déjà ?
_ Francis.

Gina fut emporté par un énorme fou rire. Francis se rembrunit.
_ Francis, sans déconner ! S'exclama-t-elle. Désolé. Poursuivit-elle en se reprenant, lui mettant la main sur l'épaule. Mais c'est vraiment un nom à coucher dehors. N'y voit pas une insulte mais je préfère encore t'appeler salope. Tu sais, c'est affectueux pour moi. En plus, ça nous permet de garder le même délire entre nous.
_ Je sais pas c'est...
_ Allez ! On est entre nous là ! Ici on a pas besoin de toutes ces conventions sociales à la con. On est libres d'être nous-mêmes. De toute façon, maintenant je suis ta Maîtresse alors c'est normal que je te trouve un nom qui t'aille bien. Alors moi, je t'appelle salope et toi tu m'appelles Maîtresse et surtout tu continue à me vouvoyer, j'adore ça.
_ Bon, heu... ouais... d'accord.
_ Super ! Alors... salope... Commença-t-elle avec un grand sourire. Quand est-ce qu'on se revoie ?
_ Heu... Le jeudi c'est pas mal.
_ Putain c'est dans une semaine ! Maintenant que je t'ai rencontré ça va être dur de patienter.
_ Ouais, pour moi aussi... Maîtresse.
_ Bon, je suppose que c'est mieux comme ça. Et puis, il faut que je gagne ma vie aussi. Mais comme ça va être dur de me faire baiser par tout ces porcs en pensant à toi.
_ Gina, je... Maîtresse je veux dire, je pourrais, je pourrais...
_ Quoi ?
_ Je voudrais vous avoir rien qu'à moi ! S'écria-t-il.
_ Moi aussi, si tu savais ! Répondit-elle en se jetant à son cou.

Francis la serra dans ses bras en enfouissant son visage dans sa chevelure avant de murmurer :
_ Je vous aime Maîtresse.

Gina esquissa un sourire de satisfaction. Elle répondit :
_ Je t'aime aussi ma salope.
_ Je ferais n'importe quoi pour vous.
_ T'est gentil mais il faut que tu partes maintenant j'ai pas fini ma journée. Allez rhabille-toi. Dit-elle d'un aire triste et résigné.

Francis récupéra ses habits. Tandis qu'il remettait ses vêtement Gina demanda :

_ Écoute, je sais pas jusqu'où tu veux aller avec moi. Mais si tu décide de quitter ta femme, je peux t'aider. Je connais plein de monde tu sais, alors, si elle te trompe, tu peux la faire suivre et obtenir le divorce à ton avantage.
_ Je sais pas...
_ Ben quoi ! Ça fait assez longtemps qu'elle te prend pour un con. Tu crois pas qu'il est temps de récupérer ta liberté ? T'as qu'une vie bordel !
_ C'est sûr mais...
_ Et puis, je suis là maintenant. Je vais t'aider, te soutenir. T'as besoin de moi. C'est pas pour être méchante mais t'est un faible ! C'est la vérité. Tu le sais ! C'est bien ça qui me plaît autant chez toi. Mais avec moi à tes cotés, plus rien ne t'arrêtera ! Et après on pourra profiter de la vie ensemble !
_ Je, je... oui ! Ça me fait peur mais oui !
_ Allez, il faut que tu me laisse maintenant. On passe jeudi prochain ensemble alors ?
_ Ouais, je veux bien.
_ Par contre la journée entière c'est 500 Euros, je peux pas faire moins, tu comprend j'ai des comptes à rendre aussi.
_ Ton mac...
_ Il vaux mieux pas que t'en sache trop à ce sujet.
_ Bon...
_ En tout cas, je serait prête à quitter cette vie pour être juste avec toi.
_ Oui, moi aussi je vous veux pour moi tout seul !
_ Moi aussi j'en ai tellement envie. Dit elle en se lovant contre lui. Allez il faut que tu partes maintenant ! Rajouta-t-elle en le repoussant doucement.
_ D'accord ! Bon ben, au revoir alors. Dit-il en approchant son visage du sien pour l'embrasser.
_ Attend, tu veux me faire plaisir ?
_ Heu oui ?
_ Je préférerais que tu embrasse mon cul. Tu comprend c'est comme ça que j'aime que tu m'aimes, tu comprend ?
_ Heu oui, oui...

Gina se tourna et Francis s'agenouilla derrière elle. Gina remua ses jolies fesses en gloussant :
_ Allez dis au revoir à mon cul salope !

Il fit alors la bise à son derrière mutin en disant doucement :
_ Au revoir Maîtresse.
_ Allez salut salope. Jeudi sans faute !

Francis se releva et se dirigea vers la porte. Il jeta un dernier coup d’œil à Gina qui lui adressa un grand sourire. A peine la porte fermée, elle se jeta sur le téléphone :
_ Allô Samia ? C'est Rachida. Tu devinera jamais ! J'ai esclavagisé un mec aujourd'hui...
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Histoire de luchelce

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