Une collègue pas comme les autres

On se connaît depuis presque dix ans, une relation professionnelle lors de la première entreprise dans laquelle nous avons travaillé ensemble, puis notre relation est devenue de plus en plus amicale lorsqu'elle m'a proposé un poste dans l'entreprise qu'elle a rejoint une année auparavant.
Voilà désormais quatre ans et demi que nous formons un binôme de choc, nous n'avons pas le même métier, mais nous sommes obligés de travailler ensemble correctement pour le bien du business de notre entreprise et sans nous lancer des fleurs, cela fonctionne plutôt bien. Nous sommes complémentaires, nous avons des manières différentes de travailler, mais nous sommes efficaces et surtout, nous savons nous dire les choses assez facilement sans mettre les formes sans que jamais l'un ou l'autre ne puisse se vexer.
Au fur et à mesure de ces quatre années et demie, nous nous sommes rapprochés amicalement, nous partageons nos joies en couple, nos peines, nos doutes. Elle est mariée, mère de deux enfants, heureuse et épanouie. De mon côté, même si c’était plus compliqué il y a quelques mois, aujourd'hui je suis très heureux, en couple depuis bientôt 10 mois et tout se passe pour le mieux.

Nous aimons parler de sexe en soirée lorsque nous avons un peu picolé, elle est assez ouverte, aime bien me dire qu'elle ne veut pas rentrer trop tard après nos soirées de boulot pour baiser avec son mari, car cela fait longtemps, il nous arrive aussi de nous envoyer des messages pour me dire qu’elle a baisé le week-end, qu'elle a sucé son mari, et il m’arrive aussi souvent de lui dire que j’ai baisé également... Bref, tout cela ne peut que me créer des histoires dans la tête et développer un ou des fantasmes la concernant !

Malheureusement cette relation pro va se terminer, je dois annoncer que je vais quitter l'entreprise, un nouveau poste m’attends ailleurs, mieux rémunéré avec des missions qui vont coller davantage à la trajectoire professionnelle que je veux me donner. Évidemment, elle est déçue, car nous aimons l'un comme l'autre travailler ensemble, mais nous savons que nous allons continuer à nous voir, de plus, je ne pars pas très loin ! En attendant cette échéance, nous voulons surtout profiter de soirées alcoolisées comme nous les aimons.

Nous décidons de faire une soirée avec nos anciens collègues de bureau qui ont déjà quitté l'entreprise depuis un certain temps, cherchant un endroit jusqu'au dernier moment, nous nous sommes finalement décidés à investir les bureaux de notre entreprise actuelle. Nous confectionnons des plateaux de charcuteries, de fromages et amenons avec nous de la bière, du gin et évidemment quelques bouteilles de champagne. Nous sommes quatre ce soir et assez rapidement, l'ambiance devient légère, nous sommes simplement heureux d'être là et l'alcool coule déjà à flots ! Elle est belle, rit aux éclats et commence à être légèrement « pompette ». La semaine précédant cette soirée, nous avons parlé de cul par SMS, elle m’a dit qu'en ce moment elle a une envie folle de baiser, mais que les occasions se font de plus en plus rares, qu'elle doit se contenter de sa main, car elle écoute actuellement un livre audio avec des passages très hot qui l'ont beaucoup excitée et que je dois impérativement l'écouter également, car ça va forcément me plaire. Elle connait mon goût pour le sexe, elle sait ce que j'aime faire, mes pratiques sexuelles, on ne partage pas vraiment les mêmes envies, mais on en rigole beaucoup pourtant. Je dois bien avouer que le fait de parler de sexe avec elle me donne parfois envie d’elle et en la voyant éméché il y a quelques pensées qui me parcourent l’esprit.

