Vengeance 2

Lisette, depuis qu'elle traine avec Juliette, qu'elle a entrainé dans la débauche, semble prendre des distances avec Paul, son mari. Intéressée par d'autres queues, elle se donne de moins farouchement à lui. Sans mari remarque ce manque d'ardeurs, elle qui en général partait au quart de tour. Paul bon joueur, met ça sur le compte de la fatigue. Il est vrai, que Lisette travaille beaucoup dans la petite entreprise ou elle est employée, elle ne compte pas ses heures. Quanta Juliette, depuis ses virées au club est plus radieuse, plus souriante, elle change de tout au tout, elle évite les scènes de ménage, elle est sur une autre planète. Serge, l'infidèle notoire, ne se pose pas trop de questions sur le changement de comportement radical de sa femme. Il tente néanmoins de lui poser des questions. Juliette sait qu'elle tient le bon bout, pour toutes réponses et dit :


-Tu as choisis un mode de vie, moi maintenant, j'en ai choisi un aussi, il ne faut que t'en prendre qu'à toi-même !


Cela perturbe tellement Serge qu'il arrive à faire des scènes à son amante, à chaque fois qu'il la rencontre. Excédée, par ce comportement étrange de son amant, elle rompt avec lui. Les jours se passent, les deux femmes se livrent régulièrement à des amants ou amantes selon la disponibilité. Ce qui compte maintenant pour elles c'est de jouir le plus possible. Les deux amies se sont mises au lesbianisme. Souvent, elle font l'amour ensemble, pendant de nombreuses heures, en refusant les avances d'autres habitués du club. Mais dès qu'elles sont libres, ils se ruent sur elles comme des affamés. La réputation des deux amies n'est plus à faire, on les surnomme les bombes masquées.


Les mois passent, Serge et en abstinence forcée, les masturbations nocturnes, ne lui suffises plus. Il parle avec son ami Paul pour faire une virée au club pour se dégorger le poireau, comme on dit. Paul, un peu délaissé, accepte. Il se dit comme Lisette, chaque samedi s'absente pour une où autre raison, ce dit que c'est l'occasion. Les deux amies, en déjà rejoint le club, une fois masquées, elle se lance. Elles sont rapidement accostées, par deux mâles en ruts et deux femmes surexcitées. Rapidement dénudées, elles sont culbutées sur les matelas épais. Les premières en actions, ce sont les femmes, les bouches voraces des deux femelles en chaleurs, s'acharnent sur leur corps. Les gémissements que Lisette et Juliette poussent font bander les deux hommes qui attendent avec impatience, une petite place pour se joindre à eux. Les chattes sont en ébullitions, elles lâchent leur jus, pour gaver les voraces. Juliette est la première à jouir, ses longs râles résonnent dans l'alcôve. Lisette agite son bassin en appuyant fortement sur la tête de son amante. Elle pousse un cri si strident en jouissant, qu'elle fait sursauter les deux hommes.


Enfin les hommes peuvent intervenir, Juliette se cabre lorsque son amant, lui saisit le clito et le branle sauvagement. L'homme en surchauffe ne peut se retenir. Il envoie sur le corps de Juliette plusieurs jets de sperme. Une femme se jette sur le côté du duo, et lèche la crème onctueuse qui souille le corps de Juliette. L'homme, un peu penaud, lâche le clito et présente sa queue au temple trempé de cyprine. Il enfonce sa queue gluante dans le ventre de Juliette qui se cabre. Elle s'accroche à son amant, qui se met à la besogner comme un animal. Juliette gémit de plus en plus fort jusqu'à la jouissance, l'homme arrive quand même, à lui remplir le ventre de son sperme.
Lisette ne reste pas inactive, elle geint, en subissant les assauts de son partenaire avec courage, car le bougre est monté comme un poney. Il la défonce comme un malade jusqu'à ce qu'ils jouissent tous les deux. Pour récupérer, les deux amies vont prendre un verre avant de reprendre le combat rapproché. Une fois requinquées, les deux entre dans une alcôve, et s'enlace. Par habitude, elle gardent leur masque. Elles se mettent tête bête, et se dévorent le fruit juteux au rythme choisi. Les langues agiles fouillent profondément les fruits odorants, à la recherche du suc délicieux. Des bruits de clapotis se font entendre lors des aspirations puissantes, les deux amantes se dévorent rageusement l'abricot trop mûr.



Soudain, le rideau de l'alcôve s'ouvre. Les deux femmes sursautent, elles restent sans voix. C'est Paul et Serge qui sont venus se vider les couilles, les femmes masquées, leur sont recommandées par un habitué des lieux. C'est pour cela, que les deux maris, ont choisis cette alcôve. Les hommes se mettent nus rapidement. Les femmes se séparent, Paul sans le vouloir choisit Juliette et Serge Lisette. Les préliminaires sont longs, les deux hommes prennent leur temps. Paul caresse les seins de Juliette avec douceur, il enfonce doucement ses doigts dans la chair tendre, en le pétrissant longuement. Juliette souffle de bonheur tellement Paul est doux. Il lui triture les mamelons avec douceur, les étire doucement, les roule entre ses doigts, pour les rendre épais et dur. Juliette trouve Paul très doué, elle qui est habituée aux soudards du club, cela lui change. Serge aussi se surpasse, comme un clone, sans le vouloir, fait avec délicatesse les mêmes attouchements sur Lisette. Les deux femmes pâment de bonheur entre les bras de leurs amants. Même si elles se cocufient par la force des choses, elles ne le regrettent pas. Les seins sont durs, les palpations sont efficaces, les bouts dressés aux centres des taches brunes sont devenus très sensibles. Les bouches qui s'activent sur les mamelons, font geindre en Chœur les deux femmes. Les vulves sont tant gorgées de cyprine, que le surplus s'écharpe.


Paul se place entre les cuisses de Juliette, et pose sa bouche sur le puits engorgé de cyprine. Il aspire le nectar un peu visqueux, avant d'enfoncer sa langue dans la gaine brûlante. Juliette se cambre en poussant un long râle. La langue de Paul est très habile, elle fouille l'antre sans son moindre recoin. Juliette gémit, elle agite son bassin, en donnant de petits coups de reins. La tension est encore montée d'un cran. Un gémissement plus fort que les autre se fait entendre. Paul vient de gober le clito, et le suce comme un bonbon. Juliette défaille, elle pousse un râle rauque en jouissant. Paul se redresse, et présente à la fente détrempée, son braquemart tendu. Lentement, il l'enfonce en se cramponnant aux hanches de son amante. À mi-chemin, il donne un coup de reins et enfonce sa queue jusqu'aux couilles dans le ventre de Juliette, qui se cabre. Le va-et-vient et très lent au début, mais rapidement prend de la vitesse. Les coups de boutoirs se font plus violents, Juliette en presque en transe, elle souffle comme un dragon. Lisette reçoit le même traitement, elle ne cesse de geindre.
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