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Un petit dérapage

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Lue : 28868 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/12/2009

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C’était une après midi d’été, j’étais chez mes grands parents et après un repas de famille, tous avaient décidé d’aller se promener, prétextant l’envie de faire une sieste, je décidais de rester à la maison. Par un grand hasard des choses, je me retrouvais seul avec une cousine éloignée à moi : Marie. On se connaissait elle moi depuis l’enfance, mais bien qu’un peu plus jeune que moi (environ 2 ans) elle me semblait du haut de ses 18 ans bien plus excitante que les filles que j’avais pour habitude de fréquenter.

Nous nous retrouvions donc seuls dans cette grande maison, je décidais alors de monter à l’étage pour m’étendre un peu sur mon lit comme j’avais envie de faire au départ. Marie s’était installée devant la télé en silence. Je profitais de ma position haute en haut des marches pour la regarder un instant et me dire qu’elle était plutôt bien fichue pour son âge. Je rentrais alors dans ma chambre en me disant soudain que je n’avais plus vraiment sommeil et me rendant soudain compte de l’effet que cette situation particulière « d’intimité » commençait à m’exciter.

A ce moment, j’ai décidé soudain de me laisser aller à un plaisir si facile et couramment pratiqué. Ouvrant doucement le bouton de mon jean et baissant doucement ma braguette, j’extirpais doucement mon membre à demi tendu de mon caleçon pour m’astiquer doucement. Je m’adossais au mur près de la porte prenant garde à ne pas trop me déplacer car le plancher avait une fâcheuse tendance à craquer au moindre mouvement. Je me mis alors à me masturber en fermant les yeux, pensant à Marie assise en bas. Je l’imaginais sexy ou nue s’offrant sans retenue à moi et n’ayant aucune limite. Mais soudain j’entendis du bruit dans les escaliers. Avec la peur au ventre je cessais de me masturber restant dans cette position idiote et oubliant de me rhabiller. J’espérais qu’elle redescende afin de ne pas me faire découvrir alors qu’il eut été si simple pourtant de me rhabiller et de m’étendre sur le lit.

Marie entrouvrit alors la porte de ma chambre, elle fut surprise de me trouver si près de la porte et plus encore lorsqu’elle baissa les yeux sur mon membre. A ce moment j’aurais voulu pouvoir disparaître sous un meuble. J’essayais de trouver un truc à dire mais rien ne venait. Marie ouvrit la porte en grand et s’approcha afin de mieux voir.

- ah je vois, plutôt sympa la sieste…

Je n’osais rien lui répondre ni bouger d’un cil, si jamais elle racontait ça… Je voyais déjà le visage atterré de ma mère, les rires étouffés de ma sœur bref la honte la plus totale. Marie alors vint s’asseoir sur le lit en continuant à me regarder avec un sourire taquin et prit doucement appui légèrement en arrière, faisant doucement ressortir sa petite poitrine mais qui était parfaite.

- Allez continue t’arrêtes pas pour moi.

Me lança-t-elle en me fixant d’un air de me dire « alors tu oses ou pas ? » ; soudain, ma peur d’être cafté s’évanouissait, je me sentais d’un coup terriblement excité par Marie qui prenait de délicieuses allures de perverse. Je me tournais lentement vers elle et la laissait regarder mon membre avant de lui dire d’une voix étouffée par le stress et l’excitation.

- Alors déshabille toi…

Elle me lança alors un regard noir que je soutenais sans bouger d’un cil. Finalement après deux longues secondes ou j’avais presque envie de me maudire au cas où elle serait partie en me plantant là, je haussais les épaules et lui lançait d’un ton détaché mais qui sonnait dans ma bouche comme une provocation.

- C’est ça ou je fais rien…

Encore pire, je venais clairement de lui proposer de partir si elle ne faisait pas ça. Mais alors qu’elle soutenait mon regard, elle souri et agrippa le bas de son petit t-shirt et le retira, me dévoilant sans aucune pudeur son soutien-gorge retenant ses petits seins. Je sentis comme une grande chaleur m’envahir, je souri et retirai mon t-shirt à mon tour. Je dois vous dire que je suis très sportif et que je n’ai jamais eut à rougir de montrer mon torse au contraire et ce fut d’ailleurs ce petit sourire de Marie qui me conforta dans cette idée alors qu’elle retirait doucement son jean pour apparaître en sous-vêtements. Je l’imitai à mon tour et me retrouvai rapidement nu. Elle me regarda alors un peu anxieuse et me dit.

- Attends David… Je veux pas qu’on … Enfin qu’on couche ensemble.

