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Vagin impraticable

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Lue : 14638 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/09/2011

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Le labo d’analyses médicales a appelé pour signaler à ma femme Monique qu’elle pouvait passer. Monique absente, je suis allé chercher les résultats. Le biologiste, habitué à commenter pour moi ou pour mon épouse, m’a indiqué que les démangeaisons vulvo-vaginales de Monique n’avaient pas d’origine infectieuse, et il m’a recommandé de mettre de la douceur dans nos relations sexuelles, la vaginite d’irritation passerait d’elle-même si ma femme se voyait prescrire une pommade d’éconazole par exemple. Il serait préférable d’éviter les rapports pendant quelques jours pour obtenir une guérison plus rapide et pour que ne se répète pas ce genre d’épisodes trop fréquents chez ma petite femme.
-Ménagez- la. Certes vous êtes jeune et impétueux, mon ami, tempérez vos élans. Trois fois en quelques mois, c’est trop, les démangeaisons gâchent la qualité de vie de madame.

Donc Monique avait suivi mon conseil, avait consulté notre médecin et celui-ci avait ordonné cette analyse. Elle avait juste oublié de m’en parler. Le hasard me l’apprenait. C’était bizarre. Enfin, rien de grave, quelques précautions à prendre, un peu de pommade à appliquer pour apaiser l’irritation et nous pourrions reprendre notre vie conjugale de façon normale. Mais je découvrais que c’était la troisième fois. Je me souvenais d’une fois précédente, j’ignorais tout d’une autre fois. Quand, il y a huit jours, Monique s’est plainte de démangeaisons et a souhaité remettre au lendemain notre rencontre amoureuse, comme j’avais gardé en mémoire une demande du même genre deux mois plus tôt, j’ai demandé à voir. En effet j’ai constaté une enflure et un rougissement de l’adorable vulve, j’ai ouvert les deux grandes lèvres malgré des gémissements pitoyables, l’entrée du vagin était toute rouge et étrangement le clitoris ne supportait pas le moindre attouchement. Je lui ai épargné la relation redoutée en conseillant un examen médical. Pourquoi donc ne m’avait-elle pas parlé de sa consultation et de l’analyse? Voulait-elle ne pas m’inquiéter, craignait-elle une maladie plus grave?

Le courrier était fermé; le biologiste m’avait révélé son contenu; j’étais pressé d’aller au travail et déposai l’enveloppe dans notre boîte aux lettres au passage devant la maison. Curieusement le soir Monique ne fit pas allusion aux résultats. Je lui tendis une perche:
-Ma chérie, vas-tu mieux?
-Mais oui, je vais bien. Bien que j’aie encore de petites douleurs au sexe. Si tu voulais patienter, mon amour, nous devrions peut-être remettre encore un peu nos démonstrations amoureuses. Et puis tu sais, j’ai deux mains, une bouche, une langue et plein d’amour pour te soulager! Hi, hi!

La chose ne me contrarierait pas, je connaissais ses dons. J’insistai cependant.
-As-tu vu le médecin, on ne sait jamais, cela pourrait être sérieux.
-C’est inutile, c’est commun chez les femmes et j’ai encore de la pommade pour me soigner. Ne t’inquiète pas pour si peu, je vais prendre soin de toi et t’envoyer au septième ciel.
-Bon, mais tu sais que je préfère les voyages accompagnés. Jouir seul a un intérêt restreint. Mon bonheur c’est de sentir monter ton orgasme et de lire ton plaisir dans tes yeux quand tu jouis.

J’eus droit ce soir là à une séance de haute tenue. La fellation en inflation! Monique avait retiré ses bagues, m’avait noyé de salive puis masturbé de ses deux mains aux poignets agiles. Elle avait tendrement massé mes bourses, les avait prises en bouche l’une après l’autre, et ma verge avait changé de dimensions entre ses doigts animés d’un mouvement vertical le long de la tige. Mon gland avait reconnu tous les recoins de sa bouche gourmande, elle l’avait reçu plus profond que jamais, jusqu’à l’étouffement et à l’écoulement d’une salive abondante en crachats accompagnés d’une toux violente. Elle avait fini par enlever blouse et soutien-gorge, mais gardait un string étroit. Entre ses seins moelleux elle avait pressé mon pénis enflammé, l’avait enveloppé de douce chaleur, roulé de droite à gauche, tendu vers le haut, secoué recouvert de salive et l’avait repris entre ses lèvres fiévreuses. Sa tête montait et descendait à folle allure sur ma virilité dressée, avec des flops qui soulignaient les sorties involontaires causées par la trop grande rapidité de la formidable agitation. Et je jouis subitement. Monique ne se retira pas, au contraire, ses mains m’agrippèrent au moment où je me vidais dans sa bouche. En se retirant, elle ouvrit grand ses mâchoires pour me montrer qu’elle avait tout avalé et elle poussa la malice à recueillir de la langue sur l’extérieur des lèvres les rares gouttes de sperme échappées.
-Tu vois, je t’aime, même si je ne suis pas assez disponible. Tu es mon amour.

