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Voyage au Nigéria

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Lue : 6722 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/05/2012

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Depuis notre expérience, où ma tendre belle-sœur Myrice était tombée dans les pommes, il s’est écoulé pas mal de temps. Mais nous nous voyons de temps en temps lorsqu’elle est de passage à Douala. Car son activité de commerce l’emmène tantôt au Nigéria tout comme en Guinée équatoriale et bien d’autres destinations encore.
Donc, la voilà pour deux jours à la maison avant de reprendre la route pour Lagos. Et en discutant tranquillement autour d’un petit verre de vin rosé de France, elle me dit.

- Tu sais, depuis le temps que je vais là-bas toute seule, je trouve la route un peu longue. Est-ce que ça te dirait de m’accompagner, si ma sœur bien sûr est d’accord ?
- Mais pourquoi pas. D’autant que ça me sortirait un peu de Douala. Oui, c’est une très bonne idée.
- Charlie, qu’est-ce que tu en penses. Est-ce que Régis peut m’accompagner pour ce voyage ?
- Mais oui, il n’y a pas de problème. Je sais qu’avec toi, il ne risquera rien.
- Merci ma chérie. Je vais voyager un peu. Et avec Mimi se sera un plaisir. Au fait, nous partons combien de jours ?
- Une bonne semaine. Le temps de voir mes fournisseurs et de faire mes achats.
- Nous partons quand… demain ?
- Oui de bonne heure.

De bonne heure, au Cameroun, ce n’est pas avant dix heures du matin. Donc, le lendemain matin, après avoir fait ma valise et chargé la voiture, nous prenons la route en direction de Limbé et de la frontière entre le Cameroun et le Nigéria. Après trois cents bornes, ce qui est peu, mais avec l’état des routes en Afrique, ça représente plus de six heures de conduite et pas mal de fatigue. Donc, nous faisons une halte pour la nuit dans un petit hôtel au confort moyen. Mais cela n’avait pas beaucoup d’importance. Car le principal, pour nous, était de pouvoir nous retrouver ensemble dans un endroit tranquille. Et là, je peux vous dire que c’était plus que calme.

Après un diner aux saveurs locales, bien assaisonné, nous retrouvons notre chambre vers vingt et une heure trente. Je donne un tour de clef à la porte, sécurité oblige, et là, Myrice me dit.

- Je vais prendre une bonne douche. La route a été pénible et il a fait vraiment chaud aujourd’hui.
- Tu crois… Je vais y aller aussi.
Quelques instants après, j’entends.
- Tu viens me frotter le dos ?
- Mais bien sûr. Je me déshabille et je viens.

Je jette sans trop regarder mon pantalon, ma chemise et mon caleçon, et me voilà à poil dans la salle de bains où ma tendre belle-sœur m’attendait à moitié recouverte de savon. Je prends de ses mains, le gant de toilette et me voilà en train de lui savonner dans le dos. Mais, insensiblement et délicatement ma main va chercher toujours un peu plus loin. Je lui re-savonne ses magnifiques seins, puis petit son ventre rond, ses magnifiques fesses, ses très belles cuisses. En gros, je la recouvre entièrement de mousse même si ce n’était pas nécessaire. Mais bon ça fait partie du jeu. Et, pour finir, après avoir jeté le gant et le savon, mes mains remontent lentement ses superbes jambes jusqu’à sa divine fente que je commence à caresser.

Là, ma belle-sœur me dit d’un air un peu aguicheur.

- Je croyais t’avoir demandé de me savonner juste le dos.
- Oui, d’accord. Mais je n’ai pas pu m’empêcher de faire le reste. C’est tellement bon. Tu ne peux pas dire le contraire… !
- Oui, tu as raison. Bon maintenant puisque tu m’as ouvert l’appétit, je vais m’occuper de toi.
- Ok, y a pas de problème. Mais attention, tu sais que je suis sensible. Je ne réponds pas de mes actes si tu vas trop loin.

Myrice me lança un regard et se mit à rire.

Voilà qu’elle ramasse le gant qui se trouvait dans le bac à douche, et armée du savon, elle me recouvre de mousse de la tête aux pieds. Une fois fait, elle jeta, tout comme moi quelques minutes auparavant le gant et le savon, et remonta vers mon pénis, le prit au creux de sa main pour le caresser avec douceur. Dans l’instant qui suivit ma bestiole se redressa pour prendre la forme d’une grosse banane Plantin. Il n’y avait rien d’étonnant. Car cette belle coquine est très adroite en la matière. Malgré ses vingt-six ans, elle sait ce qu’il faut faire pour donner du plaisir à un homme.

Pour moi, c’était clair comme de l’eau de roche. J’avais déjà compris ce qu’elle voulait dès l’instant où elle m’avait demandé de venir lui frotter le dos. Après nous être rincé, elle se mit à genoux et commença une longue et douce fellation comme je les adore.

