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Une intérimaire sympa

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Lue : 15517 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/08/2010

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Depuis mon entrée dans la vie professionnelle, il y a environ 7 ans, je n’ai jamais réellement apprécié la période juillet août. Je sais c’est bizarre, mais c’est sans doute parce que, à contrario de pas mal de gens, je n’ai jamais pris mes trois semaines de congés durant cette période, bien souvent, c’est une semaine et pas plus. Je me retrouve souvent en congés en septembre, ou une semaine en juillet août et le reste quand je peux. Il faut dire qu’avec mon boulot de responsable prévention des risques professionnels, je suis bien souvent sollicité pour rester présent pendant les grands arrêts de maintenance dans l’industrie dans laquelle je bosse, arrêts qui, ayant lieu en août, nécessitent une préparation en juillet, à laquelle je dois participer…

Bref, juillet août pour moi, c’est prendre le soleil quand je passe d’un bâtiment à l’autre où quand je suis en déplacement sur la route. Cet été, même si je ne fais pas exception à la règle, certains événements viennent en compensation.

Juillet août, c’est aussi le temps où les jeunes viennent pour un job d’été, restent environ 2 mois à faire des petits boulots et repartent. Et là, je dois dire que j’ai été servi. Mi-juin, est arrivé une intérimaire pour le secrétariat qui devait rester jusqu’à la troisième semaine de juillet, la règle est simple, tout nouvel arrivant dans la société passe par moi, pour recevoir un topo complet sur les règles de sécurité à respecter au sein de l’entreprise, et ce passage obligatoire se fait le plus tôt possible.

J’ai donc accueilli une étudiante d’une vingtaine d’années se prénommant Anaïs, brune, les cheveux lisses descendant sous les omoplates, de grands yeux marron, environ 1m70, des seins que je devinais de taille moyenne, des fesses moulées dans un jean qui les mettait franchement en valeur, bref, un visage d’ange dans un corps sexy de rêve. L’heure que nous avons passé ensemble à mis à contribution mes talents d’orateur et d’acteur pour éviter d’être perturbé par ce physique de rêve, et ces yeux dans lesquels je ne notais pas qu’un intérêt poli pour ce que je lui présentais.

Fumeuse comme moi, nous nous sommes retrouvés régulièrement à descendre au rez-de-chaussée pour aller fumer notre cigarette avec un café, en discutant de choses et d’autres, la demoiselle ayant un intellect aussi attrayant que son physique. Le troisième jour, pendant qu’on bavardait, j’ai appris qu’elle mettait environ 35 minutes à rentrer chez elle en bus et qu’elle habitait à un petit kilomètre de chez moi. Sauf que pour ma part, je mettais 10 minutes à faire quasiment le même trajet, qui plus est avec une voiture de fonction, ce qui ne me coûtait rien. Je lui ai donc naturellement proposé de la véhiculer quand je le pouvais, ce qu’elle a accepté avec enthousiasme.

Le covoiturage s’est mis en route dès le lendemain et s’est parfaitement bien passé, c’était d’ailleurs assez plaisant de pouvoir observer son petit cul lorsqu’elle sortait de la voiture. Elle me plaisait, certes, mais je n’ai rien voulu tenter, sachant à quel point il est facile de se retrouver attaqué pour harcèlement sexuel, mais c’est elle qui en a décidé autrement.

Le vendredi midi, alors que je la ramenais chez elle, elle s’est aperçue qu’elle s’était assise sur le chargeur du GPS que j’avais laissé sur le siège passager. Elle l’a enlevé pour le remettre dans le petit vide poche situé devant le frein à main, et en faisant ça, à « accidentellement » effleuré ma jambe, en s’y attardant un peu trop pour que ce soit fortuit, et en me lançant un regard un peu trop explicite pour que je croie à une maladresse. J’avais l’intention de la déposer chez elle en me garant sur une vraie place de parking, de manière à pouvoir en profiter un peu avant qu’elle ne descende de la voiture, mais la chance n’a pas été avec moi ce coup là : mon patron m’a appelé au moment où je terminais ma manœuvre, m’obligeant à repousser mes projets, elle m’a simplement quitté en me faisant un petit clin d’œil. Travaillant à mi-temps, je ne pensais pas la revoir avant le lundi suivant.