Souffle retrouvé, je demandais à voir les progrès de la guérison. Elle consentit à enlever son string, avec quelque hésitation étrange pour le mari. Pourquoi cette soudaine pudeur devant moi? La vulve était moins enflée, l’ouverture du vagin reprenait un aspect plus normal, le rouge des parois tournait à un rose encore soutenu, je crus même apercevoir quelques traces blanches: elle avait appliqué une pommade sans doute. L’extrémité de mon index humide de salive appliqué délicatement sur son clitoris provoqua un bond surprenant pour moi et pour elle qui en fut toute gênée.
-Tu devrais consulter. Tu souffres peut-être d’une infection urinaire.

Je prêchais le faux, elle ne réagit pas: elle aurait pu me contredire, résultats d’analyse à l’appui, mais comme je n’étais pas sensé être au courant, elle laissa planer un doute. Je poussai au crime
-D’ailleurs je vois apparaître quelques bourrelets…
-Ah! Bon, tu crois Dans ce cas j’irai dès demain.

Je venais de lui donner le prétexte d’un examen à effectuer ouvertement. Mais je n’en revenais pas de son silence à propos de la dernière consultation et de l’analyse. L’enveloppe restait invisible. Et surtout une chose m’intriguait à présent. Je ne me souvenais pas d’avoir été brutal, d’avoir blessé son vagin, de l’avoir malmenée ou d’avoir forcé mes caresses sur son clitoris. Parfois je me demandais même si ma façon de faire l’amour n’était pas trop douce. Peut-être aurait-elle préféré plus de fermeté, des élans plus vigoureux. Nous en avions discuté récemment encore. Monique m’avait rassuré, j’étais parfait selon ses dires. Quel effet mécanique pouvait causer de tels ravages sur son sexe. Les strings en matières synthétiques pourraient être à l’origine de frottements insidieux et malfaisants en raison de leur habitude de se glisser dans les fentes et les raies au point d‘y disparaître. J’en faisais la réflexion et suggérais le port de culottes en coton plus absorbantes. Ce fut encore une suggestion fort bien accueillie, comme si Monique avait besoin de trouver au plus vite une explication aux douleurs pour éloigner le sujet.

Quand elle fut endormie j’interrogeai internet pour connaître les causes connues de la vaginite non infectieuse. J’écartais le diabète, la prise d’antibiotiques, la grossesse, le port d’un stérilet en cuivre, restaient précisément le port de sous-vêtements en tissu synthétique ou de vêtements serrés, une alimentation riche en sucre ou des douches vaginales fréquentes ou l’utilisation de produits parfumés, d’antiseptiques ou de déodorants vaginaux. Il faudrait revoir à deux certaines habitudes d’hygiène pour découvrir la cause des douleurs lors de la miction ou pendant les rapports conjugaux. Il fallait éradiquer le ou les facteurs tue- l’amour. Enfin il y avait les relations sexuelles trop fortes ou trop fréquentes. Je me considérais comme normalement constitué. J’avais des mœurs de civilisé. La fréquence était moyenne, les excès des premiers mois de mariage appartenaient au passé.

Mais trois « accidents » en quelques mois, dont un au moins m’avait été caché, c’était beaucoup. Monique en souffrait en silence, ne m’en avait parlé que parce que sa douleur était trop grande au moment où je voulais la pénétrer, et elle en était visiblement moralement atteinte puisqu’elle faisait son possible pour ne pas aborder le sujet. Et le diable, entre les lignes me souffla le pire soupçon. Voulait-elle cacher des rapports avec d’autres partenaires? Je ne pouvais y croire. Mais où, quand, comment et avec qui? Du soupçon je passais aux interrogations. Nos amis et connaissances étaient gens fort fréquentables. Nous passions le week-end ensemble, mon épouse, professeur des écoles, s’occupait du ménage, préparait ses cahiers et faisait ses corrections à la maison. Le seul jour de la semaine où elle était libre, c’était le mercredi. Non je nageais en pleine paranoïa. L’épisode passerait et serait oublié. Pourtant, pourtant… J’imaginais Monique dans les bras musclés d’un homme sans visage mais à la queue ravageuse, couchée sous un sauvage agressif, pressé, brutal, sans pitié pour ses cris de douleur, peu soucieux de ce qui n’était pas sa propre jouissance, une espèce de sadique qui se nourrissait des cris de douleur, un fou. Sauf à être masochiste, elle m’aurait appelé au secours. Mon imagination délirait.

