Une belle-soeur que l'on ne peut oublier 3

Benoît n'est pas encore en condition. Sa queue pend lamentablement soudée à son bas-ventre. C'est Julia qui se précipite, sur le membre mou qui semble sans vie. Elle le prendre doucement entre ses doigts et commence à l'agiter. Avec détermination et patience, Julia, petit à petit, fait dresser la tête à la bête endormit. Lentement, la verge, qui est très sollicitée par la femme douée, devient opérationnelle. Pour son propre plaisir, Julia décalotte le gland et se met à le sucer. Elle le délaisse de temps en temps pour faire glisser sa langue sur la hampe épaisse. Les veines apparentes, gorgées de sang, semblent sculptées dans la masse de chair. Benoît commence à geindre, c'est le moment que Julia attend pour que Marthe prenne le relais. La bouche vorace de Marthe, suce et tète la verge avec ardeur. Tout en dévorant le mandrin, la chatte de Marthe qui n'est pas insensible, lâche sa cyprine. Ce bon jus coule sur les cuisses quasi-parfaite de la suceuse. Ludovic commence à avoir des couleurs, il ravale sa salive, soudain, il dit :


-C'est le moment Benoît baise-là, sa chatte fuit, toi Marthe penche-toi-en avant, je souhaite que Benoît te prenne en levrette !


Marthe se penche comme demandé, elle pose ses mains sur la table et cambre sa croupe en attendant le bon vouloir de son ami. Ludovic prend place dans un fauteuil et observe. L'amant frotte longuement sa queue contre la fente très humide, puis pousse doucement, les grandes lèvres s'écartent, le gland décalotté s'engage dans le conduit détrempé. Benoît saisit sa proie par les hanches et donne un coup de reins violent. Sa queue s'enfonce jusqu'à la garde dans le corps de Marthe qui se cabre en poussant un gémissement. Le pilonnage commence très lentement, puis prend de la vitesse. La bite puissante coulisse aisément dans la gaine brûlante de la soumise, qui ne cesse de geindre. lentement la queue de Ludovic prend du volume, il la saisit et c'est en grognant qui la branle, mais sans brusquerie. Julia a les yeux plein d'envie, elle marmonne. Elle regarde en écarquillant les yeux, la bite de Benoît faire un va-et-vient dans le ventre de Marthe. Cela provoque dans son corps une réaction, qui n'est autre que de l'excitation, sa vulve se met à suinter abondamment. Elle ne peut s'empêcher de caresser sa fente qui rejette son jus.
Mais la vicieuse, a une idée derrière la tête. Elle prend une grande aspiration et, bien déterminée, s'avance vers le couple. Elle donne ses doigts à sucer à Marthe. La coquine les suce un à un, en geignant de bonheur. Les succions, bruyantes, font déglutir Julia, qui au bout d'un certain temps, retire ses doigts. Elle présente à l'anus de Marthe un doigt qui est luisant de salive. Elle le fait tourner sur le petit trou ridé un court instant avant d'appuyer. Marthe réagit, elle se cabre. L'intrus vient de forcer sa petite porte, la première phalange s'enfonce dans son l'œillet. Cela provoque Chez Marthe, bien qu'elle soit ramonée par Benoît, un raidissement brutal. Julia pousse plus fort, le doigt disparait entièrement dans l'anus, comme aspiré.


Benoît ralentit la cadence, les enfoncements de son mandrin dans le ventre de Marthe deviennent très lents. Julia, habillement, commence un doux va-et-vient, son doigt voyage dans la gaine étroite qui emprisonne l'intrus. Marthe souffle doucement, elle agite lentement sa croupe, cet attouchement rectal semble ne pas lui déplaire. Benoit augmente progressivement le rythme, la chatte déborde de cyprine, un bruit étrange se fait entendre pendant le pilonnage. Ludovic regarde, en s'exorbitant les yeux, il dit :

-Oh putain que c'est bon, Julia ma chérie ramone lui bien le cul, elle mouille bien vas-y, vas-y !


