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Un stage très particulier

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Lue : 17302 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 28/01/2010

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Je viens de passer un semestre en stage… C’est la principale raison qui explique mon long silence… Mais je pense que cela valait le détour, vu les expériences que j’y ai vécu… En voici, une qui je pense vous plaira…

Mon stage s’est fait dans une boîte du secteur de l’aéronautique… Mon travail s’effectuait à partir du site qui se trouve dans le 95… Tout s’est vraiment très bien passé, le courant passait bien avec tous mes collègues… Si bien, que je suis rapidement devenu un membre à part entière de l’équipe… Les gens venaient me consulter pour les marches à suivre… J’avais mon mot à dire concernant les décisions importantes qui devaient être prise… Il m’est même arrivé de devoir gérer des crises qui se chiffraient en millions d’euros… Je ne vous dis pas l’angoisse que ça a été à certains instants… Toujours est-il que j’ai souvent été félicité par mes supérieurs hiérarchiques… Au début, seulement au sein de la boîte… Puis cela s’est étendu aux autres sites du groupe… C’est comme ça que j’ai connu Pierre… Je me permets de l’appeler par son prénom maintenant que mon stage est terminé mais tout le monde l’appelle « Monsieur » tellement il est haut placé dans la hiérarchie de cette entreprise… J’ai donc beaucoup travaillé directement avec Pierre, ce qui a occasionné quelques tensions avec mon responsable direct qui, lui, n’avait même jamais eu l’occasion de recevoir un mail de sa part alors que je passais au moins une heure au téléphone avec lui par jour…

Au bout de deux mois, j’avais droit à des blagues de sa part… Pas facile de garder mon calme quand le bureau de mon responsable direct était juste en face du mien… Après les blagues, vinrent les compliments qui se firent, eux, de plus en plus personnels…

Imaginez-vous, un homme très charmants à la voix suave et virile qui passe son temps à vous dire que vous avez une voix coquine et qu’il est bien content d’être à des centaines de kilomètres de là car cela lui permet de ne pas faire de bêtises… Cela devenait vraiment trop difficile comme situation… On dérivait tous les deux… Le plus difficile c’était quand il appelait alors que mon chef était en face de moi… Je ne pouvais rien dire et il le savait, alors il me torturait…

« Allo ?
- Oui c’est Pierre… Ton chef est là ? Répond par oui ou par non…
- Oui…
- Dommage… Mais ce n’est pas grave… C’est moi qui vais parler…
- D’accord…
- J’ai envie de lécher les tétons tu sais… J’y pense souvent… Tu aimes ça… ?
- Oui…
- Et ça te fait mouiller ce que je suis en train de te dire là ?
- Oui…
- J’aimerais te caresser la chatte, y enfoncer un doigt avant d’y enfoncer la langue…
- Pas de problème…
- J’ai envie de t’enfoncer ma queue toute dure bien profondément…J’ai très envie de sexe avec toi… Humm si tu étais dans mon bureau… »

Un autre jour, nous sommes allés un peu plus loin… Enfin, je veux dire, qu’il est allé un peu plus loin… Toujours le même scénario, il m’appelle et me demande de juste lui répondre par quelques mots….
« Tu as ton joli tailleur aujourd’hui ?
- Oui bien sur !
- Et ton chemisier blanc ?
- Oui aussi, naturellement…
- Et dessous ? … Un joli petit string en dentelle ?
- Attendez… Oui celui que vous connaissez bien !
- Hum oui je l’adore… Ton boss est encore en face de toi, n’est ce pas ?
- Attendez… Oui vous avez raison !
- Tu sais que cela m’excite terriblement de t’imaginer … D’imaginer ta petite chatte recouverte par ce petit morceau de tissus…Tes jolies lèvres qui ne demande qu’a être choyées… Tu mouilles un peu là ?
- Oh oui énormément déjà !
- Moi aussi je bande… Et je me branle doucement en te parlant… En imaginant tes seins gonflés de plaisir sous ton chemisier… J’aimerai pouvoir les caresser, les lécher… Descend la main qui ne tient pas le combiné téléphonique sous ton bureau…
- Ah je ne sais pas si cela va être possible…
- Mais si, tu peux … Et tu en as une envie folle… Tu mouilles… Ton petit jardin secret est humide de ce plaisir…Ta main passe sous ta jupe… Ecarte le petit string… Caresse ton entrejambe accueillant…
- Bon je vais m’en arranger alors….
- Et pendant ce temps, ma main s’active sur ma queue… Plus fermement maintenant… Je voudrais tellement que ce soient tes mains, qui s’en charge... Bon allez, je te laisse ma princesse adorée…
- Oui, moi aussi… A bientôt...»