Le week-end Monique recourut aux mêmes stratagèmes pour me faire jouir, ajouta aux brûlures vaginales la fatigue de ses mâchoires. Pendant qu’elle me branlait avec assiduité, je la regardais et n’arrivais pas à croire qu’elle pût me tromper. Bite en bouche, yeux levés vers moi pour deviner mon plaisir, elle semblait si amoureuse. Elle avait rencontré le docteur, il lui avait prescrit un coupe-faim léger. Quant au reste il annonçait un rétablissement prochain, surtout si nous observions quelques jours d’abstinence. Monique était confiante, persuasive. Le lundi matin mon patron me confia une tâche importante. Un gros transporteur routier souhaitait assurer chez nous sa flotte de camions. Il semblait me connaître et souhaitait me rencontrer personnellement dans son entreprise: je devrais me déplacer le mercredi pour le rencontrer à l’autre bout du département dans un lieu-dit, entre deux villages connus. Le patron comptait sur moi pour emporter ce gros contrat et exceptionnellement avait fait réserver une chambre d’hôtel pour la nuit du mercredi au jeudi. Le nom de l’intéressé ne me disait rien, à la poste on ne put me renseigner ni sur le lieu-dit, ni sur l’entreprise qui aurait dû envoyer et recevoir du courrier. Ca sentait le coup tordu, on voulait se moquer de moi, mais qui et pourquoi? Je cherchais et finis par acquérir la certitude qu’il s’agissait d’une entreprise fantôme nullement répertoriée. Le téléphone et internet sont des outils très utiles.

En résumé, un fantôme voulait m’attirer loin de chez moi, le mercredi jour de congé de Monique, au moment où sa vaginite allait se dissiper. La réunion de ces bouts de ficelle dans mon cerveau perturbé par l’attitude et le mutisme de ma femme me conduisit à supposer qu’un amant avait pris rendez-vous avec elle et m’expédiait hors de portée pour agir en toute tranquillité. Ce devait être l’étalon au membre surdimensionné auteur des dommages dont souffrait l’infidèle par un juste retour des choses. Elle jouissait puis payait par la souffrance ses moments d’égarements. Et malgré le danger était sur le point de recommencer. Fallait-il que je sois malade pour bâtir un pareil roman. Mais la certitude de l’inexistence de la prétendue société de transport après de multiples vérifications conforta mes doutes.

J’annonçai gaîment dès le soir mon voyage, ma nuit à l’hôtel et donnai le numéro de téléphone de l’établissement à ma femme: elle pourrait m’appeler pour me souhaiter une bonne nuit loin d’elle. Je dormirais mieux sachant qu’elle avait passé une bonne journée et qu’elle pensait à moi. Elle me félicita, se réjouit de cette quasi promotion, regretta ma future absence mais promit pour mon retour une folle nuit d’amour. Et le mardi soir, pour garantir ma fidélité, elle pompa mes réserves de sperme jusqu’à la dernière goutte, s’affaira des lèvres et des doigts. Si jeudi la vaginite durait, je devrais « la prendre par derrière ». La pratique n’était pas courante chez nous, mais contre mauvaise vulve Monique ferait beau cul.

Son vocabulaire évoluait! Et pas seulement son vocabulaire. Je repense à notre première « anale ». J’avais dû parlementer, argumenter avant de lui prouver par les faits que les fesses et le petit trou généraient un vrai plaisir. Elle avait eu du mal à s’en convaincre puis y avait pris « un certain plaisir » plus qu’un plaisir certain. C’était tout en nuances avant cette proposition soudaine et surprenante. Son rendez-vous lui faisait-il craindre une rechute, des douleurs et des brûlures insupportables au point d’offrir dès à présent une entrée par la petite porte.

J’ai fait un faux départ vers midi, je viens de m’introduire dans ma cave comme un voleur. J’attends. Faux départ, suivi d’une fausse alerte. Noël, un collègue vient présenter un manuel tout nouveau. Je les entends discuter dans l’entrée. Le visiteur est délogé par un nouveau coup de sonnette. Il cède la place à deux visiteurs. Je reconnais la voix de celui qui salue et donne à l’autres quelques indications, c’est René, un collègue de travail avec lequel je me trouve parfois en concurrence. Que fait-il là aujourd’hui?
-Henri, je te présente Monique dont je t’ai déjà parlé. Ma chérie, Henri est un ami infirmier. Quand tu m’as refoulé il y a huit jours sous prétexte que je t’avais fait mal, j’ai cru à une ruse. Henri va t’examiner de façon tout à fait professionnelle.
-Mais tu es fou, j’ai vu mon médecin lundi. Je n’ai pas à subir un nouvel examen par un inconnu.
-Montre lui ta carte professionnelle. Ne t’inquiète pas, tu vas constater que nous avons affaire avec une dame on ne peut plus consentante. Montons.