Le lendemain, j’étais dans un village qui célébrait les feux de la Saint Jean en avance, pour participer aux festivités, on m’avait demandé d’assurer une petite partie du spectacle en faisant un petit numéro de jonglerie au feu, permettant ensuite d’allumer le bûcher. Le spectacle en lui-même s’est plutôt bien passé, à un détail près, j’avais entrepris une petite démonstration de manipulation de 2 cordes d’un mètre de long, enflammées, et suite à une mauvaise manipulation, je me suis brûlé le côté du torse et le biceps. Une jolie brûlure au second degré, rien de grave mais malgré tout un peu douloureux. A la fin de ma prestation, je suis donc allé à un point d’eau pour rafraîchir la brûlure et j’ai entendu une voix derrière moi, c’était Anaïs :
- Bonjour Philippe, vous allez bien ?
- Anaïs ? Ca va je te remercie, juste un petit accident technique mais rien de grave. Qu’est ce que tu fais là ?
- Soirée copines annulée, je me suis rappelée que vous étiez en représentation et du coup j’ai décidé de venir y faire un saut.
- Désolé pour ta soirée, j’espère que celle-ci ne t’a pas trop déçu.
- Non au contraire, j’ai trouvé ça vraiment sympa, vous vous brûlez souvent ?
- Non pas très souvent, mais ce sont les risques du métier, par contre là on n’est pas en mode « au boulot » donc on peut peut-être laisser tomber le vouvoiement non ?
- Si vous voulez, euh, tu as de quoi te soigner ?
- Non, que dalle, je vais refroidir et passer à la pharmacie demain matin histoire de traiter tout ça.
- J’ai tout un attirail pour traiter les brûlures à la maison, je peux peut-être t’aider ?

La proposition était tentante, déjà parce qu’une brûlure c’est mieux quand c’est soigné rapidement, mais surtout parce que la perspective de me retrouver chez elle était des plus intéressantes. Elle s’était habillée simplement, avec un petit débardeur dont le décolleté plongeait assez loin et montrait le galbe de ses seins de manière assez explicite, et un pantalon de lin blanc très léger, qui laissait deviner ses courbes quand la lumière était directe, j’ai donc accepté et nous nous sommes retrouvés une demi heure plus tard dans son appartement, meublé assez simplement et décoré avec goût. Elle a posé une trousse a pharmacie sur la table et après m’avoir fait asseoir, a entrepris de s’occuper de la blessure.
- Mais dis moi c’est carrément une trousse pour grands brûlés ce que tu as là !
- Oui, je me suis méchamment brûlée il y a 6 mois et il me reste du matériel.

Elle a relevé son débardeur sur son ventre et j’ai en effet pu apercevoir sur son flanc une belle cicatrice de la taille de ma main, j’ai surtout pu noter qu’elle avait un joli ventre plat et satiné que j’ai immédiatement eu envie de toucher, mais je me suis abstenu, j’étais déjà torse nu dans son salon, je voulais éviter tout désordre professionnel ultérieur, la laissant prendre les initiatives suivantes. Elle a posé ma main sur son épaule de manière à pouvoir faire les pansements plus librement et s’est mise à me tartiner de biafine. Elle procédait avec beaucoup de douceur et recouvrait une zone de plus en plus large de mon corps, bien plus large que la zone de la brûlure elle-même, j’ai noté que sa respiration s’accélérait, je commençais à sentir mon bas ventre s’échauffer moi aussi et je me suis retrouvé, je ne sais pas trop comment, à effleurer sa cuisse de mon genou. Elle n’a eu aucun mouvement de recul, et j’ai même senti qu’elle accentuait la pression. Nous avons échangé un regard assez explicite et je me suis mis doucement à caresser sa nuque du bout des doigts avec le bras qui était posé sur son épaule.