Au bout d'un moment, Julia retire son doigt, et en présente à l'anus deux, elle les fait entrer en faisant des demi-rotations. Les visiteurs s'enfoncent jusqu'aux dernières phalanges. Marthe souffle comme un bœuf, prise par les deux orifices, c'est une nouveauté pour elle. La tension monte d'un cran, elle geint comme une bête blessée. Les doigts et la bite qui lui fouillent les entrailles, la font délirer. Ludovic ne perd rien, il se branle avec rage en écumant. Marthe se cabre et jouit fortement. Benoît accélère, c'est le moment qu'attendait Julia pour faire entrer un troisième visiteur dans le rectum de Marthe qui s'agite en couinant de plaisir. Le baiseur se raidit, se bloque et envoie une puissante décharge, suivi par deux moins puissantes. Le bougre la besogne encore un moment avant de se retirer du vagin brûlant. Julia retire ses doigts et fait un clin d'œil à Benoît. Le bougre comment ce que veut Julia. Il presente son gland gluant à l'anus entrouvert et pousse. Marthe serre les dents, elle ouvre la bouche toute grande, mais aucun son n'en sort. L'anneau ne résiste pas à la poussée de l'enculeur, et avale lentement le manche de chair. Marthe croit mourir tellement c'est douloureux, elle croit que son rectum va se déchirer. Mais Benoît n'en est pas à sa première sodomie, le bougre sait y faire. Une fois que ses couilles frappent les fesses de Marthe, il reste immobile un bon bout de temps. Il sait que le rectum va s'accoutumer au mandrin qui le dilate.


Marthe respire bruyamment, son souffle est court, en plus d'être rapide. Julia, n'en reste pas là. Elle passe sa main sous le ventre de Marthe et attrape son clito. Elle commence à le caresser avant de le branler de plus en plus vite. Marthe se tend comme un arc, Julia accélère le branlage qui semble bénéfique pour Marthe, car elle se détend doucement. C'est au tour de l'enculeur d'entrer en action. Il entreprend un va-et-vient très lent, Marthe souffle comme un taureau, son cul est en feu. Mais peu à peu, le conduit anal s'habitue à l'intrus qui le dilate. Marthe respire moins bruyamment, elle ose même agiter sa croupe lentement.
Benoît peut lancer les chevaux. Il commence un ramonage terrible, Marthe grogne à chaque enfoncement du pal dans son postérieur. Mais au bout d'un moment de pilonnage sévère, elle prend plaisir à la sodomie. La bite de Benoît coulisse de mieux en mieux dans la gaine étroite, Marthe se cambre fortement
et jouit du cul pour la première fois de sa vie. Elle croit mourir tellement c'est intense. Ludovic a déjà déchargé plusieurs fois, ses cuisses sont gluantes, sans parler de ses doigts. Julia délaisse le clito qui est devenu monstrueux, elle se laisse tomber dans un fauteuil et commence à se tripoter la boule magique.



Benoît veut faire connaitre à Marthe une autre pratique de la sodomie. Il retire entièrement sa queue du rectum et la replonge violemment au plus profond. Marthe pousse un hurlement, Benoît réitère plusieurs fois ce mouvement dévastateur, Marthe est au bord de la syncope. Maintenant, il change de méthode, il enfonce sa bite dans le cul, pour la ressortir rapidement et investir la chatte profondément. Le coquin change continuellement d'orifice. Pour Marthe, c'est le summum du plaisir, elle défaille. Ludovic croit devenir fou, il se branle en grognant comme un malade, il se branle tellement fort que sa main frappe ses couilles brutalement à chaque descente. Ses yeux sont exorbités, un filet de bave s'écoule à la commissure de ses lèvres. Soudainement, un cri inhumain ce fait entendre. Marthe, cambrée comme un pont en pleine tempête, explose. Comme par miracle, sa chatte gicle plusieurs fois, pour le plus grand bonheur de Ludovic qui jouit à son tour. Julia serre les dents, pousse un profond soupir et jouit également. Julia réclame sa part de bite, mais benoit et au bord de l'épuisement, elle doit se rabattre sur son mari, elle se place à califourchon sur lui, et s'empale sur la bite gluante, elle le chevauche jusqu'à ce qu'elle explose. C'est repu et à bout de souffle que les ébateurs cessent leurs jeux.