Un réveillon inoubliable 2

Une fois dans la salle de bain, Charlène commence à se dévêtir, sous les yeux médusés de Marion. Lentement ses formes apparaissent, un soutien-gorge à balconnets rehausse ses petits seins aux bouts larges et épais, les yeux de Marion s'attardent sur la croupe magnifique de l'effeuilleuse, qu'une petite culotte de fine dentelle protège à peine. Tout en faisant tomber ses sous-vêtements, Charlène sourit à Marion. La vulve garnit d'une fine toison bien taillée, émerveille la voyeuse Marion. Ses yeux pétillent devant tant de beauté. Une fois nue, Charlène invite Marion de faire de même. Timidement, elle s'exécute, sa longue robe tombe doucement sur le sol en dévoilant une poitrine généreuse qui est emprisonnée dans un cardan de tissu que l'on nomme soutien-gorge. Une fine culotte transparente laisse deviner une vulve couverte d'un duvet qui semble soyeux.

Charlène s'approche et fait sauter avec un doigté d'experte l'agrafe du soutien-gorge, et libère les seins lourds. Elle ne peut s'empêcher de les caresser, puis les pétrir avec douceur en fixant Marion, droit dans les yeux. Sa bouche s'approche, et dépose un petit baiser sur les mamelons. Ses doigts tournent sur les aréoles brunes en frôlant volontairement les petits mats de chair, qui se dressent lentement. Marion respire plus rapidement, elle pousse de nombreux soupirs en regardant Charlène opérer, le petit jeu dure un bon moment.

Charlène délaisse enfin les seins, se met à genoux devant Marion. Elle sourit, car la culotte de Marion est un peu humide au niveau du sexe. Ses doigts s'agrippent à la culotte, Marion a un geste de recule. Charlène la regarde en souriant, et donne un gros baiser bruyant sur la tache humide, puis tire sans brusquerie sur le tissu. Progressivement, la culotte glisse sur les jambes bien galbées de Marion, qui un peu honteuse ferme les yeux. La bouche de Charlène dépose quelques baisers sur la vulve qui suinte comme un fruit trop mûr. Enfin, les deux femmes sont nues. Elles s'enlacent, en ondulant du bassin. Les vulves qui se frottent l'une contre l'autre provoquent chez les deux femmes des spasmes violents qui les font geindre de plaisir. La tension monte dans les deux corps. Il est temps de prendre la douche.


L'eau qui ruisselle sur les corps, ne parvient pas à éteindre le feu qui brule dans les corps, les deux femmes s'enlacent et s'embrassent avec rage, les langues se nouent, les salives abondantes se mêlent. Charlène s'écarte et saisit le gel douche, elle enduit le corps de Marion, puis lui passe lui flacon pour qu'elle fasse de même. Les mains agiles de Charlène parcourent les corps, elles s'attardent sur les parties intimes de Marion qui soupire fortement. Soudain, elle se cabre, deux doigts viennent de pénétrer son vagin. Charlène lui fouille l'antre des plaisirs avec douceur. Ses doigts font quelques rotations dans la gaine de chair avant de se retirer du conduit brulant. Marion, un peu déçue par cette interruption, saisit la main de Charlène et la serre fermement. Charlène comprend que Marion en veut plus, elle lui dit tendrement :

-Ne sois pas impatiente ma chérie, nous avons tout notre temps !

Marion, comme pour se venger, plaque sa main enduite de gel sur la vulve de Charlène et la badigeonne sans trop la ménager. Charlène écarte les jambes pour que la laveuse puisse œuvrer à son aise. Les doigts habiles s'enfoncent profondément dans le temple de l'amour, Charlène se cabre sous le ramonage intense que produit Marion, elle grimace, mais ne rechigne pas, cet attouchement qui semble lui plaire. Les gémissements que pousse Charlène sont bruyants. Elle est au bord de l'explosion, elle dit entre deux gémissements :

-Arrête ma chérie, terminons notre de douche et allons dans un endroit plus confortable, pour nous aimer !

Marion cesse d'exciter Charlene. Les deux femmes survoltées terminent leur douche, se sèchent le corps et les cheveux, puis se rendent nues au salon, en se tenant la main.

Charlène ouvre une bouteille de champagne, serre deux verres. Les deux femmes amoureuses s'embrassent avant de vider leur verre. La bouteille est vite vide, Charlène débarrasse la table basse et dit en souriant :

-Maintenant mon amour, aimons-nous !

À suivre