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Une si jolie femme mûre

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Lue : 2408 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/09/2014

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Nous ne nous étions pas revus depuis deux années, et après quelques mails échangés, elle et moi, nous nous sommes vus, en ville, seul à seule... J'avais déjà ressenti des troubles à son égard, une belle femme mûre, la soixantaine, épanouie... Elle m'avait attiré, mais cela n'avait jamais donné de suite mais elle me troublait, et elle devait le ressentir. Elle avait parfois des gestes à mon égard qui aidaient ces troubles, son mari s'en rendant peut-être compte ?

Ce jour, après quelques échanges, Jeanne et moi avons décidé de nous retrouver en centre-ville. Souriante, radieuse, elle absorbait mon regard ! Il faisait froid, elle portait un long manteau qu'elle a ouvert lorsque nous nous sommes assis dans ce bar à l'ambiance tranquille. Elle me troublait toujours autant, je ne savais quoi dire ni quoi faire, elle s'en rendait compte, et en jouait ! Elle était absolument magnifique sous ce manteau, elle portait une jupe très courte, ses jambes brillaient de tissus dorés. Vêtue d'un chemisier blanc à dentelles, elle était toujours aussi dorée de sa peau de femme mûre...

C'est en discutant de choses un peu plus personnelles qu'elle m'a donné son âge en enchainant immédiatement sur une demande qui m'a étonné et qui surtout a plus continué à me troubler... Elle m'a dit avoir soixante-six ans et me demandait si les femmes de cet âge me plaisaient ! Je ne put lui répondre que oui, ces femmes me plaisaient... Qu'attendait-elle ?

A son regard devenu perçant, à son sourire, soulignant délicatement les quelques délicates rides de son visage, la commissure de ses lèvres, ses yeux, je percevais une satisfaction qui m'a plus troublé... Elle a ri de me voir ainsi troublé, me lançant doucement vers un désir qu'elle ressentait et dont elle irradiait avec sensualité. Je n'osais croire à ce que j'avais en tête, elle semblait vouloir, désirer une relation plus intime entre nous, une relation sensuelle ! C'est alors que j'ai senti un frôlement distinct...

Elle avait posé un pied sur le mien et se frottait ainsi avec insistance, à me faire savoir ce qu'elle désirait. Son regard était devenu autrement plus évocateur de son envie profonde, elle me regardait avec soutien. Elle avait ouvert un peu plus son manteau, et avait monté sa jupe sur de jolies dentelles qu'elle me montrait. Mes yeux captivés, je dévorais le galbe de ses jambes brillantes et je pouvais voir les dentelles de splendides bas dorés tenus par un porte-jarretelle noir ! Elle me montrait des dentelles qui disaient son désir, elle voulait que nous nous retrouvions en un lieu plus intime...

Elle me proposa alors d'aller chez moi !

Pendant le trajet, mon cœur battait la chamade, je n'osais me dire cette vérité : nous allions chez moi pour y vivre des moments de sensualités. Elle conduisait avec la jupe complètement relevée, elle me laissait la regarder en me demandant si elle plaisait ainsi... Elle tenait à se rassurer ? Mais nous étions bien en chemin, je caressais maintenant la soie de ses bas, elle avait complètement ouvert ses cuisses et m'invitait à lire sa peau. Qu'elle était douce, sa peau ! Entre les dentelles et un string minuscule, je touchais ses paysages n'osant croire à ce qu'il se passait !...

J'ai ainsi passé des doigts inquisiteurs en son centre, sur le microscopique triangle de son string et y ai senti son humidité chaude. Elle était excitée ! Elle avait du mal à supporter mes assauts, me le fis savoir en me demandant de cesser de la caresser, du moins le temps d'être chez moi ! Elle me répétait qu'elle trouvait mes caresses très agréables et qu'elle avait hâte d'être enfin seule avec moi... Je l'ai donc laissée, en abaissant sa jupe, mais elle refusa de descendre sa jupe, elle voulait que je la regarde encore ! Elle me disait maintenant qu'elle avait désiré cet instant peu de temps après notre première rencontre, qu'elle avait essayé de me le faire savoir en signant ses mails avec exagération... J'avais remarqué ces signatures et j'avais mis cela sur le compte d'un attachement que je sentais bien de sa part mais sans peser à autre chose ! Elle m'avait ainsi désiré depuis toujours !

Dans l'ascenseur, elle m'a brièvement caressé le bas du ventre pour y sentir la bosse qui s'était généreusement formée depuis et à force de regarder ses cuisses dans la voiture... Elle m'excitait et je me laissais aller à des pensées salaces sans plus me retenir.

- Je suis contente de te plaire ainsi, mon mignon...
- Je ne pensais que tu veuilles me plaire !
- Et pourtant, j'ai bien tenté de te le faire savoir, mais tu ne répondais jamais !
- Bin, je ne m'attendais pas à ce que tu veuilles de moi !
- Je t'ai toujours trouvé sexy avec ton petit cul ! Puis j'avais l'impression de.......