Qu’est-ce que ce cirque? J’écoute, aussi intrigué que surpris. René parle avec autorité, Monique n’a fait qu’une faible protestation
-Je t’explique. Monique et moi étions amis, sommes devenus amants. Tantôt dans sa chambre d’étudiante, tantôt à l’hôtel, rarement chez moi, nous couchions ensemble. Je lui ai tout appris. J’ai été le premier à faire tomber sa culotte, je lui ai imposé le string à la mode, le premier je lui ai mis la main au con, le premier je lui ai mis un doigt, la résistance de son hymen n’a pas été longue, j’ai caressé son corps, j’ai fait durcir ses tétons, j’ai titillé son clito, dévoré les lèvres de sa vulve, je l’ai tant et si bien excitée qu’elle a cédé à mes prières et j’ai donc été le premier à investir la forteresse. Après des jours de lutte elle a enfin été mienne. Le sacrifice de sa virginité l’a rendue dépendante, à la télé on dit addicte au sexe. Nous avons fait d’incroyables parties de trou du cul. Un jour elle m’a surpris en train de peloter une de ses copines. J’étais je l’avoue d’humeur polygame, mais je tenais à ma baiseuse préférée. Mon titre de premier amour, de premier amant, mes talents amoureux, tout le plaisir que je lui avais prodigué, mes langues fourrées, les dimensions plus que respectables de mes attributs et la jouissance qu’elle en tirait, elle a tout rejeté, furieusement jalouse. Pour une peccadille elle m’a repoussé avec hargne, elle s’est idiotement jetée à la tête de ce crétin de Paul et l’a épousé dans la foulée.
-Pas plus crétin que toi mais tellement plus gentil plus honnête et plus fidèle.
-Ca l’avance à quoi? Il a suffi que je menace de lui montrer tes lettres enflammées et quelques photos explicites de nos acrobaties sexuelles pour que tu lui fasses des cornes tous les mercredis de l’année scolaire. Et depuis tu jouis autant et plus avec moi qu’avec cet impuissant crétin. Aujourd’hui je l’ai envoyé démarcher une entreprise lointaine qui reste à créer. Ha! Ha! Ha! Le con! Débarrassé de lui, nous allons pouvoir nous amuser à satiété, longuement, voluptueusement. Je te promets des plaisirs nouveaux, inédits pour toi, nous allons te rassasier de foutre pour une longue semaine.
-Tu ne dois pas y compter, je souffre d’une vaginite à répétition, tes fameux attributs ont fait des dégâts. Il y a deux mois tu m’avais déchiré le vagin en me prenant comme une bête. Il y a deux semaines ton engin énorme m’a meurtri les parois et gonflé les lèvres du sexe. Je t’en supplie, laisse-moi le temps de me remettre de mes blessures. Même quand je vais pisser, je hurlerais de douleur.
-Tu fais ta forte tête, tu te fous de moi. J’ai trop bien préparé mon coup, j’ai même payé une nuit d’hôtel à ton cocu pour pouvoir passer la nuit avec toi, pendant que le crétin sourira aux anges. Alors cesse tes jérémiades et fous toi vite à poil avant de dérouiller. Maintenant, si tu préfères que j’aie un entretien instructif avec ton chéri?
-On pourrait remettre à la semaine prochaine? Pitié, laisse-moi guérir.
-Je t’ai dit « à poil ». Exécution… Quoi, tu remets ces horribles culottes en coton. Tu retombes déjà en enfance. J’ai l’instrument qui va te remettre les idées en place. Quelques bons coups de ma massue et ça va s’arranger. Allez, au pieu vite fait. Ecarte les cuisses et montre tes prétendues plaies à l’infirmier. Fais lui confiance, c’est un expert. Il a vu beaucoup plus des vulves que tu ne verras de zizis dans toute ta vie. Expert, connaisseur et grand amateur, il ajoutera ses soins aux miens pour ton plus grand bonheur. Ouvre.
-Effectivement les lèvres sont encore légèrement enflées. L’intérieur semble sain et rose. Par contre l’odeur est un peu forte, enivrante. Je la déclare apte au service.
-Ah! Non, ton Henri est dingue. Le toucher de ses doigts sur mes parties intimes me fait mal.
Un bruit sec de gifle la fait taire, elle pleurniche.
-Souviens-toi, tu as été à moi, tu resteras mienne à vie. Le premier je t’ai dépucelée et fait jouir: tu es marquée pour la vie. On va commencer gentiment par une sucette. Henri montre ton braquemart. Ma chérie, tu vois, il n’a rien à m’envier, ni en longueur, ni en épaisseur. Quand nous t’aurons limée, tu jouiras et tu oublieras les petits inconvénients liés aux vits de taille XXL.