Je souri, cette idée ne m’était pas venue, j’avais juste envie de me retrouver nu avec une fille qui me plaisait.

- Non, ne t’en fais pas, je veux juste qu’on puisse bien se regarder…

- J’enlève tout ? – me répondit-elle alors.

- Oui c’est mieux.

Dis-je à mon tour alors que j’avais l’impression soudain d’être maître de la situation alors que j’étais terrorisé il n’y a pas une minute.

Marie se mit alors avec un peu de maladresse et fuyant mon regard à ôter le reste de ses vêtements. Je pus alors contempler sa petite poitrine qui à ce moment là me semblait être la plus belle que je n’avais jamais vue. Je me remis à me masturber toujours debout devant le lit alors qu’elle venait doucement de libérer sa petite chatte parfaitement taillée en ticket de métro. Je fus d’abord surpris de voir chez elle ce type d’épilation, mais Marie avait toujours été une fille très soignée. Marie souri en me voyant nu me masturber devant elle et attrapa un coussin pour se le mettre sous la tête et mieux profiter du spectacle. Souriant, je m’avançai jusqu’à être à genoux près d’elle, me masturbant juste au dessus de son corps nu allongé. J’avais fait exprès de venir près d’elle pour qu’elle écarte les jambes et que je puisse la voir dans tout les détails. Elle rougissait légèrement et moi aussi. Elle regardait ma main caresser mon dard.

- Tu peux me toucher si tu veux…

Dis-je à Marie qui hocha la tête en souriant mais qui n’en fit rien. Je baissais alors doucement mon chibre et frottait mon gland contre son ventre. Sa peau était douce et je lui souri en la regardant. Elle avait visiblement bien aimé. Je lui dis alors que j’avais eut juste envi de toucher sa peau avec mon membre pour voir ce que ça faisait, une réflexion sans doute idiote mais j’avais cédé à cette pulsion soudaine. Marie souri et passa doucement sa main sur mon ventre jouant avec les sillons de mes tablettes de chocolat et me dit alors de sa petite voix qui semblait légèrement haletante.

- Tu peux me toucher toi aussi si tu en as envie…

Je souri, autant demander à un aveugle s’il veut voir. Je lâchai doucement mon dard et je posais alors mes deux mains à plat sur son ventre. Je remontai doucement pour bien lui faire comprendre où mes mains allaient finir leurs courses, mais Marie ne broncha pas, elle laissa faire les yeux mis clos se mordant doucement la lèvre inférieure. J’arrivais alors à sa poitrine qui semblait encore plus petite car elle était allongée sur le dos mais je me mis à la caresser doucement. Je faisais des mouvements doux et lents, ne voulant pas lui faire mal, et je jouais sans cesse avec le bout de mes doigts à titiller ses tétons qui pointaient délicieusement. Marie en profita alors pour descendre sa main sur mon membre qu’elle masturba doucement mais un peu maladroitement. Je baissais doucement les yeux regardant ses mains douces et parfaitement manucurées titiller mon chibre et là, en relevant la tête, nos regards se croisèrent. Répondant à une pulsion nouvelle, je rapprochai ma tête et l’embrassai. Pris d’excitation, je tentais d’envoyer ma langue pour chercher la sienne, elle y vint un peu, mais timidement.

Finalement elle me repoussa en me soufflant alors un petit « attends ». Déçu, je cessai donc ce baiser mais Marie se mit à bouger un peu et finalement, elle rapprocha sa tête de mon dard. Je restais un peu surpris de ce qu’elle faisait mais je n’osais rien dire.

Marie, allongé sur le flanc, était en train de caresser mon membre, son visage était tout proche de lui mais elle le caressait doucement en le regardant. Doucement, elle tira la langue et le lécha, je sentis un frisson remonter tout le long de ma colonne vertébrale. Marie me souri et doucement, elle prit mon membre en bouche et ferma les yeux. Elle se mit à faire un mouvement lent de va-et-vient avec la tête, elle était assez maladroite, mais j’étais si excité que je ne le remarquai qu’à peine. Elle me suçait, c’était irréel, je pensais aux autres et à leur stupide balade me disant que même s’ils rentraient je n’arrêterais pas Marie dans ce qu’elle faisait.

Elle me suçait doucement, je la laissais faire en la regardant nue et étendue sur le lit. J’eus alors envie de lui rendre la pareille plutôt que d’être seul à profiter de ce qu’elle me faisait. Je retirais alors doucement mon chibre de sa bouche. Elle ouvrit les yeux, surprise, mais sans lui répondre je m’allongeais à plat ventre, la tête entre ses cuisses.