Toujours est-il que notre relation était plutôt intéressante… C’était un jeu, on ne se verrait probablement jamais… Je ne pouvais que me l’imaginer et lui pareil pour moi… On ne dépasserait jamais ce stade… Enfin c’est ce que nous pensions…

Au bout d’à peu près 4 mois de stage, notre équipe a été invitée à se rendre au pôle où travaillait justement Pierre… En tant que stagiaire, je ne fais normalement aucun déplacement… Cela me soulageait de l’apprendre pour justement éviter une bêtise… Ou même pire : je pourrais ne pas le trouver à mon goût ou lui ne pas me trouver au sien… Seulement devinez quoi, ils ont fait une exception… Je me retrouvais donc à devoir rencontrer Pierre sans aucun espoir de retour en arrière… Allions-nous faire comme si de rien n’était ? Comment devrais-je me comporter en sa présence ? Et si jamais il ne me plaît pas et qu’il attend quelque chose de moi ?

A force de me poser trop de questions, je me rendrais malade… J’avais décidé que je serais la plus professionnelle possible… Après tout, pourquoi m’attendre à quelque chose… Je suis bien placée pour savoir qu’il y a un fossé entre la pensée et la réalisation de ces pensées… Les mots ne sont que des mots…

Je me suis quand même préparée au cas où… Et puis quoi de plus professionnel qu’un tailleur ? Et puis, ils en font de très joli, avec une jupe taille haute et un chemisier mis en valeur par un corset, un décolleté de choc garanti (rires) !!!

Le jour du départ est arrivé, direction l’aéroport Charles de Gaulle, direction le sud de la France… A peine avait-on décollé qu’il était déjà temps d’atterrir… Une voiture nous attendait pour nous conduire d’abord à l’hôtel pour déposer nos bagages, et ensuite, directement au site pour un petit briefing avant le dîner…

Arrivée à l’hôtel, je déposais mes bagages et m’étalais sur le lit pour voir si celui-ci était assez confortable… Je vous aurais bien décrit la chambre mais je ne pense pas que ce soit le plus intéressant… Je suis redescendue rapidement et nous sommes remontés en voiture, tout le monde s’était fait beau pour le restaurant… Nous sommes donc arrivés au site… Le grand moment approchait rapidement… Trop rapidement même… Je n’avais pas eu le temps de m’y préparer mais nous y étions…

Apparemment c’est Pierre qui nous accueillerait… Il dirigerait même la réunion de briefing sur la semaine que nous allions passer sur le site…

La voiture s’arrêtait enfin, et à ce moment précis tout allait mieux… Bizarrement je n’appréhendais plus quand j’ai entendu sa voix… Mon angoisse s’est évanouie quand j’ai vu ses yeux…. Je l’ai tout de suite reconnu… Un sourire charmeur… Des yeux magnifiques… Enfin le rêve de toute femme… J’avais l’impression que le temps ralentissait, j’avais ainsi de voir chaque détail de son corps… Je pouvais deviner sa musculature sous sa chemise… Je regardais aussi ses mains… Des mains raffinées… Et… Et pas de bague… Je pensais pourtant qu’il était marié… Mais maintenant que j’y pense nous n’avions jamais abordé le sujet…

Il serra la main à mes deux collègues et enfin vient mon tour… Son parfum m’enveloppait, m’enivrait…
« Et vous devez être notre fameuse stagiaire ?
- Oui… C’est bien ça… Enchantée de vous connaître Monsieur…
- Oh, ne jouez pas à ça avec moi… Nous nous connaissons bien, appelez moi Pierre… »
J’eus peur que mes collègues remarquent ce petit favoritisme mais heureusement Pierre se tourna vers eux et ajouta :
« Oui, vous pouvez tous m’appeler par mon prénom… Après tout j’ai tout juste la trentaine… Je n’ai pas encore 50 ans… »

