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Une fille qui n'a pas froid aux yeux

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/12/2025

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Une fille qui n'a pas froid aux yeux


Cloé, fille unique de 24 ans, habite encore chez ses parents, ils se prénomment Hugo et Mauricette, ce sont de pauvres bougres qui l'adorent. Ils ont eu beaucoup de difficultés pour l'obtenir, et ils cèdent à tous ses désirs par crainte de la perdre. La coquine, consciente de la faiblesse de ses parents, en profite pleinement et fait d'eux ses jouets. Un jour, plus excitée que d'autres, elle s'assoit près de son père et, sans faire de fioritures, commence à lui caresser l'entrejambe.

Hugo serre les dents, mais n'ose repousser sa fille. Rapidement sa verge prend de l'ampleur dans son pantalon, il tente de serrer les cuisses, mais Cloé, en souriant, saisit le membre à travers le pantalon et l'agite. Tout cela devant les yeux médusés de sa maman, qui secoue la tête négativement. Mauricette voit la verge grossir dans le pantalon de son mari, et sa fille s'acharner dessus.
Gênée par le vêtement, Cloé extirpe habilement du carcan de tissu le membre. Il se détend comme un ressort, oscille avant de se stabiliser sur le bas-ventre paternel. Cloé est ébahie devant la colonne de chair, elle l'admire avant de la reprendre en main et de l'agiter. Son papa grogne sous le branlage qui s'avère efficace.

Mauricette regarde le mandrin prendre encore du volume, elle reconnaît que son mari est bien monté, elle salive. Inconsciemment, sa fente se met à suinter, elle serre les cuisses, mais rien n'y fait, sa chatte humidifie sa culotte. Elle ne quitte pas des yeux la queue de son mari que Cloé manie comme une experte en souriant. De temps en temps, elle donne des coups de langue sur le gland qui rejette quelques perles visqueuses.

Elle pose ses yeux sur sa maman, qui a beaucoup de mal à contrôler son énervement. Avec un sourire, elle lui demande :

— Elle est bonne la bite de papa ; dis-moi maman, tu jouis fort lorsqu'il te défonce, c'est un bon amant, il te fait des trucs ?

Complètement déstabilisée, surtout très gênée, Mauricette bafouille :

— Mais, mais tu es folle ma chérie, qu'est-ce qui te prend d'agir de la sorte. Pour répondre à ta question, je ne m'en plains pas, ton père est un homme merveilleux, c'est le seul homme que j'aie eu dans ma vie !


En devenant presque odieuse, Cloé ajoute :

— C'est la seule queue que tu aies vue et eue dans le ventre. Eh bien, tu dois être ignorante des plaisirs sexuels pluriels, tu devrais te mettre à la page, maman. Je vais te présenter Charles, le père de mon petit copain, c'est un bon coup !

Mauricette reste sans voix, c'est son mari qui réagit :

— Tu couches avec le père de Loïc ?

En haussant les épaules, Cloé réplique :

— Oh pas que, avec sa femme aussi, mon petit papa et maman devraient connaitre ce genre de plaisirs. Je crois qu'elle a beaucoup à apprendre, ma petite maman chérie, et toi aussi, papa, il serait temps de vous mettre à la page !

Hugo, en poussant un gros soupir, répond :

— Je comprends enfin pourquoi, depuis quelque temps, tu deviens vicieuse, tu veux nous entrainer dans tes délires immoraux, alors si je comprends bien Loïc couche avec sa mère !

Mauricette, complètement abasourdie par les propos de sa fille, parvient à dire :

— Tu couches avec une femme, et deux hommes en même temps ?

Toujours avec le sourire, Cloé réplique :

— Eh oui, il n'y a rien de meilleur que de prendre deux queues en même temps dans les entrailles, pendant qu'une femme te bouffe les mamelons, je te le conseille maman, c'est très jouissif. Oui papa, je le confirme, Loïc couche avec sa mère, elle prend des pieds extraordinaires !

Mauricette se laisse tomber sur le canapé lourdement, le regard vide. Hugo sursaute, sa fille vient de reprendre sa verge dans la main et l'agite avec plus de conviction. À chaque descente de son poignet, elle décalotte le gland. Soudain la sonnette de la porte d'entrée retentit. Hugo range rapidement sa verge dans son pantalon, pendant que Cloé va ouvrir la porte. C'est Loïc, son petit ami. Elle le fait entrer et l'installe au salon, auprès de ses parents, et sert une boisson. Mauricette, depuis qu'elle sait que Loïc fait l'amour avec ses parents, le regarde autrement. Elle se dit que la maman de Loïc doit avoir le même âge qu'elle, et se demande comment est-il possible qu'une femme d'un certain âge puisse faire l'amour avec un homme si jeune, et de plus son enfant.