-Ah! Non, vous n’allez pas en plus vous y mettre à deux. Un coït unique serait déjà insupportable. Je refuse d’en subir deux. Vous rêvez. René, que gagneras-tu à casser ton jouet? Cela suffit; tu m’as estropiée, je ne ressens que de la douleur en faisant l’amour. Es-tu en train de te venger, veux-tu me détruire? Cette fois tu exagères, j’en ai marre, peu importent les conséquences, je vais me plaindre à ta femme, à mon mari et à la gendarmerie si vous me forcez. A deux vous serez plus forts que moi, mais si ton infirmier me touche encore je porterai plainte pour viol en réunion contre vous deux. Foutez le camp!
-Hé, hé, doucement. Ne t’énerve pas. Trouvons un compromis au lieu de nous fâcher. Nous sommes là pour nous amuser. Parce que je t’adore j’ai voulu te faire découvrir de nouvelles sensations. Reconnais que tu ne protestes plus quand je viens te baiser. Tu as compris où est notre intérêt depuis des mois. Tu ferais bien rire les gendarmes si tu portais plainte maintenant; il est un peu tard. Je t’ai convaincue que tu avais avantage à collaborer, tu me reçois régulièrement, je peux décrire par le détail tous tes draps: ce n’est pas le résultat d’une incursion unique dans ton intimité. Tu auras du mal à prouver que tu n’étais pas consentante.
-Salaud, maître-chanteur!
-Allons, calme-toi. Les injures ne produisent rien de bon. Voilà ma proposition. Nous ne toucherons pas ton sexe aujourd’hui. Mais tu as d’autres armes: tes mains, ta bouche et ton cul. Tu as de quoi nous satisfaire tous les deux.
-Pas lui, je ne le connais pas et je ne veux pas le connaître. Je ne lui dois rien.
-Après tout le mal que je me suis donné pour convaincre cet honnête homme de participer à une partouze, il a accepté d’oublier ses principes vieillots. Et maintenant tu le laisserais baver d’envie devant une superbe femme nue?
-Fallait pas promettre n’importe quoi à un inconnu.
-Henri te connaît. Il est capable de détailler ton ventre, ton bas-ventre et ton corps puisqu’il t’a examinée. Combien d’hommes seraient capables de raconter tout ce qu’il sait? A sa façon de reluquer tes nibards, il serait capable de les peindre les yeux fermés. Ce n’est plus un étranger. Regarde comme il bande pour toi. Tu n’auras pas la cruauté de lui demander de remballer son matériel. Ca ne se fait pas.
-Et baiser une femme à deux ça se fait? C’est la règle? Je suis curieuse d’avoir l’avis de Laetitia. Tu fais avec moi ce que tu n’as pas le courage de demander à ta propre femme.
-Bon, on n’avance pas. Si je le veux, tu vas te soumettre. Tu as le choix, ou tu te montres gentille ou nous nous montrons méchants et ta quetsche passera un mauvais moment. Alors?
-Tu appelles ça un choix! C’est un abus.
-L’instituteur témoignera que nous n’avons pas forcé ta porte. Trêve de discussion, buvons le verre de l’amitié et de la réconciliation. Tu as toujours ce cognac ou ce whisky? On trinque, tu retrouveras la forme et tu me remercieras pour le bel après-midi.

Il va au salon se servir
-A ta santé et à la nôtre. Comme dit l’autre, A notre santé, à nos chevaux, à nos femmes et à ceux qui les montent. Aux cornes de Paul et à nos amours. Souris et avale. Ne grimace pas, elle est fameuse ta « vieille réserve » , cul-sec. Tire la langue, fais voir à Henri: elle n’est pas irritée. C’est trop bon, allez encore un verre pour oublier ta rancœur. Avec moi, cul-sec. C’est du velours, enfin tu souris.

Quel culot, il ne se contente pas de baiser ma femme, il vide mes meilleures bouteilles. Et après deux verres de cognac il prétend lui faire avaler un whisky pour chasser les idées noires? L’alcool va surtout chasser ses dernières défenses. L’alcool va tuer les microbes et elle se sentira mieux, dit-il. Je me demandais pourquoi mes bouteilles se vidaient si vite. Maintenant je sais, comme je connais la cause de l’irritation vaginale. Avec sa grosse râpe René a écorché brutalement le passage. Certains hommes sont ainsi faits, ils affirment leur virilité dans la violence, égratignent les peaux avec leurs ongles, gâchent un vagin avec leurs doigts trop nerveux, obéissant à des pulsions sauvages. Un puissant de ce monde se serait récemment illustré dans le genre à New-York il y a quelques mois. Sa victime a fait médicalement constater les lésions infligées.

