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Lue : 1140 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/03/2021
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Une virée en club libertin.
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Ce soir, pour nos cinq ans de mariage, Martin, mon époux, arrive du bureau, un énorme carton dans les bras. Il me demande de l’ouvrir, et, à l’intérieur, des lingeries fines, achetées dans une boutique de luxe. Portes jarretelles, string et une nuisette transparente. Magnifique.
« Je t’invite au restaurant ce soir, je voudrais que tu portes ça, dit-il en désignant le porte jarretelles. Tu devrais l’essayer.»
«Tu crois, dis-je en le passant.
«Ouah...que t’es belle.»
Le reste de ma tenue se compose d’une courte jupe, d’un bustier, et d’une veste.
Nous arrivons au restaurant vers dix heures. Je sens le regard des mâles braqués sur moi quand je croise les jambes. Certains m’envoient des sourires. J’en croise même un, en sortant des toilettes, qui me frôle un sein avec son bras.
Je lui lance un petit sourire.
Après un copieux repas, mon mari m’entraîne à l’étage. Je le suis, une main appuyée sur son épaule.
Nous arrivons dans une salle, meublée de canapé de velours rouge, très cossu, ou des femmes, à moitié nues, se laissent caresser par de vieux pervers. Je remarque aussi des paravents, avec de nombreux trous, ou des hommes ont glissé leur bite. Je me doute que derrière, une bouche les accueilles.
Mon mari me prend la main, m’entraîne vers une queue, qui dépasse allègrement de la cloison. Je me dégage violemment.
« Il est hors de question, que je suce cette queue»
« Mais enfin...Charlie...»
« Je devine ou tu veux en venir...salaud.»
Devant mon refus catégorique, mon mari n’insiste pas. Mais ne perd pas, de me voir succomber avant la fin de la soirée. Me voir avec un autre mec, a toujours été son fantasme.
En nous retournant, nous voyons une femme se faire caresser les seins par deux hommes d’un certain âge, tandis qu’elle branle leur queue.
Arrivé devant le trio, la femme tombe à genoux devant les deux mâles. Elle prend une queue en bouche, puis l’autre, en alternance. Je me colle à mon mari. Celui-ci me caresse le dos, les fesses, puis remonte doucement ma robe, découvre mon string, et mon porte jarretelles.
Tout ceci est très excitant, et commence à m’exciter.
Je l’embrasse à pleine bouche, quand je m’aperçois qu’il a sorti sa queue, déjà en érection, entièrement décalottée.
Pendant se baiser interminable, la jeune femme à laissé tomber ses partenaires, et s’est approchée de nous. Elle saisit la queue de mon mari, et la branle lentement. Puis elle se penche, et prend la bite de Martin en bouche. Tout en suçant mon mari, la jeune femme m’envoie des clins d’œil, me nargue. Ni tenant plus, j’arrache littéralement la bite de sa bouche. Elle est souillée de salive.
Je prends Martin par la queue, le tire à l’écart. Je lui demande pour la énième fois, de quitter ce lieu, et de renter à la maison.
Pour toute réponse, il me pousse sur un canapé.
Il me demande de me calmer, de profiter de la soirée.
Martin sait qu’il est tout pour moi, que je ferais n’importe quoi pour lui faire plaisir. Mais là, c’est trop...je peux pas.
Tendrement, il me caresse le dos, m’embrasse dans le cou. Amoureuse, j’accentue le baiser qu’il me donne, quand il prend mes lèvres.
Soudain, je sursaute quand je sens un souffle chaud dans mon cou, et une voix me murmurer à l’oreille.
« Val...je m’appelle Val.»
Je me retourne, et me trouve face à un homme, inconnu pour moi, d’une cinquantaine d’années, assez séduisant.
Je m’accroche au cou de mon mari, quand un doigt s’insinue entre mes cuisses, jusqu’à mon petit trou. Malgré moi, je me cambre en arrière, comme pour lui dégager le passage. Du coup, le doigt continue sa vicieuse progression.
A mon souffle qui s’accélère, mon mari comprend qu’il se passe quelque chose.