Malgré que cela la froisse, les révélations de sa fille l'excitent. Mauricette, assise à côté du jeune homme, ne cesse de le dévisager, elle l'imagine même pratiquer des scènes incestueuses avec ses parents.
Graduellement ses mains deviennent moites et tremblantes. Elle se lève et se dirige vers la cuisine pour cacher son émoi. Cloé se lève à son tour, et rejoint sa maman qui est appuyée contre l'évier. Elle l'enlace, la serre fortement dans ses bras et lui donne une multitude de baisers sur la nuque et le cou. Mauricette frissonne, pousse de gros soupirs. Cloé se fait câline et tendre :

— Qu'est-ce que tu as, maman, je te sens troublée ?

En se raclant la gorge, Mauricette répond en bafouillant un peu :

— Je n'arrive pas à me faire à l'idée que Loïc couche avec sa maman, et le voir devant moi, cela me trouve !

En souriant et en la serrant encore plus fort, Cloé réplique :

— Oh mais ça t'excite, petite cochonne de maman, d'avoir devant tes yeux mon amant et celui de sa maman, avoue !

En ravalant sa salive, Mauricette répond :

— Tu es folle de penser que je désire coucher avec ce jeunot qui pourrait être mon fils !

En disant ces paroles, la maman se retourne et fait face à sa fille, qui l'enlace à nouveau et frotte son bassin contre le sien. Elle lui donne plein de baisers sur le visage, les lèvres ne sont pas épargnées. Cloé fait glisser sa langue sur les lèvres pulpeuses de sa maman.

Mauricette ne réagit pas, plusieurs reprises la langue passe sur ses lobes charnus et tente de pénétrer la cavité buccale. Inconsciemment la maman entrouvre la bouche. Cloé profite de ce moment pour y introduire sa langue. Les deux langues se nouent, les souffles s'accélèrent. Soudainement Mauricette retrouve ses esprits, et prend conscience de l'énormité qu'elle est en train de faire. Elle repousse sa fille, qui d'un geste vif, passe sa main sous sa jupe et la plaque contre son intimité. Elle remarque que la culotte est humide, elle lui souffle à l'oreille :

— Tu es trempée maman, c'est moi qui t'excite ou Loïc ?

En repoussant sa fille pour la seconde fois, Mauricette réplique avant de revenir au salon :

— Tu es un monstre, je te hais Cloé !


Elle reprend place à côté de Loïc et avale son verre d'un trait, immédiatement Hugo le remplit. Mauricette serre les cuisses, sa vulve relâche son jus en humidifiant encore plus sa culotte. Loïc boit son verre tranquillement, en papotant avec Hugo. Cloé s'assoit à côté de lui ; sachant que sa maman est à cran, c'est sans aucune gêne qu'elle pose sa main sur la cuisse de son petit ami, et commence à la caresser.
Lentement, elle approche dangereusement de l'entrejambe. Elle reproduit les mêmes gestes qu'elle avait faits sur son papa. Tous les yeux se posent sur elle. Sa main habile passe sur la verge endormie, la saisit et l'agite à travers le pantalon.

Étrangement, Loïc se laisse faire, il ouvre même les cuisses encore plus. Lentement la bête se réveille et enfle sous le branlage vigoureux de la main de Cloé. Mauricette serre les dents, la tension monte dans son corps. Elle admire le manche de chair plein de vie, elle est impressionnée par l'épaisseur de la hampe et du gland, que Cloé découvre à chaque descente de son poignet. Hugo dans son fauteuil, ne dit pas un, mot, il observe sa femme qui ne tient plus en place, elle ne cesse de se trémousser sur le canapé.

Cloé avec un culot monstre dit en s'adressant à sa maman :

— Il a une belle queue, mon chéri, hein, touche comme elle est douce, je sais que tu en meurs d'envie. Ta chatte doit être une fontaine. Allez prends-la dans ta main, elle ne mord pas tu sais, fais-toi plaisir !