Une fois les pansements finis, elle est partie ranger son attirail puis est revenue s’asseoir avec moi, collant à nouveau sa cuisse contre mon genou :
- Le bandage de ton bras n’est pas trop serré ?

En disant ça, elle a commencé à passer sa main sur mon bras pour vérifier à sa température que le sang circulait toujours, elle a fini en caressant mes doigts, j’étais franchement en érection, et si le bandage n’était pas trop serré, mon jean lui commençait à l’être sérieusement. Elle a pris mes deux mains et a collé ses lèvres dessus pour en comparer la température :
- C’est plus précis comme ça, on dirait que tout va bien.

Elle a ensuite pris mon index dans sa bouche pour le sucer doucement, sa langue était douce et fraîche, et le regard qu’elle m’a lancé en faisant ça était juste bandant, de mon côté, ma main libre s’est mise à lui caresser la cuisse, s’aventurant de plus en plus vers l’intérieur, à proximité de son entrejambe, je me suis alors levé, et elle m’a imité en libérant ma main. Je l’ai prise par la taille et l’ai amenée doucement mais fermement contre moi, appuyant mon bassin contre le sien. Nous nous sommes regardés un long moment, puis avec un petit sourire elle m’a dit :
- Tu réserves ce genre de traitement à tous les jobs d’été ?
- Uniquement à celles qui me soignent aussi bien…

Je me suis penché pour l’embrasser, d’abord doucement, avec mes lèvres, puis en titillant les siennes avec ma langue, jusqu’au moment où elle est timidement venue la caresser du bout de la sienne, j’avais une main dans le creux de ses reins, et l’autre derrière sa nuque, ses mains caressaient mon dos doucement. Elle s’est dégagée de mon étreinte, m’a pris par la main et m’a amené devant le canapé.
- Le bandage n’est toujours pas trop serré ?
- Le bandage non…

Elle a passé sa main sur mon entrejambe, et après un temps d’arrêt :
- Je crois qu’il faut enlever ça, ce n’est jamais bon d’avoir la circulation sanguine coupée.

Joignant le geste à la parole, elle s’est agenouillée et a entrepris de déboutonner mon jean, libérant effectivement la pression, puis, sans autre formalité, l’a baissé complètement, mon caleçon avec, et comme avec mes mains tout à l’heure, à pris mon membre pour coller ses lèvres dessus :
- Là encore c’est plus précis, on dirait que ça va mieux.

Elle s’est mise à me caresser doucement, donnant de petits coups de langue furtifs sur mon gland, et, très doucement, m’a pris dans sa bouche, enfonçant ma bite de plus en plus loin, jusqu’à ce qu’elle bute dans sa gorge. Sa bouche était brûlante, et j’ai lécher échapper un premier gémissement. Elle m’a ensuite poussé pour m’asseoir sur le canapé, puis s’est assise à califourchon sur moi. J’ai enlevé son débardeur, découvrant un soutien gorge blanc très simple, ma bouche s’est aventurée dans son cou, descendant doucement le long de son buste, l’entourant de mes bras, je l’ai inclinée vers l’arrière de manière à pouvoir faire descendre mes lèvres plus bas encore, le long de son ventre, m’arrêtant à son nombril dans lequel j’ai inséré ma langue, lui arrachant un frisson de plaisir. Revenue à la verticale, elle a empoigné ma queue pendant que je dégrafais son soutien gorge, révélant une poitrine de taille honorable, avec des aréoles et des tétons assez foncés, déjà durcis par l’excitation. J’ai fait courir mes doigts sur ses seins, avant de les prendre en main. Elle s’est cambrée pour venir appuyer sa poitrine contre mes paumes, et à gémi doucement quand, de la langue, j’ai effleuré un téton avant de le prendre entre mes lèvres, puis entre mes dents.

