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UN CADEAU POUR MON MARI

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Lue : 88 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/04/2022

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CHAPITRE 4

Plus haute est l'élévation, plus lourde est la chute.

Quand Lacen fut parti, j'ai appelé mon mari pour m'enquêrir de
sa rentrée. Il me répondit:" j'ai presque terminé. Je rentre dans une demie heure.
___O.k. Je t'attends.
En effet, il n'a pas tardé à rentrer. Il a été gai en me voyant et affectueux comme toujours.
___Tu étais éblouissante ce soir. Ta tenue t'allait à ravir..
__Merci chéri.
___Tu as dû faire bien des jalouses.
Je me suis assise sur ses genoux et,dans l'oreille, par petites phrases entrecoupées de baisers, je lui versais les confidences de certaines femmes mariées qui étaient à la fête et de sa soeur entre autres. J'ai cru qu'il se trouvait mal. Il m'embrassa à son tour, il était adorable et me caressait partout.
Au lit, il n'a pas arrêté de me peloter. J'ai senti son érection contre moi. Je l'ai masturbe jusqu'à son éjaculation puis nous nous sommes endormis.
Lacen venait souvent à la maison en l'absence de mon mari et j'allais, voilée, souvent dans son appartement qui était au rez de chaussée d'un immeuble en ville.
Nous nous aimions. Je me sentais l'objet d'un sentiment ardent, profond et exclusif. Pour la première fois je fus maîtrisée par une
Volonté plus haute que la mienne. Je fus dominée délicieusement.
Pendant trois ans ni la passion de Lacen ni la mienne n'ont baissé.
Réda connut-il son déshonneur? J'inclinerais, si le caractère de mon mari ne démentant pas l'hypothèse d'une complaisance. Sans doute, il a deviné notre amour. D'ailleurs son estime, son respect pour moi l'empêchaient de me croire capable d'une chute.
Quoiqu'il en soit, s'il a vu, s'il a souffert, il s'est résigné et s'est tu.
Le rêve finit brusquement.
Un matin je reçu un message de Lacen m'annonçant qu'il se mariait. Il épousait une veuve plus jeune que moi. Mais lui était toujours endurant , l'âge n'a pas de prise sur lui.
Je passais tout un jour et toute une nuit dans un état d'hebetude qu'aucune pensée ne traversa puis la fièvre me prit.
Durand des semaines je fus réellement "entre la vie et la mort"
Quand les sens me reviennent, j'ai perçu à mon chevet, mon mari qui m'avait veillée, me dit-on, avec une sollicitude de mère.
Cette sollicitude ne se dementit pas un instant pendant ma convalescence. Et, quand ma tête et mon corps furent hors de péril, ce fut lui encore qui soigna ma pauvre âme meurtrie par mille délicates tendresses.
Moi je pleurais sans cesse. Je refugiais mon chagrin et ma faiblesse dans l'affection indulgente, toujours ouverte pour moi.
Le jour où j'ai crû mes forces revenues, j'osais tenter une épreuve qui, jusque-là m'avait épouvantee. Appuyée sur le bras de mon mari, je marchais jusqu'à la grande glace au bout du couloir et je m'y regardai.
Ce n'était plus moi; ce que je vis, c'était le spectre de la jeune femme que j'avais connue vivante et vibrante, amoureuse et aimée1. Je poussai un cri de désespoir, je tombai dans les bras de Réda. Il m'y serra passionnément et, posant sa bouche sur mon oreille, il y glissa ces paroles qui descendirent en moi comme un baume:" Tu es toujours belle, toujours jeune, toujours désirable, je t'aime."
Ce fut un vrai jour de noces. Il m'a ramenée dans notre chambre, nous nous embrassions passionnément. La reconnaissance,la passion, l'émotion des nerfs m'a rendu mon mari. Il sut me garder et me retenir. Après je m'aperçu qu'il était charmant, jeune dévoué et amoureux. Il me voit aujourd'hui telle que j'étais quand j'avais vingt ans, au début de notre mariage.
Quelques temps après, il a été muté à la capitale. Puis dans son travail, il connu des personnes qu'il invitait chez nous.
Un soir, au cours d'une nuit coquine, il me lâcha cette phrase:" Je voudrais.....
___Quoi, chéri?
___Que tu redevienne la femme joyeuse et vibrante que tu étais.
___Je n'ai plus vingt ans chéri.
___ Tu es toujours belle, toujours jeune, toujours désirable. Tu as vu comment les hommes te mangent des yeux.
___Alors ça te plaît qu'un aure homme mate ta femme?
___Oui chérie, ça me ramène vingt ans en arrière. Je lui fis mon sourire le plus coquin je plissai mes yeux et lui dit:" Tu veux que je leur plaise? Que je fasse comprendre à un autre homme qu'il me plaît aussi?
___J'en serais ravi.
Je colle ma bouche à son oreille et lui dit:"Je vais te faire un cadeau.

A suivre.....

Plaisante Warda



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Histoire de Plaisante warda

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Commentaires du récit : UN CADEAU POUR MON MARI

Le 15/09/2022 - 08:57 par Cocuforever
Le candaulisme se met en place....

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