Je lui mords les lèvres, lui murmure à l’oreille ce que je suis en train de subir. Je lui renouvelle mon envie de partir. En vain.
Il me regarde en souriant, quand il croise le regard de l’inconnu par dessus mon épaule. Il lui fait signe de continuer d’un hochement de tête. Puis tout s’accélère.
Tirant profit de la situation, Martin en a profité pour remonter ma jupe jusqu’à ma taille. Puis l’inconnu sort sa queue, m’oblige à la prendre en main.
Je sens sa main courir sur ma cuisses, se diriger tout droit, vers mon intimité. Mon mari complice, écarte mon string, pour que l’homme puisse mieux caresser ma chatte.
Je m’aperçois que mon corps réagit positivement, qu’il est en train de me trahir. Aussi, j’écarte entièrement les jambes, et m’offre totalement. L’inconnu en profite pour pénétrer ma chatte déjà bien mouillée. Je gémis de plaisir quand il décalotte et doigte mon petit bouton. Je fixe mon mari, dans l’espoir qu’il annonce la fin du jeu. Il se contente simplement de sourire, quand il me voit me cambrer sur les doigts qui me fouille, et qui me donnent énormément de plasir.
Je m’approche de son visage.
« C’est vraiment ça que tu veux.»
« Vas-y ma chérie...je veux que tu prennes du plaisir ce soir.
« Très bien...tu l’auras voulu.»
Je plonge entre les jambes de l’inconnu, prend sa queue en bouche. Je la suce en simulant des gloussements de plaisir,
pour montrer à mon mari, que j’aime ça.
De temps en temps, je me retire pour lui faire un commentaire.
« Ouah mon chéri...la queue et la paire de couilles qu’il a... énorme…jamais vu ça »
« A bon, à ce point.»
A son regard, je sais que mari a gobé mon mensonge. Et d’en rajouter.
« Hum...elle est bonne vôtre queue, bien calibrée...vous aimez ce que je vous fais…
«...vous sucez divinement, madame…vôtre bouche est très accueillante.»
Lentement, il se lève, s’agenouille, enfouie son visage entre mes cuisses. Je sens sa langue lécher ma chatte de bas en haut, jusqu’au clito qu’il aspire de ses lèvres. Je tends la main, branle la queue de Martin. Soudain, je ne peux me retenir. Ma cyprine se mélange à la salive de Val, quand je jouis.
Val se dresse devant moi, m’oblige à reprendre ma fellation.
Je suis persuadé que mon mari laisse faire, mais qu’il en bave de voir son épouse tailler une pipe à un inconnu. Même si je sais qu’il est en train de se branler derrière moi. Je ne peux pas le laisser dans cet état.
Je me retourne, fait coulisser sa queue entre mes lèvres. Tendrement, il me caresse les cheveux.
Pendant que je suce Martin, Val a glisser sa queue entre mes cuisses, prêt à pénétrer ma chatte. D’un léger mouvement, j’évite la pénétration. Je me contente de prendre la queue, et la coincer entre l’élastique du porte jarretelles et la peau de ma cuisse. Lentement, je caresse le gland pris au piège.
Je sens la queue de Martin vibrer. Je me retire, quand je sens qu’il va éjaculer. Je lis la déception sur son visage.
« Désolé mon chéri, mais je dois le finir...»
« A bon, et tu me laisse en plan.»
« Faut savoir ce que tu veux mon amour.»
Je poursuis ma fellation sur la queue de l’inconnu. J’ai l’impression qu’elle a grossi, surtout le gland.
Martin sait que j’adore tailler des pipes, et j’avoue que je trouve celle là particulièrement bonne. A tel point, que je ne me retire pas quand Val vide ses couilles.
Je me retourne, la bouche ouverte, pour que Martin voit bien le sperme stocké sur ma langue. Je ferme la bouche, et j’avale. Il se prend visage entre ses mains. « Mon dieu.»
« T’es content, c’est ce que tu voulais...»
« Tu exagères...pourquoi t’as avalé...»
Déçu de mon attitude, mon mari réclame son du. Après m’être essuyé les lèvres, je prends sa queue en bouche. Je la sens vibrer quand il va jouir. Soudain, je rejette sa queue. Mon mari éjacule sur ma cuisse.
