Une rencontre insolite dans le métro 4

Charlotte git sur le sol, seul son papa est encore planté dans son corps, Vincent a été éjecté pendant le basculement de Charlotte. Elle halete, son souffle rapide, saccadé. Impressionne sa maman qui lui demande :

-Tu vas bien ma chérie !

Charlotte répond entre deux souffles :

-Oh oui maman, je vais bien, mon Dieu comme j'ai joui, je voudrais que jamais cela ne s'arrête, oh comme c'est bon !

Couchée sur le flanc, la bite de son papa bien ancrée dans son cul, elle commence à agiter sa croupe, sa chatte ruisselle de sperme. Blondine sourit et dit :

-On peut dire que vous avez une belle salope à la maison, elle en veut encore la jeunette, oh comme j'aimerais l'emmener au club avec moi, se faire bourrer à outrance !

Sandrine la regarde et réplique un peu irritée :

-Mais tu veux faire de ma fille une pute !

-Oh non pas une pute, je ne dis pas cela, mais vu comme elle aime se faire déglinguer, elle ferai beaucoup d'heureux !

Sandrine hausse les épaules en fronçant des sourcils. Pour se faire pardonner, Blondine l'enlace et cherche ses lèvres. Les langues se nouent, le baiser est interminable, les salives se mêlent. Sur le sol, Charlotte frémit, elle s'agite, son papa la serre fortement et reprend l'enculage. Rapidement, Charlotte se met à geindre. Sara s'impatiente, elle dit un peu outrée :

-Mais il n'y en a que pour elle et moi alors !

Son papa, souriant, lui répond :

-Ne sois pas impatiente ma chérie, après le repas, tu seras prioritaire crois-moi !

Jean donne de violents coups de reins, il veut faire mal à sa fille qu'il ne connaissait pas sexuellement. Vincent va prendre une douche, puis repart en cuisine affiner le déjeuner. Les deux mamans entrent ensemble dans la douche, elles se gouine, pour jouir encore et encore, avant de se savonner. Sara regarde Charlotte avec envie, la coquine sodomisée semble adorer ça. Ses gémissements sont rauques et bruyants, elle agite sa croupe pour que son papa l'empale totalement. Sara lui saisit le clitoris et le presse fermement, Soudain Charlotte se cabre et jouit du cul, c'est si fort qu'elle défaille, elle reste la bouche ouverte un long moment sans faire aucun mouvement. Son papa s'inquiète, il retire sa queue du temple de Sodome et demande :

-ça va ma chérie !

Charlotte secoue la tête affirmativement. Sara profite de l'occasion pour s'emparer de la queue et le la prendre en bouche. La salope s'évertue à faire une fellation monstrueuse à Jean qui geint de bonheur. Rapidement, il envoie un flot de semence dans la gorge de la suceuse, qui avale la décharge en souriant. D'un revers de la main, elle s'essuie les lèvres, puis se dirige vers la salle de bain en entrainant avec elle Charlotte. Enfin, une fois tout le monde propre, le repas peut commencer, ils restent nus pour être déjà, prêts pour le prochain ébat.
Naturellement, la discussion s'engage sur le sexe. Vincent raconte ses virées, ses défonces mémorables avec sa petite famille dans le club libertin. Charlotte et ses parents sont tout ouïs. Blondine donne les détails des ébats qui émoustillent ses invités. Sandrine ne tient plus en place, Charlotte soupire fréquemment, jean, lui est aux anges, il imagine Blondine et Sara écartelées par des bites monstrueuses. Sa queue reprend du volume, il la presse fortement, pour faire cesser l'affut de sang, qui monte dans sa verge. Le repas se termine, les amants décident de s'étendre pour récupérer totalement de leurs efforts, avant de remettre ça.

