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Une dernière fois partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/01/2024

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UNE DERNIERE FOIS
PARTIE 2 MAGALI
Je travaillais pour une boite industrielle spécialisée dans la peinture de surface diverses. 120 employés et un chiffre d'affaires de 7 millions d'euros. On était deux au recrutement, une tâche pas facile, vu le turn-over important, les difficultés à trouver les profils adéquats, les entretiens à mener.
Magali était une fille qui me fascinait. Une beauté unique. Et je fantasmais énormément sur elle, même si elle était mariée et que je le savais. Jamais je crois je n'avais été autant troublé par une femme. Il y avait plusieurs facettes qui la composaient et qui, assemblées, faisaient qu'elle était irrésistible. Hyper-sexy, hyper-désirable...Elle était très grande, j'aurais dit que pieds nus, elle faisait un mètre quatre-vingt-dix, et avec ses talons qui devaient faire au minimum huit centimètres elle était immense. Immense et massive. Elle avait un corps épais, mais sans trace de graisse, sans surpoids. Elle avait des formes pleines, des seins, des fesses, des hanches, et elle les soulignait avec des tenues près du corps qui mettaient vraiment en évidence ses charmes de femme. Elle avait toujours été habillée avec élégance, sans mauvais goût, mais vraiment serré, collant. Pas de flou. Ca faisait huit ans que j'avais ses charmes sous les yeux. Huit ans aussi que je n'y étais pas indifférent, mais sans aucun espoir.
Pantalon près du corps, bustiers, robes comme une seconde peau, mini-voire micro-jupes...Tout pour la révéler. Autour, se greffaient une multitude de détails qui disaient une féminité discrète mais affirmée. Par exemple elle mettait très souvent des bas stay-up. Dont les accroches élastiquées venaient prendre le milieu de ses cuisses pleines. Parfois même de vrais porte-jarretelles, auxquels elle accrochait des bas d'une texture différente, plus épais, avec une partie haute qui n'était pas élastiquée, plus longue souvent, et d'un tissu résistant pour que les pinces ne les déchirent pas. Mais parfois aussi des collants.
Comment je le savais? Hé bien quand elle les portait, c'était avec des robes ou jupes qui avaient toutes pour point commun d'être redoutablement courtes, et de la sorte on pouvait tout voir. Elle était penchée sur la photocopieuse, on voyait les bas et la chair au-dessus, la quasi-totalité du collant, ou bien quand elle était assise, et que la jupe, ne remontant certes que de quelques centimètres, laissait vraiment tout voir. Et pas seulement bas, collants ou porte-jarretelles, mais, bien au-delà, son absence de slip. Penchée en avant c'était un tiers ou moins ou plus de ses fesses, et sa grosse vulve nichée entre ses cuisses, dans des états divers, assise c'était son bas-ventre qui était offert et une vision imparable de son sexe, semblable et cependant toujours changeant, jamais vraiment clos, un bout de lèvre qui dépassait, ou deux, jamais pareil, et son gland clitoridien qui, même quand elle semblait au repos, mais l'était-elle vraiment, pointait son museau.
J'avais compris un jour qu'en fait, elle mettait toujours une culotte sous des pantalons, parce qu'elle s'était rajustée devant moi, même si c'étaient des sous-vêtements invisibles, alors que, quand on pouvait la voir, elle était cul nu... De l'exhibitionnisme, ou bien pensait-elle que bas ou collants suffisaient-ils comme sous-vêtements.
Et puis il y avait les chaussures. Elle aimait passionnément là aussi les talons hauts et fins, qui la galbaient et cambraient sa silhouette, les escarpins, et les bottes. Elle en avait une collection impressionnante. J'imaginais son dressing. Le tout élégant, et qui la rendait irrésistible.
La première fois où mon regard s'était posé sur elle, je m'étais éjaculé dessus. Je l'avais eue au téléphone, on avait parlé longuement, mais ce jour-là, je m'étais installé dans le bureau et elle n'était pas encore là.
Elle était arrivée et la tête ailleurs, elle ne m'avait pas vu du tout. Le bureau était très long et je me trouvais dans le fond, près d'étagères parce que je cherchais des documents. Leur agencement me masquait. De la sorte, je l'avais vue arriver, blouson de cuir, T-shirt, tendu par ses seins –si elle ne mettait pas de slip, par contre elle prenait soin de toujours envelopper sa poitrine, sans doute parce que ses seins étaient lourds, et qu'elle voulait la maintenir et une micro-jupe, rouge, en vinyle, avec laquelle contrastaient des cuissardes noires, en vinyle aussi, mais aussi le nylon de bas. Là on le voyait, parce que la jupe était vraiment très courte, et elle arrivait au milieu des accroches élastiquées...Une faute de goût...Ou une manière de marquer qu'elle avait des bas très sexy...