«Ben alors...pourquoi t’as pas avalé.»
«J’aime pas mélanger mon chéri.»
Martin se sent humilié devant l’inconnu, qui étouffe un rire dans sa main. Je voulais l’humilier d’avantage, en lui avouant que Val était mieux monté que lui, mais j’ai pas osé.
Quant à Val, il a compris qu’il ne tire rien de cette relation, et, en gentleman, il va chercher fortune ailleurs.
Je demande à mon mari de rentrer à la villa. Il accepte, surpris de voir ce que sa femme était capable de faire. Il a voulu jouer, il a perdu. Quant à moi, j’ai pris énormément de plaisir.
En rentrant, je file directement à la douche. C’est là que je découvre un mot, coincé dans mon porte jarretelles. Je le déplie.
C’est un mot de Val, qui me remercie pour le plaisir que je lui ai donné. Il a adoré ma façon de tailler des pipes.
Toute la nuit, les images de cette nuit sexe, défilent dans ma tête. Il me semble sentir les mains de Val caresser mon corps, branler ma chatte, doigter mon petit bouton. Je ne peux ôter de mon esprit, son énorme queue aller et venir dans ma bouche. Et moi, qui est refusé qu’il me baise...quelle conne. Toute la semaine, cette soirée a hanté mes nuits, au point de rejeter les câlins que me propose mon mari.
Je suis en train de réfléchir à une éventuelle sortie, sans mon mari. Ainsi libérée, je pourrai assouvir tous mes fantasmes. Comme passer derrière le paravent, pour sucer des bites. Je choisirais la plus grosse, lui présenterais mon petit trou, m’y empaler dessus. Et pourquoi pas me faire bouffer la chatte par une femme. J’offrirai mon corps à qui voudra bien le baiser, ou m’enculer. Et qui sait...si je rencontre Val, et qui me propose de finir la nuit chez lui...ben j’accepterais.
Mais bon, ça reste du fantasme, car depuis cette soirée, mon mari est devenu extrêmement jaloux. Surtout depuis qu’il a trouvé le petit mot de Val.
Je le rassure en lui disant que je ne suis pas une femme à m’offrir au premier venu.
« Je t’invite au restaurant ce soir, je voudrais que tu portes ça, dit-il en désignant le porte jarretelles. Tu devrais l’essayer.»
«Tu crois, dis-je en le passant.
«Ouah...que t’es belle.»
Le reste de ma tenue se compose d’une courte jupe, d’un bustier, et d’une veste.
Nous arrivons au restaurant vers dix heures. Je sens le regard des mâles braqués sur moi quand je croise les jambes. Certains m’envoient des sourires. J’en croise même un, en sortant des toilettes, qui me frôle un sein avec son bras.
Je lui lance un petit sourire.
Après un copieux repas, mon mari m’entraîne à l’étage. Je le suis, une main appuyée sur son épaule.
Nous arrivons dans une salle, meublée de canapé de velours rouge, très cossu, ou des femmes, à moitié nues, se laissent caresser par de vieux pervers. Je remarque aussi des paravents, avec de nombreux trous, ou des hommes ont glissé leur bite. Je me doute que derrière, une bouche les accueilles.
Mon mari me prend la main, m’entraîne vers une queue, qui dépasse allègrement de la cloison. Je me dégage violemment.
« Il est hors de question, que je suce cette queue»
« Mais enfin...Charlie...»
« Je devine ou tu veux en venir...salaud.»
Devant mon refus catégorique, mon mari n’insiste pas. Mais ne perd pas, de me voir succomber avant la fin de la soirée. Me voir avec un autre mec, a toujours été son fantasme.
En nous retournant, nous voyons une femme se faire caresser les seins par deux hommes d’un certain âge, tandis qu’elle branle leur queue.
Arrivé devant le trio, la femme tombe à genoux devant les deux mâles. Elle prend une queue en bouche, puis l’autre, en alternance. Je me colle à mon mari. Celui-ci me caresse le dos, les fesses, puis remonte doucement ma robe, découvre mon string, et mon porte jarretelles.