Nous nous sommes relevés et je lui ai enlevé son pantalon, dévoilant un string blanc, de la même simplicité que son soutien gorge, que j’ai enlevé également. Nous étions donc nus tous les deux, je suis passé derrière elle, posant une main sur son ventre, et l’autre sur un sein. Tandis que je lui embrassais le cou et le lobe de l’oreille, la main que j’avais posé sur son ventre est descendue au niveau de sa chatte, sur laquelle j’ai posé mon majeur, elle a appuyé son bassin contre le mien, calant ma virilité dressée au creux de ses fesses, en laissant échapper un soupir de plaisir, mon doigt a commencé à caresser doucement ses grandes lèvres, puis à les ouvrir pour en caresser les petites lèvres et trouver un clitoris déjà gonflé de désir, elle était déjà trempée, et gémissait de plus belle en ondulant du bassin.

Tout à coup, comme un diable sorti de sa boite, elle s’est retournée, et tout en m’embrassant fougueusement, a attrapé mon membre pour le branler avec vigueur, et avant que j’aie eu le temps de réagir, elle m’a poussé sur le canapé pour m’allonger et me prendre en bouche. Sa langue faisait des ravages, elle me donnait des petits coups de langue un peu partout, me branlant de sa main, tour à tour doucement ou brutalement. De temps en temps, elle m’engloutissait dans sa bouche particulièrement rapidement, pour remonter doucement et recommencer les petits coups de langue. Elle me rendait fou, je voulais goûter à sa chatte, la sentir vibrer moi aussi sous les assauts de ma bouche, nous nous sommes donc retrouvés en 69.

Elle s’est mise à me prendre en bouche en faisant des mouvements de va-et-vient, j’avais pris ses fesses en main et je les pétrissais doucement en lui caressant la chatte du bout de ma langue, partant de son anus pour revenir jusqu'à son bouton de plaisir, autour duquel je tournais doucement avant de repartir vers la douce et chaude fente qui s’ouvrait de plus en plus, pour la pénétrer avec ma langue, ce qui lui arrachait des frissons de plaisir et des gémissements de plus en plus présents. Ma bite était en feu dans sa bouche et je grognais de plaisir sous ses assauts. La cyprine coulait de son intimité pour me recouvrir la bouche, elle avait une saveur plutôt douce amère que j’adorais.
Elle s’est relevée en me disant simplement :
- Arrête ça tu me rends folle, j’ai envie de jouir alors que tu es en moi. Je t’interdis de bouger d’un centimètre tu m’entends ?

Ce faisant, elle m’a enfourché, venant s’asseoir sur mon sexe, sans pour autant s’empaler dessus, elle s’est mise à se frotter à ma queue, tout doucement, avant d’esquisser une pénétration, faisant s’appuyer mon gland très légèrement contre sa chatte, juste assez pour me rendre fou de désir pour elle, et amorça un mouvement de descente. Elle a fait pénétrer ma bite d’environ un centimètre avant de se relever et de recommencer son manège, se frottant à nouveau la chatte sur ma queue, puis elle a inséré environ deux centimètres de mon membre en elle avant de s’arrêter et de me regarder avec un sourire où se lisait l’envie.
- Surtout ne bouge pas, si tu bouges d’un centimètre, je me relève, je vais venir très doucement sur toi, et tu ne devras pas bouger avant que je te le dise, tu es d’accord ?
- Je suis d’accord ma belle, lui ai-je dis d’une voix rauque, mais tu es consciente que tu me mets au supplice, et qu’après ça je ne répondrai plus de rien ?
- Mais c’est bien le but mon bel amant

Mon gland était toujours presque entièrement en elle, et je sentais ma bite avoir quelques soubresauts de plaisir, je n’avais qu’à donner un grand coup de reins pour la pénétrer entièrement, mais je me suis prêté au jeu. Elle s’est empalée sur moi à une vitesse terriblement lente, j’étais au supplice, nous gémissions tous les deux à l’unisson. Au bout d’un temps qui m’a semblé une éternité, j’étais enfin entièrement en elle. Elle s’est mise à faire onduler son bassin lascivement, très lentement.
- Ne bouges pas encore tu m’entends ? Tu aimes ce que tu vois ?
- Oh oui ma belle, j’adore.
- Et tu aimes ce que je fais ?
- Encore plus, mais si tu me laisses dans cet état, je te jures que je ne te demanderai pas la permission avant de te pilonner tu m’entends ?