L'ascenseur s'est ouvert, nous avons croisé un voisin, échanges d'amabilités, puis, fiévreusement, j'ai enfilé la clé...

- C'est moi qui te met dans cet état ?
- Oui, Jeanne !
- Je vais me régaler, je sens !
- Oui ! On va se régaler...
- Je ne m'attendais pas à ce que tu sois aussi excité, mon coquin !

Une fois la porte fermée, nous nous sommes enlacés pour unir nos bouches, nos langues en un baiser intense... Nous nous sommes serrés l'un à l'autre fermement, nous frottant avec envie, désir... Je l'ai caressée avec ferveur, en prenant ses fesses dans mes mains avec force pour l'attirer plus encore sur mon corps... Elle me serrait avec tout autant d'énergie, ses mains posées à mon "petit cul" !

- Fais-moi bien l'amour, Stéphane !
- Oui, Jeanne ! Tu vas adorer...

Nous nous sommes lentement approchés du lit, nous embrassant avec ferveur et intensité. Je sentais sa sensualité onduler avec ses paysages, mes mains sous sa jupe, ses fesses pleines et offertes. Son corps flottait dans mes mains, le mien en faisait autant sous ses caresses douces et fermes, précises.

Une fois au pied du lit, Jeanne m'a demandé encore de lui faire l'amour "bien"...
Son âge l'avait gênée, mais elle découvrait avec plaisir mon attirance pour les femmes mûres, et en plus de cela, j'appréciais Jeanne pour une raison que j'ignorais... Elle me plaisait comme amie aussi, nous avions souvent échangé et je l'aimais bien, sans savoir pourquoi ! J'étais gêné vis à vis de son mari, Bernard, je ne voulais pas les blesser !

- Je te rassure, Bernard est au courant, et il est d'accord maintenant !

Elle avait senti, lu mes pensées !
Je ne m'attendais vraiment pas à cette situation, j'avais simplement demandé des nouvelles après quelques mois de silence...
Et nous étions maintenant très intimement enlacés, nos bouches soudées en de fougueux baisers de jeunes amants, à nous caresser avec sensualité. Je lisais tous les détails des dessous de sa jupe, pinçais ses fesses et parcourais les dentelles de ses bas et de son porte-jarretelle. Elle accueillait mes caresses avec un plaisir qui se faisait croissant, elle me caressait avec précision, là où j'étais tendu. Ses mains se faisaient délicieuses à cette bosse masculine qu'elle avait éveillée !

- Bernard sait que tu es avec moi ?
- Oui ! Et il sait ce que je veux !
- Qu'en pense-t-il ?
- Il te connait, et ça le rassure... Il t'aime bien, tu sais ?
- Même si nous sommes nus toi et moi ?
- Oui ! Il sait que tu me respecteras et que tu sauras certainement me faire jouir !
- Et ça ne le dérange pas ?
- Non... Mais arrête de me parler, embrasse-moi !

Je me suis doucement agenouillé face à elle, laissant ma bouche découvrir ses reliefs féminins. Ma bouche s'est d'abord posée à ses seins, j'ai dégrafé son chemisier pour y découvrir d'autres dentelles tout aussi jolies. Mes mains se sont emparées de sa poitrine de femme mûre, j'ai pincé ses tétons avec douceur, lui arrachant des gémissements de plaisir...

- Mes seins ! Caresse-moi les seins !
...

J'avais son ventre au bout de mes lèvres, mes mains posées sur ses seins opulents et délicieusement tendus. Ses tétons étaient durs d'excitation ! Je me suis attardé à son nombril, lui léchant les moindres reliefs sans plus me retenir. Mon trouble avait disparu, j'avais maintenant, face à moi, une femme mûre qui désirait être aimée, caressée, désirée et je la désirais follement ! Mon visage fouillant les tissus de son chemisier, je descendais peu à peu vers son centre de femme.

Et quelle électricité lorsque ma bouche s'est collée à son string totalement humide de son désir ! J'avais disparu sous sa jupe quand elle m'a entrainé dans le lit. J'embrassais son triangle de tissu quand elle s'est détendue en m'ouvrant ses cuisses. J'étais soudé à son tissu sous lequel je devinais son sexe tendu de plaisir !

- Vas-y ! Embrasse-moi bien là où tu es ! J'adore !

Elle me parlait, me guidait et je commençais à la dévorer...
Je me suis alors emparé des petites ficelles de son string pour les tirer et libérer sa fleur, ses fleurs. Quelle sublimes fragrances lorsque j'ai ôté ses tissus ! Elle sentait merveilleusement bon, sa chatte était devenue gluante de son jus de femme !