Et sur ces mots, nous lâchâmes tous un petit rire… L’atmosphère était complètement détendue… Il nous emmena directement en salle de réunion où nous attendait beaucoup de personnes venant de services différents… Après les salutations passées, Pierre se positionna devant le tableau et se mit à faire son speech tout en se retournant parfois pour griffonner quelques mots ou dessins au tableau… Je peux vous dire qu’à ce moment là je ne me gênais pas pour mater ses fesses… J’eus même des bouffées de chaleur quand il enleva sa veste… La réunion se termina… Et nous remontâmes en voiture pour nous diriger au restaurant… La table avait déjà été réservée pour 10… Vous imaginez la pagaille…

Tout le monde se plaça et je ne sus où me mettre… Soudain Pierre s’adressa à mes collègues…
« Vous avez pu profiter d’elle durant ses 4 derniers mois alors j’espère que vous me la laisserez pour ce dîner…
- Oui bien entendu… De toute façon c’est une pipelette !!!
- Tant mieux car j’aime que l’on me fasse la conversation… »

J’étais tellement dans le gaz que je n’ai pas cherché
à interpréter ce qui se disait… J’ai juste aperçu le geste que Pierre m’a fait pour que je vienne m’asseoir à côté de lui… J’ai suivi en souriant comme d’habitude…

Le dîner fût plaisant… Il était charmant… Il me parlait parfois tout bas pour que personne n’entendent les compliments qu’il me faisait…
« Tu fais vraiment très mature…
- Merci Pierre…
- Tu fais tellement professionnelle…
- Merci mais il se trouve que je suis professionnelle…
- Pardon je ne voulais pas t’offenser…
- Ne vous inquiétez pas… Je ne le suis pas….
- Tu peux me tutoyer tu sais….
- D’accord…
- Alors déçue ?
- Mais de quoi au juste ?
- De moi, comment me trouves-tu ?
- Eh bien… Pour tout te dire tu es tout comme je l’imaginais…
- Et… comment m’imaginais-tu ?
- Grand et charmeur… rires
- Merci… Et tu ne me demandes pas ?
- Te demander quoi ?
- Eh bien… comment je te trouve…
- Aie… Je préfère ne pas le savoir…
- Et pourquoi ça ?
- Je n’ai pas envie d’être déçue…
- Tu n’as pas confiance en toi ? Pourtant, tu donnes l’impression d’être tellement sûre de toi dans cette tenue…
- Je le suis d’habitude mais bon je ne suis qu’une stagiaire…
- Eh bien… Tu as tort… Je te trouve très jolie… Charmante… Sexy… »

Ces derniers mots furent à peine audibles… Je rendis un « merci » à peine articulé… Les remarques et les sous-entendu se firent de plus en plus fréquents…

On servait le dessert alors qu’il me murmura à l’oreille qu’il avait envie de moi… Je me souvins alors de toutes les conversations que nous avions déjà eues au téléphone… Et là je mis à mouiller… Je sentais ma chatte s’humidifier au fur et à mesure que je serrais les cuisses… Je me sentais un peu embarrassée… Et apparemment Pierre l’avait compris… Autant tout lui balancé… Il savait comment j’étais…
« Qu’y a-t-il ? Tu n’as pas l’air bien…
- Si, si tout va bien…
- Tu as mangé quelque chose qu’il ne fallait pas… ?
- Non, non tout était très bon c’est juste que…
- Quoi ?
- Je suis… enfin… J’ai très envie de toi… Je suis excitée comme une puce… Et je mouille comme jamais… »

Cette révélation n’avait pas l’air de lui faire de l’effet… Il avait une expression grave sur son visage… J’avais mal fait… Je n’aurais rien dû dire… Quelle imbécile !!! On était que Lundi et maintenant j’avais de quoi être embarrassée pour le reste de la semaine… Pour le reste de mon stage… Il regarda mes deux collègues alors que je dépérissais à vue d’œil…
« Elle est malade… dit-il en me désignant du doigt. Il faut la remmener à l’hôtel… Je m’en charge car de toute façon ma femme m’attend à la maison… Finissez de dîner convenablement… Sauf si l’un de vous deux veut rentrer et dans ce cas là je peux vous remmener aussi… Bon personne ?! Donc dans ce cas, je vous dis à demain… »