L’impossible est arrivé, ma femme pour cacher des erreurs de jeunesse a accepté de me tromper avec ce triste individu. Et pour mieux la soumettre à ses envies, il la saoule. Je devrais mettre fin à son manège. Seul contre deux, il ne me suffira pas de mon bon droit ou de ma qualité de mari. D’ailleurs, si j’ai bien compris, l’adultère dure depuis des mois et depuis des mois Monique ne m’a adressé aucun signal de détresse. Allez savoir si le chantage de René n’est pas une aubaine pour elle. Peut-être ne demande-t-elle pas mieux: elle se cache derrière un chantage assez douteux pour justifier son manque de résistance ou son goût immodéré pour le sexe. Ce type, je le hais. Il me vole l’amour de ma femme et se conduit comme une brute ; il pourrait me la rendre en bon état quand il vient l‘utiliser. Non content de ses méfaits, il introduit un nouvel exécutant dans ma maison. Elle va coucher avec deux autres hommes à l’avenir contre la promesse de René de ne pas pénétrer son sexe aujourd’hui. Elle ne m’en parlera pas davantage, c’est sûr: elle a accepté le compromis.

Ses parties non douloureuses vont servir. Elle a beau aimer la bite, la mienne devrait lui suffire. Eh bien, non ! Elle s’apprête à en sucer deux, elle va en branler deux et je ne l’ai pas entendu refuser définitivement d’en prendre deux dans le cul. Ma maison risque de se transformer en maison de passes. Combien d’amis compte-t-il présenter à Monique pour assurer son bonheur? Si elle admet Henri, comment repoussera-t-elle les suivants. Sa chatte sera la plus fréquentée du quartier, le mercredi deviendra journée vulve ouverte. D’irritation en irritations, je ferai tintin et le biologiste n’a pas fini de me recommander la douceur! J’ai de quoi douter de son amour. Donc la perspective de faire l’amour avec deux gros membres pourrait lui plaire et mon intervention irriterait son caractère. Mieux vaut donc patienter, ils finiront par partir et nous aurons une sérieuse explication, suivie de décisions.
-Tu vois, tu attends la suite. On va s’organiser. Pour commencer agenouille-toi entre nous. Nos queues sont à ta disposition. Tu vas faire à Henri une brillante démonstration de tes talents de tailleuse de pipes. Il va aimer. N’hésite pas à avaler la fumée, tu pourras te rincer le gosier avec un petit verre. Tu broutes la sienne, tu gobes la mienne et tu nous manipules allègrement. Crache sur les nœuds et branle.
-J’avais dit pas lui.
-Tu recommences? Attention, au lieu de préparer ton anus je vais te soigner le minou, comme ça.

Monique pousse un hurlement, il lui a pincé la vulve ou fourré un doigt. Je suppose. On y va, occupe-toi de nos affaires, lèche, suce, mouille de salive, mordille, avale. Quand tes mâchoires seront assouplies nous essayerons de te mette nos deux engins dans le garage. Ta bouche doit supporter une entrée double. Je t’avais promis des nouveautés, il faut savoir imaginer. Bouffe ou je recommence.
-Non, pitié, ne touche pas mon abricot, tu m’as fait trop mal.

La douleur est une arme infaillible pour ce sadique. Je m’en souviendrai. Actuellement il se tait, donc il savoure. Henri prend le relais
-C’est vrai, c’est une championne. Sa main remonte les couilles, elle suce mes bonbons, c’est fameux. Dommage qu’elle tire la tronche.
-Tu as entendu? Fais pas la gueule quand tu dégustes. Ne m’oublie pas mais continue chez lui avec ta main. Attends, avale bien, je vais me secouer le baigneur au fond de ta gorge, c’est trop bon. Clac, clac, clac. La vache. Tiens, premier service, avale ton biberon mon bébé. Henri fonce, elle meurt de soif, abreuve-la de foutre.

Des bruits humides et des hoquets de suffocation indiquent la violence et la rapidité des mouvements du nouvel amant de Monique. Quand vient la délivrance, elle tousse
-Avale, cochonne, ne gaspille pas. Tiens, rince-toi la bouche au whisky. Doucement, ne t’enivre pas. On se repose deux minutes et après on va te prendre par derrière, l’un après l’autre.

Curieusement un silence s’installe. Le sommier a gémi, ils se sont couchés pour regonfler les accus.
Je m’occupe à rassembler en cave les instruments de ma vengeance. Je la veux terrible. « IL FAUT SAVOIR IMAGINER! », je partage l’opinion de René.

