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Un week-end chez mon kiné (suite d'un kiné pervers)

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Lue : 1335 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/05/2021

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Le vendredi, mon mari et moi, étions nus dans la salle de bains.
Jérémy fut surpris, quand il sentit mes bras entourer sa taille, et ma main saisir son sexe. La queue ne tarda pas à se détendre, et se dresser fièrement. Je passa devant lui, et me mis à genoux.
-Mais enfin Lucie...que fais-tu…
-Chut...laisses toi faire…

Je commençais par exciter le gland avec ma langue, avant de faire coulisser mes lèvres sur l’ensemble de la queue.
Mon mari, surpris, posa ses mains sur mes cheveux, rythma les allés et venus de sa bite dans ma bouche. Au bout de quelques minutes, il se retira malgré moi, se tourna, et éjacula dans le lavabo.

-Ben...pourquoi tu t’es retiré, ais-je demandé.
-Mais enfin ma chéri, tu ne m’as jamais sucé, tu n’as jamais voulu. Alors je pensais pas que tu aurais accepté que je jouisse dans ta bouche.
-Et bien si, mon amour, et j’aurai tout avalé. Dommage, dis-je en quittant la salle de bains, la prochaine fois.
En rentrant du week-end, j’ai la ferme intention, de lui offrir cette faveur, et qui sait, lui permettrais-je peut être, de me sodomiser. Je sais tous ça maintenant.
Le lendemain, je prépare mes affaires. Un jogging, un maillot, et du linge de rechange, c’est tout. Alors que nous finissons de ranger nos valises, Jérémy revient sur la pipe de la veille.

-Tu peux m’expliquer ce subit changement. Tu ne m’a jamais sucé, et maintenant, tu serais prête à tout avaler.
-Il n’y a rien à expliquer, mon amour, toutes le font au bureau...alors pour ne pas mourir conne, je me suis dit, pourquoi ne pas le faire à ton mari.
-Que je t’aime toi, dit-il en m’embrassant. Bon, aller, tu vas être en retard à ton rendez-vous.
-Bisous mon chéri, et sois prudent. On sait jamais...à la chasse. Aller, à dimanche soir.

S’il savait que j’allais me faire baiser tout le week-end.
Il est neuf heures quand j’arrive chez Lucas et Sandra.
Après la bise traditionnelle, Sandra me dit que Lucas est en consultation à domicile, et qu’il sera en retard. Elle me demande d’aller dans la cabine, me mettre à l’aise, qu’elle a mis des serviettes à disposition.
Je reviens et m’installe sur la table de massage. C’est apparemment elle
qui va commencer la séance.
Elle enduit mon dos de crème, et commença le travail. Ses mains sont d’une incroyable douceur. Elle part du cou, noué comme un cep de vigne, descend le long de l’échine. Ce qui me donne une sensation électrique. C’est au tour du galbes parfait de mes hanches. Elle s’y attarde, comme sur ma croupe, mais n’en reste pas là.
Je sens une main se glisser entre mes fesses, jusqu’à la commissure de mes lèvres intimes. Instinctivement, mes jambes s’ouvrent.
Sandra prend ça comme un appel. Ses doigts frottent mes lèvres une contre l’autre. Je commence à mouiller sérieusement. C’est à ce moment qu’elle me demande de me retourner.
La séance devient plus intense, plus sexuelle. On a dépassé les règles du massage. Sandra plonge son visage entre mes jambes, et entreprend de lécher ma chatte. Je m’écarte d’avantage, dans un profond soupir.
Je ferme les yeux pour savourer cet instant de pur bonheur. C’est la première fois, que j’ai une relation avec une femme, et je dois avouer que c’est très agréable, et m’excite intensément.

-Calmes toi ma chéri, dit Sandra, on tout le week-end pour se donner du plaisir. T’aimes ce que je fais à ton clito…
-Hum...vous le savais….voyais comme ma chatte est mouillée…
-Et ça veut dire quoi…
-Qu’elle a envie qu’on la branle.
-Oh...la vilaine...si c’est ce qu’elle veut.