Plusieurs minutes après, elle lâcha sa grosse banane et vient s’appuyer face au lavabo les jambes largement ouvertes m’offrant sa croupe toute entière.

Et là, elle me dit.

- Viens, lèche-moi le minou. J’ai envie de ta langue sur mon bouton d’amour.

Alors, je pris soin de lui lécher son bouton et sa fente brulante qui était déjà passablement mouillée. Ma belle-sœur était déjà passablement excitée. Ce qui fait que je n’ai pas eu beaucoup de mal pour la faire jouir. Donc, sans trop perdre de temps, je lui plantais mon dard tout au fond de sa petite chatte et mes coups de boutoirs l’emmenèrent rapidement dans un premier orgasme qui ne cessa qu’au bout d’un bon quart d’heure.

Après ce premier round, pendant lequel j’ai eu tout le temps d’admirer ses fesses bien rebondies et surtout son petit trou plissé. L’envie de lui prendre était devenue une vraie obsession. Je ne pouvais plus attendre de lui demander.

- Myrice ; tu sais ce que l’on avait parlé l’autre fois lorsque nous avons fait l’amour à Douala.
- Oui, je me souviens. Tu veux qu’on le fasse là maintenant.
- J’aimerai bien si tu es décidée.
- Pourquoi pas. Mais tu ne me prends pas comme un sauvage… !
- Non. Ne t’inquiète pas, je vais te faire ça avec douceur.
Je lui redemande de se mettre à nouveau face au lavabo dans la même position. Je lui prépare bien son petit orifice encore vierge. Insensiblement, voilà la rondelle étoilée de ma belle-sœur qui commence à se dilater.

Après un long moment de travail entre son petit orifice et sa fente détrempée, elle recommença à gémir de plaisir. Il faut dire que j’y ai mis du cœur à l’ouvrage, car j’en avais une envie folle de lui perforer sa jolie rondelle plissée. Et là, ma douce et tendre complice me demanda d’une voix haletante.

- Régis, prend moi le maintenant, mon petit trou, je me sens prête.

A ces mots, je ne dis rien. J’allais exécuter le plus grand de mes fantasmes et en plus avec une femme que j’adore. Bref, l’extase en somme… ! Un dernier coup de langue pour bien humidifier de ma salive cet anus accueillant et tant désiré. J’approche doucement ma verge à l’entrée. Poussée après poussée je vois mon gland pénétrer lentement à l’intérieur. Là, Myrice poussa un petit cri et me dit.

- Waouh, c’est bon. Mais, vas-y doucement, prends tout ton temps. J’ai envie que tu me fasses jouir.
Je restais concentré sur ce que je faisais. Petit à petit, la banane Plantin s’enfonça de plus en plus. Comme je ne voulais pas qu’elle ait mal, je mesurais la force de pénétration. Et un instant après, Myrice se retourna vers moi et me lança un regard d’envie et me dit :
- Vas-y Régis. Cette fois c’est bon. Tu es bien dedans, vas-y enfonce la moi jusqu’au fond, vas-y… accélère… C’est bon…

Ce n’était pas vraiment la peine de me le demander. A ces mots je mis le marteau piqueur en route et les va et vient se firent de plus en plus intenses. Là, Myrice commença à chanter sa chanson que je connais par cœur. La voilà reparti dans un nouvel orgasme. Nous faisons l’amour comme de véritables bêtes en variant les positions autant que possible. Pendant plus d’un quart d’heure, je lui ovalisais son petit trou et elle se régalait autant que moi. Il faut dire que pour l’un comme pour l’autre c’était une première.

La fin du deuxième round sonna. Elle, complètement épuisée et moi guère plus vaillant. Après lui avoir déchargé la totalité de ma semence tout au fond de ses boyaux, je retirais mon gros bâton de ce fourreau serré avec le sentiment d’avoir fait ce qu’il fallait pour combler de bonheur ma complice que j’adore.

Dans un dernier soupir, ma belle-sœur me lança.

- Tu sais, nous recommencerons demain soir. J’ai trop aimé. Je ne connaissais pas, mais qu’est-ce que c’est bon. Tu m’as fait jouir comme une malade. Régis, tu es le champion du sexe. Tu as une verge qui me rend folle. Elle est vraiment faite pour moi. Je te demande une chose et que ça reste un secret entre nous. Il ne faudra jamais rien dire à personne sur ce qui se passe entre nous. Car je crois que ma sœur n’aimerait pas du tout.

Je ne trouvai aucun mot à dire en réponse à cette phrase. Mais je me posais des questions. Que voulez-vous… Ainsi est faite la vie.

Bref, notre voyage dura une bonne semaine et chaque soir à l’hôtel avant de nous endormir, j’ai eu droit à tout un tas de gâteries les plus diverses, les unes que les autres, de la part de ma douce et tendre belle-sœur. Et, cerise sur le gâteau, elle m’a redemandé de la sodomiser à chaque fois que nous avons fait l’amour. Que demander de plus…

Zizoulabellequeue
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