Elle a prit un air de fausse pudeur
- Oh, tu oserais faire ça ?
- Tu ne m’en crois pas capable ?
- Je te crois capable de beaucoup de choses mon bel étalon… Mais laisse-moi encore quelques instants savourer ce moment.

J’ai bien dû admettre que j’adorais ce traitement, elle m’a fait vivre à ce jour la plus exceptionnelle pénétration de ma vie, et elle s’amusait à tester mes limites, attendant de savoir à quel moment j’allais perdre tout contrôle. J’étais tendu à l’extrême, son sexe était brûlant et chaque frottement que je ressentais était plus intense, plus appuyé, une fois mon sexe retiré presque complètement de sa chatte, elle m’a dit :
- Maintenant, tu peux faire ce que tu veux.

Je n’ai pas eu à lui faire terminer sa phrase, dès que j’ai compris que j’avais carte blanche, j’ai laissé courir mes mains le long de ses cuisses fuselées, remontant le long de son ventre pour venir caresser ses seins, lui arrachant des petits gémissements, maintenant, c’est moi qui la mettait à la torture en lui faisant attendre à son tour le moment où je devais bouger, puis mes mains sont revenues sur ses hanches, et je me suis enfoncé en elle d’un coup, de manière particulièrement rapide et brutale, jusqu’au bout, où je suis resté à nouveau immobile.
- Maintenant c’est à mon tour de te torturer, qu’est ce que tu attends de moi.
- Je n’en peux plus, j’ai envie de te sentir bouger en moi.
- D’accord, mais pas tout de suite.

Joignant le geste à la parole, je me suis retiré pour l’attirer contre mon visage, où j’ai recommencé à lécher son intimité, en lui pétrissant un sein d’une main, et une fesse de l’autre, presque de manière animale, elle gémissait sans cesse, je la devinais au bord de l’orgasme, son sexe était de plus en plus trempé de désir. J’ai arrêté mes caresses buccales, l’ai faite revenir sur ma queue en m’enfonçant en elle très doucement à nouveau, puis, une fois inséré jusqu’au bout, j’ai tiré son buste vers moi, elle s’est allongée contre le mien, et je me suis mis à l’embrasser doucement. D’un seul coup, je me suis déchaîné, j’ai commencé des va et vient brutaux, rapides et profonds pendant quelques minutes, elle hurlait littéralement de plaisir, elle s’est redressée et s’est cambrée, m’offrant la vue de sa chatte dans laquelle mon membre se perdait tout entier, son clito juste à portée de doigt. Je me suis mis, en plus de mes coups de reins, que j’avais un peu ralenti pour prolonger le désir, à appuyer légèrement sur son bouton d’amour en faisant des petits mouvements circulaires avec mon pouce. Elle me criait son plaisir, sans dire quoi que ce soit, simplement en gémissant et en criant, puis d’un coup, son corps s’est tendu, elle a laissé échapper une longue plainte modulée en resserrant ses cuisses sur moi, j’ai vu sa chatte palpiter au rythme des spasmes qui l’emportaient, puis elle s’est effondrée sur moi en m’embrassant.

Loin d’être calmée, elle s’est alors relevée, en me disant :
- Je veux que tu jouisses aussi, et je veux qu’on refasse encore l’amour, tu ne sortiras pas d’ici avant de m’avoir fait crier encore plusieurs fois, ça fait bien longtemps que je n’ai pas eu autant de plaisir au lit, et je n’ai pas l’intention de te laisser repartir de sitôt. Elle s’est couchée sur le dos alors que je me relevais, m’a attiré vers son visage :
- Je veux que tu fasses avec ma bouche ce que tu as fait avec ma chatte.