- Non attend, c’est pas la peine je…

Mais un coup de langue plus tard, Marie se mit à contracter doucement son corps à chacun de mes coups de langues et passa ses doigts dans mes cheveux. J’étais à cette époque peu doué dans ce genre d’exercice, j’essayais un peu maladroitement de lui donner du plaisir, insistant avec ma langue sur les zones qui la faisaient le plus réagir. Elle ondulait son bassin en gémissant doucement, tant et si bien qu’elle finit par m’exciter énormément. Je me redressais et m’essuyais rapidement du revers de la main. Marie se redressa un peu et vint elle même m’offrir un baiser maladroit mais intense. J’en profitais alors pour recommencer a me masturber quand soudain, je vis Marie se mettre à se caresser à son tour. Elle frottait doucement sa chatte avec ses doigts.

Je ne ratais pas une seule miette de ce spectacle j’avais le sexe en feu et Marie gémissais toujours en s’enfonçant doucement l’index dans son trou. J’eus soudain envie d’y glisser le mien, c’était une connerie, mais une connerie si excitante que je ne parvins plus à m’en débarrasser. Je continuais alors à me caresser le chibre, l’approchant doucement de celui de Marie. Je me mis alors à frotter mon gland contre le dos de sa main ne regardant que ce que je faisais. Alors, Marie agrippa mon membre et le masturba doucement. Je souri et je me mis à lui doigter doucement la chatte. Mais au bout d’un moment, je repris mon membre pour me masturber encore et Marie fit de même.

Mais ne démordant pas de mon idée, je parvins à approcher mon phallus suffisamment de celui de Marie pour la masturber avec celui-ci. Marie au bout d’un moment me laissa faire. Je passais lentement mon chibre le long de sa fente, la faisant gémir. Le sang me montait à la tête, je sentais les battements de mon cœur résonner dans tout mon corps ; je poussais alors doucement mon bassin en avant. Mon gland écarta doucement les parois du vagin de Marie, elle eut un petit mouvement de recul que je laissais faire elle murmura un « non … » et m’attira pour que je l’embrasse. Alors en me couchant un peu sur elle, mon gland entra. Marie poussa un soupir plus long en gémissant mon prénom et moi, bien trop heureux de cette maladresse, je laissai mon membre glisser lentement en elle. Je vins alors l’embrasser dans le cou. Ce fut à ce moment que je me rendis compte de ma bêtise, je me décidais à me retirer, mais Marie vint enrouler ses jambes autour de mon bassin et me serra contre elle gémissant un petit « oui »de plaisir. Je me mis alors à aller et venir dans son corps superbement lubrifié. Malheureusement, ma joie fut de courte durée, j’avais trop usé de la masturbation pour pouvoir tenir plus longtemps. Je me mis alors à haleter de plaisir. Marie me dit alors.

- Jouis sur moi… Sur mon ventre.

Je me redressai et me retirai rapidement. A peine je posai mes doigts sur ma bite qu’une décharge électrique me traversa. J’explosai sur le ventre de Marie de gros traits de sperme. Certains parfois plus puissants giclaient jusqu’à ses petits seins, Marie, allongée, me regardait jouir sur elle sans broncher. Je me masturbais de toutes mes forces. J’avais l’impression que mon éjaculation n’allait jamais s’arrêter. Mais finalement si. Encore essoufflé et le cœur battant, je regardais Marie souillée de mon sperme qui me regardais en souriant. Elle approcha sa main et pressa délicatement mon gland récupérant une dernière goutte de sperme qu’elle essuya contre sa cuisse. Elle se redressa doucement et m’embrassa sur la joue.

- Je vais à la douche, habilles-toi et va faire un tour qu’on soit pas mort de honte quand les autres arriverons…

Me dit-elle avec un sourire charmant. Elle se leva et s’en alla. Je sortis après m’être rapidement habillé et je m’en allai. Je rentrai plus tard et trouvai le reste de la famille revenu pour le repas du soir. Je croisai Marie qui me souri mais il n’y eut aucune gêne, sans doute était-ce la première et la dernière fois que nous faisions cela ? Le soir se passa très bien, aucun de nous n’était gêné, tout était comme avant, mis à part un petit secret bien caché dont personne n’aura jamais vent. Le soir, je me couchai heureux avec des images plein la tête. J’aurais eut envie de revenir dans le passé pour recommencer, mais je ne ferais que gâcher ce moment qui restera à jamais dans ma mémoire. Etait-ce cependant la fin de mes ébats avec Marie ? Ma cousine éloignée que je ne vois presque jamais ? Peut être bien que oui, ou peut être bien que non… Mais ça ne je ne vous le raconterai pas aujourd’hui.
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