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Un samedi soir

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Lue : 2444 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 16/11/2013

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J’essaie d’éviter et madame et monsieur. J’ai cru comprendre qu’ils sont membres d’une sexte particulière qui se réunit de fin de semaine. Ils attireraient vers eux de nouveaux adeptes. Je crains par-dessus tous ces sectes qui dévitalisent la raison. J’ai une amie qui m’explique ce qui s’y passe. D’après elle il n’est pas question de religion. Un colloque doit se ternir chez elle samedi soir : elle m’invite à assister à cette réunion qui d’après elle devrait me plaire.

Craignant des dérives, je demande à mon mari de venir avec moi. Bof, pour une soirée perdue, ce ne sera pas grave !

Nous arrivons sur le coup de 9 heures du soir. Il y a pas mal de voitures devant chez elle. Où Chris m’a menti ou elle a raison. Nous verrons bien malgré les méfiances de Paul, mon mari. Il y a bien une quinzaine de personnes, des gens que je connais, d’autre de vue et certains totalement inconnus. Je me méfie : ma supérieure au bureau est là.

La fête commence par une dance des Antilles plutôt rythmée. Je suis sensible à ce genre musical. J’en traîne mon mari dans la danse. Il ne se passe pas deux minutes que nous sommes séparés : un autre cavalier prend la place. Je me laisse conduire. Il est remplacé par une jolie fille. Le rythme se ralenti. Nous sommes plus serrées. Je le rends enfin compte que la réunion est spéciale. Très spéciale même. La jeune femme me serre d’un peu près, je sens son corps contre le mien. C’est amusant.

Paul en est au jour à joue avec une belle brune aux longs cheveux ma chef. Je le trouve bien contre cette fille. Je me blotti contre mon nouveau cavalier. Je les sens, oh, surprise qui commence à bander. Je me retire un peu, puis réflexions faites je m’y recolle. C’est agréable se sentir quand on excite un homme, surtout que le mien est bien fichu, genre James Dean d’avant (comme je le vois). Je suis trop pudique quand je vois les autres : certaine tiennent les queues de leur amoureux dans leur main, pendant qu’elles se font peloter les fesses. J’en veux autant : celle qui dance avec mon homme le lui fait bien sans qu’il se dégage.

A mon tour de me dévoyer. Je surprends à peine mon écuyer quand j’empoigne doucement ce qui lui sert à entrer dans des canaux utérins. Il se laisse faire. Il faut avouer que ce que je fais ressemble plus à de la masturbation qu’à d’amicales caresses. J’espère ne pas le faire partir dans son slip ou caleçon. Je mouille depuis tout à l’heure. Je jette un œil à Paul, il bande sans se cacher. Le salaud, il va jouir sans moi. Enfin ? Il caresse les fesses. J’espère qu’il va mettre une main devant, sur ma chatte. J’en ai un besoin absolu.

Je sursaute quand Paul prend mon bras :
- Venez avec nous.
- Pourquoi ?
- Pour baiser à quatre !

Plus un mot, nous le suivons avec sa conquête, une cette brune aux longs cheveux, ma chef quoi ! Mon accompagnant doit lui plaire aussi. Une chambre est libre. Je suis un peu gênée de me déshabiller devant finalement deux inconnus. Encore passe avec mon type, mais cette nouvelle amies de mon mec ? Elle n’est pas pudique comme moi. Elle est rapidement nue, contre Paul. Ils se font des mamours. Je vais en faire autant. Les deux hommes bandent comme des ados (je suppose) Ils se valent comme calibre.

Je me hasarde la première sur cette grande couche. Surprise, mon Paul m’embrasse sur la bouche avant de se tourner vers sa nouvelle amie. Il ne s’occupe plus que d’elle. Il va voir, le sagouin. Je me donne à mon nouveau copain. Il ne ménage pas ses caresses. Il me passe sa main partout, absolument partout, même aux endroits neutres, pour moi comme les pieds. Il me fait mourir d’envie quand il passe une main entre mes cuisses. Il monte la haut, j’ouvre mon compas. Il caresse tout ce qui se trouve dans la chatte, et même un peu plus bas.

Paul a posé sa bouche sur le con de son amie. Je le vois lécher, la faire frémir, l’envoyer a ciel. Je reçois me même traitement. Pourquoi les hommes savent faire cette merveilles de lécher un con ? Je guide la langue en tenant la tête de mon amant. Je voudrais le gouter moi aussi. Mais, il y a un truc : si je le suce, je vais le faire jouir, il ne pourra pas me la mettre. Tant pis.

Pourtant Paul se laisse sucer à fond : elle l’a pris en bouche, je vois un peu sa langue lécher le long du manche. Il doit se régaler. Et moi, aussi, je prends mon pied devant mon mec. Il me laisse juste le temps d’un orgasme pour venir sur moi. Comme Paul qui baise sa belle. Je reçois la bite dans mon con. Il baise bien la vache. Je pars avant lui. Il me tourne sur le ventre. Non, il ne va pas m’enc… Si, il met sa bite sur le cul. Je ne le connais qu’à peine et déjà il vient dans mon ventre. Il ne force pas : j’ai ouvert ma malle arrière. Il m’encule comme il faut. Il me fait jouir deux fois avant que je le sente, lui, partir d’un seul coup quand il se vide.

Il a les reins solides : Paul arrête ce qu’il faisait. Lui continu. Je jouis en tenant la main de Paul. Je le trompe devant lui, il trouve le moyen de me soutenir.

Quand nous sommes seuls, chez nous, c’est Paul qui me dit être d’accord pour recommencer. Avec ma chef en plus.
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Histoire de fabrissa

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