Elle n'avait pas perçu ma présence...Elle arrivait avec son sac au bras gauche et une tasse dans la main droite...
Il y avait sur la gauche une table ronde et basse, et trois fauteuils. Inconsciente de ma présence, perdue dans ses pensées, elle s'était posée pile face à moi pour boire son café ou son thé. Pour ce premier regard posé sur elle, j'ai été séduit immédiatement par cette silhouette, déjà séduisante en elle-même, et magnifiée par sa tenue.
Je l'ai été d'autant plus qu'elle s'est posée d'abord jambes closes, puis qu'elle les a ouvertes. Elle s'est pour ainsi dire calée. Elle n'avait pas de culotte, et le vinyle amenait directement à son sexe, bien visible entre ses cuisses entrouvertes. Je voyais nettement la fente de son sexe, dont dépassait un bout de lèvre, assez long, et tout en haut, son gland clitoridien décalotté. Il était bien visible, bien rond, volumineux, à l'image du reste de son corps. Si j'avais du l'imaginer, du reste, je ne l'aurais pas vu minuscule. Difficile de ne pas être fasciné.
Quand elle s'était assise, la jupe, déjà ultra-courte, était venue se caler pile au niveau de son pubis. Rendant son sexe accessible.
Elle a bu une gorgée de café, et elle est venue poser l'index de son autre main pile sur son gland clitoridien. Envie de sexe, d'un plaisir matinal ? Dans les années qui avaient suivi, je l'avais vue très souvent se caresser, avec la certitude que, si cette fois-là, elle ne m'avait pas remarqué, les fois suivantes c'était une forme d'offrande, car elle savait que j'étais là ou pas loin, ou alors qu'elle s'en foutait.
Il y avait eu une multitude d'impacts, alors qu'elle frottait sa chair intime, elle avait poussé un petit gémissement, fermé les yeux, basculé la tête sur le côté, son sexe s'était entrouvert, un jet de mouille avait coulé, bien visible même de loin, sur sa chair, et sa deuxième lèvre était sortie.
Pour être encore plus accessible, elle avait amené sa jambe sur le côté, laissant voir la cuissarde dans sa longueur, avec la talon aiguille long et fin, le bas...
Yeux clos, elle avait travaillé son gland clitoridien. J'avais plusieurs fenêtres de vision et je glissais de l'une à l'autre. La première c'étaient ses lèvres, au dessin irrégulier, qui s'allongeaient et grossissaient hors d'elle. Elles se gorgeaient de sang tout comme son gland clitoridien, que je voyais apparaître et disparaître, alors qu'elle le frottait. Chaque nouveau contact le faisait gagner en longueur et en épaisseur. On est vite arrivé à quelque chose comme je n'avais jamais vu avant.
Ce que je n'avais jamais vu non plus, c'était comment elle mouillait. Chaque nouvelle caresse s'accompagnait d'un jaillissement de mouille. Qui venait glisser sur sa chair ou jaillir sur le fauteuil. Son sexe s'entrouvrait, laissant voir un intérieur tout rose, de plus en plus visible.
Elle avait fini par jouir, se cambrant la main figée sur son ventre, un peu au dessus de son gland clitoridien, me laissant voir l'intégralité d'un sexe métamorphosé par rapport à celui que j'avais aperçu quelques minutes plus tôt lorsqu'elle s'était assise, bien ouvert sur un intérieur rose, des lèvres très longues, les plus longues que j'avais jamais aperçues, et ce gland clitoridien comme je n'en avais jamais aperçu jusqu'alors, long, charnu...Elle avait poussé plusieurs petits cris en jouissant, et craché des jets de liquide copieux, comme des éjaculations, non en fait, c'étaient des éjaculations, qui avaient traversé les airs pour atterrir sur le sol, souillé, mais avaient aussi mouillé la table. Elle avait sorti un rouleau d'essuie-tout quelques minutes plus tard pour éponger les dégats.
Puis elle avait tranquillement fini son café, le ventre toujours à nu, et figé dans ce gonflement érectile qui diminuerait plus tard, sans aucun doute. Un coup d'essuie-tout ensuite.
C'était à ce moment-là que je m'étais rendu compte que non seulement j'avais une érection, et le ventre en feu, mais aussi que j'étais entrain de jouir. J'avais tout juste eu le temps de penser 'putain non !' que j'étais traversé par un orgasme et que je balançais mon sperme dans mon caleçon.
J'avais deux chances...Avoir un caleçon de rechange dans la voiture, et que la pièce, très longue, bénéficiait d'une deuxième porte au fond qui m'a permis de m'éclipser puis de revenir comme si rien ne s'était passé.