Sandrine et Jean s'allongent à côté de l'un de l'autre sur la pelouse, Sara et sa complice monte dans la chambre. Vincent et sa femme s'enfoncent dans de profonds fauteuils. Jean caresse doucement sa femme, sa main lui caresse les seins avec douceur, la coquine ronronne comme une chatte que l'on flatte de la main. Elle tourne la tête vers son mari et lui dit en tremblant un peu :

-Jean, j'ai honte, je dois t'avouer que Vincent n'est pas mon ami d'enfance. Jean sursaute, se redresse et regarde Sandrine en fronçant les sourcils. Elle lui raconte tout ce qui s'est passé dans le métro et la chambre d'hôtel. Elle serre les dents en craignant le courroux de son mari. Il lui dit :

-Mais tu es une vraie salope, je peux comprendre ce qui s'est passé dans le métro et l'excitation du moment, mais de là à me mentir pour retrouver ton amant, il y a un cap !

Elle se blotit contre lui en implorant son pardon, il lui reléve le menton et lui dit :

-Il a baisé ma femme, j'ai baisé la sienne, il a baisé ma fille, j'ai baisé la sienne, nous sommes quittes !
Eh bien, tu vois, ma chérie, je te ne t'en veux pas, par cette occasion, je viens de découvrir l'amour incestueux, qui maintenant pour moi n'est plus un tabou, maintenant, j'ai deux femmes à honorer à la maison, j'en suis ravi !

Sandrine se glisse sur le corps de son mari, elle le regarde droit dans les yeux et commence à onduler sur lui comme un serpent. Il lui sourit, dans la foulée, il lui saisit la taille et l'embrasse fougueusement. Le baiser est un vrai baiser d'amoureux, les langues se nouent, les deux amants échangent un flot de salive. Le frottement du bassin de sa femme sur sa queue, provoque une monstrueuse érection. Sandrine se redresse et enjambe son mari, brusquement, elle s'empale sur la verge raide. Son corps fait l'ascenseur, il monte et descend au rythme que Sandrine choisit. Elle regarde toujours son mari dans les yeux, le bougre serre les dents, la tension monte dans son corps. Elle accélere, elle s'accroche aux épaules de jean en grognant. Soudain, elle se cabre en poussant un cri, Vincent vient de lui enfoncer sa queue profondément dans le cul. Il s'agrippe à ses hanches et la démonte comme un forcené. Blondine ne reste pas inactive. Elle passe sa main sur le ventre de Sandrine pour atteindre la boule magique. Elle la prend entre son pouce et son index, la protubérance énorme et la branle énergiquement.

Les deux amants lui pilonnent les entrailles avec fougue, ils la font gémir comme une malade. Elle se crispe, pousse un hurlement de bête, et jouit terriblement fort. Blondine accélère le branlage du clito, Sandrine se cabre à nouveau, en grimaçant, l'experte, Blondine, lui écrase le clito. L'effet est terrible, Sandrine gicle comme un geyser sur les couilles et le ventre de son mari, qui lui remplit la chatte de son sperme épais. Vincent s'acharne dans le cul de la soumise, quant à Blondine, elle branle toujours le clito qui est devenu méconnaissable. Une deuxième jouissance fait hurler Sandrine, qui grimace tellement elle jouit. Vincent lui ramone le cul comme un soudard assoiffé de sexe. Il se bloque et envoie plusieurs giclées dans le rectum accueillant de Sandrine qui jouit du cul une ultime fois. Blondine veut sa part, elle ejecte la jouisseuse et prend sa place. Elle chevauche Jean comme une amazone en plein galop. Vincent à bien du mal à lui planter sa bite dans le cul tant la salope s'agite. La défonce dure un bon moment, Blondine donne de violents coups de reins pour s'empaler totalement sur les queues encore dures comme du bois. Les assauts sont violents et puissants. Blondine se plaque contre le torse de jean et jouit comme un animal en rut. Les deux, n'on en pas fini avec elle, Vincent retire sa queue du cul et la pose contre la chatte déjà occupée, il donne un coup de reins et l'enfonce jusqu'aux couilles.

La chatte dilatée par les deux queues, Blondine gémit en agitant sa croupe. La salope jouit encore sous les assauts ininterrompus des deux baiseurs. Vincent dit en soufflant comme un sprinteur en fin de course :

-On va la prendre tous les deux par le cul, elle adore ça ma salope !

Jean enfonce la sienne en premier dans l'antre brulant. Vincent se positionne et enfonce son engin sans ménagement dans le cul distendu de sa femme. Le pilonnage et monstrueux, Blondine jouit comme une malade, les deux hommes aussi.