Mauricette déglutit et fixe son mari qui reste silencieux. La proposition est tentante, mais n'ose pas. Cloé insiste, et lui prend la main qu'elle pose sur le manche tendu. Le geste de recul qu'a est léger, mais Cloé tient fermement sa main sur sa verge fortement veinée. Après un moment d'hésitation, Mauricette enserre le membre, le presse plusieurs fois et, sans savoir pour quelle raison, commence à l'agiter. Hugo se redresse et regarde avec intérêt sa femme branler le jeune homme. Il lui semble que la coquine y prend du plaisir, car sans quitter des yeux la verge, elle s'applique pour ne pas décevoir Loïc. Le bougre commence à geindre comme une bête malade, sa respiration est bruyante. 
La main de Mauricette accélère la cadence, et cela porte ses fruits. Dans un long râle, Loïc envoie sur les doigts de la branleuse et sur son pantalon plusieurs jets de sperme. Étonnée par ma puissance des jets, et bien que ses doigts soient englués, Mauricette continue de branler le manche plein de vie. Cloé repousse la main de sa maman et gobe le gland gluant. Elle le suce comme une affamée, presse la hampe pour la vider de la semence qu'elle cache encore. C'est une fois gavée qu'elle délaisse le braquemart. Elle regarde sa maman et dit :

— Elle est vachement bonne sa queue, suce-la maman !

Mauricette, surprise par cette demande, sursaute. Cloé ajoute :

— Maman, tu as commencé, il faut finir, tu n'as pas le choix !

Elle regarde encore une fois son mari qui lui fait un petit sourire. Le bougre bande comme un poney, une bosse monstrueuse déforme son pantalon qui semble étroit, car il lui écrase les parties génitales. Mauricette prend son courage à deux mains et se penche sur le membre encore opérationnel. Elle le suce et tète comme jamais elle n'a sucé son mari. Entre chaque succion, sa langue glisse sur le gland pour laper les perles que le méat rejette.


La fellation est arrivée à son terme, Mauricette reçoit une puissante décharge de sperme dans la bouche. Elle repousse son amant et regarde son mari, de ses lèvres, s'échappe un filet de sperme. Hugo l'encourage :

— Tu me diras s'il est bon comme jamais, tu veux avaler le mien, j'aimerais le savoir !

Mauricette, grimaçante, avale par petites gorgées la crème onctueuse, elle la sent glisser lentement dans sa gorge. Cela la fait frissonner. Elle dit en regardant son mari :

— Tu as vu mon chéri, je l'ai fait, je te promets que dorénavant, j'avalerai ton sperme !

Cloé se lève et s'approche de son papa, elle se place à califourchon sur ses jambes, le prend par le cou et commence à onduler du bassin sur l'énorme bosse. Elle dit en souriant :

— Oh papa, mais tu bandes comme un cerf, maman, il faut faire quelque chose, il ne va pas tenir longtemps, mon papounet d'amour, je vais le préparer !

Cloé s'agite sur la queue emprisonnée dans son carcan de tissu, son père grimace, sa verge devient douloureuse. Elle dit en le regardant dans les yeux :

— Je vais te soulager papa, laisse-toi faire !

Elle descend de sa monture, et habilement baisse le pantalon, et le slip de son père. Sa verge se dresse comme un mât de cocagne, ses bourses sont impressionnantes. Cloé ne peut s'empêcher de les palper, et de les soupeser, elle dit en faisant un large sourire :

— Oh putain comme elles sont pleines, il y en a assez pour deux, maman, je commence !

Cloé gobe le gland marbré et le suce comme une vorace, sous les yeux de sa maman qui ne quitte pas du regard le couple incestueux. Les succions puissantes font gémir Hugo :

— Ouah ta fille me suce aussi bien que toi ma chérie, oh ce que c'est bon, je ne vais pas tenir la distance !

La bouche avide de Cloé effectue une fellation montreuse, son papa s'arcboute en gémissant ce plaisir. Il grogne :

— Je vais jouir, attention, ça vient, ça vient ma chérie !


C'est en se cabrant fortement qu'Hugo libère son sperme. Jamais Cloé n'en a reçu autant d'une seule fois dans la bouche, elle manque d'étouffer. Elle repousse son papa et pour ne pas recracher, avale la totalité de la décharge en faisant une moue affreuse. La place étant libre, Mauricette saisit la verge gluante de son mari, et l'agite férocement en disant :

J'en veux aussi de ta semence, Hugo. Je vais te sucer et me gaver de ton sperme, mon chéri !

Elle gobe l'engin et commence à le sucer, la coquine semble vorace, elle mordille le gland entre chaque succion. L'effet produit est efficace. Son mari, en gémissant, agite son bassin. C'est en poussant un rugissement de fauve qu'il remplit la bouche de sa femme avec son jus visqueux. Loïc ne loupe pas une image, il retire tous ses vêtements, car il sait que la séance ne fait que commencer.












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Histoire de linsee

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