Une infirmière en herbe

Flore, vingt quatre ans, est à la recherche d’un emploi. Elle est marié depuis cinq ans, avec Sylvain, cadre dans une société d’import, import. Ils ont emménagés, chez Louis, le père de Sylvain.
Suite à un grave accident, ce dernier est bloqué au lit. Sylvain demande à son épouse, si elle peut s’occuper de son père. Dans un premier temps, Flore refuse, se voyant mal donner la toilette à son beau-père. Surtout en ce qui concerne les parties intimes.

-Mais mon chéri, t’imagines, faire la toilette à ton père. Laver ses couilles, le décalotter pour nettoyer son gland...
-Je sais ma chérie, mais tous les homme son fait pareil.

Sylvain insiste, expliquant à sa femme qu’il n’y a qu’elle pour s’occuper de lui. Sous pressions, Flore finit par accepter.
Les premiers soins se passent normalement, et de jour en jour, la santé de Louis s’améliore. A tel point, qu’il n’hésite pas à faire des manières à sa belle fille, ou lui raconte sa sulfureuse jeunesse, à baiser des femmes, même mariée.
Petit à petit, Flore se prête au jeu, allant même jusqu’à accepter des petites tapes sur les fesses.
Un jour, Louis propose à Flore de s’habiller plus court, et de ne pas porter de culotte, quand ils se trouvent que tout les deux dans la maison.
Bien évidemment, Flore refuse catégoriquement cette folle proposition. Un jour pourtant…
Sylvain, accompagné de son épouse, rend visite à son père. Louis demande à sa belle fille, de s’asseoir sur le lit, auprès de lui. Flore accepte.
Louis lui prend la main, et la guide sous les draps, contre sa queue en érection. Flore ne veut pas faire d’histoire, et saisit le sexe de son beau-père à pleine main. Lentement, elle le décalotte, et le branle.
De là ou il est placé, Sylvain ne peut rien voir. Il décèle bien un rictus sur le visage de son père, quand il éjacule, mais il met ça sur le compte de la douleur.

Un fois que Sylvain est monté se couché, Flore se précipite à la chambre, pour passer un savon à son beau père.
Mais voyant la tristesse de Louis, elle finit par le plaindre, et comprend que resté alité, ne doit pas être facile.
Elle l’embrasse sur le front, et rejoint son mari.
Une bonne partie de la nuit, ils vont faire l’amour. Mais Flore retient ses cris, quand elle jouit, pour ne pas réveiller Louis.
Mais Louis a tout entendu, et n’oublie pas de le dire à Flore, qui se met à rougir.

-Je t’ai entendu gémir cette nuit. Sylvain t’a baisée, c’est ça.
-Heu...oui, désolé si on vous a empêché de dormir.
-Il te faisait quoi, pour que tu cries comme ça.

Flore s’offusque devant cette question, concernant sa relation avec Sylvain. Elle fait remarquer que c’est du domaine privé, et qu’elle n’a pas à dévoiler ce qui se passe dans l’intimité de son couple.
Louis insiste, veux savoir comment elle réagit, quand elle une queue dans la chatte. Elle finit par tout raconter.

-Ben...il me mangeait la chatte, et suçait mon clitoris.
-Hum...les femmes aiment qu’on mange leur petite chatte.
-C’est tellement bon. Puis il m’a baisée...j’ai joui trois fois.
-Trois fois...c’est bien si t’as pris du plaisir.
-J’avais encore envie, mais Sylvain était fatigué.
-La prochaine fois, il sera plus en forme, conclut Louis. Tu sais, à mon âge, je n’arrive plus à grand choses.
-Pourtant, vous aviez de la vigueur l’autre fois. Vôtre queue était bien raide pour vôtre âge...et j’ai trouvé vos couilles bien grosses, bien pleines.
-C’est vrai qu’il m’arrive de bander, et que j’ai encore des des fantasmes.
-A oui...et lesquels par exemple
-Caresser le corps d’une femme. Mais ça reste un fantasme.