J’étais choquée… Je n’étais pas malade… Et puis il a parlé de sa femme mais il ne porte pas de bague… Quoiqu’il en soit tout le monde a gobé cette histoire sans mot dire… Je me suis donc levé et j’ai salué tout le monde Pierre… On contournait le muret du restaurant… Et nous montâmes dans sa voiture… Il démarra en douceur et nous nous mîmes en route…

Il était presque 22h30 et il n’y avait pratiquement personne sur la route… Il était silencieux et je n’osais pas casser ce silence… Pourtant j’avais besoin d’explications alors il faudrait bien que je me décide…
« Pierre ?!
- Oui ?
- Euh… Tu peux m’expliquer ?
- Expliquer quoi ?
- Ne fais pas l’innocent, je ne suis pas malade du tout… Et c’est quoi cette histoire de femme ? Tu n’as même pas d’alliance…
- Eh bien, je voulais me retrouver seule avec toi, pour pouvoir te soigner…
- Me soigner ???
- Oui, tu mas dit être excitée… Alors je vais soigner ton excitation… »

Et alors qu’il disait cela il glissa une main sur mon genou… Il remonta doucement ma jupe en passant sa main entre mes cuisses… Il arrivait à la naissance de mes bas… Cette bande de dentelles avait l’air de l’intéresser tant il s’y attardait… J’avais le souffle court… Une vague de plaisir m’envahissait… Je n’osais plus faire un geste…
« Que tu es douce…
- Je… Et pour ta femme… ?
- J’ai dit ça pour éviter les soupçons parce que mes collègues savent que je suis marié… Mais ce qu’ils ne savent pas c’est que nous sommes séparés depuis bientôt 6 mois…
- Alors tout ça c’était pour te retrouver seul avec moi ?
- Oui parfaitement mademoiselle…
- Alors pourquoi avoir demandé aux deux autres s’ils voulaient que tu les raccompagne aussi… ?
- Ton collègue a raison… Tu parles trop…
- Je suis curieuse…
- Eh bien, j’ai proposé par politesse mais je savais qu’ils déclineraient… Ils n’ont pas fini leurs desserts…
- Et si jamais ils avaient accepté…
- Alors cela aurait été tant pis… J’aurais trouvé un autre moyen…
- Je n’en doute pas…
- Les questions sont finies ? On peut passer aux choses sérieuses… ?
- Je n’ai plus d’autres questions… »

Alors les caressent reprirent de plus belles… Je voyais une bosse se dessiner dans son pantalon mais je n’osais pas encore y toucher… Je me laissais submerger par le plaisir qu’il me donnait avec ses mains car maintenant qu’il avait écarté mon string, il pouvait plus aisément me caresser la chatte… Il titillait mon petit bouton rose, ce qui m’arrachait de petits gémissements… Nous arrivâmes devant l’hôtel où il était censé se garer, il me pria de descendre et de l’attendre… Il fallait qu’il aille garer la voiture un peu plus loin s’il ne voulait pas que les autres la remarque en rentrant… Il revint me trouver à l’entrée 5 minutes plus tard… Nous montâmes les escaliers sans bruit puis nous entrâmes dans ma chambre… Il s’assied sur le lit pendant que je déplaçais ma petite valise à roulettes bleue… Il m’appelait alors…
« Viens un peu par là…
- J’arrive…
- Ne m’oblige pas à venir te chercher… »

Je viens alors m’asseoir à côté de lui… Je n’en revenais toujours pas… Être assise à côté d’un homme qui en ferait fantasmer plus d’une…
« Puis-je goûter tes lèvres ma chère ? Cela fait longtemps que j’en rêve…
- Tu n’as pas besoin de demander… Tu as le droit de te servir directement… Après tout, tu es mon boss…
- C’est vrai… Alors j’ai carte blanche… ?
- Oui tout à fait… »

Il m’embrassa alors tendrement… Nos langues tournoyaient à l’unisson … Il me caressait le cou et moi, ses cheveux… Les vêtements s’enlevaient un à un… Il ne me restait plus que mes dessous… Mon corset n’était pas facile à défaire… Quant à lui, il n’avait plus que son boxer, étonnamment déformé par son membre… Celui-ci était d’une dureté extrême et cela donnait l’impression que son boxer allait se déchirer…

