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Une lutte sans merci

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Lue : 7013 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/09/2011

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Sur une idée érotique... Un fantasme sans doute. Je fis tout mon possible pour que la mise en scène fût impeccable... Je ne lésinais pas sur les moyens ; lumière tamisée, bougies parfumées, petites dentelles rouges, musique en fond. Tout était là pour raviver tes sens. J’étais assise sur ton lit, j’attendais à tout instant ton retour. J’étais très excitée quant à ta réaction en découvrant mon terrain de jeux …

Au bout de quelques minutes, tu rentras dans cette chambre, que tu connaissais parfaitement mais sous un autre jour, tu fus agréablement surpris. A ce moment précis je te regardais avec insistance, je te voulais, je te désirais plus qu’autre chose … Tu étais, en quelque sorte … Mon fantasme le plus absolu. Tu te dirigeas vers moi d’une vitesse déconcertante que je ne pus rien faire. Tu retira tes vêtements en une fraction de seconde … Tu m’embrassa comme jamais, et commença à passer une main sur mon corps étendu, elle descendit petit à petit afin que mon désir pour toi soit à la limite du supportable. Seulement, c’était mon terrain de jeux et non le tien, je repris le dessus, me mis sur toi. Je te bandais les yeux afin que ton sens du toucher soit en éveil.

Au début, tu avais du mal, ce que l’on peut comprendre, en t’habituant à ce que tu ne puisses rien voir, tu me toucha le visage, mes lèvres. Pendant ce temps j’enlevais ce qu’il restait sur moi … Mes sous-vêtements. Tu glissais ta main le long de mon corps, tu insista au niveau des reins, car tu sais exactement ce que j’aimais. Quand l’excitation venait à son comble, je t’ai poussé afin que tu sois allongé sur le dos. Je passais mes mains avides de ton corps, j’en voulais plus mais il fallait que je me retienne, je voulais jouer avec le plaisir … Ton plaisir. Je t’embrassais longuement, puis j’allais sur ton cou, ton torse, je remontais et refaisais ce mouvement plusieurs fois, tu sentais mes cheveux caressés ton ventre, cela te donnait encore plus envie. Ma bouche descendait de plus en plus. Je sentais ton corps brûlant au contact de mes lèvres. J’enlevais ce qu’il te restait afin de m’attaquer à un plaisir plus torride. Je ne me suis jamais autant amusée … Ma langue te rendait fou …

Je ne pouvais plus me contenir … J’arrêtais ce jeux intense pour revenir à ton oreille et te murmurer
« Viens … Je n’en peux plus … Prends- moi.. » tout en enlevant ce que tu avais qui maintenait tes yeux dans l’obscurité. Tu avais les pupilles dilatées. De me sentir désirée à ce point me fis chavirer dans la passion la plus extrême. Tu me poussa légèrement afin de pouvoir te relever. Tu savais très bien ce que je voulais. Notre position, qui nous mettait en parfaite osmose. Ce fût partit pour une lutte sans merci.

Nous nous abandonnions totalement dans le but de faire plaisir à l’autre. Je poussais quelques gémissements, ceux que tu adorais. Tout était parfait … D’un côté sauvage, assez félin mais d’un autre assez romantique … J’aimais la façon dont tu me faisais l’amour, j’aimais ta façon d’empoigner mes hanches comme un tigre retenant sa proie pour ne pas qu’elle lui échappe, j’aimais … Non je t’aime, tout simplement. Je ne tenais plus sur mes bras, c’était si fort, si puissant, si … magique. J’ondulais mon bassin.

A ce moment là je crois que tu étais au paradis, j’entendais ta respiration s’accélérer. Tu laissais échapper par moment quelques gémissements qui me donnaient encore plus de plaisir. Tu accélérais le rythme en allant de plus en plus loin. Le mot extase prend tout son sens dans cette situation … Tu déplaças tes mains sur ma poitrine, en les caressant avec délicatesse comme si j’étais fragile. J’aimais ça et je ne le cachais pas. Je m’entendais dire « Encore … continu … » Pendant cet acte j’ai eu de nombreux orgasmes, j’en ai eu tellement que j’ai cru que j’allais m’évanouir de plaisir …

Tu allais de plus en plus vite, le moment fatidique approchait, hmmmm rien que d’y repenser ça me fait vibrer. Tu t’es retiré en ayant ta jouissance ultime dans le creux de mon dos. J’aimais cette sensation de chaleur à cet endroit. S’en suivent moment de tendresse et de caresses. Nous étions tous les deux ailleurs malgré tout. Ce fût terminé …
… Pour l’instant .
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Histoire de Nymphette

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