-Tu as de jolies fesses bien rondes, et l’œillet se cache en profondeur. Pour le nettoyer je lui verse un peu de cognac. Après je lècherai le liquide avec plaisir.
-Aïe, ça déborde, oh! Lalibala, ça me brûle la moule. Tu es fou! Arrête
-C’est un excellent remède contre les irritations. Reçois les soins avec reconnaissance au lieu de brailler. Tu ne vas pas pleurer pour deux gouttes égarées sur ta chatte. Henri, passe moi ton tube de lubrifiant, je veux planter une phalange dans son derrière. Ca va, ce n’est pas douloureux? Dommage que ta cramouille te fasse souffrir, Henri avait une pommade qui chauffe et excite les plus frigides. Reçois la deuxième phalange. Je vois que tu tends tes fesses pour faciliter l’invasion, bravo ma poule. Et voilà, trois phalanges ont disparu, je n’ai plus de majeur, il est englouti dans tes entrailles. C’est bon?

Monique grogne, elle doit avoir la bouche pleine du vit impressionnant du complice. René a déclaré qu’il n’avait rien à lui envier. Henri possède donc un gros machin et le bourre dans la bouche. Les borborygmes de ma femme sont révélateurs de l’envahissement par un long et gros calibre.
-Sers-toi de tes mains, masturbe-moi, je sens monter la sauce!
-Tiens, je te pousse deux doigts dans le cul. Là, je remue, je fais des ronds, mon crayon entrera plus facilement. Quel beau cul. Je rêve de le visiter. Henri, est-elle bonne?
-Mon cochon, c’est de la salope de chez salope. Quelle pompe! Si tu ne voulais pas toujours être le premier, j’aurais aimé l’enculer maintenant.
-Viens, je vais lui donner la becquée, sodomise-la, le terrain est prêt, je lui ai bien défoncé la rose, elle t’attend.

Je n’entends pas Monique. Elle subit passivement ou profite en silence. Tout à coup elle crie, Henri a forcé le sphincter et s’est projeté dans ses intestins. Elle râle des ho, des han, elle sanglote. René se marre
-Je t’avais prévenue, Henri est baraqué de la queue comme tu l’as remarqué en le suçant. Ne t’endors pas, suce-moi les roubignoles. Allez.
-Ah! La vache, un cul serré, brûlant. J’admets que tu sais choisir tes femelles. Celle-là c’est la meilleure. Elle soulève son bassin, s’offre, elle se tend pour ne rien perdre, pour permettre d‘aller plus loin à chaque poussée de ma mèche. AHHHH! J’explose. Quand tu entreras, attention à ne pas glisser dans mon jus. Qu’est-ce que ça fait du bien. Rends-moi la bouche, il faut qu’elle me nettoie la queue.
-On pourrait faire une pose entre deux sodomies. Quand vous me rabotez les fesses, ma peau se tire et mes grosses lèvres se tendent, ça commence à faire mal.
-Fais pas ta chochotte. Tu n’es pas épaisse mais tu es solide. Cinq minutes de pince-nichons vont te reposer. Sur le dos. Un peu de cognac sur la poitrine, je suce le sein gauche et Henri s’occupe du second.

Ses gémissements encouragent les voyous et trahissent le plaisir de Monique. Comme d’habitude, on tourne la clé, son moteur démarre et elle ronronne. Ils l’ont chauffée, elle a bu et la volupté l’emporte sur tout, elle ne pense plus, elle jouit. Je croyais jusqu’à cet instant être le maître de sa jouissance. Son ex amant et un inconnu réussissent parfaitement à lui arracher des petits cris de satisfaction ou des râles explosifs. Ses cordes sensibles vibrent sous n’importe quels doigts.
-Pas de suçons ou Paul va s’en rendre compte. René, ne mords pas, tu es fou.

Le dernier hurlement signale l’entrée de la massue de René dans l’ampoule rectale de Monique. Demain l’irritation sera passée du vagin à l’extrémité du tube digestif et Monique inventera une théorie scientifique pour m’expliquer la transmission du mal d’un trou à l’autre: « le docteur a dit… » . En attendant depuis quelques minutes Monique ponctue chaque coup du pieu qui lui distend la rondelle d’un gros soupir, d’un gémissement d’intensité croissante: elle résiste au choc, elle se force à accueillir l’envahisseur au prix de l’effort et l’effort est bruyant. Les bruits se rapprochent, l’allure augmente. René en plein boum lui aussi souffle fort, accompagne en basse la mélopée de ma femme. Tout se tait.
-Ma fille tu as du mal à jouir du cul. Pfou…. Je me suis vidé dans tes boyaux. Ca fait du bien. Il faut que tu connaisses le bonheur. Henri est couché sur le dos, drapeau en berne. Réveille son envie et assieds-toi sur sa banane. Nous nous relaierons aussi longtemps qu’il le faudra pour t’emmener au ciel.
-Je n’en peux plus
-Alors dépêche-toi de jouir.