Ce soir, elle porte une jupe à fleurs merveilleusement ajustée à ses hanches et à ses fesses, elle me permet de voir ses jambes que je trouve sportives, cela me donne envie d'en voir davantage, son haut est simple, un tee-shirt blanc ample, elle n'aime pas porter des vêtements trop moulants, après deux grossesses, elle n'a plus confiance en son corps qui pourtant fait tourner encore pas mal de têtes à chaque fois que nous allons boire des verres.
L’heure avance à une vitesse folle, vingt-trois heure déjà et nous savons qu'il faut quitter les lieux, l'alarme peut sonner d’une minute à l’autre et personne n'a le badge pour la désactiver. Nous sommes tous trop alcoolisés pour terminer la soirée ailleurs, on décide de regagner chacun sagement son domicile. J'éteins les lumières, ferme la porte à clé, puis je rejoins les amis dans l'ascenseur pour descendre à l'étage zéro. Une fois arrivé en bas, elle se rend compte que son sac est léger, le PC portable est resté sur son bureau, un demi-tour s’impose pour qu’elle puisse télé-travailler demain comme prévu. Nous saluons nos amis qui ont la flemme de nous accompagner, elle me supplie de l’accompagner mais j’ai de toute façon également oublié mon chargeur de PC portable, pas le choix de remonter également, nous devons faire vite avant que l'alarme ne se déclenche. Une fois de nouveau dans nos bureaux, nous récupérons nos affaires, forcément étant éméché on fait quelques conneries, elle se déhanche volontairement devant moi dans l’allée centrale, on continue à rire comme des adolescents et j'en profite pour bien l'observer, son cul est absolument parfait avec cette jupe, j'ai soudainement une envie terrible de la prendre ici, dans le bureau. A peine le temps d'y penser, son PC est rangé dans son sac et un demi-tour s’impose, je m’empresse de prendre mon chargeur je repars direction la sortie avec toujours cette envie irrépressible de la prendre ici et maintenant. Une fois sortie du bureau, elle appelle l'ascenseur et me prie de me dépêcher de fermer la porte, elle s'éloigne, j'ai beaucoup de pensée dans ma tête et une fraction de seconde pour décider de la suite de la soirée, remords ou regrets.

L'ascenseur n'attends plus que moi, je prends une grande bouffée d’air, je passe les portes de l’ascenseur, appui sur le niveau zéro et je me rue dessus, je l'embrasse, je lui dévore la bouche comme jamais, puis surprise, elle ne réagit pas dans un premier temps mais me repousse en me demandant ce que je fais, si je ne suis pas devenu fou, je rigole bêtement, gêné par cette situation, je ne sais plus quoi dire ni faire, j'ai honte, mais toujours terriblement excité, je veux la prendre ici et maintenant, c'est l'occasion ou jamais.

De nouveau au niveau zéro, nous marchons jusqu'au parking situé à environ cent mètres, il pleut et je suis garé au niveau deux, nous devons prendre l'escalier à l'intérieur du bâtiment, je lui emboîte le pas, perdu dans mes pensées, je commence à regretter mon comportement. Elle attaque les marches mais bourrée elle manque de se vautrer royalement juste avant le pallier du premier niveau, elle se rattrape à moi, nos regards se croisent, mais mains sont posées sur ses hanches, pas le temps de réfléchir trop longtemps, j’avance vers elle pour la coller contre le mur, je l’embrasse pour la seconde fois de la soirée toujours avec fougue sur la bouche puis ma langue glisse le long de son cou, elle ne dit plus rien, je ne suis pas repoussé mais elle ne me donne pas l'impression d'être réellement consentante, c’est excitant, mon cœur bat à une vitesse folle, je suis envahi d'adrénaline. Je glisse ma langue dans sa bouche et soudain je sens qu’elle ne s’oppose plus à cela, qu’elle se laisse enfin aller. Ma main commence à descendre le long de son corps puis elle s'arrête sur sa cuisse, je profite de l'instant, puis je descends mon autre main pendant que je commence à lui lécher son lob d'oreille, j'ai une érection énorme qu'elle doit probablement sentir car nous sommes collés l’un à l’autre. Je remonte sa jupe au-dessus de ses fesses, je commence à la toucher à travers sa culotte de la main droite, on s'embrasse comme des ados qui découvrent cela pour la première fois, mon index pendant ce temps-là se faufile en écartant sa culotte, c’est mouillé, inondé même, elle ne peut plus cacher son excitation, je joue ensuite avec son clitoris du bout de l'index, elle commence à faire quelques bruits, elle plonge sa tête en arrière, ferme les yeux, ses lèvres se pinces, je veux la baiser sans attendre, et avant même que j'ai le temps de commencer à lui mettre un doigt, elle s'attaque à ma ceinture.

- Je veux te sucer.

Je n'ose pas y croire, en deux temps trois mouvements, sa jupe est remise en état pour pouvoir plier ses jambes et se mettre à genoux, elle abaisse mon jean et mon boxer en même temps, mon sexe en sort dressé comme jamais, elle commence à me sucer en me regardant droit dans les yeux, je sais exactement ce qu'elle veut me faire, nous écoutons le même livre audio, elle m'a dit qu'elle aimerait faire exactement la même pipe que dans le livre à son mari il y a quelques temps, je ne sais finalement pas s'il y a eu droit, mais ce soir, c'est mon tour. C'est divin, j’aimerais que cela puisse durer le plus longtemps possible, je veux profiter de cet instant, la voir me sucer, prendre du plaisir à avoir mon sexe dans sa bouche, je prends alors conscience que mon fantasme prend vie. Cette jolie brune avec ses cheveux bouclés, encore bronzée de ses vacances est en train de mettre mon sexe tout entier dans sa bouche, elle me suce comme jamais ! Soudain je repense au livre audio, je sais que la fin ne peut pas se terminer de la même façon, elle n’avale pas, je décide donc de reprendre les choses en main, je la remonte en la prenant en dessous des aisselles, remonte mon jean en vitesse.