C'était du même endroit que j'avais pu assister à un autre moment plus que troublant. J'étais parti, revenu, on allait souvent porter des documents ailleurs, et j'étais calé au fond consulter des textes de références...Elle aussi faisait la navette. Elle était revenue, vêtue ce jour-là d'un caleçon ultra-moulant. Elle l'avait baissé près de son bureau. Dessous, elle avait un slip noir. Je n'avais pas bien compris ce qu'elle faisait dans les premières secondes. Elle s'était frottée contre le rebord, et le tissu était vite devenu plus sombre des jaillissements de mouille qui avaient saturé le tissu petit à petit. Elle avait gémi. J'avais été un peu surpris de constater cette forme de plaisir que j'attribuais plutôt à des adolescentes. Mais il n'y a pas de sot plaisir.
Elle a finalement baissé le slip, dévoilant un sexe différent de celui, au repos, que je pouvais admirer quasiment tous les jours. Comme la première fois, ouvert, lèvres gonflées de sang, et gland clitoridien en pleine érection...Elle s'est frottée jusqu'à jouir, plusieurs orgasmes enchaînés, et elle a arrosé le bureau, heureusement sur une zone où il n'y avait rien.
Au fil du temps, de ces huit ans, je m'étais fait à toutes les composantes de nos relations. Une réelle entente, pour ne pas dire de la complicité, de l'efficacité sur tous les dossiers, et l'habitude de la voir sexy, désirable, et à moitié à poil sans rien espérer.
Jusqu'à ce moment où quinze jours plus tôt, elle m'avait dit, on était au milieu de l'après-midi ;
--Ca fait huit ans qu'on a envie tous les deux. Si on passait à l'acte ?
J'avais été aussi surpris que si on m'avait dit qu'une bombe atomique allait tomber sur l'immeuble dans les secondes qui suivaient. Pour moi, et comme elle était mariée, il était clair qu'il n'y aurait jamais aucun rapprochement entre nous.
On était parti sur ce postulat, pensant que l'autre était en couple, sans jamais se dire que c'était finalement tout sauf un problème. Et puis sans doute qu'on ne savait pas si l'autre ressentait la même chose. Je ne la sentais pas attirée par moi, et peut-être qu'elle ne me sentait pas attiré par elle.
Ca avait été l'explosion.
On s'était regardés.
Elle s'était levée. Elle portait une de ses micro-jupes, avec des bas stay-up et pas de slip. Elle était venue se positionner de mon côté de la table, et elle s'était basculée légèrement en arrière pour m'offrir son ventre. Pas besoin de retrousser un vêtement, la jupe était déjà suffisamment haute par ses dimensions et le retroussement de quelques milimètres quand elle s'était posée sur la surface de travail.
Certains hommes auraient sans doute attendu qu'elle leur donne du plaisir, moi j'étais plutôt dans une position inverse, et elle l'avait sans doute compris. Mon plaisir, ce serait de lui donner du plaisir à elle, et de profiter de ce ventre que j'avais aperçu mille fois, mais dont je n'avais jamais pensé, jamais espéré pouvoir profiter.
Ses fesses, coupées en deux par son sillon, sur lesquelles elle reposait, l'empreinte de sa muqueuse anale dans sa chair, sa fente, à ce moment à peine entrouverte, son gland clitoridien, bien visible, toujours visible. J'ai donné un coup de langue en travers de sa fente. Elle s'est cambrée, a poussé un gémissement, un jet de mouille est sorti, qui est parti dans ma bouche, saveur amère...J'ai glissé le long de ses lèvres, les caressant de la langue, glissant la pointe de celle-ci à l'intérieur...Je l'ai bien sentie et vue s'ouvrir. Chair rose et humide. J'ai laissé ses liquides couler en moi, abondants, filets de mouille devenant ruissellements...
Elle se frottait le gland clitoridien pour accompagner le plaisir que je lui donnais, le faire plus fort. J'ai doucement écarté sa main pour darder la pointe de ma langue...
--Non, pas là...
En fait, ça voulait dire oui, là...
Une sensation particulière. Une chair dure, épaisse, longue. Et celle d'un corps qui vibrait sous la caresse...Ses frémissements se sont transformés en de petits cris.
Il était bien long, encore plus long avec mes coups de langue, et j'ai eu l'idée de faire glisser ma bouche dessus. Comme si j'avais sucé une queue. Surpris que ça marche aussi bien que je puisse l'emboucher, et aller et venir dessus. Il me remplissait bien la bouche. Vu ses dimensions, ce n'était pas anomal.
Très rapidement, son pl aisir est devenu autre. Elle s'est mise à jouir, criant et éjaculant, son corps se tendant pour chaque orgasme. Elle a éjaculé, me giflant le visage de ses sécrétions, trempant mes vêtements, heureusement que j'avais de quoi me changer. Ma bouche était le conducteur qui me permettait de sentir la moindre de ses réactions, son plaisir. J'en étais arrivé, pour soulager la tension qui m'habitait à me défaire, et à frotter ma queue. Je crois bien que je n'avais jamais été aussi gros, et je me sentais encore grossir au bout de mes doigts. Mon gland suintait.
