Un homme bien sous tous rapports 4

Lucien se redresse et caresse doucement la chatte débordante de cyprine, il avance son bélier de la fente humide. Juliette, appréhende. Le gland énorme se pose contre ses grandes lèvres, les frotte un instant, Juliette, tressaille.
Richard et sa fille se désaccouplent, ils s'approchent, ils veulent voir la pénétration. Lucien s'accroche aux hanches de Juliette et pousse doucement. Juliette serre les dents, ses grandes lèvres s'écartent, le monstrueux gland s'engage dans la gaine qu'il distend fortement. Juliette grimace, elle croit que son corps va s'ouvrir en deux tellement le manche épais lui dilate la chatte. Lentement, la bite s'enfonce dans le ventre de Juliette qui ne cesse de gémir de douleur. Elle s'ouvre le plus possible, mais la bite est tellement énorme qu'elle lui racle les parois du vagin en les distendant au maximum. Juliette souffle comme un taureau, son visage est grimaçant, sa bouche est déformée par une moue affreuse. Elle croit mourir tant, c'est douloureux. Richard regarde en souriant la bite qui doucement s'enfonce dans le ventre de la soumise. Murielle jubile :


-Oui Lucien, ouvre-la bien avec ta grosse queue, va bien à fond, comme tu le fais si bien avec moi !


lentement, le braquemart pénètre le ventre de Juliette qui serre les poings, Enfin, Lucien cesse de pousser, il attend un moment avant d'entreprendre un très lent va-et-vient. La chatte de Juliette est distendue au maximum. Elle se demande si elle ne va pas avoir des séquelles à la suite de cette défonce. Lucien commence à agir, il fait mouvoir sa queue énorme en prenant le plus de précautions possible. Juliette a les yeux écarquillés, elle s'accroche comme elle peut à Lucien. Écartelée comme jamais, son corps forcé se met à trembler. Le mouvement est très lent, petit à petit la gaine se lubrifie naturellement, cela facilite un peu le va-et-vient, Juliette souffre moins. Richard pose sa main sur le bas-ventre de sa soumise et lui caresse le clito qui est devenu hors norme. La petite friction sur son clitoris, semble porter ses fruits, Juliette commence à frémir, elle agite doucement son bassin.

Lucien, en bon amant, accélère, sa bite colossale voyage de plus en plus aisément dans le vagin, lubrifier au maximum par l'abondante cyprine qu'elle sécrète. Son visage reprend des couleurs, elle commence à geindre sous les coups de reins qui deviennent un peu plus violents. Richard ordonne :

-Lâche les chevaux, Lucien, bourre-la bien !

Lucien donne de grands coups de bélier, à chaque en foncement son gland monstrueux bute avec force contre le col de l'utérus de Juliette comme pour le défoncer. Juliette gémit, elle souffle comme un dragon. Murielle encourage Lucien :

-Vas-y plus fort Lucien, fais lui sentir que tu as une bite, bon de Dieu !

Le pilonnage est terrible, le col de l'utérus est si buriné qu'il est tout boursoufflé, Juliette est au bord de la syncope, elle grogne comme une bête malade. Soudain Lucien ressort son boa et le replonge au plus profond. Juliette se cabre en poussant un long gémissement rauque, elle marmonne :

-Oh, je vais m'ouvrir en deux, oui, oui, oh, c'est terrible ce que tu me fais Lucien, encore, encore !

Murielle souriante dit :

-Papa, tu as tiré le gros lot avec elle, elle se donne comme une chienne, regarde comme elle s'agite, elle adore les grosses bites la salope, regarde comme sa chatte est dilatée. Nous allons nous régaler avec elle !


Le papa répond :

-Oui, ma chérie, je suis fier de ma trouvaille !

Il écrase le clito de Juliette en même temps qu'il le branle. La soumise se cabre, Lucien amplifie les coups de bélier. Juliette s'agite en marmonnant des mots inaudibles. Puis dans un gémissement presque inhumain, elle jouit atrocement fort. Lucien continue de lui dévaster le ventre, il veut avoir, lui aussi, sa jouissance. Enfin, il remplit le ventre de Juliette en lui envoyant un flot de sperme très épais. Dès qu'il se retire, Murielle se jette entre les cuisses de la jouisseuse et plaque sa bouche sur la vulve béante, qui déborde de sperme. Elle aspire tout ce qu'elle peut, les aspirations font un bruit étrange. Sa langue s'enfonce dans la gaine gorgée de sperme, la fouille longuement pour finir sur le clito. Juliette gémit une seconde jouissance la terrasse. Il lui faut un temps de récupération avant que Richard l'initie à la sodomie. Là aussi Juliette à des jouissances fabuleuses, jamais, elle n'aurait imaginé qu'elle pouvait jouir du cul aussi intensément. Il est temps de rentrer. Richard lui demande de revenir le lendemain après midi, pour une nouvelle séance de baise. Juliette a tellement eu de plaisir qu'elle promet de faire son possible pour revenir.


Elle a le corps meurtrit, c'est avec peine qu'elle monte dans sa voiture pour rejoindre son domicile. Dès qu'elle arrive, ses deux hommes ne sont pas encore rentrés, une chance pour elle, elle fonce dans la salle de bain pour prendre une douche réparatrice. Elle se frotte énergiquement les orifices qui ont subi les pires outrages. Sa chatte est encore entrouverte, son cul douloureux. Elle croit rêver, jamais, elle n'aurait cru être capable de se donner à des inconnus en prenant du plaisir. Elle se sent, salope et cela la rend fébrile. Elle a hâte d'être à demain pour encore recevoir des queues, et jouir comme une dingue.

Rapidement, elle prépare le diner, enfin les deux trainards rentre. Ils se lavent les mains et passent à table. Juliette est rayonnante, cela plait à son mari qui lui demande :

-Je crois ma chérie que tu as passée une bonne journée, vu comme tu es joyeuse !

Le fiston reprend le flambeau :

-Elle est allée sûrement faire exploser la carte bleue dans les boutiques comme je la connais !


Juliette éclate de rire en disant :

-Je me suis fait exploser, peut-être autre chose que la carte bleue petits curieux ah ah !

Elle sert le repas, l'ambiance est bonne, Juliette est euphorique, en se rendant à la cuisine, elle fait des pas de danse en agitant son popotin, malgré la douleur qui persiste dans son corps, elle ondule du bassin comme une danseuse orientale. Son mari la regarde en souriant :

-Je ne sais pas où tu as trainé ma chérie, mais cela t'a été bénéfique, il faudrait que tu réitère cela, j'aime de voir de bonne humeur !


Juliette, souriante, répond en laissant planer le mystère :

-Ah, ah qui sait mes chéris ?

La nuit fut paisible, Roman ne l'honore pas, c'est une chance pour Juliette qui ne sait pas si elle aurait pu contenter son mari après ce qu'elle a subi aujourd'hui.