Tout ceci est très excitant, et commence à m’exciter.
Je l’embrasse à pleine bouche, quand je m’aperçois qu’il a sorti sa queue, déjà en érection, entièrement décalottée.
Pendant se baiser interminable, la jeune femme à laissé tomber ses partenaires, et s’est approchée de nous. Elle saisit la queue de mon mari, et la branle lentement. Puis elle se penche, et prend la bite de Martin en bouche. Tout en suçant mon mari, la jeune femme m’envoie des clins d’œil, me nargue. Ni tenant plus, j’arrache littéralement la bite de sa bouche. Elle est souillée de salive.
Je prends Martin par la queue, le tire à l’écart. Je lui demande pour la énième fois, de quitter ce lieu, et de renter à la maison.
Pour toute réponse, il me pousse sur un canapé.
Il me demande de me calmer, de profiter de la soirée.
Martin sait qu’il est tout pour moi, que je ferais n’importe quoi pour lui faire plaisir. Mais là, c’est trop...je peux pas.
Tendrement, il me caresse le dos, m’embrasse dans le cou. Amoureuse, j’accentue le baiser qu’il me donne, quand il prend mes lèvres.
Soudain, je sursaute quand je sens un souffle chaud dans mon cou, et une voix me murmurer à l’oreille.
« Val...je m’appelle Val.»
Je me retourne, et me trouve face à un homme, inconnu pour moi, d’une cinquantaine d’années, assez séduisant.
Je m’accroche au cou de mon mari, quand un doigt s’insinue entre mes cuisses, jusqu’à mon petit trou. Malgré moi, je me cambre en arrière, comme pour lui dégager le passage. Du coup, le doigt continue sa vicieuse progression.
A mon souffle qui s’accélère, mon mari comprend qu’il se passe quelque chose.
Je lui mords les lèvres, lui murmure à l’oreille ce que je suis en train de subir. Je lui renouvelle mon envie de partir. En vain.
Il me regarde en souriant, quand il croise le regard de l’inconnu par dessus mon épaule. Il lui fait signe de continuer d’un hochement de tête. Puis tout s’accélère.
Tirant profit de la situation, Martin en a profité pour remonter ma jupe jusqu’à ma taille. Puis l’inconnu sort sa queue, m’oblige à la prendre en main.
Je sens sa main courir sur ma cuisses, se diriger tout droit, vers mon intimité. Mon mari complice, écarte mon string, pour que l’homme puisse mieux caresser ma chatte.
Je m’aperçois que mon corps réagit positivement, qu’il est en train de me trahir. Aussi, j’écarte entièrement les jambes, et m’offre totalement. L’inconnu en profite pour pénétrer ma chatte déjà bien mouillée. Je gémis de plaisir quand il décalotte et doigte mon petit bouton. Je fixe mon mari, dans l’espoir qu’il annonce la fin du jeu. Il se contente simplement de sourire, quand il me voit me cambrer sur les doigts qui me fouille, et qui me donnent énormément de plasir.
Je m’approche de son visage.
« C’est vraiment ça que tu veux.»
« Vas-y ma chérie...je veux que tu prennes du plaisir ce soir.
« Très bien...tu l’auras voulu.»
Je plonge entre les jambes de l’inconnu, prend sa queue en bouche. Je la suce en simulant des gloussements de plaisir,
pour montrer à mon mari, que j’aime ça.
De temps en temps, je me retire pour lui faire un commentaire.
« Ouah mon chéri...la queue et la paire de couilles qu’il a... énorme…jamais vu ça »
« A bon, à ce point.»
A son regard, je sais que mari a gobé mon mensonge. Et d’en rajouter.
« Hum...elle est bonne vôtre queue, bien calibrée...vous aimez ce que je vous fais…
«...vous sucez divinement, madame…vôtre bouche est très accueillante.»
Lentement, il se lève, s’agenouille, enfouie son visage entre mes cuisses. Je sens sa langue lécher ma chatte de bas en haut, jusqu’au clito qu’il aspire de ses lèvres. Je tends la main, branle la queue de Martin. Soudain, je ne peux me retenir. Ma cyprine se mélange à la salive de Val, quand je jouis.