Je me mis à le caresser à travers son boxer alors qu’il était entre mes cuisses… Il fermait les yeux… Il avait l’air de beaucoup apprécié… Je libérais alors son membre de son boxer et celui-ci se mit à pointer vers moi, raide comme un piquet… ? J’humidifiais alors ma main avec de la salive et la portait à sa queue… Je la branlais doucement, pendant que lui me regardait dans les yeux…Il avait l’air d’apprécier puisque sa respiration était de lus en plus saccadée…

Le voir dans une telle position ne faisait qu’ajouter à mon excitation grandissante… A force de le branler, sa queue touchait mon petit clito… ET je finis par céder… Je caressais ma chatte avec son gland entièrement décalotté… Je le sentais bien chaud et palpitant… J’avais envie de l’enfoncer doucement…

J’avais envie qu’il me pénètre… Mais pas tout de suite… On avait le temps après tout… Je dus faire preuve d’une volonté hors normes pour arrêter…

Nous nous redressâmes tous les deux et il reprit peu à peu sa position de force… Il m’embrassait encore… Il ôtait alors mon string… Et je sentis de nouveau ses doigts s’enfoncer en moi… Toujours très lentement… Je croyais devenir folle… Mais ce n’était rien comparé à ce que j’ai ressenti lorsque sa langue a remplacé ses doigts… Je n’avais même pas remarqué qu’il avait bougé… Le plaisir engourdissait mon cerveau… Mais je dû mordre l’oreiller pour ne pas hurler…

Lorsqu’il s’arrêta et que j’émergeais petit à petit, je me mis à califourchon sur lui pendant qu’il s’allongeait sur le dos… Pendant que je l’embrassais, je me frottai doucement d’avant en arrière contre sa bite… C’était tellement bon… J’avais envie de lui rendre le plaisir qu’il m’avait donné… J’avais envie de lui offrir une pipe digne de ce nom… Mais sur ce coup là il ne m’en a pas laissé le temps…
« Oh… oui… Laisse-moi te prendre s’il te plaît… Je n’en peux plus… Laisse-moi m’enfoncer en toi et goûter à ta chaleur intérieure…
- Patience Pierre, ton heure viendra…
- Je ne veux plus attendre… Je te veux maintenant… »

Et là, il me bascula afin d’échanger nos positions… Il se centra entre mes cuisses, et enfonça son énorme gland dans ma chatte toute trempée… Je laissais échapper un long gémissement pendant que tout doucement il s’enfonçait jusqu’au fond… Ce moment me sembla interminable… Je le sentis alors buter au fond de ma chatte ce qui m’arracha un petit cri… Il se retira alors tout doucement, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que son gland et répéta la même opération une bonne dizaine de fois… Vous n’imaginez pas la frustration… Enfin il se mit à accélérer pour mon plus grand plaisir… Je gémissais de plus en plus en fort (je suis assez expressive… rires)… Et lui avait de plus en plus de mal à contrôler sa respiration… Il avait l’air de mener une bataille très difficile… Alors je l’encourageais du mieux que je pouvais…
« Ouiii… Vas-y… Continue… C’est bon… C’est trop bon… Ne t’arrête pas…
- Ta chatte est trop bonne, je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps… Mais je ne veux pas…
- Tu ne veux pas jouir ?
- Non je ne veux pas…
- Tu n’as pas envie de m’inonder la chatte… Ou de m’en mettre plein les fesses…
- Tais-toi tu me déconcentres…
- Très bien c’est toi qui l’auras voulu… »

Je me mis à lécher le lobe de son oreille et là il atteignit le point de non retour… Il accéléra dangereusement la cadence avant de me redresser pour jouir sur mes seins… De longues traînées blanches souillaient ma poitrine… Il s’écroula ensuite près de moi… Me donnant un long baiser…
« Je suis désolée… Je n’ai pas tenu assez longtemps… C’est juste que cela faisait longtemps que… enfin tu vois quoi…
- Tu n’as pas à t’excuser, c’était vraiment très bon… j’ai juste hâte de recommencer…
- Tu m’as l’air d’être une petite coquine toi…
- Non surement… Je dirais plutôt une cochonne…
- Eh bah dis donc ça promet… »