Les doigts de Sandra me pénètrent au plus profond de moi-même. Mon corps se cambre sur la table de massage. Les yeux mi-clos, la bouche ouverte, je hurle de plaisir. L’orgasme est foudroyant.
Je n’ai pas le temps de fermer la bouche, qu’un intrus vient la squatter.
J’ouvre les yeux, et aperçoit Lucas, de retour de sa visite à domicile.
Il me caresse le front dune main, tout en branlant sa queue, qui coulisse dans ma bouche.
-Alors ma chéri...ça va mieux ce dos…en tous cas, d’après ce que je vois, la chatte et la bouche fonctionnent. On a bien travaillé de se côté.
Je ne peux lui répondre, préférant me consacrer à ma fellation. J’ai même hâte qu’il jouisse, pour sentir son nectar fondre sur ma langue.
Et je n’ai pas longtemps à attendre. Il crache son venin dans ma bouche.
Sandra se place derrière Lucas, glisse une main entre ses jambes. Elle saisit les couilles qu’elle presse comme une poire, pour en extraire le jus.
Si ce massage ne m’a rien apporté médicalement, il m’a apporté en intensité sexuelle.
Après une bonne douche, Sandra et moi allons prendre un verre, au bord de la piscine. Comme je n’avais pas prévu de maillot, Sandra m’en prête un. Il ressemble plus à un bout de ficelle, qu’ a un maillot.
Sandra m’annonce que ce soir, elle a invités quelques amis, pour le soirée. Je lui dit que je n’ai pas prévu de tenue, pour un tel évènement. Elle me répond qu’on trouvera ce qu’il faut, dans sa garde robes.
Connaissant les goûts de Sandra, je suis déjà toute excitée de penser que, peut-être, je vais être la plus belle de la soirée.
Sandra et Lucas m’ont bien fait comprendre, que même si j’étais leur invité, il n’était pas interdit, si une occasion se présente, de la prendre.
Qu’à ce sujet, j’avais carte blanche.
Le soir, nous somme une dizaine autour d’un copieux buffet. Sandra me présente comme une amie, célibataire pour le week-end.
« Célibataire pour le week-end.»
Ça laisse entrevoir à des esprits pervers beaucoup de choses, pour peu qu’ils soient en manque de sexes. Je dois avouer que certains sont très séduisants, et peuvent prétendre à mes faveurs.
Je m’adapte très vite à l’ambiance de la soirée. Je la passe à danser avec des cavaliers, plus coquins les uns que les autres. Il arrive que des bras me prennent par la taille, que des mains remontent sur mes seins, En effet, la large échancrure sous mes bras offrent une passage idéale. Certains n’hésitent pas à m’embrasser dans le cou, me glissent des mots coquins à l’oreille. Ces douces paroles m’excitent.
L’un d’eux, la cinquantaine bien sonnée, plus entreprenant, me prend la main, et m’entraîne dans le hall, à l’abri des regards indiscrets. Il me clou contre la mur, me prend tendrement les lèvres. Je passe mes bras autour de son cou, tandis que ses mains s’infiltrent sous ma robe. Une main glisse sur ma chatte, un doigt excite mon petit bouton. Je fléchis sur mes jambes, les écarte pour faciliter le passage. Dans le reflet d’un miroir, je me vois me cambrer sur ce doigt qui me clite.
« S’il savait comme j’aime ce qu’il me fait, comme c’est bon.»
Je mords dans la chair de son cou quand j’atteins l’orgasme. C’est à mon tour de lui donner du plaisir. Je pose ma main sur sa braguette gonflée. Mais il la refuse. Il me sourit, me donne un tendre baiser, et regagne le salon. Cet homme m’a donné du plaisir, sans rien attendre en retour. Quel gentleman...quelle classe...
En sortant de la douche, après m’être rincer ma chatte, je croise Sandra et Lucas. A voir leur sourire, je devine qu’ils savent ce qu’il s’est passé.

Vers une heure du matin, les convives prennent congé. Nous nous retrouvons tous les trois. Sandra me demande si le mec a été correct. Je lui réponds que oui, qu’il m’a juste doigté le clito. Mais je lui avoue, que je serai allé plus loin, je me le serai bien tapé s’il était resté.
Sandra me dit de ne pas m’inquiéter, qu’ils vont bien s’occuper de moi.
Sur ce, elle éteint la lumière, et met un slow. Lucas me prend dans ses bras, et me fait danser.
Seule la lueur du feu de la fausse cheminée, éclaire le salon. Les ombres chinoises, d’un érotisme fou, diffusent nos corps contre les murs.
Lentement, Lucas fait glisser ma robe, se penche pour embrasser mes seins. D’une main, je lui caresse les cheveux. Je le relève, lui prend les lèvres, et tombe à genoux. J’ouvre la braguette, extrait l’objet de tout mes désirs. Je saisis la queue en érection, et la prends en bouche.
Sandra, assise sur le fauteuil, suit l’évolution de la scène, une main allègrement enfoncée sous sa jupe.
Au bout de quelques minutes, je sent Lucas se raidir, se tendre en avant. Les flots de sperme jaillissent, tel un tsunami. Je ne peux tout avaler, la vague, trop importante, déborde de ma bouche. Sandra vient à la rescousse, et avale le surplus, avant de souder ses lèvres aux miennes. Lucas pose une main sur chacune de nos tête.
Il est l’heure d’aller au lit, dit Lucas. Je demande innocemment, ou se trouve ma chambre. Lucas et Sandra pouffent de rire.
Après dix minutes d’une douche coquine, nous nous retrouvons dans la chambre. Il est clair, qu’en voyant les dimensions du lit, c’est un lit à partouzes.
Bien évidemment, on me place au milieux. Sandra commence à m’enlacer, prend mes lèvres, d’abord celles du haut, puis celles plus intimes.
Lucas s’amuse à faire rouler le bout de mes seins, entre ses doigts.
Puis, c’est la déferlante. Le couple se met en marche. Je suis secouée comme une vulgaire poupée de chiffons. Toute la panoplie du vice, ils l’ont. Je passe une nuit intense, à me faire prendre de partout, dans les positions les plus improbables qu’ils soient.
Lucas se retire vers cinq heures de matin, me laissant entre les mains de Sandra. C’est là que je découvre le plaisir lesbien...le vrai. Et j’adore.

La matinée du dimanche est consacré à la dernière séance de massage.
Elle est sobre, mais néanmoins sexuelle. En effet, Lucas tient à me faire l’amour une dernière fois, avant mon départ. Comme à chaque relation, il parvient à m’arracher des cris de plaisir, quand je jouis. Je reste de longue minutes allongée sur la table de massage, jambes écartées, me laissant aller aux caresses expertes de Lucas. Très attentionné, il essuie délicatement ma chatte, à l’aide d’une serviette.
Il se penche pour me donner un tendre baiser.
Il m’assure que Sandra et lui, seraient ravis de me revoir, séances de massages ou pas, dans un cadre privé cette fois.
Je sais d’ors et déjà ou je passerais mes week-end, quand mon mari sortira avec ses potes.
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Histoire de Aurore34

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