Je me suis donc exécuté, et j’ai commencé à pénétrer sa bouche, doucement d’abord, puis de plus en plus vite, elle me regardait pendant ce temps là et ponctuait chacun de mes coups de boutoir par un gémissement, j’ai senti l’orgasme monter, inexorablement, très lentement mais je le devinais d’une puissance exceptionnelle, je me suis retiré de sa bouche et j’ai joui dans un cri rauque, éjaculant sur son visage et sa poitrine, l’aspergeant d’une quantité impressionnante de sperme. Puis j’ai du m’asseoir tellement le vertige qui a suivi était intense.
- Oh mon chéri ! Tu avais envie dis moi, je t’ai fais autant d’effet ?
- Si tu savais ma belle, j’espère que tu n’es pas choquée que je me sois vidé sur toi comme ça ?
- Non, j’adore au contraire, mais laisse moi un instant pour aller enlever tout ça.

Je me suis donc assis en l’attendant, quand j’ai entendu le bruit de la douche, l’occasion était trop belle, je me suis faufilé dans la salle d’eau pour la rejoindre sous la douche, sans qu’elle s’aperçoive de ma présence avant que mes mains ne viennent prendre ses seins et que je colle ma queue dans la raie de son superbe cul. Elle a eu un léger sursaut puis s’est mise à onduler du bassin sensuellement.
- Tu es déjà prêt à recommencer ? Voilà qui présage d’une belle nuit.

Je me suis agenouillé et j’ai commencé à lui lécher la chatte doucement, appuyant mon index contre son anus dans le même temps, elle a très vite recommencé à gémir. Ma langue s’agitait carrément en elle, d’une main, je massais son clito, de l’autre j’avais fait passer la première phalange de mon index à l’intérieur de son anus, ses mains s’égaraient dans mes cheveux et appuyaient ma tête contre sa chatte pour m’indiquer le rythme qui lui faisait le plus d’effet, puis je me suis relevé et je l’ai prise par derrière, une main emprisonnant un de ses seins, l’autre, du pouce, massant son anus déjà dilaté par le désir, je la pénétrais profondément avec ma queue, et elle jouait du bassin pour aller à la rencontre de ma bite quand je m’enfonçais en elle.
- Mmh, enlève ton pouce et viens dans mon cul avec ta queue.

Je me suis exécuté, posant tout d’abord mon gland sur l’anneau dilaté, et appuyant légèrement, elle appuyait elle aussi pour s’empaler dessus, j’avais les mains de chaque côté de ses hanches et je me suis introduit tout doucement. Elle était divinement serrée, et j’ai ressenti une intense pression autour de mon membre lorsque je me suis retrouvé en elle. De là, j’ai commencé des mouvements de va-et-vient en lui doigtant la chatte en même temps. Elle râlait de bonheur et commençait à crier son plaisir, prenant ma main libre pour l’amener caresser les zones qu’elle souhaitait, finissant par amener mes doigts dans sa bouche pour les sucer doucement.
De mon côté je commençais a apprécier le traitement, je me retenais de jouir, voulant partir en même temps qu’elle cette fois-ci. Elle hurlait de plus en plus fort et me disait de continuer :
- Mmh oui, continue Phil ! Vas-y plus fort, prends moi complètement ! Oui ! Reviens dans ma chatte, je veux que tu jouisses en moi !

Je me suis retiré de son anus, insérant ma queue dans sa chatte et j’ai inséré mes doigts dans son anus pour continuer à lui stimuler cette zone là, elle s’est mis à gémir et j’ai senti qu’elle allait décoller, j’ai relâché le contrôle que je maintenais depuis quelques instants sur mon propre orgasme, et je me suis vidé à grands jets en elle au moment où elle jouissait dans un grand cri aigu emprisonnant mes doigts dans son anus et ma queue en elle.

Un court instant plus tard, elle était collée contre moi, m’embrassant doucement et me murmurant des paroles douces à l’oreille.
- Tu sais beau mâle que tu es un coup extraordinaire ? Je ne sais pas si tu es le meilleur coup que j’ai eu, mais tu n’en est pas loin.
- Pas le meilleur ? Lui ai-je dit avec une pointe de regret dans la voix
- C’est difficile de juger sur deux fois, je pense qu’il va falloir que j’aie plus de données à comparer, si tu es d’accord pour m’aider à vérifier ce point…
- Tout à fait d’accord, mais si tu veux que je me surpasse, il faudrait me dire ce que tu voudrais que je fasse…
- Non, ça ne serait pas du jeu, tu t’en sors divinement bien, je voudrais juste que tu me surprennes…
- Marché conclu, laisse moi juste une minute ou deux encore et on va voir ce qu’on peut faire pour toi…