Flore retourne à ses occupations ménagères., mais cette discussion qu’elle a eu avec son beau-père, la fait réfléchir.
Le lendemain, c’est le jour, ou le docteur vient déplâtrer Louis. Ce qui va faciliter la toilette.
Une fois fini, Flore se dirige à la chambre. Les infirmiers ne l’ont même pas couvert. Louis se retrouve entièrement nu, devant sa belle fille. Par pudeur, elle remonte le drap, mais Louis lui bloque la main.

-Caresses moi, dit-il, juste un peu.
-Mais...beau papa, je suis vôtre belle fille, la femme de vôtre fils. Imaginez si ça venait à ses oreilles. C’est trop risqué.
-Mais il n’en saura rien...allais, s’il te plaît…
-Non, je ne peux pas faire ça. C’était une erreur l’autre fois.

Flore quitte la chambre, l’esprit embrumé. Elle plaint son beau-père, et comprends ses envies. Malgré elle, ces propositions l’excitent. Elle décide de prendre sur elle.
Elle enfile une courte jupe, sans culotte dessous, et rejoint Louis dans la chambre. Elle s’assied sur le lit, le regard dans le vide. Louis a compris.

-Que tu es belle ma chérie, écarte tes jambes, que je caresse ta petite chatte. Tu verras, tu vas aimer.

Instinctivement, Flore écarte ses jambes, offrant son intimité à son beau-père. Celui ci glisse une main, excite le clitoris, et pénètre la chatte, qu’il branle doucement.
Flore ferme les yeux, commence à gémir, se cambre sur ce doigt qui la caresse.

-Oh oui...c’est bon ça. Beau papa, vous allez me faire jouir…
-Laisses toi aller ma chérie, détends toi…
-Oh mon dieu...je jouis, vous arrêtez pas...oui…je jouis...

Flore jouit sur les doigts de Louis. Sans un mot, elle quitte précipitamment la chambre.
Louis la bipe, pour la rassurer, que ce n’est rien, que tout ceci restera entre eux.
La nuit porte conseil. Cela fait deux fois qu’il se passe un truc avec son beau père. Et pourquoi pas aller plus loin.

Un matin, alors que Sylvain est parti au bureau, Flore rejoint Louis dans sa chambre. Elle est simplement vêtu d’un peignoir. Elle frappe à la porte, et sans attendre, elle rentre.
Louis est allongé sur le lit, attendant patiemment pour sa toilette. Il est surpris de voir sa belle fille dans cette tenue. Et il n’est pas au bout de ses surprises. Elle ôte son peignoir, et entreprend de déshabiller son beau père, interloqué, par tant d’assurance.

-Allez, beau papa, on va se doucher ensemble aujourd’hui.
-Mais...t’es sure…
-Certaine…


Sous la douche à l’italienne, Flore décide de réaliser le fantasme de son beau-père. Des jeux érotiques s’organisent, dans lesquels Flore se laisse caresser de longue minutes. Elle passe une main devant, saisit la queue en érection de son beau-père, et le tire jusqu’au lit. Elle le force à s’allonger sur le dos. Elle le chevauche, s’empale sur la solide hampe.

-Oh putain...que c’est bon d’avoir une bonne queue dans la chatte...hum…
-Pourquoi, celle de mon fils est pas bonne, dis moi.
-Si, c’est la même...la votre est un peu plus grosse peut être. Mais arrêtons les comparaisons...laissez moi vous baiser…
-Vas-y chérie, je me laisse faire...ouah. Tu le bouges ton cul.
-C’est vôtre faute...vous avez pas honte de baiser vôtre belle fille, la femme de vôtre fils...et de la faire jouir putain...oui…

Toute essoufflée Flore s’écroule sur le torse velu de son beau-père, lui prend les lèvres.
Flore s’aperçoit que Louis est plus qu’un faire valoir. C’est aussi un chaud lapin, un super baiseur. Elle va coup sur coup, atteindre deux puissants orgasmes.

Sylvain rentre vers dix huit heures, annonce une mauvaise nouvelle, à sa ravissante épouse. En effet, il doit s’absenter une semaine. Flore et Louis se lance un regard complice.
Durant cette semaine, Flore offre à son beau-père, toutes les faveurs qu’elle a toujours refusé à son mari, comme tailler des pipes, ou se faire sodomiser.
C’est une épouse nouvelle sexuellement, que Sylvain retrouve en rentrant...Merci papa.