-Lève tes fesses, laisse-toi retomber, remue, accélère. Vas-y. Ca ne t’empêche pas de me polir le poignard, fais-le reluire avec la bouche. … Lance le galop. Et ton irritation, s’atténue-t-elle?
-Non, ne touche pas!
-Lave-toi la bouche, bois un verre pour nettoyer ta gorge. Quoi le cognac te brûle? C’est dans la tête
-Qu’est-ce que tu fais. Laisse mon berlingot en paix, tu l’as promis.
-Juste une lichette sur l’extérieur du bonbon. Si c’est douloureux j’arrête. Continue à monter et à descendre sur la tige. Henri tient lui solidement les hanches et aide le mouvement. Tire son dos sur tes pectoraux et défonce-lui le fondement. Comme ça elle a la bonne position. Empoigne ses nichons et coince-la.

La douleur a été hurlée. Instinctivement je me jette dans l’escalier. Monique crie, Monique pleure, Monique a mal. Je les vois. Ils sont empilés. Elle est sur l’enculeur, maintenue par les bras qui la ceinturent et les mains qui englobent les seins. René la couvre et la baise en con à coups répétés, sans ménagement. Il rit du bon tour et se moque de ses cris abominables comme de l’an 40. Il ne lui a pas demandé sa permission. Il a plongé sur l’arc tendu du ventre femelle cloué sur Henri et il a propulsé par surprise sa matraque dans la quetsche irritée mais béante. Elle est en sandwich et les percutions bilatérales la secouent, sans égard pour ses protestations. Les mâles en rut précipitent la bousculade. Je vois les deux bites jumelles entrer et sortir puis rentrer dans les orifices et revenir et repartir, les assauts de l’un concurrencent les élans de l’autre, ils rattrapent le temps perdu, lancés comme des fous en quête d‘un orgasme qui devrait sublimer la douleur. La suppliante est ballotée et s’époumone en vain. Elle gigote des bras et des jambes, mais reste prisonnière entre ses deux bourreaux, rivée sur leurs harpons durcis dans ses chairs douloureuses. Elle brûle, elle réclame la fin de la torture. Pour ne pas ameuter les environs René étouffe d’une main ferme les exclamations de Monique. Mais les ruades s’amplifient, Henri l’envoie vers le haut, René l’écrase vers le bas. Jamais elle n’a refusé de se laisser prendre, jamais elle n’a invoqué sa fidélité au mariage ou son amour de moi. Son seul souci était de ne pas avoir mal. Si elle avait dit:
-Laissez-moi tranquille, je ne vous aime pas, je suis amoureuse de mon mari, je ne vous veux pas,

Je leur tomberais dessus, je les assommerais à coup de gourdin. Mais elle s’est soumise à leurs fantaisies, s’est laissé tripoter, embrasser, caresser les seins, la croupe, elle les a sucés longuement, complaisante mue par le seul désir de ne pas souffrir. Elle s’est laissé sodomiser avec un naturel surprenant. Ces deux gros porcs lui infligent la punition que je n’aurais ni le courage ni la cruauté de lui imposer. Naïve, elle a cru les avoir apitoyés. Elle paie son erreur. Je lui souhaite de retrouver ses esprits, de mesurer l’horreur de la trahison de René. Ses gémissements fendraient l’âme. Ils n’ont aucune pitié, ils s’acharnent mais atteignent l’orgasme avant elle en hoquetant. Enfin René s’arrache à sa proie et s’écroule a côté d’elle. Son sperme sort blanchâtre du con rouge sang, coule en un long filet glaireux vers la jonction du vit d’Henri à son tour animé par les giclées de foutre dans le cul de Monique, allongée comme un pantin désarticulé sur ce nouvel amant. Henri se délivre de son poids, la repousse en avant de sorte qu’elle s’allonge tête-bêche et vient poser son visage écarlate sur l’abdomen de l’autre, nez collé au membre en détumescence. L’alcool ingurgité et les excès sexuels ont raison de leur désir.
-Ne t’inquiète pas Henri, tu auras ton tour plus tard. La nuit sera longue. Elle n’est pas morte finalement, elle fait trop de manières pour des picotements. On va la dresser. Laissons la dormir.

Je n’entends pas Monique, elle est affalée sur le corps fatigué, et hume en dormant les odeurs fortes du sexe recroquevillé. Ils ont baisé, ils baiseront encore, donc ils peuvent s’assoupir sans se laver. A moi de jouer.
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Histoire de Veilleur

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