- Lèche-moi la chatte !

Je ne pouvais plus rien faire d'autre que d'aimer sa fente, sa fleur intime et gouteuse... Elle s'était totalement ouverte, offrant à mon désir son sexe et son intimité de femme mûre, et je me soudais à elle avec bonheur ! Elle sentait merveilleusement bon, elle m'excitait ainsi offerte ! Ma langue se mêlait à ses reliefs intimes, je lisais ses lèvres avec douceur, je lapais son sexe avec désir ! J'étais furieusement excité à me savoir entre ses cuisses ouvertes, à caresser ses bas, ses dentelles tandis que ma langue lisait son intérieur.

J'étais ivre de bonheur, elle était ivre de bonheur !
Cuisses écartées, elle m'offrait son sexe, ses intimités et je la léchais avec un plaisir qu'elle ressentait avec l'intensité curieuse de ma langue. Elle m'a soudainement pris les cheveux, me tirant fermement à elle, je la sentais vibrer !

- Bouffe-moi la chatte, bouffe-moi le clito ! Fais-moi jouir avec ta langue, vicelard !
- Oui............. Tu as un goût délicieux !
- Dis-moi que ma chatte te fait plaisir ! Continue !
- Tu es merveilleuse... J'aime ta chatte !
- Elle te plait tant que ça, ma chatte ?
- Oui ! J'adore ton goût ! J'aime tes lèvres, ton clitoris de cochonne !
- Dis-moi des mots cochons, j'aime ça !
- Tu es une vraie salope vicieuse avec ta chatte ouverte comme ça !
- J'avais envie de me faire baiser ! Baise-moi !

Elle s'est alors agrippée à moi en me tirant à elle... J'étais encore habillé mais je me suis vite retrouvé nu ! J'avais cette femme délicieusement mûre, vicieuse maintenant, face à moi, son corps ondulant, sa chatte ouverte... Enchainant quelques ondulations, je me suis placé face à elle, son visage ouvert, sa bouche béante réclamant ma verge. Elle ouvrait la bouche avec envie, demandant sa pitance, ma queue ! Ses lèvres se sont fermées à ma base, ses mains s'agrippant à mon cul et en tirant, jusqu'à ce que je me sois complètement enfoncé en elle. J'ai alors commencé à aller et venir, elle souriait, les yeux fermés, recevant mon sexe en bouche... Elle a serré ses lèvres afin de bien lire mes reliefs, leurs contacts m'électrisaient et la voir ainsi sous moi, totalement immobilisée m'excitait terriblement... Et elle a varié les contacts, me pompant la queue avec ardeur, la suçant avec une langue particulièrement agile, me mordillant la base, me poussant à entrer totalement en elle... Elle appréciait manifestement énormément me sentir l'extrémité coincée au fond de sa bouche, presque en gorge !

Mais je désirais aussi reprendre la soie de ses plis de femme au bout de mes lèvres, j'avais encore envie de sa chatte.

- J'ai envie de te lécher, ma Belle vicieuse...
- Tu n'aimes pas quand je te suce ?
- Si, c'est délicieux ! Tu es une vraie cochonne !
- Une belle salope, oui... J'aime sucer des queues bien gluantes !
- Et moi, j'adore lécher des chattes bien ouvertes...

Je me suis alors un peu retiré, et tout en pivotant dans sa bouche gourmande, je me suis retourné pour me plonger dans ses plis féminins. Nous nous sommes ainsi lovés dans le lit.

- Pas comme ça, je préfère que tu sois dessous là !
...

Et nous avons roulé sur le lit, plusieurs fois, passionnément soudés l'un à l'autre. Mais nous avons fini par nous poster comme elle voulait, comme je le préférais ! Elle était au-dessus de moi, nos sexes en bouche, ses lèvres autour de mon bâton, sa chatte soudée à ma bouche, nous nous sommes offerts un soixante-neuf intense. Je la sentais monter et descendre le long de ma queue, ses mains me malaxant les testicules pour me serrer la base afin de me faire plus dur encore !...

- Que c'est bon de te lécher, Jeanne !
- J'avais envie d'une queue, toi aussi, tu as bon goût !

Nous étions maintenant en train de nous dévorer mutuellement, de nous fouiller nos paysages, ma langue profondément fichée en elle, dans sa vulve pleine de désir, sa langue parcourant les moindres reliefs de ma queue tendue de plaisirs... Ses fesses généreuses face à mes yeux, je lui caressais le cul avec avidité, écartant ses collines afin d'ouvrir cette autre petite fleur, une fleur plus vicieuse... Et elle s'est ouverte, elle aimait que je lui touche l'anus, cette vieille cochonne !

Mes doigts ont lu d'abord doucement les derniers pis de sa rondelle, et ça lui plaisait, elle en faisait de même avec moi !
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Histoire de galahn

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