- Suis-moi !

Ça sonne comme un ordre ! On court dans les escaliers manquant encore une fois de tomber mais nous parvenons au second étage, ma voiture est garée juste là, l'éclairage du parking est faible, il n'y a que quelques lumières de secours pour nous éclairer sur le chemin, je conduis ma partenaire en la prenant par la main sur le devant de ma voiture, je la guide en posant ses deux mains sur le capot du véhicule, je passe alors derrière elle, je remonte sa jupe entièrement puis j’enlève sa culotte d’une main que je ramasse une fois par terre pour la mettre dans la poche arrière de mon jean, je décide alors de planter mon pouce droit en elle pendant que j’abaisse mon jean pour qu'il tombe rapidement sur mes chevilles, je veux lui manger son anus, lécher son clitoris, elle sait que j'adore cela, je commence à me mettre à genoux pour m'exécuter, mais elle me bloque avec son bras gauche en protestant.

- Non, je ne suis pas propre, baise-moi, baise-moi fort et vite.

Je remonte, je continue à lui bourrer mon pouce dans sa chatte mouillée, puis je prends mon sexe en main que je plonge sans préservatif dans son sexe mouillé, c'est bon, diablement bon, elle pousse un cri à la première pénétration, puis je commence mes coups de boutoir, je suis tellement excité que je manque d’éjaculer en moins de deux minutes, je dois me calmer, diminuer un peu le rythme de peur de ne pas assez en profiter, j'ai l'occasion de la baiser, c'est probablement la seule et unique fois, je veux donc la faire jouir, lui montrer le plaisir que je peux lui procurer ! Mais j’ai envie de plus, je prends sa main droite et je la pose sur son sexe, je sais qu’elle aime se toucher de temps en temps.

- Touche-toi.

Elle commence à se caresser le clitoris, elle gémit, je sens qu'elle prend son pied, devant l’excitation que cela me procure j’accélère de nouveau mes va-et-vient, je veux continuer à l'entendre crier, je veux la démonter littéralement, j’ai soudain une nouvelle envie de sa bouche autour de mon sexe.

- Putain, j'ai encore envie que tu la prennes dans ta bouche.

Je doute de ma proposition, de sa réaction, notre baise prend une tournure très hot je me dis qu'elle peut refuser, que c'est trop pour elle, mais sans hésitation, elle se retourne, puis une fois assise sur le capot, elle prend ma queue pleine de mouille qu’elle décide de lécher comme pour la nettoyer, je suis bouche bée devant cette scène incroyable, mon sexe me le rend bien car il est dur comme jamais, j'adore ce qu'elle me fait, bouche grande ouverte et sa langue qui parcourt mon sexe et mes couilles, visiblement, elle adore aussi, comble du bonheur, elle continue de se toucher frénétiquement...
Très excité, je la retourne de nouveau, j'entre à fond en elle, puis sort complètement sans discontinu, elle continue à se toucher le clitoris, elle crie de plus en plus fort, je sens que je ne suis pas loin d’éjaculer en elle, j’essaye de me retenir le plus possible, je contracte mon périnée pour retenir mon sperme mais c’est finalement elle qui vient en première, elle gémit et crie, je continue à la marteler de coups de reins pour lui montrer que j'ai encore quelques ressources jusqu'à ce que je sente que mon sperme monte dans ma verge, je sors mon sexe de son vagin et j’éjacule par terre... je suis en sueur, en extase, vide, complètement vidé et de son côté, elle s’allonge sur le capot, fatiguée de notre ébat sexuel.

Complètement dessaoulés et après quelques minutes pour reprendre nos esprits on se rhabille chacun de son côté puis on entre dans la voiture, on se regarde sans se parler avant que je démarre ma voiture et de quitter les lieux de notre ébat. Le chemin séparant le bureau de chez elle qui est d'environ dix minutes risque d’être long. Après dix minutes sans un son dans la voiture j’arrive devant chez elle, je n’attends rien de particulier, juste une simple formule de politesse mais pendant que je suis dans mes pensées elle ramasse son sac à main à ses pieds puis elle ouvre la porte, elle ne traine pas, ne me regarde pas. La soirée est terminée !