Le temps de sortir de la douche et de nous sécher, et nous nous sommes retrouvés dans la cuisine, où elle nous préparait un café. Elle avait voulu enfiler un peignoir, mais je l’en avais dissuadée, j’aimais trop son corps pour le cacher derrière un bout de tissu inutile. On discutait tranquillement.
- Tu sais que le premier jour où tu es arrivée tu m’as fait un sacré effet ?
- Je te rassure, l’attirance était réciproque, et j’avoue que je me suis arrangée pour qu’on aille fumer ensemble, j’avais vu le paquet dans ta poche.
- Petite perverse manipulatrice va, je ne dirai pas que ça m’ennuie cela dit. Le coup de la soirée copine annulée, c’était vrai ?
- C’était vrai, mais j’ai peut-être oublié de te préciser que c’est moi qui avait décommandé…
-J e répète ce que je viens de dire… Tu vis seule ?
- Oui, pas d’attache en ce moment, mon dernier homme était un abruti obnubilé par la télécommande et le foot, tu fais partie de cette race là ?
- Pas vraiment non, je déteste le foot, et je ne prends que rarement la peine de regarder la télé…
- Et comment se fait-il que tu sois célibataire ?
- Disons simplement que je suis quelqu’un de compliqué et d’exigeant…

Nous avons continué à parler de tout et de rien, puis elle m’a refait mon pansement que l’eau de a douche avait décollé. Pendant qu’elle s’affairait à ranger un peu, j’avais une vue imprenable sur son cul et je me suis mis à rebander immédiatement, j’avais envie de la prendre là, tout de suite, après tout, elle voulait que je la surprenne non ? Je suis passé derrière elle, l’ai attrapée par les hanches et collée d’autorité contre moi.
- J’ai envie de toi tout de suite, immédiatement.

Je l’ai repoussée, lui collant le buste contre la table, lui ai passé une main au niveau de la chatte, pour la trouver trempée, à priori, ma petite intervention lui avait déjà chauffé les sens, je me suis introduit en elle brutalement, lui arrachant un gémissement de plaisir, elle était déjà prête à me recevoir et s’est mise à bouger en cadence, se tenant à la table en gémissant. Je me suis alors retiré, l’ai retournée et je l’ai allongée sur la table, les fesses sur le rebord, les jambes autour de mon coup, et je suis entré en elle d’un coup sec, puis je me suis remis à faire des va et vient en lui maintenant les cuisses avec un bras, pendant que de l’autre, je lui pétrissais les seins et m’égarait parfois sur son clito pour appuyer mes pénétrations. Sa chatte était chaude et humide, et je me délectais des sensations qui entouraient mon membre lorsque je rentrais dans ce délicieux fourreau. Elle gémissait et hurlait de plus en plus fort, et ça n’a pas duré plus de cinq minutes, nous étions excités tous les deux de la intense manière qui soit, et je lui ai déclenché un orgasme en la pilonnant comme un forcené, je l’ai vue, les yeux mi-clos, se mordant la lèvre inférieure commencer à ouvrir la bouche, comme si elle cherchait sa respiration, avant de crier, les jambes agitées de soubresauts incontrôlables, et j’ai joui quelques secondes après en me répandant sur son ventre et ses seins. Elle était dans une sorte de semi conscience extatique, sonnée et heureuse, et se caressait le ventre et les seins doucement, étalant la semence que j’y avais déversée.

En amant prévenant, je lui ai consciencieusement essuyé le corps avec un mouchoir le temps qu’elle reprenne ses esprits, à l’issue de quoi elle m’a regardé et m’a dit :
- C’est officiel, tu viens de passer en tête de la liste de mes meilleurs amants, et de loin, j’espère que tu es encore d’attaque, parce qu’il est hors de question que je te laisse filer tout de suite…
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Histoire de phil

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