Pendant que je me rinçai dans la salle d’eau, j’en profitai pour dégrafer ce satané corset… J’en profitai pour le regarder du coin de l’œil… Cette statue grecque était là, allongée dans mon lit… C’est à ce moment là que je réalisai que la semaine serait extrêmement courte…

Il passa la nuit avec moi et s’en alla très tôt le matin… Nous passâmes la semaine à se chercher l’un l’autre dès que nous en avions l’occasion et nous passions toutes les nuits ensemble… Le danger d’être découvert ne faisait qu’attiser notre excitation mutuelle… Il fallait aller le plus loin possible sans se faire griller… Et pour ça j’attendis le dernier jour… Nous devions partir le vendredi soir… Alors vendredi soir, j’entendis un de mes deux collègues dire qu’il avait rendez-vous avec Pierre à 15h30 pour un debriefing… Je jouais avec le feu mais bon cela me plaisait… J’attendis 15h25 pour me pointer à son bureau… Heureusement les volets de son bureau sont toujours fermés… Je vins m’asseoir près de lui et l’embrassa… Je savais que ce qu’il l’excitait le plus c’était mes seins… Alors j’avais mis un petit pull au décolleté mettant ma poitrine en valeur… Me penchant sur sa chaise, la seule vue de mes seins le fit bander dur… Je passais donc ma main sur sa bosse afin d’ajouter à son excitation… Je me mis alors à 4 pattes, défit son pantalon et sortit sa queue de son boxer…
« Eh mais qu’est ce que tu fais… ? Tu es folle, je ne peux pas.. J’ai rendez-vous dans moins de trois minutes…
- Je t’avais promis de te faire une gâterie avant de m’en aller…
- Arrête !!! Ne fais pas… Ohhhhh »

Le contact de ma langue avec sa queue lui avait fait perdre toute envie de me repousser… Je pris quand même la précaution de me mettre sous son bureau…

Ma langue parcourait cette tige de haut en bas avant de faire céder mes lèvres afin que son gland disparaisse au fond de ma gorge… Ses mains se crispaient sur l’accoudoir… Le téléphone sonna, et il décrocha… Il avait du mal à parler…
« Oui…. Non… Tout va bien… C’est juste que… Je suis un peu occupé là… Je peux… Je peux te rappeler… Oui oui… C’est ça… A plus tard… »

Et en raccrochant il s’adressa à moi :
« Tu me mets dans l’embarras…
- Je te rends la pareille… Tu m’as fait la même chose… A ton tour… On verra combien de temps tu tiens… »

J’entendis alors la porte s’ouvrir… Mon collègue était là pile à l’heure pour le débriefing… Je savourais ce moment… Je les entendais parler… Pierre en disait pas grand-chose car chaque fois qu’il se mettait à parler j’accentuais les succions ou enfonçais sa queue bien au fond dans ma bouche… Il bégayait…

Le pire moment fût quand il poussa un petit gémissement en plein milieu de sa phrase… Je pense que là il n’en pouvait plus… Il congédia mon collègue prétextant un appel urgent à passer… Et dès que celui-ci fût sortit, il m’attrapa par les cheveux et se mit à baiser ma bouche violemment… Il l’enfonçait bien profondément, si bien que je m’étouffais presque par moment… C’est là qu’il se mit à jouir bien profondément dans ma bouche… Il se vida comme jamais il ne l’avait fait auparavant…
« Tu es dangereuse… Ta bouche est dangereuse… Mais j’aime ça… C’était tellement excitant… Me faire sucer alors que je suis en réunion avec un homme qui ne se doute pas qu’à quelques centimètres de lui se trouve une femme… Enorme…
- Tant mieux si tu as appréciée… C’était le final…
- Quel final ? Je rentre à Paris avec vous… »

FIN
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Commentaires du récit : Un stage très particulier

Le 02/02/2010 - 18:27 par Pierre le Grand
j'ai apprécié particulièrement ce stage très particulier. C'est du très bon Babyboo dans la lignée de ses autres récits plus excitants les uns que les autres et dont je recommande à tous une lecture attentive. La dernière phrase appelle une suite que j'attends avec impatience. Ces histoires sonnent vraies. A bientôt j'espère

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