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Une voluptueuse amazone desarçonnée

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Lue : 2332 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/09/2012

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Sous l'emprise de la volupté dédiée aux sens du toucher, de l’ouïe et de la vue : tel était le thème de l'une de mes sorties-rencontres, un soir d'hiver il y a quelques années.

Fille d'une amie kinésithérapeute, la jeune étudiante avait à peine vingt ans, mais déjà des airs de trente et de femme accomplie.

Arrivés dans la salle de rééducation de sa mère, sous un fin chemisier transparent, on devinait une brassière de jeune étudiante à la lueur terne des bougies d'ambiance, qu'elle avait disposées en S sur une petite table de chevet. Le scintillement de ces petites sources de lumière dans le grand miroir du fond de la salle apaisait nos esprits. On n'anticipa rien sur les moments qui suivirent. Nous prélassant doucement, l'un dans les bras de l'autre sans dire un mot, mais en usant de chuchotements et de mots doux, de caresses suivies de longs soupirs tendres et plaisants, nos sens se préparaient à la délectation. Nous ne tardâmes pas à nous mettre nus, son chemisier puis sa brassière furent les premiers vêtements à être enlevées, laissant apparaitre de jeunes seins bien harmonieux, comme à l'habitude l'un un peu plus gros que l'autre, une vraie vision d'enchantement pour moi. Entourer de mon index son auréole raidie, caresser d'un doigt en dessinant des spirales pour finir en point d'orgue au centre du mamelon m’extasiait. Mon pantalon et mon slip, puis ma chemise tombèrent. Comme pour se rassurer, elle empoigna d'un geste vif mon membre raidi par le moment de sensualité précédent.
Toujours en discutant pour cacher notre pudeur, elle tâtait et prenait la mesure de l'engin du délit sur toute sa longueur. Nu et lisse, elle l'observait sous toutes ses coutures. La transgression d'un interdit : faire l'amour dans la pièce de consultation de sa mère où des patients viendraient se faire rééduquer le lendemain sans imaginer ce qui s'était déroulé la veille, nous donnait plus d'ardeur.

Ses yeux candides, mais au regard langoureux ne demandaient qu'à suçoter cette belle promesse de volupté. Je dis : "Vas-y et sans les mains !" Elle n'eut aucun mal tant le bâton de réglisse avait une bonne tenue à sa mise en bouche. Une décharge de plaisir partant de mon bas ventre envahie tout le corps et je pris conscience du moment de bonheur qui allait commencer. A force d'un pompage vigoureux, mes jambes faiblirent, on s'allongea par terre sur un fin matelas qu'elle avait disposé sur le côté de la pièce. S'assurant de la bonne consistance du pieux, elle sorti un préservatif qu'elle déroula comme une banderole un jour de grandes réjouissances au château, et s'y planta ! Quel bonheur ! Comme dans du beurre !
Il faut dire que la jeune fille me lorgnait du regard depuis déjà quelques semaines et avait tenue à être présente à toutes mes rencontres professionnelles avec sa mère pour discuter de cas de patients. Sous couvert d'en apprendre un peu plus sur le métier de sa mère, je la voyais souvent zyeuter mon poitrail nu pendant les explications d'exercices kiné, pour lesquels je servais de cobaye, pour l'apprentissage de sa fille. Je la voyais détourner son regard au moindre de mes sourires complices. L'avènement de cette soirée était inévitable !

Elle monta son cheval comme une amazone aguerrie pendant de longues minutes, ses seins ballants au rythme de ses sursauts, tout en prenant soin de s'arrêter et de frotter son pubis contre le mien pour se caresser et casser l'emballement de mon plaisir montant. "Prends-moi" ! Je ne me fis pas prier, je la retournai et en missionnaire sur le matelas je la pris. En amazone désarçonnée, elle s'accrochait fortement à mon dos laissant mon dard la ramoner avidement. Son expression de plaisir ravivait mon plaisir.
Comme la position de la levrette et sa vision merveilleuse, l'expression du visage d'une femme qui lâche prise est toujours pour moi un moment de bonheur avant l'extase, d'ailleurs je me réjouis toujours de revivre ça au naturel et dans le plus simple appareil !

Le suintement de nos humeurs mélangées au va-et-vient langoureux rendait la scène admirablement belle : deux jeunes corps unis dans la volupté et le plaisir partagé. Que demander de mieux ? Sa belle est longue chevelure ondulant au gré de nos ébats. Ma semence ne tarda pas à se répandre par gros jets au fond de l'amazone tombée de son cheval et se faisant assaillir à ne plus va ! Petit cris de ferveur, halètements de plaisir, l'enfourcher fut un régal dont je conserve encore un beau souvenir aujourd'hui et que j'essaye de partager cet après-midi avec vous tous.
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