--J'en peux plus. J'en peux vraiment plus. Je vais mourir si tu continues.
Je me suis redressé. Je pensais continuer à me caresser pour jouir. J'avais envie de l'arroser de sperme, mais on se connaissait à peine,
Ca ne s'est pas déroulé comme je l'avais pensé. Elle m'a dit :
--J'ai envie que tu me pénètres...Comme j'espérais que ca arrive, j'ai des capotes dans mon sac.
Le fameux sac était couleur corail, il était posé en bas de sa table. J'ai été y pêcher une boite de préservatifs,
--Donne, je vais te le mettre.
Je savais que sa manière de le mettre serait sans doute spéciale. A son image. Elle l'a été. Elle a déchiré l'emballage du préservatif, et elle en a sorti une rondelle de plastique qu'elle a plaqué contre ses dents. Elle s'est penchée sur moi, et elle m'a fazit glisser dans sa bouche. Impression furtive d'une caresse que j'aurais aimé plus longue, plus azppuyée, mais dont la brièveté et l'effleurement étaient un gage de plaisir, paradoxalement, à tel point que j'ai failli jouir. Elle s'est dégagée, laissant ma queue parfaitement enveloppée de latex. Elle a eu un petit rire, sans doute parce qu'elle était contente de son exploit. Qui en était réellement un. Du bout des doigts, elle a simplement accentué le réservoir.
--Viens, maintenant.
Ca s'est fait dans la simplicité et l'harmonie. Elle s'était basculée en arrière sur la surface du bureau disponible. Je me suis approché et j'ai glissé en elle, submergé par les impressions de chaleur et de douceur de sa vulve qui m'a pris comme un gant. Je suis rentré jusqu'au fond, jusqu'à ce que mon gland vienne taper contre son utérus, On a regardé tous les deux comment ça se présentait. Mon membre viril était rentré en elle quasiment jusqu'à la racine. Je la sentais bien autour de moi. J'étais de ceux qui pensaient que ce n'était l'homme qui prenait la femme, mais plutôt la femme qui prenait l'homme en l'accueillant dans son sexe. Une sensation tellement forte de la sentir autour de moi. La chaleur et ses liquides qui coulaient autour de moi,arrosaient ma queue et sortaient, coulant sur moi. Et elle, ce qu'elle appréciait, j'en étais bien conscient, c'était de sentir mon sexe en elle, la remplir, mais aussi la caresser, du moins quand je me suis mis en branle, esquissant un mouvement que j'ai voulu sur un rythme varié, pour lui donner plus de plaisir, et m'en donner aussi.
Je n'aurais vraiment jamais imaginé qu'on puisse en arriver là.
--Je veux que tu restes dur aussi longtemps que possible.
Elle a dit ça à un moment où, submergé par le plaisir, j'ai joui. Un orgasme d'une rare puissance, un des plus forts, des plus intenses, des plus épais que j'aie pu avoir. Sentir mon sperme venir taper contre ses parois internes l'a faite jouir elle aussi. On a crié tous les deux. Heureusement que les bureaux étaient insonorisés. Et puis on avait déjà surpris des couples faisant l'amour...On rejoignait la ronde..
Je suis pourtant resté dur et j'ai encore caressé ses chairs...D'autres moments de plaisir, d'autres orgasmes , d'autres jaillissements de semence, d'autres coulures de cyprine, jusqu'à ce qu'on se sépare, qu'on remettre de l'ordre dans nos apparences, et qu'on se remettre au travail, la tête ailleurs.
Le lendemain, elle m'avait pris dans sa bouche pour une fellation magistrale, en même temps qu'elle se masturbait. Le surlendemain, elle s'était posée sur le dossier du canapé, les cuisses largement entrouvertes, m'offrant son sexe. Elle me l'avait encore plus offert en fourrant ses deux index en elle, et en s'ouvrant, me laissant voir son intérieur rose, très loin.
--Viens me fouiller avec ta langue, et rentre là aussi loin que possible.
Je m'étais exécuté, me remplissant la bouche de ses jus intimes, me masturbant et jouissant plusieurs fois, mais la faisant jouir aussi, se tordre, et cracher ses liquides, qui avaient maculé mon visage, ses cheveux, mes vêtements.
Et ce n'était que le début.
J'ai quitté Lalie. C'était vraiment curieux. J'avais pensé la perdre, et je me retrouvais avec deux amantes, chacune vraiment unique. Une brune et une rousse.
La vie était finalement belle.


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Histoire de JamesB

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