Val se dresse devant moi, m’oblige à reprendre ma fellation.
Je suis persuadé que mon mari laisse faire, mais qu’il en bave de voir son épouse tailler une pipe à un inconnu. Même si je sais qu’il est en train de se branler derrière moi. Je ne peux pas le laisser dans cet état.
Je me retourne, fait coulisser sa queue entre mes lèvres. Tendrement, il me caresse les cheveux.
Pendant que je suce Martin, Val a glisser sa queue entre mes cuisses, prêt à pénétrer ma chatte. D’un léger mouvement, j’évite la pénétration. Je me contente de prendre la queue, et la coincer entre l’élastique du porte jarretelles et la peau de ma cuisse. Lentement, je caresse le gland pris au piège.
Je sens la queue de Martin vibrer. Je me retire, quand je sens qu’il va éjaculer. Je lis la déception sur son visage.
« Désolé mon chéri, mais je dois le finir...»
« A bon, et tu me laisse en plan.»
« Faut savoir ce que tu veux mon amour.»
Je poursuis ma fellation sur la queue de l’inconnu. J’ai l’impression qu’elle a grossi, surtout le gland.
Martin sait que j’adore tailler des pipes, et j’avoue que je trouve celle là particulièrement bonne. A tel point, que je ne me retire pas quand Val vide ses couilles.
Je me retourne, la bouche ouverte, pour que Martin voit bien le sperme stocké sur ma langue. Je ferme la bouche, et j’avale. Il se prend visage entre ses mains. « Mon dieu.»
« T’es content, c’est ce que tu voulais...»
« Tu exagères...pourquoi t’as avalé...»
Déçu de mon attitude, mon mari réclame son du. Après m’être essuyé les lèvres, je prends sa queue en bouche. Je la sens vibrer quand il va jouir. Soudain, je rejette sa queue. Mon mari éjacule sur ma cuisse.
«Ben alors...pourquoi t’as pas avalé.»
«J’aime pas mélanger mon chéri.»
Martin se sent humilié devant l’inconnu, qui étouffe un rire dans sa main. Je voulais l’humilier d’avantage, en lui avouant que Val était mieux monté que lui, mais j’ai pas osé.
Quant à Val, il a compris qu’il ne tire rien de cette relation, et, en gentleman, il va chercher fortune ailleurs.
Je demande à mon mari de rentrer à la villa. Il accepte, surpris de voir ce que sa femme était capable de faire. Il a voulu jouer, il a perdu. Quant à moi, j’ai pris énormément de plaisir.
En rentrant, je file directement à la douche. C’est là que je découvre un mot, coincé dans mon porte jarretelles. Je le déplie.
C’est un mot de Val, qui me remercie pour le plaisir que je lui ai donné. Il a adoré ma façon de tailler des pipes.
Toute la nuit, les images de cette nuit sexe, défilent dans ma tête. Il me semble sentir les mains de Val caresser mon corps, branler ma chatte, doigter mon petit bouton. Je ne peux ôter de mon esprit, son énorme queue aller et venir dans ma bouche. Et moi, qui est refusé qu’il me baise...quelle conne. Toute la semaine, cette soirée a hanté mes nuits, au point de rejeter les câlins que me propose mon mari.
Je suis en train de réfléchir à une éventuelle sortie, sans mon mari. Ainsi libérée, je pourrai assouvir tous mes fantasmes. Comme passer derrière le paravent, pour sucer des bites. Je choisirais la plus grosse, lui présenterais mon petit trou, m’y empaler dessus. Et pourquoi pas me faire bouffer la chatte par une femme. J’offrirai mon corps à qui voudra bien le baiser, ou m’enculer. Et qui sait...si je rencontre Val, et qui me propose de finir la nuit chez lui...ben j’accepterais.
Mais bon, ça reste du fantasme, car depuis cette soirée, mon mari est devenu extrêmement jaloux. Surtout depuis qu’il a trouvé le petit mot de Val.
Je le rassure en lui disant que je ne suis pas une femme à m’offrir au premier venu.
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